003 PRINCESSE D'UN ETE

3. PRINCESSE D’UN ETE

Refrain : Princesse d’un été (bis)

Dans le château des souvenirs,
j’ai vu gravé ton avenir,
les boiseries hurlaient à la mort,
les chouettes ouvraient leurs grands yeux d’or.
D’or ton amour était couvert,
le poison était trop amer,
sur mes mains, le sang chaud coulait,
déjà au loin l’oiseau chantait.

T’aimait bien trop mon tendre amour,
pour voir ton corps avec les jours,
vieillir jusqu'à en dépérir,
et voir se faner ton sourire.
Ton corps était d’un blanc si blanc,
qu’il en était par trop troublant,
tu n’m’aimais pas, il t’aimait tant,
mon jeune cœur d’adolescent.

Sang tu étais la solution,
l’amour me fit perdre raison,
ton âme entre mes mains se meurt,
et tu t’éteins, et je te pleure.
C’était un rêve, une illusion. La vérité ou la fiction.
Un cauch’mar ou la déraison. Trop plein d’amour et de passion.

Dans le château des souvenirs,
J’ai vu gravé ton avenir,
Les boiseries hurlaient à la mort,
Les chouettes ouvraient leurs grands yeux d’or.
D’or notre amour était couvert.
Folle passion trop éphémère.
Le bel oiseau c’est envolé,
ainsi qu’un rêve évaporé.