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Retrouvez votre nouveau rendez-vous "La tribu de Baba" avec Cyril Hanouna et toute sa bande !


Du lundi au vendredi dès 18h50 sur C8.


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Transcription
00:00Non, j'ai un coup de gueule parce qu'il y a un espèce de consensus quasiment global en France sur le fait qu'il faille maîtriser l'immigration et même la gauche est d'accord sauf une partie de l'extrême gauche et là je viens d'apprendre que l'État a alloué encore un milliard d'euros à des associations qui viennent en aide aux migrants.
00:13Je trouve ça absolument incohérent. Il faut maîtriser cette immigration et puis chaque année on nous dit qu'il faut faire des exéminés.
00:20C'est Nathalie Goulet qui a encore fait ses révélations. Elle est incroyable Nathalie Goulet. Je l'adore. Ah mais je l'adore. Elle est incroyable.
00:26Elle est très forte. Et surtout ce qui est exaspérant c'est qu'on dit qu'il faut faire attention au budget de la France. On serre la ceinture aux Français.
00:31On leur demande de payer des impôts, des taxes, etc. En leur promettant une vie meilleure. Et ce que je vois c'est que même avec ça la dette se creuse.
00:39Voilà où part l'argent qu'on cherche dans des choses complètement tertiaires. Mais je ne sais pas qui prend ces décisions. Mais de toute façon tout est fait en dépit du bon sens.
00:47Et encore une fois on a envie d'aider tout le monde. On a envie d'aider les migrants. On est humains.
00:52Et pourtant on a un ministre de l'Intérieur actuellement qui est exceptionnel encore. Merci. Non mais c'est vrai.
00:57On a envie de les aider. Mais on ne peut pas. On n'a plus d'argent. En fait c'est tout. On est à découvert.
01:02Ça c'est Gilles Verdez. Il est content là-dessus. On va écouter Nathalie Goulet. Après on va écouter ce, ce, ce, ce.
01:13Que dire de ces organisations qui touchent un peu plus d'un milliard d'euros de subventions au titre de, je cite, la mission immigration, asile et intégration ?
01:22À peu près un milliard d'euros. Un petit peu plus qu'un milliard d'euros. En clair pour faire quoi ? Pour faire le travail de l'État ?
01:26Bah c'est-à-dire qu'ils sont chargés d'une mission de service public pour accueillir les gens qui arrivent en France.
01:30Vous avez des associations qui s'occupent de migrants qui sont en plus des militants. C'est un business autour de l'émigration des migrants.
01:40Bonsoir Gilles.
01:51Qu'est-ce que vous en pensez ?
01:52La présentation de Guillaume est top.
01:54Elle est extrêmement, c'est un coup de gueule. Donc c'est pas une présentation. Donc ça veut dire qu'il a un coup de gueule.
01:58Quand vous comprendrez l'émission vous m'appellerez. Pour l'instant vous la comprenez pas.
02:00D'accord. Donc je peux m'exprimer quand même ?
02:03Oui mais c'est un coup de gueule. Donc c'est pas une présentation.
02:05Bon d'accord. Je suis totalement en désaccord.
02:07C'est le principe d'un coup de gueule.
02:08Je suis totalement en désaccord avec son coup de gueule. Ce milliard-là, ces associations exercent une mission de service public.
02:15Mais non mais c'est vrai. C'est pas l'État qui les fait. Parce que l'État leur délègue. C'est l'État qui aide les migrants.
02:23Mais non mais Siri, s'il vous plaît.
02:25Sauf que Nathalie Goulet explique justement que la mission de service public est comme dévoyée.
02:30Justement il y a une interrogation autour de certaines associations.
02:33Ils ne font pas simplement que de la mission de service public. Ils font un business.
02:37Ils font du business autour de ça.
02:39Mais Gilles Verdez il voit rien.
02:40C'est pas du business.
02:41Mais Gilles Verdez arrêtez. On a essayé de vous vendre un appartement à 20 000 euros le mètre carré à Dakar.
02:45Arrêtez. Arrêtez Gilles Verdez. Arrêtez de donner des leçons à tout le monde. Il comprend rien à rien.
02:51C'est un pigeon. Tout le monde le pigeonne et il vient nous donner des leçons.
02:54Et je vous le dis. Vous croyez quoi ? Elle a raison Valérie Benhaim. C'est ce que dénonce Nathalie Goulet.
02:58C'est ça. Et elle dénonce l'idéologie derrière. C'est intéressant.
03:01Parce qu'on fait le CORN de dire voilà vous payez avec l'argent de l'État ou de l'Europe des gens.
03:05Là on ne dit rien. Évidemment qu'il y a une idéologie derrière.
03:07Et il ne faut pas critiquer les associations parce qu'il y en a plein qui font un travail exceptionnel.
03:11Mais dans beaucoup d'associations il y a des magouilles. Il y a des gens qui prennent de l'argent pour eux etc.
03:14Donc moi quitte à...
03:15Il y a des magouilles partout. Il y a des magouilles partout.
03:18Moi j'ai été magouillé ce week-end. Je devais être le parrain d'un enfant. Je ne le suis plus.
03:22Il y a des magouilles partout.
03:25Je vous le dis.
03:26Il faut que ça cesse.
03:27Voilà. Milieu familial.
03:29La trahison.
03:32Et c'est une sénatrice centriste.
03:34Ça veut dire qu'elle est justement extrêmement pragmatique.
03:36Bravo. Bravo.
03:38Elle n'aime pas. Elle n'aime pas.
03:41Moi je me demande comment sont les process de validation pour avoir un milliard de subventions.
03:45Moi aussi. Moi aussi.
03:46On n'a plus de gouvernement. Ou plus ou moins.
03:48Et ce sont des missionnaires. Il y a une motion de censure.
03:50Pour avoir des subventions pour les agriculteurs et tout ça.
03:53C'est des tonnes de mois et d'années d'attente et tout ça.
03:56Et là voilà. Ça tombe comme ça.
03:57C'est quoi ces process ? Comment on réunit un milliard comme ça ?
04:00Moi j'ai lu un truc l'autre jour. J'ai vu le prochain pays.
04:02Pourquoi on ne donne pas ce milliard aux agriculteurs ?
04:04Bah oui. Priorité aux agriculteurs.
04:07Excusez-moi. J'aurais préféré.
04:08Mais pourquoi c'est si facile surtout ?
04:09Pourquoi ce n'est pas facile de donner un milliard aux agriculteurs ?
04:11C'est facile de donner un milliard à des associations.
04:13Je suis désolé. Je suis désolé.
04:15Moi je donnerais le milliard aux agriculteurs.
04:17Je suis désolé Gilles Bernet.
04:18Mais votre France ce n'est pas la mienne Gilles Bernet.
04:20Surtout pourquoi les Français ne sont pas consultés là-dessus ?
04:22Moi j'ai vu un truc il n'y a pas longtemps.
04:23Le prochain pays qui fera l'Eurovision.
04:25Ils ont fait un référendum pour savoir.
04:26Est-ce que vous voulez qu'on dépense 200, 300 millions là-dedans ?
04:28Les gens ont dit oui. Très bien.
04:29Faites voter les Français. Demandez-leur.
04:31Mais ça fait 99% non en fait.
04:32Alors ne le faites pas alors.
04:33C'est pour ça qu'ils ne le font pas.
04:34C'est pour ça qu'il y a UBS.
04:35Ils font ce qu'ils veulent.
04:36Ils n'écoutent pas les Français de toute façon.
04:37Ils font ce qu'ils veulent.
04:47Mais c'est insupportable.
04:48Il y a encore des gugus qui disent.
04:50C'est bon. On en a marre.
04:52On n'est pas d'humeur.
04:53Le lundi mollo.
04:54S'il vous plaît Gilles Bernet.
04:55Déjà moi j'essaie de vous oublier le week-end.
04:57Donc si je reviens ici.
04:59C'est bon.
05:00– Mais je me contente de lever la main vous remarquez.
05:02– Restez toute la main ouverte dans toute l'émission.
05:05Je dois lever.
05:06C'est insupportable.
05:07– Je ne veux pas jeter de l'eau propre sur toutes les associations qui gèrent ça.
05:09– Pourquoi vous voulez jeter de l'eau propre ?
05:11– Parce qu'en fait il y a une association que je ne nommerai pas.
05:15Qui elle, il y a eu un audit.
05:17Et là, catastrophe.
05:18Bordel.
05:19Ils ne savent pas où est passé l'argent.
05:20Ils ne savent pas.
05:21– L'association Verden.
05:22– Même eux ne savent plus où ils ont mis l'argent.
05:24Ils ne savent pas qui ils ont donné.
05:26Là c'est grave.
05:27– C'est ce qu'elle dit.
05:28Elle dit qu'il y a des associations.
05:29– Tant qu'il y aura des gugus qui diront oui c'est bien.
05:31Des gugus que je ne citerai pas.
05:33Des gugus-sateurs.
05:35– C'est ce qu'elle dit.
05:36Elle explique qu'il y a des associations qui font un travail salutaire
05:39du service public.
05:40Et puis d'autres qui font du business.
05:42– Lucky Luke il en pense quoi ?
05:43– Je pense exactement pareil.
05:45Qu'il y a effectivement un business autour de certaines associations
05:47qui n'existent que parce que justement, officiellement,
05:50elles ont des causes à défendre.
05:52Et donc effectivement, il y a de l'argent qui tourne autour.
05:54– Oui Avrèle.
05:55– Non mais elle dit elle-même tout est parfaitement légal.
05:58Tout est parfaitement légal.
05:59Je calme.
06:00– Oui Avrèle.
06:01Laissez parler Avrèle.
06:02Il est à côté de Lucky Luke.
06:03– Pardon ?
06:04– Elle dit pour certaines, bordeur.
06:06– Bordeur, ça ne veut rien dire bordeur.
06:08D'abord c'est de l'anglais ou de l'anglais.
06:09– Mais Villeverdeuse, elle sait mieux que vous.
06:10Vous ne connaissez rien à rien.
06:12Elle a travaillé.
06:13Regardez ce que nous a dit Bernard Montiel.
06:15On sait très bien qu'il y a des associations qui ne donnent pas l'argent.
06:18– Il est incapable de citer le nom d'association.
06:20– Il ne veut pas le citer.
06:22Il ne veut pas le citer parce qu'il est professionnel.
06:24Contrairement à vous.
06:25C'est bon, allez, merci.
06:26Non, vous m'emmerdez.
06:27– Il n'y a plus de 150 assos.
06:28La cour des comptes s'en est mêlée.
06:30– Donnez le milliard aux agriculteurs.
06:32Ou donnez le milliard à Lucky Luke pour qu'elle se raville.
06:34Franchement.
06:35– Il n'y a plus de 150 assos.
06:38– Franchement.
06:39– Les associations ont une responsabilité
06:41parce qu'elles instrumentalisent aussi la misère de ces migrants
06:43en utilisant des avocats, des recours pour qu'ils puissent rester.
06:47Et ce n'est pas la solution.
06:48– Ce n'est pas nécessaire.
06:49– Oui, mais…
06:50– Eux-mêmes le disent d'ailleurs.
06:52Il y a toute une organisation autour.
06:53Donc, il n'y a pas la peine de…
06:55– C'est surtout, je trouve, un double discours.
06:57– Qui discours ?
06:58– Franchement, je trouve vraiment que c'est un groupe de discours.
07:02– Un double discours qui est incompréhensible, je pense, pour la majorité des Français.
07:05Et pour moi, on ne peut pas à la fois dire qu'on ne veut pas qu'ils viennent
07:08et après donner un milliard pour aider ceux qui sont là.
07:10– Bien sûr.
07:11– Si on ne veut pas qu'ils rentrent, il ne faut pas les aider une fois qu'ils sont là.
07:14– Bien sûr, bravo.
07:15– Il faut leur donner le milas pour qu'ils partent.
07:16– Mais vous ne voyez pas, c'est des gens comme…
07:19– Mais normalement, ils sont en charge de faciliter le retour au pays.
07:22– C'est ça, oui.
07:23– Les associations…
07:24Ah non, je ne pense pas, non.
07:25– Ah, mais si.
07:26– Ah, normalement, normalement.
07:27– C'est d'avoir des paquets.
07:28– C'est ce qu'elle a dit.
07:29– Normalement, normalement.
07:30– Faciliter le retour au pays et offrir une formation.
07:33– J'aimerais savoir combien ils en ont aidé.
07:34– Non, non, c'est officiel.
07:35– Normalement…
07:36– Normalement.
07:37– Oui.
07:38Gérard.
07:39– C'est toi.
07:40– Gérard Majax, le magistrat.
07:41– Magnifique, non ?
07:42– Vous venez de Démande Rapport ?
07:43– Franchement, elle est belle.
07:44– Non, non, mais voilà.
07:45– Oui, Gérard.
07:46– Moi, je pense qu'effectivement, il y a une série d'associations qui sont absolument
07:47nécessaires parce qu'on a des migrants sur le territoire, il faut s'en occuper.
07:48– Merci, Gérard.
07:49– Et il faut regarder ceux qui font simplement du business autour de ça.
07:50– Il n'arrête pas de lever le doigt, c'est insupportable.
07:51– Je tourne la tête, je vois toujours son doigt comme ça, c'est insupportable, c'est
08:00insupportable.
08:01Non, mais je tourne la tête, je vois un mec qui m'a destitué de son fils et un autre
08:07qui a le doigt levé comme ça, je vais regarder qui il s'y.
08:11Heureusement qu'il y a le beau gosse en col roulé.
08:12Heureusement, heureusement.
08:13– C'est pas grave.
08:14– Ah oui, c'est pas grave.
08:15– C'est pas grave, c'est pas grave.
08:16– C'est pas grave.
08:17– C'est pas grave.
08:18– C'est pas grave.
08:19– C'est pas grave.
08:21– Heureusement, c'est insupportable, c'est insupportable ce que je vis.
08:25Oui.
08:26– Mais vous avez de l'aide numérique aux étrangers.
08:27– Oh, il commence.
08:28C'est insupportable.
08:29C'est insupportable.
08:30– Même le ton est désagréable.
08:31– Mais le ton est désagréable.
08:32C'est insupportable.
08:33– Vous avez de l'aide numérique aux étrangers, vous avez une mission d'immigration, d'asile,
08:34d'intégration.
08:35Une fois que les immigrés, les migrants sont là, légalement ou pas, il faut bien les
08:36gérer.
08:37Mais qu'est-ce que vous en faites ?
08:38– Ils sont là, ils sont là.
08:39– Mais qu'est-ce que vous en faites ?
08:40– Il faut bien les gérer, mais qu'est-ce que vous en faites ?
08:51– Ils sont là, ils sont là, illégalement.
08:52– Mais oui !
08:53– Il est légalement ou pas.
08:54– Oh, laisse parler Jean-Michel.
08:55Il est intelligent.
08:56Merci.
08:57– Non mais, c'est complètement fou.
08:59Tu veux donner de l'argent pour qu'on attaque ceux qui sont là illégalement.
09:02C'est illégal.
09:03– Une fois qu'ils sont là, vous pouvez pas les laisser sans rien.
09:05Il faut les faire partir.
09:07– Eh oh, c'est bon là, c'est bon là.
09:08– Mais c'est un appel d'air.
09:09Tu dis à tout le monde, venez, même si c'est illégal, on va vous aider.
09:12Au bout de 5 ans, ils auront eu le premier séjour.
09:14– Qu'est-ce qu'il attend dans les minutes ? Il en pense quoi, Alain Dolon, là ?
09:16– Non, mais c'est…
09:18– Ça, c'est la dernière fois. Il n'y a plus de col roulé.
09:24– Il en pense quoi, là, le beau gosse, Alain Dolon, là ?
09:28– Il en pense quoi, là ?
09:30– Moi, je suis comme Jean-Michel.
09:32– C'est très rare que vous vous minez, je suis comme…
09:34– Non, moi, je dis aussi, attention, parce que j'ai eu le discours aussi de Valéry,
09:38qui dit qu'une fois qu'ils sont là, il faut s'en occuper pour qu'on se protège.
09:40– Ce n'est pas Valéry.
09:42– Non, Valéry, pour qu'on se protège, nous.
09:44Parce qu'une fois qu'ils sont là, il faut qu'on se protège, nous.
09:46Mais ce n'est pas, normalement, à l'État de donner de l'argent
09:48et à un milliard à des associations.
09:50– Et pourquoi on donne un milliard à des SDF ?
09:52– Mais ce n'est même pas ça le truc.
09:54– Non, mais Gilles Verdet, il ne faut pas donner à tenue.
09:56Le problème, c'est qu'il faut faire des choix.
09:58Vous dites des bêtises politiques.
10:00– Il ne faut pas donner comme ça à un milliard.
10:02– C'est la préférence étrangère.
10:04La France est un pays.
10:06Le slogan de la France, c'est
10:08on aidera tout le monde sauf les Français.
10:10On aidera tout le monde sauf ceux qui travaillent.
10:12C'est le slogan de la France, c'est simple, c'est clair.
10:14Il faut le mettre sur les affiches quand vous arrivez.
10:16On devrait mettre un panneau quand on arrive à la France.
10:18Voilà, c'est tout.

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