« Si j’avais été là… »
Hommage à Annie
(paroles Ludovic)
Si j’avais été là,
Mon amour, ma mie,
Si j’avais été là,
Tu ne serais pas partie…
J’aurais appuyé sur ton corps,
Pour que rebatte ton cœur.
Ton cœur qui battait,
Jusqu’à s’emballer,
Pour toi et pour moi,
Chaque jour du mois.
Je t’aurais fait respirer,
Je t’aurais réveillée,
Je t’aurais portée
Dans ta chambre, ton lit,
Te donner du répit
Que tu puisses reposer,
Et J’aurais appelé
Les urgences, le docteur,
Les pompiers, Le Samu,
Les voisins, les gendarmes,
Et pourquoi pas l’facteur,
J’aurais sonné l’alarme,
Ils auraient tous accouru…
J’aurais crié, appelé et hurlé.
J’aurais soufflé
Dans ta bouche.
Le bouche à bouche,
Pour te faire respirer.
Ton cœur aurait palpité,
Tu aurais ouvert les yeux,
Des larmes auraient coulé.
J’aurais supplié Dieu
De ne pas succomber.
On se serait aimé,
De toutes nos forces.
Les murs auraient tremblés
Dans toute la Corse.
Plus de mille baisers
Je t’aurais donnés…
Ton cœur aurait rebattu,
J’aurais été ému,
Jusqu’à pleurer,
Tellement apeuré
Que tu perdes ta vie.
Te redonner l’envie
De vivre, de survivre,
Ensemble toi et moi,
Te serrant très fort,
Faire la nique à la mort,
La faucheuse, à bas,
Jamais tu n’la prendras.
Si j’avais été là,
On vivrait notre amour,
Chaque instant, chaque jour.
Au café «chì bella»
Tu aurais dit des mots tendres,
Ceux que j’aime entendre.
On serait allé au marché,
Pour les courses du déjeuner,
Je t’aurais tenu la main,
Sans jamais te dire à demain.
Dans la cuisine, tous les deux,
Préparer le repas, heureux…
[silence]
Mais je n’étais pas là.
J’étais au loin là-bas.
La mort a pris ma place,
La saleté, la garce !
J’appelle ton portable,
Ce n’est pas croyable,
Pour écouter ton répondeur,
Entendre un peu Ta voix
Encore un petit peu de Toi.
Tu n’es pas disponible,
Tu rappelleras. C’est impossible,
Mais, comme un enfant, j’y crois,
Que peut être, tout à l’heure,
Dans un instant, tu rappelleras…
Je te laisse des mots d’amour,
Des « je t’aimerai toujours »,
À une machine, un enregistreur,
Des mots désormais sans valeur,
Que plus personne n’écoutera…
Que plus personne ne répondra…
Si j’avais été là…
Tu serais dans mes bras…
…si j’avais été là… oui, si j’avais été là, tu serais encore là…
Hommage à Annie
(paroles Ludovic)
Si j’avais été là,
Mon amour, ma mie,
Si j’avais été là,
Tu ne serais pas partie…
J’aurais appuyé sur ton corps,
Pour que rebatte ton cœur.
Ton cœur qui battait,
Jusqu’à s’emballer,
Pour toi et pour moi,
Chaque jour du mois.
Je t’aurais fait respirer,
Je t’aurais réveillée,
Je t’aurais portée
Dans ta chambre, ton lit,
Te donner du répit
Que tu puisses reposer,
Et J’aurais appelé
Les urgences, le docteur,
Les pompiers, Le Samu,
Les voisins, les gendarmes,
Et pourquoi pas l’facteur,
J’aurais sonné l’alarme,
Ils auraient tous accouru…
J’aurais crié, appelé et hurlé.
J’aurais soufflé
Dans ta bouche.
Le bouche à bouche,
Pour te faire respirer.
Ton cœur aurait palpité,
Tu aurais ouvert les yeux,
Des larmes auraient coulé.
J’aurais supplié Dieu
De ne pas succomber.
On se serait aimé,
De toutes nos forces.
Les murs auraient tremblés
Dans toute la Corse.
Plus de mille baisers
Je t’aurais donnés…
Ton cœur aurait rebattu,
J’aurais été ému,
Jusqu’à pleurer,
Tellement apeuré
Que tu perdes ta vie.
Te redonner l’envie
De vivre, de survivre,
Ensemble toi et moi,
Te serrant très fort,
Faire la nique à la mort,
La faucheuse, à bas,
Jamais tu n’la prendras.
Si j’avais été là,
On vivrait notre amour,
Chaque instant, chaque jour.
Au café «chì bella»
Tu aurais dit des mots tendres,
Ceux que j’aime entendre.
On serait allé au marché,
Pour les courses du déjeuner,
Je t’aurais tenu la main,
Sans jamais te dire à demain.
Dans la cuisine, tous les deux,
Préparer le repas, heureux…
[silence]
Mais je n’étais pas là.
J’étais au loin là-bas.
La mort a pris ma place,
La saleté, la garce !
J’appelle ton portable,
Ce n’est pas croyable,
Pour écouter ton répondeur,
Entendre un peu Ta voix
Encore un petit peu de Toi.
Tu n’es pas disponible,
Tu rappelleras. C’est impossible,
Mais, comme un enfant, j’y crois,
Que peut être, tout à l’heure,
Dans un instant, tu rappelleras…
Je te laisse des mots d’amour,
Des « je t’aimerai toujours »,
À une machine, un enregistreur,
Des mots désormais sans valeur,
Que plus personne n’écoutera…
Que plus personne ne répondra…
Si j’avais été là…
Tu serais dans mes bras…
…si j’avais été là… oui, si j’avais été là, tu serais encore là…
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