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Après avoir poussé pour obtenir la victoire, le PSG a été battu en toute fin de rencontre par l'Atlético de Madrid (1-2) et s'est mis en difficulté dans cette Ligue des champions.

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Transcription
00:00Et Giovanni, il y avait un phénomène à la fois de sidération au début de l'émission,
00:04puis finalement on commence à en parler, et finalement tout s'explique, les mêmes mots font les mêmes résultats.
00:13Est-ce que vous avez eu le sentiment de revoir déjà le match de Ligue des Champions, typique du Paris Saint-Germain, cette saison mon cher Giovanni ?
00:23Bonsoir mémé, bonsoir à tous.
00:25Oui oui, pour le coup le sentiment que le PSG domine, se crée beaucoup de situations,
00:31la seconde période est totalement à son unique, Louis-Henrique Miracle fait rentrer Randall Kolomoigny en plus,
00:38donc il termine en 4-4-2, il y a plein de situations, plein d'occasions.
00:42Le sentiment de sidération il est dans les deux surfaces, c'est-à-dire que tu te dis que ce n'est pas possible de rater autant d'occasions,
00:48que c'est rocambolesque, que c'est sidérant.
00:51Là la dernière d'Hakimi juste avant la relance à la main d'Oblak, c'est hallucinant, tu te dis qu'ils sont maudits,
00:57t'as même parfois un peu de peine pour eux, parce que si Vitinha avait un peu plus de courage durant la rencontre
01:02et qu'il n'avait pas commencé à faire des transversales à la 80ème, le nombre d'appels qu'ont fait Mendes, Barcola, Dembele, Hakimi,
01:09même Warren Zaheri qui a plongé dans la surface, c'était un peu écœurant, il se démène, il court dans tous les sens.
01:16Cette équipe elle a une âme, elle a une énergie, donc ça au stade c'est communicatif.
01:22Maintenant ça m'embête de le reconnaître, parce que moi j'adore ce que produit le PSG, mais Dave il a un peu résumé,
01:29c'est-à-dire qu'il faut être clinique dans les deux surfaces de la réparation.
01:31Donnarumma il n'a rien à faire du match, il prend deux pions et en face ça ne marque pas.
01:35Deux surfaces, deux vérités, le Réal de Benzema et Courtois a gagné avec des champions comme ça.
01:41Giovanni vous étiez déjà en chemin dans l'éditorium, racontez-nous le but du 2-1, vous êtes resté un petit peu pour palper l'ambiance ?
01:53Est-ce que vous avez vu des réactions parisiennes, des joueurs, des récits ?
02:00Pour donner les coulisses de l'équipe du soir, on m'avait dit prends ton temps, on ouvre par Brest,
02:05donc effectivement j'ai pris le temps, j'ai regardé, les joueurs de l'Atlético on avait l'impression qu'ils avaient gagné avec des champions,
02:13c'était la folie, ça partait dans tous les sens, et les parisiens il y a un sentiment d'abattement, de sidération,
02:19je l'ai décrit mais je l'ai redécrit, juste avant il y a la situation d'Hakimi qui centre,
02:25alors moi à mon sens je pense qu'il peut finir, t'as la relance d'Oblak,
02:29et je me dis pourquoi il fait ça, il doit être content de faire un partout,
02:32il joue le contre, et là il y a le but, c'est sidération la plus totale,
02:36il n'y a pas eu de sifflet de la part du Parc des Princes,
02:39en plus sur les dix dernières minutes le parc a été un peu sporifique ce soir,
02:43sans balles, sans brase, et à fond vers cette équipe,
02:45parce qu'ils voient que les garçons donnent de l'intensité, ils font tout pour marquer,
02:49c'était pire que la douche froide, c'était le centre de clim,
02:53il y avait 45 clims ce soir au Parc des Princes sur le but de l'Atlético.

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