Dimanche soir (20h45), l'OM accueille Le Havre au Vélodrome pour la reprise du championnat (16e journée de Ligue 1) après la trêve hivernale. À partir de 14h, Quentin Merlin et Roberto De Zerbi sont devant les médias pour la traditionnelle conférence de presse à deux jours de la rencontre.
"Le rôle de piston, quand le ballon est à droite, je dois fermer au second poteau sur un centre. Je suis amené à être plus devant le but. Sur le but de Lille, c'est l'instinct du moment. J'ai crocheté et marqué, ça m'a donné confiance et d'être encore plus décisif."
"Contre Auxerre, c'est une erreur à ne pas du tout refaire, un manque de respect auprès du club, de mes coéquipiers. Je ne peux pas m'arrêter comme ça, lever les bras. J'ai fait mon autocritique, je n'ai pas beaucoup dormi. On a beaucoup discuté avec le coach. On a envie de progresser sur ça. Je veux être le meilleur possible. Je mets l'accent sur le côté défensif."
"Ces coupures font toujours beaucoup de bien, ça permet de se ressourcer, voir nos familles. La famille, c'est le plus important. Le collectif est revenu avec l'élan qu'on avait. On commence à mieux assimiler ce que le coach demande. Tous les joueurs ont faim, ont envie de jouer et montrer au coach qu'ils peuvent jouer. La concurrence est saine."
"J'ai fait un bon début de championnat. La blessure en sélection m'a coupé dans mon élan. Aujourd'hui, je suis très bien mentalement et physiquement. Je connais ce poste (de piston), j'aime bien aller de l'avant. C'est un rôle où je m'amuse, où je suis performant, qui me plait."
"On sait que Le Havre est en difficulté. On doit continuer sur notre élan de Monaco et Lille. On doit prendre les matches au sérieux, ne rien négliger. On doit montrer qu'on est les patrons au Vélodrome. On doit mettre de l'engagement."
"On peut tout jouer. Dans une compétition, rien n'est fini. Contre Lille, ce sera un gros match au Vélodrome en coupe de France. On doit atteindre nos objectifs, enchaîner les matches, être performants, le maximum de points. On ne souhaite que du bonheur pour l'OM."
"Avec Ulisses (Garcia), on travaille tous les deux pour jouer. Après c'est au coach de décider. Il n'y a pas de hiérarchie. Le coach met le meilleur, celui qui fait les meilleurs entraînements."
"Le rôle de piston, quand le ballon est à droite, je dois fermer au second poteau sur un centre. Je suis amené à être plus devant le but. Sur le but de Lille, c'est l'instinct du moment. J'ai crocheté et marqué, ça m'a donné confiance et d'être encore plus décisif."
"Contre Auxerre, c'est une erreur à ne pas du tout refaire, un manque de respect auprès du club, de mes coéquipiers. Je ne peux pas m'arrêter comme ça, lever les bras. J'ai fait mon autocritique, je n'ai pas beaucoup dormi. On a beaucoup discuté avec le coach. On a envie de progresser sur ça. Je veux être le meilleur possible. Je mets l'accent sur le côté défensif."
"Ces coupures font toujours beaucoup de bien, ça permet de se ressourcer, voir nos familles. La famille, c'est le plus important. Le collectif est revenu avec l'élan qu'on avait. On commence à mieux assimiler ce que le coach demande. Tous les joueurs ont faim, ont envie de jouer et montrer au coach qu'ils peuvent jouer. La concurrence est saine."
"J'ai fait un bon début de championnat. La blessure en sélection m'a coupé dans mon élan. Aujourd'hui, je suis très bien mentalement et physiquement. Je connais ce poste (de piston), j'aime bien aller de l'avant. C'est un rôle où je m'amuse, où je suis performant, qui me plait."
"On sait que Le Havre est en difficulté. On doit continuer sur notre élan de Monaco et Lille. On doit prendre les matches au sérieux, ne rien négliger. On doit montrer qu'on est les patrons au Vélodrome. On doit mettre de l'engagement."
"On peut tout jouer. Dans une compétition, rien n'est fini. Contre Lille, ce sera un gros match au Vélodrome en coupe de France. On doit atteindre nos objectifs, enchaîner les matches, être performants, le maximum de points. On ne souhaite que du bonheur pour l'OM."
"Avec Ulisses (Garcia), on travaille tous les deux pour jouer. Après c'est au coach de décider. Il n'y a pas de hiérarchie. Le coach met le meilleur, celui qui fait les meilleurs entraînements."
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NewsTranscription
00:00Ça m'a brûlé le crâne quand même, je tiens à vous dire.
00:02Ça me plaît, mais c'était douloureux quand même.
00:04J'ai passé deux heures à faire la teinture.
00:06Je suis rentré chez moi, il était minuit et demi, le 26 au soir.
00:08Est-ce que tu peux nous en dire plus un peu sur ta coupe de cheveux ?
00:14Sur la coupe de cheveux, je l'ai faite l'été dernier.
00:18Et pour être honnête avec tout le monde, le 24 au soir,
00:22j'étais avec la famille de mon père.
00:24Et j'ai dit à papa, je crois que je vais faire la teinture blanche.
00:27Et j'ai envoyé mon chef de coiffeur.
00:29Je lui ai dit, il faut que je fasse la teinture blanche.
00:32Et il m'a dit, j'ai une place le 26 à 22 heures.
00:36J'ai passé deux heures à faire la teinture.
00:38Je suis rentré chez moi, il était minuit et demi, le 26 au soir.
00:41Et j'avais la teinture blanche.
00:42Mais ça m'a brûlé le crâne quand même, je tiens à vous dire.
00:47Ça me plaît, mais c'était douloureux quand même.
00:49Et si il y a un titre, tu fais quoi ?
00:51Comme sur ta tête ou quoi ?
00:54Ouais...
00:56Bleu-blanc ?
00:58Bleu-blanc ?