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##C_EST_VOTRE_AVENIR-2024-11-29##
Transcription
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00:0516h-17h, Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Delaval.
00:09Bonjour à tous, ravi de vous retrouver dans votre émission, c'est votre avenir, pour finir cette semaine ensemble.
00:16Et oui, nous avons passé une semaine agréable avec tous nos auditeurs qui ont eu des témoignages tous différents.
00:23Aujourd'hui, nous avons des auditeurs qui se posent pas mal de questions sur leur côté professionnel.
00:28Alors, nous sommes en fin de mois, nous arrivons au dernier mois de l'année, en décembre.
00:34C'est peut-être le moment de pouvoir faire le bilan de son année.
00:38Si vous vous posez des questions sur votre futur, que vous réserve-t-il l'année 2025 ?
00:46Eh bien, n'hésitez pas à appeler le 0 826 300 300.
00:51Zach, au standard.
00:53Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Delaval.
00:57Et j'ai le plaisir d'accueillir mon premier auditeur, Pierre. Bonjour Pierre.
01:01Bonjour.
01:03Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Pierre.
01:05Oui, bonjour. Je vous téléphone, voilà, j'étais agriculteur, j'ai été obligé de vendre mon exploitation pour des raisons économiques, on va dire ça.
01:14Vous êtes d'où, Pierre ?
01:16Dans l'Aude.
01:17Vous êtes dans l'Aude, d'accord.
01:18Et vous avez été agriculteur de famille en famille, ou tout simplement c'est vous qui avez créé votre exploitation ?
01:25Non, j'avais repris une exploitation que j'ai développée, voilà.
01:28D'accord, ok.
01:29Voilà, et donc j'ai vendu mon exploitation et je travaillais donc dans un domaine, voilà, en tant qu'agriculteur, ça se passe bien.
01:38Et parallèlement, on avait essayé de développer, on avait un projet de photovoltaïque agricole sur une parcelle à nous pour essayer de se diversifier un peu et de s'en sortir.
01:51Et ce projet, ça fait deux ans que ça stagne un peu, c'est pour essayer de voir si on peut continuer dans cette démarche ou s'il faut vraiment tourner la page.
02:00Quand vous dites que ça stagne un peu, dans quel sens ? D'un point de vue de la rentabilité financière ?
02:06Non, non, pas du tout ça, c'est le côté, le projet était très bien, très viable, mais au niveau administratif que c'est un peu compliqué à mettre en place.
02:16Voilà, ça dure, ça dure et on attend des réponses, mais voilà.
02:21Mais votre projet aujourd'hui est abouti ? Il est complètement abouti votre projet ?
02:27Oui, le projet a été déposé en mairie.
02:29D'accord, il a été déposé. Et aujourd'hui, vous pouvez l'exploiter dans sa totalité ou pas complètement ?
02:36Pour l'instant, on attend les réponses d'une commune pour voir si ça sera faisable ou pas, s'ils acceptent le projet.
02:42Donc, votre projet est toujours à l'étude ?
02:46Oui, voilà.
02:47Ok, d'accord, c'est ça que je voulais vous demander. Donc, effectivement, pour l'instant, il n'y a aucune rentabilité financière dessus ?
02:53Non, non, pour l'instant, aucune.
02:55Alors, aujourd'hui, est-ce que vous avez pour intention de renoncer à ce projet ? Quelle est votre interrogation ?
03:03Non, non, pas du tout. Je ne compte pas renoncer, mais est-ce que ça vaut le coup d'espérer ou est-ce que, par exemple, pour cette parcelle, on envisage autre chose, un autre destin ?
03:14Et vous avez déjà une idée ?
03:16Non.
03:17Non, du tout ?
03:18Non, pas du tout.
03:19Alors, vous êtes deux sur ce projet, à le mettre en place et vraiment à y croire et à y mettre toute cette énergie, toute cette force dans ce projet-là.
03:29Ne perdez pas espoir, continuez comme ça, parce qu'effectivement, je sens des blocages, je sens des fragilités.
03:36Bon, ça reste uniquement, pour l'instant, administratif. Viendra avec d'autres petits soucis, peut-être aussi par la suite dans son fonctionnement.
03:45Mais je crois que vous êtes, peut-être dans votre secteur à vous, vous êtes celui qui a peut-être été dans cette notion d'innovation ou d'un projet assez, avec une bonne envergure,
03:59qui va permettre de pouvoir porter un regard intéressant et notamment au niveau peut-être d'une commune, au niveau de tout ce qui touche de la commune ou bien d'autres secteurs.
04:17Est-ce qu'aujourd'hui, il y a des entreprises qui se rapprochent de vous ?
04:22Oui, c'est par le biais d'une entreprise. C'est une entreprise qui nous a contactés. C'est par le biais d'une entreprise qui a déposé le dossier.
04:30D'accord. Parce que pour moi, il y a une autre entreprise, mais je sens qu'il y en a une autre encore à venir, avec qui il y aura des possibilités de collaboration,
04:38de lien, de possibilité de travailler ensemble et de soutien aussi. Et ça vous permettra peut-être d'arriver à débloquer la situation dans laquelle vous vous sentez fragilisé aujourd'hui.
04:51Ne baissez pas les bras. Vraiment, foncez. Je sens qu'au-delà du côté administratif, il y aura aussi des problèmes dans son fonctionnement,
05:02où là, il faudra réagir. Il faudra peut-être même anticiper parfois. Donc bien sûr que vous allez encore être un peu découragé par rapport à ça.
05:14Par contre, vous parliez d'une autre parcelle ou d'un autre endroit. Et là, je ne vous sens pas vouloir développer tout ce qui est voltaïque,
05:24mais je vous sens vouloir mettre en place une nouvelle exploitation, et c'est agricole. D'accord. Vous avez une idée peut-être de développer une exploitation agricole
05:37sur un autre aspect différent de celui que vous avez fait jusqu'à présent ? Non, pas pour l'instant. D'accord. Écoutez, il y aura des idées, il y aura des possibilités pour vous,
05:47mais je ne sens pas vous arrêter. Je sens au contraire votre activité, même si elle a vécu un moment de flottement, et bien votre activité est en train de redémarrer,
05:57de repartir au printemps de l'année prochaine, fin du printemps de l'année prochaine. Vous serez vraiment dans une période assez favorable et assez positive.
06:05Plus la période du mois de mai, où là, il y a quelque chose de bon et de positif dans ce sens-là. D'accord ? Très bien. Très bien. Merci beaucoup.
06:14Merci à vous, Pierre. Et puis, n'hésitez pas à revenir vers nous. Voilà. Merci. Juste une petite question. Juste une question qui me vient.
06:25Tout va bien avec votre épouse ? Ça va ? Oui, oui, ça va, ça va très bien. Très bien. Vous êtes toujours amoureux ? Oui, très, très, très, très.
06:32Simplement, voilà. Une petite question, on peut poser une petite question ? Dites-moi. Oui, voilà. Ce cas, c'est que plus de 20 ans d'amour, de fidélité, bien sûr, très amoureux,
06:41mais on a un peu des envies sur le plan intime qui divergent, et ce serait pour voir si on va se raccorder là-dessus. C'est-à-dire qui divergent ?
06:50On a pas… Voilà, on a un peu des… Voilà, moi, j'aimerais trouver certaines choses qui… Avec un peu de libertinage, vous voulez dire ? Peut-être. Peut-être, oui.
06:59Voilà, pour voir si… D'accord. Pour donner un peu plus de mouvement et donner un peu plus de force à votre couple, c'est ça ? Vous le voyez de cette manière-là ?
07:11Et aujourd'hui, elle n'est pas OK sur ça ? Oh, elle n'est pas… Elle n'est pas… Elle n'est pas fermée non plus ? Non, elle n'est pas fermée, mais c'est pour voir si ça…
07:20Pour moi, je pense qu'après, du moment qu'elle soit consentante et que vous soyez consentant aussi, et d'y aller tout doucement et de vous laisser ce temps de découvrir
07:32et ensemble, d'être beaucoup à l'écoute de l'un et de l'autre, de ne pas créer un traumatisme, et après, ça vous appartient, bien sûr. Moi, je pense qu'il y a de la possibilité
07:43parce qu'effectivement, votre couple s'ouvre à de nouvelles choses, à de nouvelles découvertes, à de nouvelles expériences sexuelles. Et pourquoi pas, oui.
07:51Si vous avez besoin de conseils, vous savez que Brigitte Lahaye est là pour vous conseiller. Elle saura le faire parfaitement. Merci à vous, Pierre. Je vous souhaite une bonne fin de journée
08:01et puis surtout, de belles fêtes. Merci. Merci. Et à présent, j'accueille Audrey. Bonjour, Audrey. Bonjour, Alexandre. Bienvenue à l'antenne de Sud Radio.
08:13Merci. C'est gentil de m'accueillir. Et vous nous appelez d'où ? Des Pyrénées-Orientales. Il fait beau chez vous, là, en ce moment ? Oui, très, très beau.
08:22C'est un peu général. Oui, grand soleil aujourd'hui. Grand soleil en ce moment. Alors, aujourd'hui, c'est la Black Friday. Vous avez fait des affaires ou pas ?
08:29Pas du tout. Je suis juste en train de faire du tri, vider, vider, vider. Très bien. Moi, je ne sais pas vous, mais moi, j'en peux plus de cette histoire de Black Friday.
08:37Ça fait déjà dix jours qu'on en parle alors que c'est juste aujourd'hui. Et Audrey, vous nous appelez pour quelles raisons ? Alors, je vous appelle pour ma fille qui a 14 ans aujourd'hui.
08:51Ah, c'est son anniversaire. Magnifique. Eh bien, bon anniversaire à votre fille. Elle s'appelle comment ? Elle s'appelle Jade. Eh bien, Jade, toute l'équipe de Sud Radio t'embrasse et on te souhaite un super anniversaire.
09:06Je lui dirais 50 ans. Donc, elle a 14 ans aujourd'hui. Elle a 14 ans aujourd'hui. C'est le bel âge. Oui, c'est le bel âge. Pleine adolescence. Mais Jade a un petit trouble, le TDAH.
09:21Et donc, ça, c'est son année de troisième cette année et je ne la sens pas très investie dans ses études et dans sa vie future au niveau du travail. Vous êtes un peu exigeante en tant que maman ? Vous avez peur aussi du relâchement ?
09:41Oui, il y a beaucoup de relâchement parce que malgré son trouble, on l'a scolarisée dans un collège privé pour qu'elle soit suivie et qu'elle soit encadrée et qu'elle aille vers le meilleur. Mais là, elle a fait un début d'année scolaire très compliqué.
09:59Voilà, avec pas mal d'observations des professeurs. Elle a toujours besoin de tester au début, au démarrage de l'école, du nouvel année scolaire, les nouveaux profs qu'elle ne connaît pas. Et donc, elle a été à deux doigts de l'exclusion.
10:17Du coup, là, elle s'est reprise un peu parce qu'elle a eu un premier conseil pour la recadrer. Elle a les capacités, mais je ne la sens pas du tout investie dans ses études si on ne lui dit pas « Jade, c'est Edouard, Jade, c'est Edouard, Jade, c'est Edouard ». Oui, c'est bon, j'ai fait mes devoirs, mais en fait, ça n'a rien fait.
10:40Pensez à votre fille et donnez-moi une couleur, s'il vous plaît.
10:46Le rose.
10:47Le rose. Alors, effectivement, moi, je pense que votre fille, elle se laisse, comme vous l'avez dit, je ne vais pas vous l'apprendre, elle se laisse un peu peut-être influencée, dispersée. Il y a un petit souci de concentration chez elle.
11:00Peut-être aussi, elle est dans cet âge de la transformation, de devoir se découvrir, de devoir évoluer, aussi peut-être de se projeter autrement et de manquer un petit peu de repères. Pour moi, il ne faut pas hésiter à la faire participer à des activités. Son papa est présent ?
11:21Non, on est séparés avec son papa.
11:23C'est pour ça. Je pense qu'il y a un besoin de retrouver un lien familial et de la faire participer à des activités et non pas de la laisser totalement autonome.
11:33C'est important à son âge de la responsabiliser, de lui donner son autonomie. Mais parfois, il y a des règles sur lesquelles il faut qu'elle donne de l'investissement au niveau familial pour justement ne pas oublier les valeurs, ne pas oublier aussi certaines règles.
11:50Et ça peut lui permettre de se construire avec ça aussi. Donc, même si vous, en tant que parent, vous pouvez apparaître comme une personne un peu rabat-joise ou un parent qui soit un peu, pas arriéré, mais parce que souvent les jeunes peuvent nous considérer un peu...
12:10Comme des dieux cons, oui.
12:12Voilà, pour ne pas dire merci. On en parlera sur cette radio. Et donc, je crois que vraiment, il faut faire en sorte de l'impliquer un peu plus.
12:22Et vous verrez qu'elle a encore quelques petites semaines, quelques petits mois, mais elle semble s'améliorer et elle semble se remettre un petit peu sur le chemin.
12:31Même s'il y a de l'amélioration, il faudra être vigilant parce qu'il ne faut pas grand-chose pour être dissipée. Et sa problématique à votre fille, c'est qu'elle a une grande maturité et elle a tendance à être attirée par des personnes qui sont peut-être plus âgées qu'elle.
12:46Et donc, à oublier un petit peu son moment présent et la réalité des choses. Donc, il faut la ramener à cette réalité-là. Mais vous allez y arriver.
12:56— D'accord. Et au niveau de l'implication, je n'ai pas tout compris. Comment je peux l'impliquer un peu plus ?
13:02— Sur des tâches ménagères, sur des réunions familiales, sur... Vous voyez, sur des choses sur lesquelles c'est important de pouvoir respecter les valeurs et les coutumes et le sens des choses aussi. D'accord ?
13:17— D'accord.
13:18— Merci à vous, André.
13:20— Merci, Alexandre. Très belle journée. Oui, merci. C'est gentil.
13:25— Allez, on va se retrouver dans quelques instants avec Céline. Alors Céline a fait beaucoup de métiers. Et aujourd'hui, elle vient de se révéler dans les métiers de RH.
13:37Elle se pose des questions. Si elle a un grand avenir dans ce métier-là, eh bien ne bougez pas, parce que la réponse est dans quelques minutes.
13:45« C'est votre avenir » revient dans un instant sur Sud Radio.
13:5013h17, Sud Radio. C'est votre avenir. Alexandre Delovac.
13:55— Et de retour dans votre émission « C'est votre avenir ». Alors vous vous posez sûrement des questions sur votre futur, que ce soit d'ordre professionnel, sentimental ou bien sur d'autres sujets.
14:06Ça nous arrive parfois de traverser des moments difficiles. On a des contrariétés. On a des émotions qu'on n'arrive pas à dépasser.
14:13On n'ose pas en parler, mais on a besoin peut-être d'une écoute. On a besoin d'avoir des conseils, d'avoir du recul sur des situations.
14:22Eh bien ça tombe bien. Vous pouvez le faire en appelant le 0 826 300 300.
14:28Zach est au standard. Et bien sûr, il vous donnera la possibilité de passer à l'antenne.
14:33Et à présent, j'ai le plaisir d'accueillir Céline. Bonjour, Céline.
14:37— Bonjour, Alexandre. — Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Céline.
14:41— Merci. — Vous avez une voix timide, ma chère Céline.
14:45— Oui, peut-être. — Peut-être. Vous êtes déjà passée à l'antenne ou pas ?
14:50— Non, c'est une première. — C'est une première fois. Vous êtes un peu intimidée ou non ?
14:54— Un petit peu. — Un petit peu. Vous nous appelez d'où, Céline ?
14:59— Alors je suis de l'Eure-et-Loire. — De l'Eure-et-Loire. Alors moi, j'ai eu comme information comme quoi vous avez fait beaucoup de métiers.
15:05— Oui, c'est exact. — C'est exact. Alors je vais juste vous poser la question.
15:10Est-ce que vous avez fait beaucoup de métiers parce que vous ne trouviez pas votre voix
15:13ou est-ce que vous lassez très vite ou parce que vous avez toujours eu malheureusement des embûches
15:20et ça vous a amené à être saturée et peut-être même parfois rassasiée du métier dans lequel on est ?
15:31Donc quel a été le cas pour vous ?
15:34— En fait, c'est un petit millimélo. Je suis quelqu'un de très investi, passionné dans ce que je fais.
15:40Et en fait, je découvre que chaque métier, pour moi, à mes yeux, sont super.
15:48Parce qu'en fait, quand on exerce un métier, il y a des super belles choses à apprendre.
15:54Et moi, ça m'émerveille à chaque fois. Donc en fait, je suis insatiable là-dessus.
15:59Je pourrais faire n'importe quel métier. Je crois que je serais toujours émerveillée.
16:04Voilà. Et ensuite, il y a le millimélo. Donc c'est aussi le fait que j'ai eu des embûches aussi.
16:09C'est aussi une des raisons qui a fait que je changeais de voix.
16:15Et le second, c'est parce que je suis tellement investie et passionnée que des fois, je mets ma santé en jeu.
16:23Et c'est ce qui est arrivé sur le deuxième métier.
16:27Et le troisième métier, c'est encore autre chose. C'est la santé psycho.
16:32Voilà.
16:33Mais je sens chez vous une sensibilité et vous êtes très émotive aussi.
16:38Oui, c'est ça.
16:39Et parfois, ça a été pour vous plutôt handicapant et ça vous a desservi.
16:46Puisque ça vous a amené à vous retrouver face à des difficultés et à des émotions que vous avez du mal à gérer, non ?
16:54Oui. Ça a été le cas, oui.
16:57Mais quel métier vous avez fait jusqu'à présent ?
17:01J'ai débuté dans le monde de l'industrie pharmaceutique en intérimaire pendant deux ans.
17:09Ça m'a beaucoup plu. Je ne voulais pas céder à cette époque-là.
17:12J'étais une jeune qui était ambitieuse, curieuse de tout, à vraiment empiler des compétences.
17:19Et en fait, j'avais en tête d'être chef de ligne ou chef de prod.
17:24Et par la suite, dû à un déménagement géographique, je me suis retrouvée en milieu hospitalier.
17:31Et moi, je suis quelqu'un d'assez challengeuse.
17:35Donc, j'ai occupé un poste de brancardière et ça, je suis au bloc opératoire.
17:40D'accord.
17:41Ça m'a beaucoup plu.
17:42Mais le problème, c'est qu'on nous en demandait toujours plus.
17:44Et moi, je suis toujours à vouloir bien faire et à fond.
17:48J'ai mis ma santé et ma sensibilité parce que j'aime bien aussi avoir un retour gratifiant au-dessus.
17:56Et j'en ai fait un burn-out.
17:58D'accord.
17:59C'est ce qui m'a fait décider de changer de voie.
18:01Et je suis retrouvée dans le secteur social après, dans le monde des enfants, passés par les sociaux enfants.
18:07D'accord.
18:08C'est quand même riche en expériences.
18:10Vraiment.
18:11Merci.
18:12Si on comptabilise toutes ces années de travail, vous avez combien votre actif d'années de travail ?
18:19Entre 20 et 25 ans.
18:23Entre 20 et 25 ans.
18:24D'accord.
18:25Donc, on pourrait penser que vous êtes instable.
18:27Pas du tout.
18:28En 25 ans, vous vous êtes autorisé à vous ouvrir à d'autres pistes et à faire ressortir aussi d'autres talents.
18:34C'est bien.
18:35Et aujourd'hui, c'est donc le métier de RH qui vous plaît ?
18:40Oui, parce que par la suite, en sortant du secteur social, je me suis fait, avec France Ravail, un bilan des compétences.
18:49Et je me suis découverte que je pouvais toucher le tertiaire.
18:52Donc, je me suis dit, hop, on sort de sa zone de confort, on y va.
18:56On verra ce que ça va donner.
18:59Et du coup, j'ai fait une année de prépa métier au support de l'entreprise.
19:03Donc, c'est une découverte sur les métiers dans le tertiaire.
19:07Et ça m'a bien plu.
19:10Et ensuite, j'ai fait un support digital.
19:13D'accord.
19:14Qui m'a appris sur l'informatique.
19:16Et ensuite, j'ai fait une formation de RH et responsable.
19:19D'accord.
19:20Bon, c'est déjà pas mal.
19:21Il ne faut pas dire que c'est longtemps qu'on n'a que 10 mois.
19:24Oui, effectivement.
19:25Et aujourd'hui, vous voulez savoir si, effectivement, dans cette voie-là, vous avez la capacité et la possibilité d'évoluer, non ?
19:32J'espère.
19:33Mais j'espère bien.
19:34Parce que je voudrais faire un travail l'année prochaine.
19:36Eh bien, vous y croyez, non ?
19:38Moi, j'ai l'espoir, en tout cas.
19:42Dites-moi oui, ça me ferait plaisir.
19:44Dites-moi oui.
19:45Parce que, pour moi, c'est possible.
19:47Pour moi, c'est possible.
19:48C'est tout à fait possible.
19:49La preuve, vous avez réussi, malgré tout, à oser.
19:53Oser, échanger de métier.
19:55Même si, parfois, il y a eu des moments où, comme vous dites, il y a eu des embûches ou autre.
19:59Mais c'est pas grave.
20:00Le principal, c'est d'oser.
20:03Et quand on ose, ça veut dire qu'on a la motivation de faire.
20:06Et quand on a la motivation, on est dans le dépassement de soi.
20:10Donc, pour moi, oui.
20:12Mais vraiment avec un grand oui.
20:14C'est-à-dire que, pour moi, je vous sens vraiment aller dans cette voie-là.
20:18Après, bien entendu, tout dépend des rencontres que vous allez faire.
20:21Le monde de l'entreprise restera le monde de l'entreprise, avec ses avantages et ses inconvénients.
20:26Mais il faut travailler sur vous pour justement ne pas faire trop ressortir votre état émotionnel.
20:33Ou vous mettre en fragilité avec cette sensibilité-là.
20:37Et foncer, rester concentré sur votre conviction, votre détermination.
20:44Parce que je vous sens aller dans cette voie-là.
20:46Et c'est pour 2025.
20:48D'accord ?
20:49Ça, c'est une très bonne nouvelle.
20:50Oui, c'est une excellente nouvelle.
20:52Excellente.
20:53Et surtout, je ne veux pas que vous perdez confiance en vous.
20:56Parce qu'en fait, tout va s'engendrer sur le plan financier, la stabilité et le plan sentimental.
21:03Évidemment.
21:04Alors, n'hésitez pas à nous tenir au courant.
21:06Oui.
21:07Merci à vous, Céline.
21:08Merci également, Alexandre.
21:09Merci.
21:10Prenez soin de vous.
21:11Allez, on va faire une petite pause et on va se retrouver avec Benjamin.
21:15Benjamin est dans une entreprise.
21:16Depuis deux ans, son service commercial a fermé.
21:21Aujourd'hui, il est dans un service de back-office.
21:24Alors, est-ce qu'il va pouvoir espérer un changement ou est-ce qu'il est condamné à rester dans ce service-là ?
21:30La réponse, c'est dans quelques minutes.
21:32Ne bougez pas.
21:33Appelez maintenant Sud Radio 0826 300 300 et participez à C'est Votre Avenir.
21:4015h-17h, Sud Radio C'est Votre Avenir, Alexandre Deloval.
21:44Et de retour dans votre émission C'est Votre Avenir.
21:47Alors, bienvenue à tous ceux qui nous rejoignent.
21:49Je rappelle que nous sommes en direct dans l'émission C'est Votre Avenir.
21:52Si vous avez besoin, justement, de poser toutes vos questions, profitez-en.
21:56On est dans une période de fin d'année où on peut éventuellement se poser des questions
22:01et de savoir ce qui va nous arriver pour 2025.
22:04Alors, c'est le moment.
22:050826 300 300.
22:08Faites-le comme tous nos éditeurs qui nous appellent tous les jours.
22:12Et justement, aujourd'hui, on parle beaucoup de tout ce qui touche au domaine professionnel.
22:19Et si jamais vous rêvez de perdre votre emploi,
22:23ce type de rêve est généralement signe d'insécurité ou de peur de l'échec.
22:30Il peut aussi indiquer dans ce rêve des précautions à avoir sur la stabilité financière
22:37avec des changements qui pourraient s'avérer difficiles à venir sur le plan matériel.
22:43Et à présent, j'accueille mon prochain auditeur.
22:46C'est Benjamin.
22:47Bonjour, Benjamin.
22:49Bonjour, Alexandre.
22:50Bienvenue à l'antenne de Sud Radio.
22:52Merci de m'accueillir.
22:54Vous nous appelez d'où, Benjamin ?
22:56D'Alsace.
22:57D'Alsace.
22:58Vous avez du beau temps, vous, en Alsace, aujourd'hui ?
23:01Écoutez, ça va plutôt pas mal, oui.
23:03C'est plutôt pas mal.
23:04Bon, c'est bien.
23:05Les marchés de Noël à Strasbourg, vous y allez, vous ?
23:08Oui, tout à fait.
23:09Ah, très bien.
23:10C'est une grosse tradition dans la région.
23:11Effectivement, ils ont ouvert là, cette semaine.
23:14Cette semaine.
23:15Mais vous y êtes allé, déjà, ou pas, pour cette année ?
23:17Oui, tout à fait.
23:18Oui, c'est bien.
23:19Alors, vous, vous nous appelez, j'imagine, peut-être pour le travail aussi ?
23:24Parce que dans votre vie de couple, comment ça se passe ?
23:27Alors, vie de couple, je suis célibataire.
23:29Donc, il n'y a pas grand-chose qui se passe pour l'instant.
23:32Et donc, vous n'êtes pas préoccupé par la situation.
23:35Tout se fait bien.
23:36Ça fait pas mal, des fois, d'être célibataire, non ?
23:38Alors, je ne dis pas que je n'en suis pas préoccupé.
23:40Mais pour l'instant, j'ai la préoccupation professionnelle.
23:42Professionnelle.
23:43Et puis, on verra après pour le couple.
23:45Mais effectivement, oui, ce sera aussi une préoccupation, je pense.
23:48D'accord.
23:49Mais vous arrivez à vous gérer tout seul ?
23:51Parce qu'un homme, c'est moins évident, parfois, qu'une femme.
23:53Mais aujourd'hui, on arrive quand même, en tant qu'homme, à se gérer, non ?
23:57Écoutez, ça va.
23:58Oui, ça se passe bien.
23:59Ça se passe bien.
24:00J'ai une vie sociale qui est riche.
24:02J'ai plein, voilà.
24:03Donc, ça va.
24:04Désolé de me préoccuper et de me soucier de votre bien-être.
24:08Désolé.
24:09Non, non.
24:10Mais il n'y a pas de mal.
24:12Pas du tout.
24:13Benjamin, alors, racontez-nous.
24:15Alors, oui.
24:16Moi, je suis dans une entreprise dans le financement.
24:20Ça fait bien des années que j'y suis.
24:23Et puis là, le service a fermé il y a deux ans.
24:26Et deux ans, j'étais en point entre les deux activités.
24:28L'ancienne activité et la nouvelle activité.
24:31Et puis là, ça fait deux ans que rien ne bouge.
24:33C'est-à-dire que je n'ai pas de perspective.
24:35Il n'y a pas d'un point de vue RH managérial.
24:38Ça ne bouge pas.
24:39Donc, en fin de compte, là, pour l'instant, je suis dans un service back office.
24:44Mais en fin de compte, je vais me débrouiller un peu seul pour trouver quelque chose en interne.
24:48Et puis, il n'y a vraiment pas de perspective.
24:50Donc, effectivement, je me demande si ça va se débloquer.
24:52D'accord.
24:53Si oui, si ça se débloquera en interne, en externe.
24:58Voilà.
24:59Je suis prêt à faire complètement un autre métier.
25:03Ce n'est pas un souci.
25:04Mais là, pour l'instant, il y a vraiment un blocage.
25:06Je suis dans une impasse.
25:07Auparavant, vous étiez dans un service commercial.
25:10Aujourd'hui, vous êtes dans un service back office.
25:14Back office, si vous pouviez me donner un peu plus de précision,
25:17c'est de l'accueil aussi client ou pas ?
25:20Alors, c'est plus un support technique pour les salariés du groupe.
25:25D'accord.
25:26Et donc, pour vous, ce n'est peut-être pas la même motivation aujourd'hui.
25:32Oui, je sais que ça ne me plaît pas.
25:35Bien sûr.
25:36Alors, vous avez quel âge aujourd'hui ?
25:3953.
25:40D'accord.
25:41Pour moi, de ce qui semble ressortir, c'est qu'il ne faut pas hésiter à aller ailleurs,
25:46à chercher un autre emploi.
25:48Je ne suis pas en train de dire que votre société n'est pas la bonne.
25:51Pas du tout.
25:52Mais je ne vois pas effectivement une perspective d'évolution.
25:55J'ai l'impression qu'au niveau de votre hiérarchie,
25:59aujourd'hui, ils ont du mal à se projeter ou chacun a peur de son poste ou de sa fonction
26:05et tout le monde s'accroche un peu à son siège.
26:07Et donc, il n'y a pas d'initiative qui semble se prendre
26:11et avec des choses assez innovantes dans l'esprit de l'entreprise actuelle.
26:17C'est mon ressenti, bien entendu.
26:19Mais vous avez un potentiel.
26:21Et il ne faut surtout pas stagner.
26:23Et là, vous êtes déjà en train de stagner.
26:26Pour moi, Benjamin, vous aurez dû déjà changer d'entreprise.
26:30Vous aurez dû déjà évoluer.
26:32Vous vous êtes accordé et autorisé à ne pas faire fructifier votre talent
26:40ou vos talents et vos capacités et vos ressources.
26:43Ça suffit.
26:44Il faut que ça s'arrête, Benjamin.
26:45Vraiment.
26:46D'accord.
26:47Il faut que ça s'arrête.
26:48Il faut que ça s'arrête.
26:49Parce que vous avez du talent, parce que vous avez des possibilités
26:51et parce que, surtout, je vois cette capacité à être embauché ailleurs
26:56ou avoir une autre opportunité qui, enfin, va vous permettre
26:59de pouvoir trouver à nouveau un épanouissement et de se dire
27:03« Ouf, ça y est, maintenant, le côté professionnel est beaucoup plus rassurant.
27:07Je vais pouvoir m'attaquer à mon côté personnel et sentimental. »
27:10D'accord.
27:11Et ça, dans une autre société ou sur un projet personnel ?
27:15Non, je le sens sur une autre société.
27:17Sur un projet personnel, peut-être plus tard, mais attention.
27:20Soyez prudents de ne pas aller trop vite et de prendre trop de risques.
27:26D'accord.
27:27Ça sera sur une autre société.
27:28Mais allez-y, foncez, foncez et montrez de ce que vous êtes capable.
27:33Là, vous n'êtes pas au maximum et ça, pour moi, c'est un désespoir.
27:38D'accord, très bien.
27:40Allez, je vous souhaite une bonne continuation, Benjamin.
27:43Prenez soin de vous.
27:44Et puis, d'ici 4-5 mois, rappelez-nous parce que je sais que ça aura bougé
27:48et qu'il y aura de bonnes nouvelles à nous annoncer.
27:50D'accord, très bien.
27:51Merci à vous.
27:52Merci.
27:53Bonne fin de journée.
27:54Merci.
27:55Au revoir.
27:56Et la parole est à Stéphane.
27:57Bonjour Stéphane.
27:58Oui, bonjour Alexandre.
27:59Bienvenue à l'antenne de Sud Radio.
28:01Alors Stéphane, merci de votre fidélité parce que, justement, vous nous avez déjà appelés
28:06et il y a un retour de prédiction.
28:09C'est ça.
28:10Eh oui, eh oui.
28:11Alors, vous nous avez appelés à quel moment ?
28:14Je vous avais appelés en début d'année parce que j'avais des gros problèmes financiers
28:19et vous m'aviez dit que ça allait se régler et que j'allais gagner de l'argent, etc.
28:26Donc la première partie s'est faite, s'est réglée, on m'a aidé et finalement je suis revenu à Flo.
28:34Et voilà.
28:35Donc ça, c'est la première partie.
28:37Quand on avait terminé notre entretien la dernière fois, vous m'aviez dit que j'allais
28:42être contacté pour, éventuellement, une activité professionnelle qui allait m'amener
28:47de l'argent.
28:48Et du coup, j'attends toujours ça.
28:51Bon, d'accord.
28:53Et aujourd'hui, vous en êtes où sur le plan professionnel ?
28:58Alors sur le plan professionnel, en fait, moi j'arrive au terme de ma carrière.
29:02Donc du coup, c'est pas une période qui est facile à vivre.
29:06J'ai toujours envie de travailler, etc.
29:09Mais j'aimerais bien travailler moins et gagner autant, en fait, pour faire ça.
29:15Je crois que c'est le rêve de tout le monde.
29:18Bien sûr.
29:19Et surtout quand on arrive en fin de carrière, on a envie de prendre un peu de temps pour
29:23soi et c'est normal, bien sûr.
29:26J'ai des enfants qui font encore des études et donc du coup, je voudrais savoir si, est-ce
29:32que je continue mon activité professionnelle actuelle ou est-ce que je vais avoir des touches
29:37pour travailler, faire des démissions ponctuelles ?
29:41Et vous faites de l'intérim ?
29:43Non, j'avais été contacté par des boîtes de formation où je faisais des actions de
29:49formation.
29:50Et en fait, c'est là-dedans que je voudrais me diriger et quitter mon emploi de temps
29:56plein.
29:58Oui, mais pour moi, j'ai le sentiment et l'impression que c'est au travers, je ne sais pas si c'est
30:06la notion de l'intérim, mais c'est au travers d'une mission dans laquelle vous allez être,
30:10soit par le biais de l'intérim ou soit par d'autres moyens, où là, il y a une possibilité
30:15à ce qu'on vous fasse une proposition d'embauche.
30:18Maintenant, je me sens avoir un statut qui change, c'est-à-dire que cette société peut
30:22vouloir vous demander à vous mettre à votre compte et cette société devient votre principal
30:30client.
30:31Et ça peut être financièrement plus rentable pour vous que d'être salarié.
30:35Et là, ça permettra d'avoir une ouverture nouvelle et puis à côté, peut-être, d'accumuler
30:41un petit emploi qui vous permettra aussi de rajouter ou de pouvoir apporter de l'eau.
30:52J'avais monté une auto-entreprise pour pouvoir faire des missions, mais ça végète un peu
31:03et je ne sais pas si ça prend ou pas.
31:06C'est peut-être ça, mais je sens que dans un premier temps, vous y allez sur une mission
31:12où vous êtes peut-être rémunéré de manière en tant que salarié.
31:16Et puis ensuite, eux sont intéressés de continuer de poursuivre avec vous.
31:21Et là, on va sur quelque chose de différent au niveau du statut.
31:25C'est peut-être ça.
31:26Mais foncez parce que je sens que là, les six premiers mois de l'année 2025 sont des
31:32mois où ça va évoluer et ça va changer.
31:34Ne lâchez pas.
31:35Vous êtes quelqu'un de persévérant et chez vous, je sens qu'entre la persévérance
31:41et la tempérance, ça permettra d'avoir un très bon équilibre.
31:46J'ai l'impression de ne pas être reconnu à ma juste valeur où je suis.
31:52C'est ça qui est dommage.
31:54Oui, c'est pour ça qu'il y a une autre évolution autrement et différemment et ailleurs.
31:58Et vous avez besoin de changements.
32:00Mais vous êtes en train d'y travailler dessus et c'est en train de se mettre en place et
32:06de s'opérer.
32:07D'accord.
32:08Merci à vous.
32:09Merci à vous.
32:10Merci de m'avoir pris au téléphone.
32:11Au revoir.
32:12Merci, au plaisir.
32:14Et voilà.
32:15Et à présent, j'accueille Céline.
32:16Bonjour Céline.
32:17Oui, bonjour Alexandre.
32:18Merci.
32:19Bienvenue à l'antenne de Sud Radio.
32:21C'est gentil.
32:22J'allais dire à l'antenne de Céline.
32:23Non, pas du tout.
32:26Vous vous appelez d'où Céline ?
32:27De Seine-et-Marne.
32:28De Seine-et-Marne.
32:29Bah voilà.
32:30Céline, Seine-et-Marne, Sud Radio.
32:31Enfin bon, voilà.
32:32Tout est en S.
32:33Sauf Céline, bien sûr.
32:36Alors Céline, quelle est votre question ?
32:40Alors, je travaille actuellement dans une crèche, dans la fonction publique.
32:46J'avais un autre métier avant.
32:51J'ai fait une reconversion professionnelle.
32:53Le métier, je suis auxiliaire d'opéra culture et il me plaît énormément.
32:59Sauf que j'ai 46 ans et je me dis que dans l'avenir, j'ai peur de me fatiguer au niveau
33:09de ce métier-là parce qu'au niveau posture, on est très souvent au sol et puis les enfants,
33:15des fois, c'est un peu compliqué aussi.
33:17Donc, je voulais savoir si j'allais rester dans cette structure-là ou si j'allais avoir
33:26autre chose, si je vais finir ma carrière.
33:29Enfin, ma carrière.
33:30J'ai encore le temps.
33:31Oui, je comprends.
33:32Peut-être dans un milieu hospitalier parce que je peux travailler en milieu hospitalier
33:37ou dans une autre ville, dans une autre structure.
33:41Parce que là, la structure dans laquelle vous êtes, c'est quoi comme structure exactement ?
33:47C'est une crèche municipale.
33:48C'est une crèche, voilà.
33:49Oui, vous voyez.
33:50Alors, effectivement.
33:51Moi, je vous sens rester là pour l'instant et je crois qu'il ne faut pas précipiter
33:54les choses.
33:55Vous êtes en vue de changer, vous êtes en vue d'évolution.
33:58Donc, vous avez en vous cette capacité de percevoir et je vous dis bien de percevoir
34:04parce que ce que je ressens chez vous, c'est que vous avez une intuition très développée.
34:09Je ne sais pas si vous avez essayé de vous faire confiance et essayer de la mettre en
34:15application, mais faites-le dans ce sens-là.
34:18Et on dirait que ce que vous allez faire ou ce que vous allez décider à un moment donné
34:24va avoir effectivement un effet positif sur votre futur et sur votre destin.
34:30Mais tout est une question de patience.
34:33Tout est une question d'attente et le moment venu n'est pas encore là.
34:37Il faut patienter encore un peu.
34:40D'accord.
34:41Pourquoi non, oui ?
34:42Parce que, en fait, je suis bien encore, mais j'ai peur de l'avenir, en fait.
34:50N'ayez pas peur.
34:51C'est du lointain.
34:52Mais n'ayez pas peur de l'avenir.
34:54C'est normal.
34:55Qui n'a pas peur du lointain ?
34:56Aujourd'hui, on vit dans un monde où on nous apprend à vivre un peu au jour le jour.
35:01Et voilà.
35:02Donc, n'ayez pas peur.
35:03Par contre, reconnectez-vous à votre petite voix intérieure, à votre intuition.
35:09Et vous allez voir qu'elle va vous rassurer parce qu'elle va vous mettre sur des pistes
35:13qui vont vous laisser place à des rencontres, à des contacts, à des opportunités où là,
35:19on peut se dire, je suis un peu tranquille pour l'avenir.
35:22Et il est fort possible que vous puissiez atteindre ou accéder dans des structures d'ordre médical.
35:28Oui, ça, c'est tout à fait possible.
35:30Mais pour moi, vous êtes encore un petit peu à la crèche.
35:34Oui, d'accord.
35:35Parfait.
35:36Très bien.
35:37D'accord ?
35:38Très bien.
35:39Merci beaucoup.
35:40Merci à vous, Céline.
35:41Prenez soin de vous.
35:42Passez de belles fêtes.
35:43Merci.
35:44Et nous, on va se retrouver dans quelques minutes.
35:46Le temps juste de se rafraîchir, de faire une petite pause.
35:49Et je retrouve David.
35:51Il a monté sa propre entreprise dans la dératisation et dans la désinfection.
35:56Et c'est une entreprise qui marche pas mal.
35:59Et aujourd'hui, il se pose des questions.
36:01Comment faire évoluer cette entreprise ?
36:03Enfin, quelqu'un qui aujourd'hui se pose la question de savoir comment la faire grandir.
36:09Eh bien, la réponse, c'est dans quelques minutes.
36:21Et de retour dans votre émission.
36:23C'est votre avenir pour cette dernière partie.
36:26Avant de retrouver les vrais voix présentées par Philippe David et toute son équipe, bien entendu.
36:31Et j'espère que vous, vous allez bien.
36:34Et vous avez peut-être envie d'appeler tout de suite l'antenne au 0826 300 300 pour poser toutes vos questions.
36:42Profitez-en.
36:43Il nous reste encore quelques minutes pour passer dans l'émission.
36:45C'est votre avenir.
36:46Et à présent, j'accueille David.
36:48Bonjour, David.
36:49Bonjour, Alexandre.
36:50Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, David.
36:53Merci à vous de m'accueillir, surtout.
36:55Merci.
36:56Vous nous appelez d'où, David ?
36:57Du Loir-et-Cher.
36:58Du Loir-et-Cher.
36:59Alors, vous avez monté, il y a quelques années, une entreprise, une société dans la dératisation et désinfection.
37:05C'est ça ?
37:06Oui, désinfection, désinfection, dératisation.
37:09D'accord.
37:10Et pour faire court, je suis à une étape charnière où j'ai atteint mon plafond de verre en étant tout seul.
37:16Et j'ai un gros contrat qui devrait aboutir normalement dans l'année.
37:21Et le choix de l'embauche, c'est quasiment… Je n'ai pas de choix.
37:26Et je voulais savoir un peu comment vous ressentiez cette évolution.
37:31Est-ce que le contrat va arriver ? Est-ce que l'embauche…
37:34Parce qu'on sait aujourd'hui qu'embaucher, c'est très compliqué.
37:37Voir votre ressenti sur cette évolution pour 2025.
37:43Alors, c'est étrange parce qu'à la fois, je ressens quelqu'un d'enthousiaste,
37:51de vouloir avancer, de vouloir évoluer dans l'élan dans lequel vous êtes,
37:57et puis aussi avec cette notion de peur.
38:00Mais ces peurs sont ramenées peut-être à ce que vous avez vécu dans le passé.
38:04Est-ce que vous avez vécu des échecs ou est-ce que vous avez monté auparavant une entreprise
38:08pour laquelle il y a eu des fragilités ou ça a été compliqué pour vous ?
38:13Non. Il y a quelques années, dans cette même entreprise,
38:18j'avais pris quelqu'un en alternance pour gérer tout ce qui est réseaux sociaux et tout ce qui est communication.
38:22Et il a failli me faire couler la boîte.
38:24Donc là, j'ai relevé la boîte et on a réussi à la ramener à flot.
38:30Mais ça a été très compliqué.
38:32On se trouvait à partir avec un gros résultat négatif du fait du manque d'activité de la personne.
38:40D'où le doute.
38:42Et puis, par rapport à mon parcours, j'ai travaillé en différents secteurs avec des postes de fonction.
38:47Je sais que le recrutement, ce n'est jamais simple.
38:49Exactement. Et c'est pour ça. Je pense que vous vous rattachez à des peurs du passé, à un vécu du passé.
38:56Pour moi, il faut tout simplement bien vous entourer et avoir une personne à vos côtés sur laquelle,
39:02non pas de vous reposer, mais de confiance qui permette d'apporter un véritable équilibre
39:10et aussi de créer de belles fondations dans cette entreprise.
39:13Et puis ensuite, peut-être vous faire conseiller d'un point de vue financier
39:19ou de pouvoir voir comment peut être l'évolution de cette entreprise
39:23et de certains risques que vous pouvez prendre et de ce que vous pouvez aussi anticiper.
39:28Mais, bien entendu, je ne suis pas dans votre comptabilité, mais ce que je ressens, c'est qu'il y a du potentiel.
39:36Il y a du potentiel, donc déjà sur une éventuelle embauche, moi je sens que c'est possible.
39:40C'est possible. Après, il faut bien recruter la bonne personne.
39:44C'est important parce que du fait que vous soyez une petite entreprise,
39:50même une seule personne qui ne correspond pas va aussi fragiliser l'évolution de votre entreprise.
39:58Donc il y a cet aspect-là positif, mais si vous avez des demandes avec des entreprises
40:05qui demandent aujourd'hui à devoir entreprendre beaucoup d'investissements
40:12pour pouvoir répondre à cette offre de contrat, là, attention, allez-y doucement,
40:18allez-y avec beaucoup de fragilité parce que je sens une progression chez vous,
40:22mais je ne sens pas non plus quelque chose qui va complètement exploser.
40:26Donc il faut y aller tout doucement, progressivement et prudemment.
40:30D'accord. Et par rapport à ce contrat, vous sentez une arrivée de signature de contrat ?
40:35Oui, je sens une signature de contrat, mais ça doit se corriger.
40:38C'est-à-dire que peut-être qu'en fonction de leurs demandes,
40:41il y a quelque chose qui doit peut-être un petit peu se réduire ou se diminuer
40:45mais il faut y aller progressivement et au fur et à mesure.
40:48Et bien sûr de vous protéger, d'accord ?
40:50Merci à vous, David, et surtout gardez confiance et foncez.
40:55Merci, très bien, bon boulot à vous, au revoir.
40:58Allez, je vous souhaite à tous et à toutes une bonne fin de semaine, un bon week-end.
41:02On se retrouve mardi, lundi, c'est Marie, dont c'est votre avenir,
41:06et la place, c'est au Vrévoir. Bonsoir, Philippe David.
41:09Bonsoir, Alexandre Delovane, au menu des Vrévoirs,
41:12retour sur les appels à la démission d'Emmanuel Macron.
41:15Certains disent, et de tous les côtés de l'échiquier politique,
41:18qu'il faudrait, qu'il envisage éventuellement de partir
41:21en cas de crise politique encore plus grave. On vous pose cette question.
41:25Comme le suggèrent des personnalités politiques de tous horizons,
41:28Macron doit-il se poser la question de sa démission ?
41:31Vous pensez qu'en cas de censure du gouvernement, il sera le dernier fusible ?
41:36Vous pensez que non, il a été élu pour 5 ans et que non, qu'il doit le rester ?
41:40Venez nous donner votre avis au 0826 300 300.
41:43A 18h40, le coup de projecteur des Vrévoirs.
41:46Retour sur le verdict attendu de Standard & Poor's, l'agence de notation.
41:50La France risque une dégradation de sa note souveraine,
41:53avec des conséquences sourdes pour ses finances publiques.
41:56La dette française va-t-elle encore inspirer confiance ?
41:59Et à cette question, la France peut-elle encore payer ses dettes ?
42:02Vous pensez qu'on peut encore payer, quitte à augmenter les impôts ?
42:05Ou vous pensez que non, on ne peut plus payer, même en augmentant les impôts ?
42:08Venez nous donner votre avis au 0826 300 300.
42:11Nos 3 vrais voix du jour, Philippe Billiger, Éric Revelle et Vilgerinie Kallmels.
42:15Bonne émission.