« Le marin pécheur » (paroles de Ludovic Freppaz à 3h00 du matin)
(Nota : Cette chanson est basée sur des faits authentiques, et romancés, qui se sont produits dans ma commune natale dans la Somme).
« Le marin pécheur »
Face à la mer,
Face à la mort,
A Toulon,
Ou au Tréport
Ils embarquent les marins
Au petit jour de grand matin,
Ils embarquent les marins
Pour naviguer très loin, très loin.
Sans soucis du mauvais sort,
Sans craindre pour leur corps,
Le poisson c’est leur gagne-pain.
C’est un métier d’être marin.
Face à la mer,
Ils sont très fiers,
Face à la mort,
Ils sont très forts.
Leur femme, à la maison,
Garde les moussaillons.
Y a vraiment rien à craindre,
Ils ont raison, ils ont raison…
Un marin pécheur
Connait pas la peur.
Le poisson c’est sa passion,
Le poisson c’est son pognon.
Face à la mer,
Face à la mort,
A Toulon,
Ou au Tréport.
Ils embarquent les marins,
Au petit jour de grand matin.
Ils embarquent les marins
Pour naviguer très loin, très loin.
Il s’appelait Marc…
La fidélité il y croyait…
Même dans la barque…
Il y croyait encore.
Comme à chaque fois,
Il avait fait la bise
A sa jeune promise,
Et touché du bois.
Elle était belle la donzelle.
Elle aimait les hirondelles.
Celles qui partent un matin,
Celles qui partent trop loin.
Comme ceux de trousse chemise,
Quand il y a trop d’eau,
Dans le foin, dans la remise,
Elle a relevé le rideau.
Face à la mer,
Face à la mort,
A Toulon,
Ou au Tréport.
Ils embarquent les marins,
Au petit jour de grand matin.
Ils embarquent les marins
Pour naviguer très loin, très loin.
Pauvre Marc, sur son bateau,
A fini par l’apprendre.
Il a bien songé à se pendre,
Mais Un fusil a fait l’affaire.
La belle donzelle Isabelle,
S’était faite engrosser
Par un vaurien un bon à rien,
Pas même un simple marin.
Isabelle s’est fait la belle,
A Paris, la capitale,
Personne ne l’a revue.
La belle avait disparu.
Face à la mer,
Face à la mort,
A Toulon,
Ou au Tréport.
Ils embarquent les marins,
Au petit jour, De grand matin.
Ils embarquent les marins,
Dans le froid et les embruns…
Isabelle s’est fait la belle,
A Paris, la capitale,
Personne ne l’a revue.
La belle avait disparu.
Au Bois de Boulogne,
Au bois de Vincennes,
Sur le trottoir ou dans les rues,
La belle a tout perdu…
A Barbès ou rue saint Denis,
Dans les troquets mal famés,
Sur le trottoir ou dans les rues,
La belle a tout perdu…
Face à la mer,
Face à la mort,
A Toulon,
Ou au Tréport.
Ils embarquent les marins,
Au petit jour, Face à l’amour,
Face à la mort, Face au destin,
Ils embarquent les marins.
Face à la mer,
Face à la mort,
A Toulon,
Ou au Tréport.
Il en est qui partent pas.
Il se donne une pauvre fin,
De grand matin, de grands matins.
Avec du calibre vingt.
De grand matin, de grands matins,
Il se donne une pauvre fin.
Face à la mer,
Face à la mort,
A Toulon,
Ou au Tréport.
Il se donne une pauvre fin…
Une pauvre fin… Une pauvre fin…
(Nota : Cette chanson est basée sur des faits authentiques, et romancés, qui se sont produits dans ma commune natale dans la Somme).
« Le marin pécheur »
Face à la mer,
Face à la mort,
A Toulon,
Ou au Tréport
Ils embarquent les marins
Au petit jour de grand matin,
Ils embarquent les marins
Pour naviguer très loin, très loin.
Sans soucis du mauvais sort,
Sans craindre pour leur corps,
Le poisson c’est leur gagne-pain.
C’est un métier d’être marin.
Face à la mer,
Ils sont très fiers,
Face à la mort,
Ils sont très forts.
Leur femme, à la maison,
Garde les moussaillons.
Y a vraiment rien à craindre,
Ils ont raison, ils ont raison…
Un marin pécheur
Connait pas la peur.
Le poisson c’est sa passion,
Le poisson c’est son pognon.
Face à la mer,
Face à la mort,
A Toulon,
Ou au Tréport.
Ils embarquent les marins,
Au petit jour de grand matin.
Ils embarquent les marins
Pour naviguer très loin, très loin.
Il s’appelait Marc…
La fidélité il y croyait…
Même dans la barque…
Il y croyait encore.
Comme à chaque fois,
Il avait fait la bise
A sa jeune promise,
Et touché du bois.
Elle était belle la donzelle.
Elle aimait les hirondelles.
Celles qui partent un matin,
Celles qui partent trop loin.
Comme ceux de trousse chemise,
Quand il y a trop d’eau,
Dans le foin, dans la remise,
Elle a relevé le rideau.
Face à la mer,
Face à la mort,
A Toulon,
Ou au Tréport.
Ils embarquent les marins,
Au petit jour de grand matin.
Ils embarquent les marins
Pour naviguer très loin, très loin.
Pauvre Marc, sur son bateau,
A fini par l’apprendre.
Il a bien songé à se pendre,
Mais Un fusil a fait l’affaire.
La belle donzelle Isabelle,
S’était faite engrosser
Par un vaurien un bon à rien,
Pas même un simple marin.
Isabelle s’est fait la belle,
A Paris, la capitale,
Personne ne l’a revue.
La belle avait disparu.
Face à la mer,
Face à la mort,
A Toulon,
Ou au Tréport.
Ils embarquent les marins,
Au petit jour, De grand matin.
Ils embarquent les marins,
Dans le froid et les embruns…
Isabelle s’est fait la belle,
A Paris, la capitale,
Personne ne l’a revue.
La belle avait disparu.
Au Bois de Boulogne,
Au bois de Vincennes,
Sur le trottoir ou dans les rues,
La belle a tout perdu…
A Barbès ou rue saint Denis,
Dans les troquets mal famés,
Sur le trottoir ou dans les rues,
La belle a tout perdu…
Face à la mer,
Face à la mort,
A Toulon,
Ou au Tréport.
Ils embarquent les marins,
Au petit jour, Face à l’amour,
Face à la mort, Face au destin,
Ils embarquent les marins.
Face à la mer,
Face à la mort,
A Toulon,
Ou au Tréport.
Il en est qui partent pas.
Il se donne une pauvre fin,
De grand matin, de grands matins.
Avec du calibre vingt.
De grand matin, de grands matins,
Il se donne une pauvre fin.
Face à la mer,
Face à la mort,
A Toulon,
Ou au Tréport.
Il se donne une pauvre fin…
Une pauvre fin… Une pauvre fin…
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