Cinq ans et demi après un incendie ravageur, Notre-Dame de Paris a accueilli ce dimanche 8 décembre au matin sa première messe devant un parterre de dirigeants, représentants de l’Église, bénévoles et personnes précaires, au lendemain de sa réouverture.
Célébrée dès 10h30 par l’archevêque de Paris Laurent Ulrich, la messe de plus de deux heures a notamment été rythmée par des lectures bibliques et les rites catholiques traditionnels. Mais cet office n’avait rien de commun.
Au cours de cette cérémonie, l’archevêque de Paris Laurent Ulrich ai béni de l’eau dont il a aspergé l’assemblée, puis l’autel et la tribune – appelée « ambon » –, un signe de purification marquant leur usage sacré.
Le moment le plus fort de cette messe a été la consécration du nouvel autel de Notre-Dame de Paris réalisé par le sculpteur et designer Guillaume Bardet. L’archevêque de Paris Laurent Ulrich a d’abord enfermé les reliques de cinq saints – trois femmes et deux hommes – dans le sépulcre, un petit coffre situé dans l’autel qui ne pourra plus être rouvert.
Puis, il a entonné une longue prière de consécration de l’autel avant de réaliser l’onction de celui-ci. Ce rituel consiste à déposer de l’huile sainte, le saint chrême, sur cinq croix représentant les blessures du Christ, explique La Croix.
De l’encens est ensuite déposé sur l’autel, avant qu’il ne soit paré par une nappe blanche confectionnée par des religieuses, détaille 20 Minutes. Le pain et le vin ont été bénis pour clôturer la consécration.
Célébrée dès 10h30 par l’archevêque de Paris Laurent Ulrich, la messe de plus de deux heures a notamment été rythmée par des lectures bibliques et les rites catholiques traditionnels. Mais cet office n’avait rien de commun.
Au cours de cette cérémonie, l’archevêque de Paris Laurent Ulrich ai béni de l’eau dont il a aspergé l’assemblée, puis l’autel et la tribune – appelée « ambon » –, un signe de purification marquant leur usage sacré.
Le moment le plus fort de cette messe a été la consécration du nouvel autel de Notre-Dame de Paris réalisé par le sculpteur et designer Guillaume Bardet. L’archevêque de Paris Laurent Ulrich a d’abord enfermé les reliques de cinq saints – trois femmes et deux hommes – dans le sépulcre, un petit coffre situé dans l’autel qui ne pourra plus être rouvert.
Puis, il a entonné une longue prière de consécration de l’autel avant de réaliser l’onction de celui-ci. Ce rituel consiste à déposer de l’huile sainte, le saint chrême, sur cinq croix représentant les blessures du Christ, explique La Croix.
De l’encens est ensuite déposé sur l’autel, avant qu’il ne soit paré par une nappe blanche confectionnée par des religieuses, détaille 20 Minutes. Le pain et le vin ont été bénis pour clôturer la consécration.
Category
🗞
NewsTranscription
00:00Frères et sœurs qui êtes invités particulièrement ce jour, ne vous contentez pas de goûter
00:10le plaisir d'être là en un jour si particulier où la cathédrale de Paris retrouve sa splendeur
00:17telle que personne ne l'a jamais connue auparavant.
00:21Alléluia
00:24J'ai vu l'ascenseur de l'univers premier danser
00:30Aujourd'hui, ce jour de fête,
00:34donnez joie au Père et au Père
00:38Alléluia
00:48J'ai vu l'ascenseur de l'univers premier danser
00:54Alléluia, Alléluia
00:59J'ai vu la croix de la Lune,
01:02j'ai vu les yeux vivants
01:04Alléluia, Alléluia
01:13Que monte devant toi, Seigneur, notre prière comme la fumée de cet encens
01:18et comme un parfum, dans cette demeure,
01:22que ton Église répande par le monde la joie et la grâce du Christ.
01:33Que ma prière d'être devant toi, Seigneur, me promet l'encens
01:40Que ma prière d'être devant toi, Seigneur, me promet l'encens
01:47et que ton âme pour l'enfant et l'Esprit-Saint.