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“Depuis septembre, c’est toute la ville, là où évidemment il y a des caméras, qui est désormais passible de vidéo-verbalisation”, explique Sébastien Cote, délégué à la Protection de la population et à la tranquillité publique. Lors de la présentation du “Guide du partage de la rue”, mercredi 13 novembre, l’adjoint au maire de Montpellier a annoncé que le dispositif de vidéo-verbalisation qui concernait uniquement une dizaine de sites, comme la Place Royale du Peyrou ou l'avenue de Toulouse, s’était étendue à l’ensemble de la ville… À la condition que l’espace dispose d’une caméra de surveillance reliée au centre de supervision urbaine (CSU) de la ville de Montpellier.

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00:00Et bien à partir du mois d'octobre nous avons décidé d'étendre la vidéo
00:03verbalisation du stationnement gênant et très gênant à l'ensemble de la ville.
00:06Jusque là, il y avait un certain nombre de sites, une dizaine de sites qui étaient
00:10concernés, très connus des Montpellierains, la place royale du Pérou,
00:12l'avenue de Toulouse où le fait de s'arrêter
00:15sur un passage piéton, ou le fait de stationner en double ou triple fil
00:19était sanctionné par de la vidéo verbalisation.
00:21Depuis septembre, c'est toute la ville, là où évidemment il y a des caméras,
00:24qui est désormais passible de vidéo verbalisation.
00:27Je le répète, uniquement pour le stationnement gênant et très gênant.
00:31Piste cyclable, traversée piétonne, double ou triple fil.
00:34C'est une amende de 135 euros qui va vous être réclamée.
00:39Pour que ce soit très clair, aujourd'hui sur la ville de Montpellier,
00:43en un an, nous effectuons environ 100 000 verbalisations de stationnement
00:48gênant et très gênant, un petit peu moins, autour de 95 000, 96 000.
00:53Sur ce chiffre, 40 % sont réalisés par la vidéo,
00:5660 % sont réalisés par des contrôles physiques,
00:59que ce soit des agents de la police municipale
01:01et bien sûr des agents de la police nationale.

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