L’AVC, c’est : 140 000 cas par an en France, 1 risque sur 4 de d3céder et 1 personne sur 2 qui garde des séquelles graves.
Et si des jeux sur téléphones pouvaient aider ces patients à récupérer physiquement et mentalement ?
Albane nous parle de ces jeux développés par l’entreprise Eodyne dans le cadre du projet européen AISN et testés par des chercheurs du laboratoire HAVAE de l’Université de Limoges et du CHU de Limoges !
Vidéo réalisée en partenariat commercial avec l’Université de Limoges
#santé #AVC #science #curieux #incurieuxwetrust
Et si des jeux sur téléphones pouvaient aider ces patients à récupérer physiquement et mentalement ?
Albane nous parle de ces jeux développés par l’entreprise Eodyne dans le cadre du projet européen AISN et testés par des chercheurs du laboratoire HAVAE de l’Université de Limoges et du CHU de Limoges !
Vidéo réalisée en partenariat commercial avec l’Université de Limoges
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AmusantTranscription
00:00Tu vois ce jeu, ou celui-là ?
00:01Bah, ce ne sont pas de simples jeux mobiles.
00:03En fait, ils pourraient t'aider à mieux guérir après un AVC.
00:06L'AVC, ou accident vasculaire cérébral,
00:09c'est 140 000 cas en France chaque année,
00:11avec une chance sur 4 de décéder dans l'année qui suit.
00:13Et parmi les survivants,
00:15plus d'une personne sur deux garde des séquelles graves,
00:17comme des troubles moteurs ou des difficultés à parler.
00:20Parce que l'AVC, c'est pas rien.
00:21Le sang, ça se dirigeait le cerveau,
00:23et les neurones privés d'oxygène meurent rapidement.
00:25L'accident nécessite une intervention rapide,
00:27et souvent une période prolongée à l'hôpital.
00:30Et après, le suivi à domicile devient un véritable défi.
00:33Alors, une solution ?
00:34Ces jeux mobiles développés dans le cadre du projet européen ISM.
00:38Ils aident les patients à récupérer physiquement et mentalement.
00:41Grâce à une intelligence artificielle,
00:42les médecins peuvent suivre les progrès des joueurs et ajuster les soins.
00:46Aujourd'hui, les chercheurs du laboratoire Avae,
00:48de l'université et du CHU de Limoges,
00:51testent leur efficacité en comparant la récupération des patients
00:54à celle de ceux ayant un suivi classique.
00:56Une technologie qui ne règle qu'à suivre de près.