Mayotte traverse une crise humanitaire majeure après le passage dévastateur du cyclone Chido, le plus puissant jamais enregistré sur l’archipel.
Avec des vents atteignant 226 km/h, le phénomène a causé des destructions massives, laissant des milliers de personnes sans abri et perturbant gravement les infrastructures essentielles.
Selon les autorités locales, le bilan provisoire fait état d’au moins 11 morts, bien que ce chiffre puisse augmenter à mesure que les secours atteignent les zones les plus isolées. De nombreux blessés ont également été signalés, et des centaines de familles se retrouvent sans toit après l’effondrement de leurs habitations.
Le préfet de Mayotte a déclaré que « beaucoup d’entre nous avons tout perdu », soulignant l’ampleur de la catastrophe. L'accès à l’eau potable, à l’électricité et aux soins médicaux est gravement perturbé, aggravant la situation pour les survivants.
Le gouvernement français a déployé 140 militaires et pompiers, ainsi que des équipes spécialisées dans les interventions d’urgence. Un plan de secours d’envergure a été lancé pour fournir des abris temporaires, de la nourriture et des soins médicaux aux sinistrés.
Cependant, la réponse d’urgence est compliquée par l’état précaire des infrastructures de l’île. De nombreuses routes sont impraticables en raison des débris, et les communications restent partiellement coupées.
Mayotte, département français situé dans l’océan Indien, est l’un des territoires les plus pauvres de France. Avant même l’arrivée du cyclone, l’île faisait face à une crise d’eau potable et à des tensions sociales exacerbées par la pauvreté et la surpopulation.
Le passage de Chido a aggravé ces fragilités structurelles, mettant à nu l’urgence d’une aide internationale et d’un soutien prolongé de l’État français.
Des campagnes de solidarité ont été lancées à travers la France pour venir en aide aux Mahorais. Les associations humanitaires appellent à des dons en argent, en nourriture et en matériaux de construction pour soutenir la reconstruction.
Le président Emmanuel Macron a exprimé sa solidarité avec les habitants de l’archipel et a assuré que l’État apporterait tout le soutien nécessaire.
Alors que Mayotte commence à évaluer l’ampleur des dégâts, les défis à venir sont immenses.
Entre la reconstruction des habitations, le rétablissement des services essentiels et l’aide aux sinistrés, l’archipel devra surmonter une crise sans précédent.
Avec des vents atteignant 226 km/h, le phénomène a causé des destructions massives, laissant des milliers de personnes sans abri et perturbant gravement les infrastructures essentielles.
Selon les autorités locales, le bilan provisoire fait état d’au moins 11 morts, bien que ce chiffre puisse augmenter à mesure que les secours atteignent les zones les plus isolées. De nombreux blessés ont également été signalés, et des centaines de familles se retrouvent sans toit après l’effondrement de leurs habitations.
Le préfet de Mayotte a déclaré que « beaucoup d’entre nous avons tout perdu », soulignant l’ampleur de la catastrophe. L'accès à l’eau potable, à l’électricité et aux soins médicaux est gravement perturbé, aggravant la situation pour les survivants.
Le gouvernement français a déployé 140 militaires et pompiers, ainsi que des équipes spécialisées dans les interventions d’urgence. Un plan de secours d’envergure a été lancé pour fournir des abris temporaires, de la nourriture et des soins médicaux aux sinistrés.
Cependant, la réponse d’urgence est compliquée par l’état précaire des infrastructures de l’île. De nombreuses routes sont impraticables en raison des débris, et les communications restent partiellement coupées.
Mayotte, département français situé dans l’océan Indien, est l’un des territoires les plus pauvres de France. Avant même l’arrivée du cyclone, l’île faisait face à une crise d’eau potable et à des tensions sociales exacerbées par la pauvreté et la surpopulation.
Le passage de Chido a aggravé ces fragilités structurelles, mettant à nu l’urgence d’une aide internationale et d’un soutien prolongé de l’État français.
Des campagnes de solidarité ont été lancées à travers la France pour venir en aide aux Mahorais. Les associations humanitaires appellent à des dons en argent, en nourriture et en matériaux de construction pour soutenir la reconstruction.
Le président Emmanuel Macron a exprimé sa solidarité avec les habitants de l’archipel et a assuré que l’État apporterait tout le soutien nécessaire.
Alors que Mayotte commence à évaluer l’ampleur des dégâts, les défis à venir sont immenses.
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00:00Oh putain, il y en a une là-haut, il y en a une là-haut, il y en a une là-haut !
00:13Chaud !
00:15Putain de merde !
00:35Regardez-moi ça là !
00:37Oh putain, il y en a un là-haut, il y en a un là-haut, il y en a un là-haut !
00:47Oh putain, il y en a un là-haut, il y en a un là-haut, il y en a un là-haut !
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01:25Oh putain !