• l’année dernière
«Ce budget était une atteinte à leur pouvoir d'achat, à leurs emplois» : suivez la première réaction de Marine Le Pen 

Category

🗞
News
Transcription
00:00Ce budget était une atteinte à leur pouvoir d'achat,
00:04une atteinte à leurs emplois,
00:07compte tenu des impôts qui ne pesaient pas seulement sur eux,
00:10mais aussi sur les entreprises.
00:14Et donc, le fait que ce budget ne s'applique pas,
00:18que ce PLFSS ne s'applique pas,
00:20a évidemment des conséquences positives,
00:23je le crois, pour les Français.
00:26C'est la raison de notre décision.
00:28Il n'y a pas de quoi se réjouir tout particulièrement,
00:32même si quand on échappe à un budget toxique,
00:37voilà, on peut tout de même voir les choses
00:39avec plus de tranquillité d'esprit.
00:41Il y aura donc un nouveau Premier ministre demain,
00:45enfin, tout dédicace à les prochains jours,
00:47il va probablement reproposer un budget.
00:49S'il repropose le même, qu'est-ce qui se passera ?
00:53Les mêmes causes entraînent les mêmes effets.
00:55Enfin, je ne crois pas que le Premier ministre qui sera nommé
00:59a le souhait de ne pas tenir compte, peut-être, des leçons de l'ancien.
01:06– Qu'est-ce que vous attendez du chef de l'État ?
01:09Qu'est-ce que vous attendez du chef de l'État demain soir ?
01:12– Le nom d'un Premier ministre.
01:13Voilà, je pense que plus un Premier ministre est nommé rapidement,
01:18plus il a la capacité de nommer son gouvernement rapidement,
01:21et plus nous pouvons nous remettre au travail,
01:22avec l'ensemble des forces, d'ailleurs, de l'Assemblée nationale,
01:25pour travailler à un compromis sur un projet de loi de finances
01:29de la Sécurité Sociale et un projet de loi de finances.
01:32– Il y a un nom à Villeneuve-Montpelle qu'on peut être sur le bien ?
01:34– Non mais, encore une fois, je ne suis pas présidente de la République,
01:38ça c'est la responsabilité du président de la République.
01:40Voilà, les conditions que nous avons exprimées,
01:46enfin, les souhaits que nous avons exprimés sont les mêmes
01:49qu'au mois de juillet dernier, c'est-à-dire,
01:51un Premier ministre qui tienne compte du fait
01:55qu'il n'est pas appuyé sur une majorité,
01:57et qui doit donc tenir compte de l'ensemble des forces politiques,
02:02pour, en quelque sorte, co-construire ce projet de loi de finances
02:06de la Sécurité Sociale et ce projet de loi de finances.
02:09Voilà, parce que c'est la démocratie.
02:12Il y a des élections, c'est bien, de ces élections sortent des élus, c'est bien,
02:18mais si ces élus, en réalité, ne sont pas entendus,
02:20ne sont pas écoutés, quand il n'y a pas de majorité,
02:24alors ça tourne vinaigre, et c'est ce qui s'est passé avec cette motion de censure.
02:28– Et il fallait pour ça mêler vos voix à celles de l'élection ?
02:33– Faites le calcul tout seul, mathématiquement,
02:36pour qu'une motion de censure soit votée,
02:39sauf à convaincre les députés macronistes
02:42de voter la motion de censure de M. Barnier,
02:44c'était difficile d'y arriver sinon.
02:50– Sous-titrage ST' 501

Recommandations