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Transcription
00:00Allez, musique maintenant ! Il n'avait pas donné de concert à Paris depuis 4 ans.
00:03Mika était hier à l'Accor Hotel Arena.
00:06Pour présenter son dernier album, « My name is Michael Holbrook », son vrai nom !
00:10Comme s'il voulait revenir à l'essentiel, Angèle Châtelier, vous étiez au concert pour Orpins.
00:16Derrière Mika sont affichés en grand des portraits de ses parents.
00:19Il les présente père et mère dès son entrée en scène, en même temps que son dernier single « Ice Queen ».
00:26L'intimité qu'il offre passe aussi par la décoration de son concert.
00:29Un singe géant en aluminium, une grosse lune, un tapis arc-en-ciel, un chœur gospel,
00:35un piano rose lumineux sur lequel il se niche parfois.
00:38Ça semble chargé comme décor, mais c'est moins qu'avant.
00:41Et pour les fans, c'est presque mieux.
00:43Il s'ouvre davantage, c'est pour ça qu'il est encore plus génial.
00:46C'est plus spontané, c'est encore plus du Mika.
00:49Chaque chanson ou presque a sa couleur.
00:51Elle se rapporte un instant de sa vie.
00:53Affichées sur le carré lumineux au-dessus de lui, il les raconte,
00:56comme avec le verre sur son titre « Dirgez Lucy ».
00:59Cette émotion est devenue une motivation.
01:03Ce n'est qu'à la fin du concert que le fantasque arrive.
01:05Des dizaines de ballons sortent des côtés de la scène.
01:08Un gros chœur surgit du piano.
01:10Habillé d'un pantalon et d'une veste à poids,
01:12Mika, Michael Holbrook, nous offre avec une émotion non contenue une part de lui-même.
01:20Je ne me vois pas danser, Pierre.
01:21Non, non, non, non.
01:23Non, d'accord.
01:23Non, mais bon, voilà.

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