Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 14/01/2025.
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00:00:00Générique
00:00:17C'est l'équipe du soir, bonsoir, pas de victoire en Coupe de France,
00:00:20une nouvelle fois cette saison pour l'Olympique de Marseille.
00:00:22L'OM est tombée à domicile, 1 partout face au LOS,
00:00:25c'est l'Île qui passe en 8ème de finale, 1 partout c'est le score final.
00:00:29La qualification a débouché à l'issue de la saison de tir au but,
00:00:32remportée par les Lillois, 4 tirs au but à 3.
00:00:35Présentation de nos chroniqueurs de l'équipe du soir,
00:00:38il est en bas, il est président, c'est le chef-jeudard Sébastien Tarragon.
00:00:42Bonsoir Président Tarragon.
00:00:43Bonsoir.
00:00:44Dans votre ville-peuple, vous avez du sportif du très très haut niveau.
00:00:48Frédéric Vernier, Grégory Steader, Stéphane Di et l'inénarrable Dominique Semrac.
00:00:53Bonsoir dans le ville-peuple.
00:00:54Bonsoir.
00:00:55Bonsoir.
00:00:56Bonsoir.
00:00:58L'orchestre est désaccordé, mais c'est normal, c'est dans le contrat de Stéphane,
00:01:01de parler toujours en dernier.
00:01:02Virginie, bonsoir.
00:01:04Bonsoir mémé, bonsoir tout le monde.
00:01:06Virginie, je sais que les calendes sont infernales pour vous.
00:01:09Et surtout on n'a pas encore les images, donc jouez sur stop.
00:01:12Bon, je peux me reposer pour l'instant.
00:01:14Je peux passer un coucou à la Guadeloupe ?
00:01:16Ah oui.
00:01:17Bien sûr.
00:01:18C'est fait.
00:01:19Vas-y.
00:01:20Et on appelle ça travailler.
00:01:21Elle sourit une fois par jour et c'est à la présidentielle.
00:01:24Mais arrête.
00:01:25Virginie, au boulot.
00:01:26On a retrouvé les images.
00:01:27Allez, la soirée a été très animée.
00:01:29Il y a eu d'abord un but refusé de chaque côté.
00:01:30Et puis Haraldsson va doucher le vélodrome à la 69ème.
00:01:33Sa part de Meunier qui lance Jo David.
00:01:35L'attaque en centre vers le milieu islandais qui n'a plus qu'à conclure.
00:01:38Jusqu'à la 96ème, le Lens pense arracher la qualification.
00:01:41Mais à l'ultime seconde du match, Rabiot sert Louis Cédriquet à l'angle de la surface.
00:01:45Le Brésilien fusille Vito Maloney et permet au Marseillais d'aller au tir au but.
00:01:50Sauf qu'il rate sa tentative.
00:01:52Jonathan Rau va la rater aussi.
00:01:54Et que derrière, les Lillois feront le sans-faute.
00:01:56C'est donc eux qui filent en 8ème et Marseille est éliminée.
00:01:59Beaucoup de séances de tir au but ce soir en 16ème de finale.
00:02:02Avec une stat qu'on va me donner dans quelques minutes sur le nombre d'échecs ce soir sur les 4 séances.
00:02:08C'est assez, en effet, c'est considérable.
00:02:11L'OM est éliminée.
00:02:12Est-ce que c'est rageant habillage à la Marseillaise ?
00:02:15Et on y va.
00:02:17Ce soir, est-ce que c'est rageant pour l'OM cette élimination ?
00:02:19Frédéric Verdier, oui ou non ?
00:02:20Oui.
00:02:21Grégory ?
00:02:22Il n'y a pas plus logique.
00:02:23Il n'y a pas plus logique, c'est non, c'est implacable.
00:02:25Stéphane Guy, oui ou non, est-ce rageant ?
00:02:27C'est cruel.
00:02:28C'est cruel, donc rageant ?
00:02:29Donc rageant.
00:02:30Donc rageant, merci.
00:02:31Dominique Sévrac, c'est un oui, c'est un non ?
00:02:32C'est rageant en fait.
00:02:33Comment ?
00:02:34C'est rageant pour l'OM.
00:02:35L'élimination de l'OM, c'est rageant ?
00:02:36A Lille, ils sont très contents, c'est pas rageant.
00:02:38Donc non.
00:02:39C'est pas rageant.
00:02:40Ok, très bien.
00:02:42Je crois, Président, qu'on a un super duel.
00:02:45Je ne suis pas sûr qu'ils parlent tous de la même chose.
00:02:47Mais bon, on verra ça pendant le super duel.
00:02:50Le deux contre deux ou un seul ?
00:02:52Je suis sûr, je suis sûr, on verra ça.
00:02:54Fred est avec Stéphane, c'est rageant, c'est un oui.
00:02:58Qui commence dans ce couple infernal ?
00:03:00Frederic.
00:03:01Lise Taylor, d'accord, très bien.
00:03:03Richard Borton, patientera.
00:03:04Dominique ?
00:03:05Oui, bonsoir.
00:03:06Généralement, vous ne faites pas équipe avec Grégory Schneider, je suis un peu paumé.
00:03:08On ne change pas une équipe qui gagne.
00:03:09C'est assez simple.
00:03:10On va commencer par le talent de Grég, on finira par un peu l'expertise, si ça ne vous
00:03:12dérange pas.
00:03:14L'élimination de l'OM est-elle rageante ?
00:03:16Frédéric Verdier, à vous de jouer.
00:03:18Elle est rageante parce que quand vous êtes l'OM, vous êtes à domicile en Coupe de France
00:03:23avec le statut de l'OM, les ambitions de l'OM aussi, la forme actuelle de l'OM, que vous
00:03:28cavez derrière le score pendant une bonne partie du match et surtout que vous êtes mené
00:03:32à la 90e plus 5-1-0, vous égalisez de manière assez inespérée, êtes quand même éliminés
00:03:38à l'arrivée, oui c'est très rageant.
00:03:41Nous allons revenir du côté de Grégory Schneider.
00:03:44Le talent va parler.
00:03:45Ça peut être l'OM, l'amicale déboulisse de Tartampion ou Juvisy.
00:03:49Moi j'ai vu un match et j'ai vu Lille plutôt en maîtrise en première mi-temps et nettement
00:03:52en maîtrise en deuxième mi-temps.
00:03:54Donc à la fin, effectivement, Marseille a poussé.
00:03:55Greenwood a allumé la barre parce que les autres ont reculé.
00:03:58Mais j'ai senti une équipe de plus haut tonnage, j'ai senti une équipe un peu plus mûre.
00:04:01C'est-à-dire qu'en arrivant à faire un peu autant d'efforts que l'adversaire était
00:04:05un peu dominant par rapport à lui.
00:04:07Et je trouve que la qualification du LOSC, même s'il a dû passer par une séance de
00:04:11tir au but, est logique au vu du match que j'ai vu.
00:04:14Ok, Grég Schneider.
00:04:15On vous met sur pause, Dominique Patient.
00:04:17Puis on va du côté de la case Stéphanie.
00:04:19Par définition, une élimination de tir au but, c'est rageant.
00:04:22Il n'y a même pas de débat là-dessus.
00:04:24En plus, le scénario qu'a formellement décrit mon cher confrère Frédéric Verdier
00:04:29avec cette égalisation tardive de l'OM et puis cette séance de tir au but qui les élimine.
00:04:35Donc oui, il y a tous les éléments pour avoir ce soir la rage sur le Vieux-Port.
00:04:39Ok, Dominique ?
00:04:41Non, je n'ai absolument rien vu de rageant ce soir.
00:04:44J'ai vu une équipe, Lille, qui a fait dix matchs de plus que Marseille depuis le début
00:04:48de saison.
00:04:49Qui avait fait cinq changements par rapport au match à Auxerre.
00:04:51Qui va jouer la semaine prochaine à Liverpool.
00:04:54Qui doit faire un turnover et qui a été hyper cohérent dans ses principes de jeu.
00:04:57Un peu plus défensif que d'habitude.
00:04:59Un peu plus à subir le jeu.
00:05:01Mais en même temps, j'ai trouvé que les ressorties de balle étaient fantastiques.
00:05:03J'ai trouvé Benjamin André à son niveau.
00:05:04J'ai trouvé Mitchell Baker assez fantastique tout le match.
00:05:07Un poste qui n'est pas forcément le sien.
00:05:09J'ai trouvé que Vito Manonnet a fait un très bon match.
00:05:13Même si ce n'est pas chevalier.
00:05:15Donc il n'y a rien de rageant.
00:05:16C'est du coup un super Lille.
00:05:17S'il vous plaît, vous avez tout mangé au niveau de votre chrono.
00:05:20Il y a encore un peu d'explications.
00:05:22Vous pouvez tenir plus d'une minute tous les deux pour nous analyser cette défaite de l'OM.
00:05:26Et Stéphane et Frédéric, qui reprend la main ?
00:05:29C'est cruel.
00:05:30Frédéric le partagera avec moi.
00:05:31Mais c'est quand même un scénario extraordinairement cruel pour l'OM.
00:05:34Être éliminé.
00:05:35Là, vous nous analysez un match.
00:05:36On va en parler du match, évidemment.
00:05:37Mais le scénario du match, il est cruel et rageant.
00:05:40Allons à 10 secondes de la fin.
00:05:41Non, s'il vous plaît.
00:05:42Non, non.
00:05:43Dominique.
00:05:44Dominique.
00:05:45S'il vous plaît.
00:05:46Ce super duel est terminé.
00:05:47Vous allez évidemment sur le compte Twitter.
00:05:49Sur toutes nos applications pour réagir sur cette élimination de l'OM.
00:05:52Ou sur cette qualification.
00:05:53Vous avez raison de le souligner, Dominique.
00:05:55Du LOSC.
00:05:56Président, vous voyez un couple qui s'est imposé dans ce duel ?
00:06:00Mes craintes se sont confirmées.
00:06:02C'est-à-dire qu'il y a une équipe qui répond à la question
00:06:05« Est-ce que c'est rageant pour l'OM ? »
00:06:07Et il y a une autre équipe qui répond à « Est-ce que c'est injuste ? »
00:06:10Et ce n'est pas pareil.
00:06:12Je souscris à ce qu'ont pu dire Dominique et Grégory.
00:06:19Mais je vais donner le point à l'équipe rageante.
00:06:21Parce qu'on se place du point de vue de l'OM.
00:06:24Et pourquoi ?
00:06:25Parce que les gars sont dans un ascenseur émotionnel énorme.
00:06:29À la 95e minute, l'égalisation dont tu te dis que tu vas être porté pour aller jusqu'au bout.
00:06:35Dans le sport de haut niveau, les joueurs croient très souvent à ces petits signes.
00:06:42Et donc c'est forcément rageant pour eux.
00:06:44Moi, ce n'est pas rageant pour moi que l'OM gagne, qu'ils perdent.
00:06:48Je m'en fiche complètement.
00:06:49Le LOSC est dans le même ascenseur émotionnel dont tu parles.
00:06:51Ils sont dans le même ascenseur émotionnel.
00:06:52On leur retire.
00:06:53Ils vont la rechercher.
00:06:54C'est pareil.
00:06:55Après, tu peux demander une autre question.
00:06:57C'est pas le cas.
00:06:58Tu peux demander une autre question.
00:06:59Si la question, c'était l'élimination de...
00:07:02Enfin, la qualification.
00:07:03Si Lille avait perdu, l'élimination de Lille était rageante pour eux.
00:07:06Sébastien, je me fais l'avocat.
00:07:08Je me fais le porte-parole de Dominique et de Grégory.
00:07:12Ne disent pas que c'est rageant.
00:07:13Parce que finalement, dans la logique du match, ils ont vu un Lille plus fort.
00:07:17Un peu plus fort, oui.
00:07:18Un peu plus fort, oui.
00:07:19Un juillet plus fort.
00:07:20Donc finalement, ils ont essayé de rationaliser leur réponse par rapport à ça.
00:07:24Dominique a deux ou trois phrases qui auraient pu me faire basculer sur...
00:07:29Effectivement, tu peux dire à 95e, de toute façon, c'était mérité pour Lille.
00:07:33Pas de souci.
00:07:34Mais la question est posée de telle manière qu'on est obligé de répondre sur le fait
00:07:38que ce soit rageant pour l'Olympique de Marseille.
00:07:39Et oui, c'est rageant pour l'Olympique de Marseille.
00:07:40Après, il n'y a pas que le scénario.
00:07:42Au début du match, je pense que l'OM est favori.
00:07:44L'OM n'a qu'un match par semaine.
00:07:45Ne joue pas deux Coupes d'Europe.
00:07:47L'OM est chez lui.
00:07:48Lille...
00:07:49Moi, je ne pense pas ça.
00:07:50Tu ne penses pas qu'au départ du match...
00:07:52Même si le classement dit autre chose en Ligue 1, je pense qu'il y a une équipe qui
00:07:56est bien meilleure que l'autre pour des gros matchs.
00:07:59Tu penses que le LOSC est plus fort que...
00:08:01Pour des gros matchs, oui.
00:08:02Mais il y a moins de régularité.
00:08:03Lille, aujourd'hui, a un peu montré ça.
00:08:06C'est saison européenne, à l'évidence.
00:08:08C'est ce qu'on a cru sentir, c'est qu'il y a une forme de maturité.
00:08:12A la limite, j'étais un petit peu étonné de le voir aussi.
00:08:14Les amis, on va demander de confirmer à notre enregistreur spécial, Timothée Memon,
00:08:17qui nous attend du côté du Vélodrome.
00:08:20Timothée, bonsoir.
00:08:21Timothée, on en était là sur le constat.
00:08:23On avait passé un petit peu cette séance de tir au but qui est parfois, pour certains,
00:08:26une loterie ou pas.
00:08:27Mais en tout cas, voilà, qui est un petit coup de billard à trois membres en défaveur
00:08:31de la Ligue de Marseille.
00:08:32Mais là, je voulais vous faire agir par rapport au constat des copains devant leur télé.
00:08:37On a vu une équipe typée européenne, Lille, et une équipe moins européenne, Marseille.
00:08:42Est-ce que vous avez noté, vu cette différence ?
00:08:44Alors, hormis la séance de tir au but, dans le jeu, dans les 96 minutes.
00:08:48Bonsoir, Timothée.
00:08:50Bonsoir à tous.
00:08:51Dans le jeu, j'ai trouvé beaucoup de justesse, effectivement, côté Lillois.
00:08:54J'ai trouvé qu'il y avait, effectivement, pas mal de maturité.
00:08:57Et sur ce point-là, je rejoins le plateau.
00:08:59En revanche, moi, je continue à penser que c'est vraiment une élimination rageante.
00:09:03Rageante, alors oui, parce que l'égalisation dans les derniers instants et qu'ils ne savent
00:09:07pas le concrétiser sur la séance de tir au but.
00:09:09Mais le fait est qu'il faut aussi se replacer à ce qui s'est passé en première période.
00:09:13Greenwood, il a deux énormes occasions qu'il n'arrive pas à convertir.
00:09:17Il y en a une troisième qui convertit, mais finalement qui lui est quasiment enlevée
00:09:21ou en tout cas qui est invalidée par la main de Mopé.
00:09:23Et à ce moment-là, on sent quand même que l'OM, en tout cas en première période,
00:09:27est un cran dessus.
00:09:28En deuxième période, ça se ressent un petit peu moins.
00:09:30Et puis il y a ce scénario de fin de match.
00:09:32Oui, il y a peut-être une meilleure gestion émotionnelle du côté du LOSC.
00:09:37C'est possible, même si à la fin, et ça, je ne sais pas si ça a été vu à la télé,
00:09:41il y a eu pas mal de tensions, notamment sur l'égalisation.
00:09:44On a vu Olivier Létant se prendre le bec avec l'entraîneur des Herbis.
00:09:49Il y avait de la tension aussi sur les bancs, mais sur le terrain, peut-être effectivement
00:09:54un peu plus de pondération, un peu plus de calme côté Lillois.
00:09:58C'est peut-être ce qui leur a permis, dans la séance de tir au but, de ne pas trembler.
00:10:01Merci, Thibaut Thé.
00:10:03Est-ce que M. Létant était sur le bord du terrain ?
00:10:05À un moment, il y a eu beaucoup de monde.
00:10:07Là, j'étais pleine au niveau de la zone technique parce que j'ai eu Méli Benassia
00:10:11à se faire expulser par Clément Turpin.
00:10:13Je n'ai pas vu Olivier Létant.
00:10:15Je l'ai vu dans des plans de coupe au-dessus avec Sylvain Armand.
00:10:18Est-ce que Thibaut Thé sait pourquoi Méli Benassia a été expulsé d'ailleurs ?
00:10:22C'est peut-être un peu tôt pour la question, s'il n'a pas encore la réponse,
00:10:25mais tu l'auras dans l'heure qui vient.
00:10:29Oui, j'essaierai d'avoir la réponse.
00:10:31Mais effectivement, il y avait énormément de monde sur la séance de tir au but.
00:10:36Je me suis fait la remarque.
00:10:37Alors oui, il y avait du monde côté Lillois parce que c'est fréquent, par exemple,
00:10:40qu'Olivier Létant, que le service de communication descendent dans le couloir,
00:10:44en réalité, juste à l'entrée, pour rejoindre la pelouse à l'issue de la rencontre.
00:10:48On était à l'issue de la rencontre, ou quasiment, quand Louis Sénéry qui a marqué son but.
00:10:52Par contre, effectivement, on a beaucoup lu sur le staff de Deserbi,
00:10:56mais le banc côté Marseillais, c'était impressionnant.
00:11:01Il y avait une trentaine de personnes qui étaient bras dessus, bras dessous
00:11:04pour la séance de tir au but.
00:11:05Effectivement, il y avait énormément de monde.
00:11:07Pour Mehdi Benhassia, je vais me renseigner et je vous reviens très rapidement.
00:11:11Mehdi Benhassia, selon mes bons souvenirs, a été expulsé avant la séance de tir au but.
00:11:16Il me semble, la séance n'était pas commencée, c'est après l'égalisation de l'OM.
00:11:19Il avait l'air vraiment surpris, pour le coup.
00:11:21Mehdi Benhassia est un excessif, mais on n'est pas surpris qu'il puisse être expulsé.
00:11:27Mais là, il avait l'air vraiment surpris, donc ça m'intrigue.
00:11:29Je ne vois pas Florentino Pérez sur le bord du terrain à la fin d'un Classico à Marvie Saoudite.
00:11:34Ce n'est pas le Real Madrid non plus, c'est la France.
00:11:37Justement, ça serait bien parfois de prendre l'exemple sur certains.
00:11:40Je ne vois pas ce que ces dirigeants font.
00:11:42On ne sait pas qui est le président de Liverpool.
00:11:44Et ensuite, si jamais on sait qui c'est, je ne pense pas qu'il vienne s'exciter à la fin,
00:11:49en plus d'une séance de tir au but légèrement angoissant.
00:11:52Dominique, vous pouvez le regretter, mais c'est culturel.
00:11:54L'importance des présidents dans l'histoire des Français.
00:11:56J'étais là, il était vraiment très poli, très bien peigné, très sympa.
00:12:01Il s'abîme en faisant ça.
00:12:03La portade est plombée toute la semaine quand même.
00:12:06Il ne faut pas non plus humilier les Français par rapport à ça.
00:12:09C'est autre chose, c'est autre chose.
00:12:11Arrive un moment, il est là, il insulte les mecs devant les caméras.
00:12:13Il faut arrêter de charger.
00:12:15Non, mais ils n'ont pas à s'abîmer.
00:12:17Ce n'est pas sur le bord de touche pendant un match.
00:12:19Le moment du match, encore une fois, c'est un moment sacré.
00:12:22C'est un moment qui est parti aux joueurs et aux entraîneurs.
00:12:24C'est terminé.
00:12:25Il a eu beaucoup de boulot.
00:12:26Et à la fois, il n'a pas l'avoir en Coupe de France.
00:12:28Il y a eu deux buts refusés.
00:12:30Il a été très bon d'ailleurs.
00:12:32La première main de Mopé, elle n'est pas si…
00:12:35Il apprêt toujours les bonnes décisions.
00:12:37Il s'en va, en effet.
00:12:39Ce n'est pas si souvent.
00:12:40Souvenez-vous, c'est quand même plus que culturel.
00:12:42Souvenez-vous de Francis Borelli qui, après la séance contre Saint-Etienne avec le PSG, embrasse la pelouse.
00:12:47C'est sympa.
00:12:48Oui, mais c'est sympa.
00:12:49L'antériorité est très importante.
00:12:51On a toujours vu des présidents, effectivement, aux premières loges
00:12:54et mordre quasiment la ligne de touche sur ce genre de dénouement.
00:12:58Oui, c'est vrai.
00:13:01L'OM de Deux Hermis est deuxième du championnat.
00:13:05Pratiquement, chaque lundi, dans l'équipe du soir, on se fait un petit baromètre de l'OM.
00:13:09Là, ce soir, comment classer cet OM de Deux Hermis ?
00:13:13Alors, il y aura un trophée en moins, déjà.
00:13:15Mais sur le jeu, sur l'avancée du projet ?
00:13:17Il y a quelque chose qui m'a…
00:13:19Ça fait quand même deux fois que l'île domine plutôt Vélodrome.
00:13:22Puisqu'en championnat, le 1 partout, il s'en était quand même assez bien sorti l'OM.
00:13:25Donc, moi, je rejoins ce que dit Seb tout à l'heure.
00:13:28Il y a quand même une sorte de supériorité.
00:13:30Alors, après, c'est vrai que l'île est une équipe qui joue beaucoup plus.
00:13:32Ils jouent en milieu de semaine. Ils ont la Ligue des champions.
00:13:34Donc, peut-être que ça, ça se voit en championnat.
00:13:37Mais je pense que l'île est une équipe, comme disait Seb, est une équipe un peu supérieure à l'OM.
00:13:41Et il y a eu quand même deux matchs pour nous le raconter et non un.
00:13:44Donc, tu peux quand même sortir de la vérité d'un soir pour expliquer que la Ligue des champions
00:13:49fait progresser ses joueurs et que c'est une autre équipe.
00:13:51Dans votre impression générale et notamment sur le contenu, lorsque j'ai écouté votre Super 2,
00:13:54je n'étais pas tout à fait d'accord avec Greg.
00:13:57Je n'ai pas eu de contradiction.
00:13:58Ce n'est pas forcément la première fois.
00:14:00Non, ce n'est pas grave.
00:14:01Mais moi, j'ai trouvé que l'OM avait été supérieur à l'île lors de la première période.
00:14:06C'est ce que vous dites.
00:14:07C'est ce que vous dites parce que vous regardez les occasions.
00:14:09Mais j'ai trouvé, par exemple, regardez, là, on a le chiffre de duel qui s'affiche.
00:14:1241-29.
00:14:13C'est-à-dire que j'ai trouvé quand même qu'ils étaient...
00:14:15Là, c'est à faire.
00:14:16C'est la deuxième période.
00:14:17Non, mais pas que.
00:14:18La première période, l'OM a fait une meilleure première.
00:14:20Non, j'ai trouvé...
00:14:22Sur le décompte des...
00:14:23Moi, non.
00:14:24Sur le décompte des occasions, peut-être.
00:14:25Mais pas sur l'impact, pas sur le contrôle milieu-terrain, pas sur la hauteur de pressing.
00:14:29Sincèrement, non.
00:14:30Je suis d'accord avec lui.
00:14:31Je ne suis pas tout à fait d'accord.
00:14:33Mais je suis déçu, globalement, par exemple, des individualités dans ce match.
00:14:38Greenwood.
00:14:39Greenwood et Louis Cédric.
00:14:40Qui est avant pour but.
00:14:41Pour moi, ces deux joueurs-là, ils doivent...
00:14:43Il en a manqué un grain de folie à Marseille dans ce match.
00:14:45Greenwood, c'est un...
00:14:46C'est de la coupe.
00:14:47C'est un match qui s'emballe différemment.
00:14:48Ce n'est pas Rennes-Marseille.
00:14:49Là, c'est un match de coupe.
00:14:52C'est à la vie et à la mort.
00:14:53C'est un peu le style de jeu de l'OM qui veut ça.
00:14:55C'est un jeu posé.
00:14:57Il y a une possession qui est très importante.
00:15:00Les Auxervies vont être contents de ça.
00:15:01Mais c'est vrai que ce n'est pas très excitant.
00:15:03Mais quand tu es pris, tu es pris aussi.
00:15:05Tu ne peux pas...
00:15:06Timothée Mément nous interrompt.
00:15:07Timothée ?
00:15:08Oui ?
00:15:09A vous de jouer.
00:15:11Oui, non.
00:15:12J'avais tout simplement la réponse pour Sébastien Tarrago.
00:15:14Parce que Mehdi Benazia s'est exprimé au micro du diffuseur.
00:15:18Et il a expliqué ce qui lui a valu son exclusion.
00:15:21Il était à proximité du couloir, comme je le disais tout à l'heure, dans les derniers instants.
00:15:26Il est allé voir Clément Turpin pour lui dire qu'il y avait pénalty.
00:15:28Peut-être de façon virulente, je ne sais pas.
00:15:31En tout cas, ce sera vérifié sur les images.
00:15:34Ensuite, il a tenté de séparer Olivier Létan et Deserbi.
00:15:38Je vous disais tout à l'heure qu'ils s'étaient accrochés, les deux hommes.
00:15:41Qu'il a discuté avec le quatrième arbitre.
00:15:43Et que Clément Turpin est venu et l'a exclu en lui disant
00:15:47« Vous m'avez menacé en me pointant du doigt.
00:15:50Vous n'aviez pas à faire ça. Voilà la raison de l'exclusion. »
00:15:53Si l'on en croit le son de cloche de Mehdi Benazia,
00:15:56peut-être que Clément Turpin a une autre vision de la chose.
00:15:59Mehdi Benazia, manifestement, a ajouté qu'il y avait une forme d'acharnement contre lui.
00:16:06On cherche des personnages du côté de John Textor.
00:16:10On cherche des histoires.
00:16:11Je pense que Mehdi Benazia sera un bon personnage de la Ligue.
00:16:15Le meilleur moyen de ne pas être expulsé, c'est de jamais descendre sur le bord du terrain
00:16:18et de rester en tribune.
00:16:19Parce que s'il est 25 ou 30 mètres plus haut à côté de Longoria,
00:16:23je pense qu'il lui arrivera rien.
00:16:24Oui, mais ce n'est pas sa façon de vivre le foot, Dominique.
00:16:26Ça, c'est la sagesse.
00:16:28C'est ton côté bouddhiste.
00:16:30C'est vrai que j'ai fait ça.
00:16:32Malheureusement, Mehdi Benazia ne vivra jamais le foot comme ça.
00:16:36Ah oui, une image à mime.
00:16:38Bien sûr. J'ai tout en stock.
00:16:40C'est le genre qu'on avait préparé avant l'émission.
00:16:42Il arrive souvent en slip, pourtant.
00:16:44Je reviens sur les situations peut-être ratées par l'OM.
00:16:48On est à la 36e minute, face-à-face de Greenwood contre Manonnet.
00:16:51L'attaquant anglais donne-t-il trop d'infos au gardien de l'ancien Monégasque, Lillois ?
00:16:57Oui, il est très lisible.
00:16:59C'est une occasion incroyable.
00:17:0138e, c'est ça ?
00:17:0236, oui.
00:17:03Les 10 joueurs de champ sont sur le but de Mars.
00:17:08C'est incroyable.
00:17:09Il n'y en a pas un qui est en couverture.
00:17:11Greenwood est sur la ligne mégane.
00:17:13Il récupère le ballon.
00:17:14Il a tout le temps de s'organiser.
00:17:15Et le ballon, il va plus vite que 4 Lillois.
00:17:17Il va vite quand même.
00:17:19Il garde son avance.
00:17:21Peut-être qu'il a trop de temps, finalement.
00:17:23C'est très étonnant.
00:17:24Quand j'ai vu que c'était lui, je me suis dit, c'est le but.
00:17:27Ce n'est pas possible.
00:17:28Tout est ouvert.
00:17:29Il y a toutes les solutions.
00:17:30On ne s'en prend pas les choses.
00:17:32Mais toi, tu avais tout senti.
00:17:34Peut-être que Manon ouvre pour la tireur.
00:17:36Il y a peut-être un jeu entre deux.
00:17:38Il me semble que Manon, c'est un duel.
00:17:40Et Manon gagne.
00:17:41Dans son regard, la façon dont il prépare son pied,
00:17:47il donne toutes les infos.
00:17:49Il aurait pu aussi fermer le pied quand même.
00:17:52Il n'a pas fermé le pied.
00:17:54Il aurait pu le faire.
00:17:56Il a une fin du regard et une fin du pied.
00:17:59Ce ne serait pas la première fois.
00:18:01J'ai Greenwood également.
00:18:03Une action qui n'est pas forcément une action.
00:18:05C'est une situation qui est mal gérée par l'attaquant marseillais.
00:18:08Il rate sa passe pour Mopé qui était décalé seul devant le but.
00:18:11Je crois que son centre est coupé.
00:18:14Là, franchement, c'est une grosse situation.
00:18:18Ça manque un petit peu de justesse.
00:18:21De rigueur.
00:18:23De vitesse.
00:18:24En fait, il attend trop.
00:18:25S'il la donne tout de suite,
00:18:27à un moment donné, le ballon lui échappe et l'autre coupe.
00:18:29Il manque un peu d'à propos.
00:18:31Après, le but refusé pour la main de Mopé,
00:18:34il fait un geste exceptionnel.
00:18:36C'est un joueur un peu différent.
00:18:39Il fait un geste exceptionnel.
00:18:44Sauf qu'il peut conclure.
00:18:46Le but marqué par Mopé, c'est presque un raté de Greenwood.
00:18:50Le lift qui met au ballon son...
00:18:53Il est raté.
00:18:55Timothée, vous avez pensé quoi de Greenwood ce soir au Vélodrome ?
00:18:58Il en a beaucoup manqué aujourd'hui pour Mason Greenwood.
00:19:04C'est évident.
00:19:05Il n'a pas été à la hauteur de ce qu'il nous propose d'habitude.
00:19:08Il n'a pas été à la hauteur de ce match.
00:19:10Je suis d'accord avec ce qui a été dit en plateau.
00:19:11Il n'a pas été à la hauteur d'un match de coupe.
00:19:13Il n'a pas su parfois mettre la folie.
00:19:15Il a quand même deux situations vraiment très franches.
00:19:17J'en parlais tout à l'heure.
00:19:19Je trouve que Stéphane est un tout petit peu dur
00:19:22avec son geste qui réussit
00:19:24et qui est donc raté par Nile Mopé de la main.
00:19:27Enfin, touché de la main par Nile Mopé.
00:19:29Le geste est exceptionnel.
00:19:31Je ne sais pas. Il est peut-être cadré en plus.
00:19:34Ça demande à voir.
00:19:36Effectivement, en deuxième mi-temps, il a manqué de justesse à plusieurs reprises.
00:19:40Cette passe, elle a été notée.
00:19:42Bref, il n'a pas été à la hauteur de ce qu'il donne d'habitude.
00:19:46Nile Mopé, d'ailleurs, n'a pas été inoubliable non plus dans cette rencontre.
00:19:49Globalement, c'est cette attaque qui était plutôt séduisante
00:19:52depuis début décembre qui a manqué un peu d'allant.
00:19:55Greenwood, quand même, 91ème minute.
00:19:57Il fusille Manonnet.
00:19:58Manonnet qui a une sorte de réflexe.
00:20:01C'est vraiment en 91ème minute, 5 minutes avant l'idéalisation.
00:20:05Manonnet va la dévier sur le poteau.
00:20:08C'est un très très gros arrêt de Manonnet parce qu'il est quasi à bout portant.
00:20:11Et c'est quand même lui qui l'a dévié.
00:20:13Enfin, ça, ils en ont eu des occasions.
00:20:15Non, mais je n'ai pas dit qu'ils n'avaient pas d'occasion.
00:20:17Ils parlent de foot.
00:20:19Ils parlent de contenu.
00:20:21Ne manque-t-il pas d'un grand avance-entre à l'OM ?
00:20:23Merci.
00:20:24Nous sommes dans la perte de Mercato.
00:20:26Et Martineau, José, bonsoir José, nous pose une question via l'équipe Connect.
00:20:30Il manque un grand numéro 9, un grand attaquant.
00:20:33Le mythe du grand attaquant, ça fait 15 ans qu'il existe.
00:20:36Il n'y a rien de nouveau, finalement.
00:20:37Oui, il n'y a rien de nouveau, mais dans cette...
00:20:39Ils croyaient avoir un peu résolu leur problème en prenant Elioui il y a, quoi, un an ?
00:20:43Non, cet été.
00:20:45Cet été, oui.
00:20:46Ils parlent déjà d'un départ là cet hiver.
00:20:49Ils n'y arrivent pas.
00:20:50En fait, Neil Maupay, il est prêté.
00:20:52Jonathan Rowe, c'est une doublure, une triplure.
00:20:56Après, les gens pensent à quoi sur un grand attaquant ?
00:20:58Ils veulent quoi ?
00:20:59Un buteur.
00:21:00Un buteur, mais c'est quoi, c'est top 20 européens ?
00:21:04Il y a des miracles.
00:21:07Rabiot.
00:21:08C'était quand même très intelligent, moi, je trouve, l'été dernier, de miser sur Royi.
00:21:12Tu te dis, un joueur qui a été très prometteur, qui fait une mise en moyenne.
00:21:16Tu essaies de le relancer.
00:21:18C'était...
00:21:20Moi, je pense depuis longtemps que c'est potentiellement un très bon joueur.
00:21:25Pour l'instant, je me trompe.
00:21:27Ce qui est rare.
00:21:29Pour l'instant, c'est cher.
00:21:32Dans la construction d'un effectif, quand tu as les moyens de l'OM, c'est plutôt malin de tenter ce coup-là.
00:21:38Moi, je préfère tenter ce coup-là que de prendre un attaquant de 34 ans, comme ils ont fait deux années de suite.
00:21:43Moi, je prends Alexis Sanchez tous les jours.
00:21:46Le grand attaquant, il est long.
00:21:47Moi, je prends Alexis Sanchez.
00:21:48Le grand attaquant, il était sur la pousse ce soir.
00:21:50C'est qui ?
00:21:51C'est Greenwood.
00:21:52Il va finir à 20 buts.
00:21:53Vous voulez quoi ? Vous voulez avoir deux mecs à 20 buts ?
00:21:55Je pense que la question, c'était sur un axial.
00:21:57Un axial.
00:21:58Il a été recentré dans l'axe.
00:21:59Il finira à 20 buts.
00:22:00C'est un mec à 20 buts.
00:22:01Si ce n'est pas un attaquant, vous m'expliquez ce que c'est.
00:22:02Il est rarement recentré sur le côté, d'ailleurs.
00:22:05Il ne te permettra pas de te qualifier pour la Coupe de France, déjà.
00:22:08Ah bon ?
00:22:09Ce n'est pas de sa faute à lui.
00:22:10Il voulait un grand attaquant.
00:22:11C'est un mec de classe internationale.
00:22:13Ce soir, c'est un peu de sa faute.
00:22:14Ici, effectivement, sur un concours de circonstances où ils ont joué.
00:22:17Mais c'est un xé.
00:22:18Si vous voulez un grand attaquant à Marseille, Greenwood, c'est un grand attaquant.
00:22:21Alexis Sanchez, quand même, était un grand attaquant.
00:22:23Donc, ça ne te permettait pas d'être champion de France.
00:22:25Donc, Greenwood, ça ne te permettait pas d'être champion de France.
00:22:27Ça ne te permettait pas de te qualifier en Coupe de France.
00:22:28Mais ça ne te permettait pas d'être champion de France, Greenwood.
00:22:29Quel attaquant permettrait à Marseille d'être champion de France ? Je reviens.
00:22:32Je pense qu'avec Alexis Sanchez, tu étais plus prêt, déjà.
00:22:34Non.
00:22:35Ils n'ont même pas été second.
00:22:37Ils ne seraient pas champions de France avec Alexis Sanchez.
00:22:39Non, mais plus qu'avec…
00:22:41Entre Greenwood et Sanchez, s'il faut en choisir un, je prends Greenwood, quand même.
00:22:44Celui qui était à Marseille il y a deux ans, là ?
00:22:46Alexis Sanchez ?
00:22:47Ah oui.
00:22:48Je prends Greenwood.
00:22:49Sanchez, à mon avis, il a mis combien de buts, d'ailleurs ?
00:22:52Beaucoup.
00:22:53Au final.
00:22:54Il en a mis, mais Greenwood, il ne sera pas loin.
00:22:55Un certain nombre à Marseille.
00:22:56Il en a mis moins que d'en mettre à Greenwood à l'arrivée, c'est sûr.
00:23:00Même au Bameyang, je préfère au Bameyang.
00:23:01Il a mis aussi plus de buts que Sanchez.
00:23:03Après, l'apport dans le jeu de Bameyang et de Sanchez, il n'y a pas photo.
00:23:06Sur l'impression générale de ce match, c'était quand même le deuxième qui affrontait le cinquième,
00:23:11puisque Nice, maintenant, est quatrième.
00:23:13Vous ne trouvez pas que, là, dans ce qu'on a vu, ça manque un poil de talent,
00:23:17ça manque un peu de fantaisie, tout ça ?
00:23:19Ces deux blocs qui sont là, qui récitent un peu leurs trucs, machin, tout ça.
00:23:22C'est la physique.
00:23:23C'était un match sympa.
00:23:24Il y avait une grosse intensité.
00:23:25C'était un combat, il y avait une grosse intensité.
00:23:27Après, évidemment, le talent, ça manque.
00:23:31Vous pouvez espérer des matchs sympas en France, mais vous ne pouvez pas espérer des grands matchs.
00:23:36À part avec le PSG, si jamais un jour on leur enlève la laisse,
00:23:41mais sinon, vous ne pouvez pas espérer des grands matchs.
00:23:44Ce n'est pas possible.
00:23:45Mais des matchs sympas, ça existe.
00:23:48C'est un match sérieux.
00:23:49C'est un match impliqué.
00:23:50C'est un match sérieux.
00:23:51Ça manque souvent de justesse dans les trente derniers mètres.
00:23:54Oui, mais c'est un match intense.
00:23:56C'est du combat, c'est du foot.
00:23:57On a vu du foot.
00:23:58Il y a eu des sorties.
00:23:59Je ne sais plus qui a parlé des sorties de balle des Lillois.
00:24:02C'est une équipe qui travaille.
00:24:04C'est devant les sorties de balle, Greg.
00:24:06On attend qu'il se passe un truc génial dans les trente derniers mètres.
00:24:09Mais il n'y a pas Zégrova.
00:24:10Il n'y a pas Zégrova.
00:24:12Greenwood, des fois, le fait en Ligue 1.
00:24:14Mais si vous attendez.
00:24:15Effectivement, il n'y a pas Yamal sur le terrain ce soir.
00:24:17Il n'y a même pas Zégrova.
00:24:18Il n'y a même pas Zégrova.
00:24:19Alex Sanchez, c'est 18 buts lors de sa période marseillaise, de sa seule semaine marseillaise.
00:24:2318 pour Alex Sanchez.
00:24:26Il y a la Ligue des champions, y compris.
00:24:28Pas mal.
00:24:29Greenwood, il fera plus.
00:24:30Il y mettra plus.
00:24:31Maintenant, il en reste 17.
00:24:32Il n'y aura pas eu d'échange.
00:24:33Il n'y a pas eu d'échange.
00:24:34Il n'y a pas eu d'échange.
00:24:35C'est vrai qu'il y a des coupes.
00:24:36Le ratio Greenwood.
00:24:37C'est un vrai coup d'arrêt pour Marseille ce soir.
00:24:39Quand tu as une saison sans Coupe d'Europe, que tu reçois en 16e au Vélodrome.
00:24:45Une équipe qui a joué dix matchs de plus que toi, à cet instant.
00:24:48On est en janvier.
00:24:49On est en janvier.
00:24:50Qui a fait beaucoup de changements.
00:24:51Qui n'a pas son meilleur joueur.
00:24:52Il y a eu deux grands rendez-vous pour l'OM cette année.
00:24:54Pour essayer de propulser l'OM un peu au-dessus.
00:24:56C'est le PSG.
00:24:57Raté.
00:24:58Ce soir, raté.
00:24:59C'est moins raté ce soir que ça l'a été dans le Classicon.
00:25:02Mais ça module quand même tous les éloges qu'on fait de l'OM.
00:25:07Attention aux fantômes d'Annecy.
00:25:09Parce que moi, je me souviens de l'OM de Tudor.
00:25:11On en s'en sait un petit peu.
00:25:13Il passe complètement à côté de leur quart de finale en coupe.
00:25:17Après avoir battu Paris.
00:25:19Mais derrière, ils l'ont traîné comme un boulet.
00:25:21Ça a été vraiment une espèce de coupure dans la saison.
00:25:24Autant qu'il avait été la défaite contre Tottenham à la dernière seconde.
00:25:27Qui les sortait de toute compétition européenne.
00:25:29Mais là, vraiment, c'était une énorme occasion.
00:25:31À domicile encore.
00:25:33Contre une équipe qui n'avait pas du tout le pédigree de Lille.
00:25:35Et ils l'ont vraiment traîné comme des miséreux jusqu'au bout.
00:25:38Je fais une belle assiette.
00:25:39Je montre du doigt.
00:25:40Non.
00:25:41Virginie Sassily.
00:25:42Il y a Rabiot qui a réagi.
00:25:43Carton rouge mémé du coup.
00:25:44Hein, comment ?
00:25:45Carton rouge du coup.
00:25:46Ah oui, je suis désolé.
00:25:47Vous avez un carton rouge pour son petit camarade.
00:25:49Non, mais c'était rien du tout.
00:25:51C'était la blague.
00:25:52Parce que Benassé, il a pris un carton rouge.
00:25:54Ben oui, mais carton rouge pour...
00:25:56Allez, Adrien Rabiot.
00:25:57Bon ben du coup, Adrien Rabiot.
00:25:59Ah ben non, on va me retrouver dans une minute.
00:26:01J'inquiétais pas.
00:26:02Mais qu'est-ce qu'il a dit Adrien Rabiot ?
00:26:04Ah oui, c'est un bon teaser.
00:26:06Ben là, il a dit quoi Adrien Rabiot ?
00:26:07Ah ben non, attendez.
00:26:08Hop, hop, hop, hop, hop.
00:26:09Dans quelques minutes.
00:26:10Attention, Virginie.
00:26:11Faut jouer le jeu.
00:26:12C'est la minute.
00:26:13Voilà, c'est la minute.
00:26:14Sans parler aux téléspectateurs de l'équipe du soir.
00:26:15Bonjour à la Guadeloupe.
00:26:16On vous rappelle.
00:26:17Non, mais c'est...
00:26:18L'ignatience, elle déclasse un peu.
00:26:19Ça permet de déclasser l'OM 2-2 Hermes.
00:26:20Parce qu'on y a un peu répondu.
00:26:21Puis après, on a fait d'autres avantages.
00:26:22C'est plus que ça.
00:26:23C'est les deux matchs où ils ont été dominés par l'Ile.
00:26:24J'arrive pas à m'enlever ça de la tête.
00:26:25C'est-à-dire que les deux fois où ils ont été confrontés,
00:26:26ils étaient quand même un étage au-dessous.
00:26:27Il y en a beaucoup.
00:26:28C'est pas flagrant.
00:26:29Et là, il manquait Zégronvin comme dit.
00:26:30Qui est quand même sans doute un meilleur joueur.
00:26:32C'est une équipe qui a du mal à faire le jeu quand même.
00:26:33C'est pour ça qu'elle est plus à l'aise pour moi à l'extérieur.
00:26:34C'est une équipe, on va pas se mentir.
00:26:35Monaco devrait être deuxième du championnat.
00:26:36Et Monaco a un incroyable coup de pompe encore confirmé ce soir.
00:26:37Monaco tient la langue parce qu'ils arrivent pas à faire les trois.
00:26:38La Coupe de France, la Ligue des champions.
00:26:39Le championnat, visiblement, c'est trop pour cette jeune équipe.
00:26:40En tout cas, pour certains des jeunes joueurs.
00:26:41C'est une équipe qui a du mal à faire le jeu quand même.
00:26:42C'est pour ça qu'elle est plus à l'aise pour moi à l'extérieur.
00:26:43C'est une équipe, on va pas se mentir.
00:26:44Monaco devrait être deuxième du championnat.
00:26:45Et Monaco a un incroyable coup de pompe encore confirmé ce soir.
00:26:46Monaco tient la langue parce qu'ils arrivent pas à faire les trois.
00:26:47La Coupe de France, la Ligue des champions.
00:26:48Le championnat, visiblement, c'est trop pour cette jeune équipe.
00:26:49En tout cas, pour certains des jeunes joueurs.
00:26:50Ils ont pas vraiment d'attaquants non plus de très très haut niveau.
00:26:51On parlait d'attaquants de très haut niveau.
00:26:52Il y en a pas vraiment de gros.
00:26:53Il y a des gros points faibles dans l'effectif de Monaco.
00:26:54Il y a des gros points faibles.
00:26:55Mais normalement, Monaco est premier à la deuxième place.
00:26:56Mais normalement, Monaco est premier à la deuxième place.
00:26:57Le fait que Monaco soit à combien ?
00:26:58Quatre, cinq points déjà ?
00:26:59cinq points alors qu'on est à mi-championnat.
00:27:0017ème journée, mi-championnat.
00:27:01Voilà.
00:27:02Ils ont gagné un match sur 7.
00:27:03J'enlève pas les mérites de l'OM.
00:27:04Mais c'est surtout le marasme des autres.
00:27:05On peut regarder le résultat.
00:27:06Puis après, on va aller voir Virginie pour la délirance.
00:27:07C'est pas mal.
00:27:08C'est pas mal.
00:27:09C'est pas mal.
00:27:10C'est pas mal.
00:27:11C'est pas mal.
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00:29:43C'est pas mal.
00:29:44C'est pas mal.
00:29:45C'est pas mal.
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00:33:19C'est pas mal.
00:33:20C'était marrant.
00:33:21J'ai jamais vécu des émotions pareilles.
00:33:25C'était de la folie, cette ligne d'arrivée avec la lumière comme ça du jour qui commence
00:33:31à percer.
00:33:32Je n'ai jamais vécu ça de ma vie.
00:33:34C'était incroyable.
00:33:35C'était incroyable.
00:33:36De la joie.
00:33:38C'est la plus belle ligne d'arrivée de toute ma carrière, de loin et de loin.
00:33:46Incroyable.
00:33:48C'est bon les gars, c'est bon !
00:34:19Il a fondu un peu l'armure dans cette traversée du Chenal.
00:34:23Ouais, ouais, un petit peu.
00:34:25Ils sont là et c'est beaucoup de travail.
00:34:30Heureux de le gagner, ça y est, de le gagner ce Vendée Globe.
00:34:33Je ne suis pas passé loin il y a 4 ans.
00:34:35C'est Yannick qui l'avait remporté.
00:34:38Maintenant c'est bon, il est pour nous, il est pour Massif et ça c'est génial.
00:34:45Je suis l'homme le plus heureux du monde aujourd'hui, c'est sûr.
00:34:49Charlie Dalin sur Massif Santé-Prévoyance !
00:34:59Il est à toi ce trophée vainqueur de la 10e édition, Charlie Dalin !
00:35:1564 jours, le record de Leclerc, pulvérisé.
00:35:29La performance sportive, est-ce que ça a éclipsé l'aventure ?
00:35:34J'aurais aimé vous entendre là-dessus.
00:35:36Je trouve que c'est les méconnaîtres de dire qu'il y a encore, et je ne leur fais pas injure,
00:35:41j'avais rencontré à plusieurs reprises François Gabart par exemple,
00:35:44la portion d'aventure est pratiquement inexistante je trouve.
00:35:48C'est des ingénieurs, c'est des sportifs de très haut niveau,
00:35:51ils ont tous un préparateur mental,
00:35:53c'est aussi des gens qui sont capables de démarcher des sponsors.
00:35:57Qu'est-ce que tu mets derrière le mot aventure ?
00:35:59Quand ils t'expliquent, Grégory, qu'il répare sa grand voile tout seul,
00:36:03par 30 nœuds de vent, si ça ce n'est pas de l'aventure, c'est à nous l'aventure.
00:36:07Non, ce sont des techniques qui savent appliquer.
00:36:11Qu'est-ce que tu mets derrière le mot aventure ?
00:36:13En fait, pour dire les choses nettement, ils font des régates.
00:36:18C'est des régates que vous faites…
00:36:20Qu'est-ce qui te manque ?
00:36:23Il n'y a pas de hasard, tu n'as pas Titouan Lamazou qui va planter son bateau
00:36:28pour aller peindre pendant le hasard.
00:36:30Il n'y a pas de hasard quand il décide.
00:36:32Quand il décide d'Alain, alors qu'il a une…
00:36:34Je suis totalement béotien, je lis ce qu'il raconte de son épopée.
00:36:38Quand il explique qu'il fait un choix dans le Pacifique Sud
00:36:41de devancer la dépression, c'est-à-dire d'aller droit vers elle.
00:36:45Il l'avait dans le dos, il fallait que son bateau avance.
00:36:48Si jamais il était rattrapé, l'aventure était terminée pour lui.
00:36:52Ça, ce n'est pas de l'aventure.
00:36:53Ça, c'est un pari.
00:36:55Mais c'est un choix technique qui est basé sur…
00:36:57Non, il y a encore de l'instinct, Grég.
00:36:59Il n'a pas mis son nez au vent.
00:37:00Non, mais il y a encore des choix d'instinct, il y a encore des choix de route.
00:37:03Ah si, il y a encore des choix de route.
00:37:05Il y a aussi des choix d'instinct sur un sport de foot qui va chercher de jouer en profondeur.
00:37:10Ce que je veux dire, c'est que ce n'est pas…
00:37:12Ça reste du foot, ce n'est pas un robot.
00:37:14Ce que je veux dire, c'est que ça ne sont plus des mecs un peu poétiques
00:37:19qui, un coup, sont dedans, un coup, sont dehors.
00:37:21Ce sont des hommes de projet.
00:37:22La performance sportive, les clips estèles, le romantisme, vous êtes en train de…
00:37:26Voilà, c'est ça que j'ai dit.
00:37:27L'aventure.
00:37:28Mais c'est comme ça, parce que tu ne peux pas monter autant au niveau et conserver ça, en fait.
00:37:31La performance sportive, les clips estèles, l'aventure.
00:37:34Et si c'était le contraire ?
00:37:35On va donner la parole à Charlie Dalin, qui a été invité dans l'équipe de Greg.
00:37:39Rappelons simplement, on met en contexte son intervention et Greg va le rappeler.
00:37:43On est en 2023, il dispute une course en équipage autour du monde.
00:37:46Il s'appelle l'Erosion Race.
00:37:48Dalin a été victime d'une commotion cérébrale à bord, car à bord, les nouveaux bateaux, ça bastonne.
00:37:54C'est extrêmement rigide.
00:37:55C'est dur, oui.
00:37:56Maintenant, échange entre Greg et Charlie Dalin.
00:38:00On y va.
00:38:02Vous avez eu une commotion cérébrale en 2023 dans l'Ocean Race.
00:38:06Vous aviez dit, je mettrai un casque en permanence.
00:38:08Vous étiez vigilant.
00:38:09Vous aviez ce casque quand ça a commencé à taper un peu fort ?
00:38:14Oui, je l'ai souvent mis.
00:38:15J'avais aussi une ceinture de sécurité à ma table à cartes.
00:38:18Je mettais aussi souvent ma ceinture de sécurité quand je dormais, pour ne pas me faire expulser de ma bannette, la zone où je dors.
00:38:25J'ai vu quelques décélérations assez fortes.
00:38:27Je me suis fait projeter 2-3 fois en avant, mais à chaque fois, je m'en suis sorti sans blessure.
00:38:33J'en suis sorti indemne.
00:38:34J'ai eu de la chance aussi à ce niveau-là de ne pas me blesser.
00:38:39La seule blessure que j'ai à déplorer sur ces 64 jours, c'est une grosse aiguille de voilerie.
00:38:44Une très, très grosse aiguille qui permet de percer les voiles quand on les répare.
00:38:48Je me suis planté assez profondément dans le pouce.
00:38:51J'ai eu peur que ça s'infecte, parce qu'en mer, les infections se font très, très rapidement.
00:38:56Mais on a suivi ça avec les médecins de course.
00:38:59Il n'y a pas eu de suite, il n'y a pas eu d'infection.
00:39:01Donc, franchement, faire un Vendée Globe avec comme seul souci, seul pépin humain, une aiguille dans le pouce, je m'en sors quand même plutôt pas mal.
00:39:11Finalement, c'est des bateaux qui sont ultra rapides, ultra exigeants, ultra technologiques.
00:39:17Et là, finalement, on se dit, on arrive, tout est sous contrôle.
00:39:21Les ordinateurs, les mecs sont super formés.
00:39:24Sauf que c'est tellement...
00:39:27Tu es au beau milieu de l'océan.
00:39:29Donc, c'est forcément une aventure.
00:39:31Ça reste une aventure.
00:39:32L'aventure ultime.
00:39:34Il y a une quantité monstrueuse d'impondérables.
00:39:36Donc, c'est nécessairement une aventure.
00:39:38Que tu sois sur des formules 1 des mers, que tu sois toi-même à la fois, comme tu l'as dit, un ingénieur, un sportif de très haut niveau.
00:39:44Tout est vrai.
00:39:45Mais ça reste, qu'on le veuille ou non, une énorme aventure.
00:39:47Une aventure pleine de risques et pleine de certitudes.
00:39:51Mais pendant deux mois, tu es seul face à toi-même, à ton destin ?
00:39:54Si il a une commotion cérébrale, tout seul, il fait comment ?
00:39:58Il s'opère tout seul, là ?
00:40:00C'est pas ce qu'il y a à Paul Pépin ?
00:40:02Tout ça, c'est robotisé ?
00:40:04D'après ce que vous êtes en train de me dire, le sport de haut niveau est de toute façon une aventure intérieure profonde.
00:40:09Quel que soit le sport que tu...
00:40:10Oui, un peu.
00:40:11Que ce soit lui ou Adekatlet, tout ce que vous voulez.
00:40:15D'accord, si c'est ça.
00:40:17Même le huitième ?
00:40:18Oui, mais pas plus un marin.
00:40:19J'appelle l'arbitrage du président.
00:40:23Il est tout seul.
00:40:24Il est dans l'inconnu complet.
00:40:25On est dans un sport qui a progressé, qui s'est professionnalisé.
00:40:28Donc, professionnalisé à tous les étages.
00:40:30Donc, il n'y a plus d'aventure possible.
00:40:32C'est un petit peu la réflexion qu'on tourne autour de ce maïs.
00:40:35C'est intéressant ce qui est dit, parce qu'on peut valider.
00:40:38Il ne faut pas caricaturer les propos de Greg, je crois.
00:40:41Moi, je peux totalement comprendre ce qu'il dit.
00:40:44Et j'entends aussi ce que va dire Dominique.
00:40:47Quand tu es au milieu de l'océan, tu es au milieu de l'océan.
00:40:49Bon, très bien.
00:40:50Mais la part d'aventure telle qu'on l'entend au départ du Vendée Globe,
00:40:55quand cette compétition est créée,
00:40:57elle est quand même très éloignée aujourd'hui de ce qui existait avant.
00:41:02Donc, je comprends totalement que Greg puisse développer cette théorie
00:41:06qui me paraît tenir la route.
00:41:08En plus de cela, moi, j'ajoute autre chose.
00:41:10C'est que les progrès sont tels que voir...
00:41:14Je vais faire hurler certaines personnes ici même.
00:41:17La part du marin ?
00:41:19Voir tous les jours dans les émissions de télé les marins,
00:41:22moi, ça m'enlève d'une part de mystère qui me rapproche de l'aventure.
00:41:27Donc, pour moi, on s'éloigne de mon aventure telle que je l'envisage
00:41:32à travers la voile, à travers peut-être l'alpinisme, des choses comme ça.
00:41:36Quand je vois ces gens-là tous les jours me dire ce qu'ils mangent au petit-déjeuner,
00:41:39s'ils se sont bien brossés les dents et s'il y avait des poissons à côté,
00:41:43c'est formidable, je peux comprendre le partage,
00:41:47mais moi, ça m'enlève l'aventure.
00:41:49Il y a un élément, malheureusement, je n'ai pas le chiffre avec moi,
00:41:53ce sera facile à retrouver.
00:41:55C'est douce !
00:41:57C'est un formidable article de Benoît Ebermann dans l'équipe il y a quelques années déjà
00:42:01qui mettait en parallèle le nombre de navigateurs qui, en solitaire,
00:42:05avaient fait le tour du monde, le cas de Dalin,
00:42:09et le nombre de personnes qui étaient allées dans l'espace.
00:42:12Et il y a bien moins de monde qui a fait le tour du monde à la voile en solitaire
00:42:16que de gens qui sont allés dans l'espace.
00:42:19J'espère que je ne me trompe pas sur les références,
00:42:22mais c'est le souvenir que j'en avais de ce formidable papier.
00:42:25Ça donne quand même une idée de ce que ces garçons-là ont accompli.
00:42:29C'est quand même pas rien de faire un tour du monde en solitaire.
00:42:32Mais Greg ne dit pas ça, reconnais.
00:42:35Greg nous dit, les gars, ils montent dans la voiture,
00:42:39ils font un tour du monde, c'est arrivé, vous êtes sous contrôle.
00:42:43Non, ça ne peut s'arrêter.
00:42:46Il avait demandé de ne pas caricaturer.
00:42:49Ils ont une somme de compétences, ils ne laissent rien au hasard
00:42:53dans aucun domaine, ni la nutrition, ni le sommeil.
00:42:56Les grands aventuriers d'antan, Greg, avec leurs moyens d'époque, etc.,
00:43:02ils étaient dans la même recherche, dans la même idée.
00:43:06Avec leurs infos, avec leurs moyens du moment.
00:43:08Mais ce n'est pas moi, Tessier.
00:43:10Je ne pense pas que Tabarly n'était pas plus aventurier,
00:43:13n'était pas moins préparé.
00:43:16Il était ingénieur d'un an avec Tabarly.
00:43:18C'était la même logique, sauf qu'aujourd'hui, effectivement,
00:43:20ils ont des moyens très différents.
00:43:22Greg, juste, prends la main.
00:43:24Regardez ce qui se passe là.
00:43:25Dalin vient d'arriver, coupé la ligne, 8h26, ce matin.
00:43:28Que font ces gens ? Est-ce qu'ils saluent un sportif ?
00:43:31Il y a quand même, et c'est un succès populaire qui ne se dépare pas,
00:43:35que font ces gens rencontrer ce gars-là ?
00:43:38Est-ce qu'ils saluent un sportif ?
00:43:40Il y a toujours, malgré tout, quelque chose du domaine de l'aventure,
00:43:44quelque chose du chapeau.
00:43:46Oui, mais je pense qu'il faut faire la part de la réalité et du fantasme.
00:43:49Mais c'est la réalité, c'est le sentiment des gens.
00:43:52Moi, je pense que les gens fantasment plus ça,
00:43:54qu'ils ne s'attachent à savoir exactement comment fonctionne...
00:43:57Non, parce que là, tu es quand même au Saint-Belonne.
00:44:00Tu es avec des gens dont la vie est tournée le quotidien,
00:44:03pas nous.
00:44:05Eux, leur quotidien est tourné vers la merde.
00:44:07C'est du sport accessible.
00:44:09C'est un sportif accessible.
00:44:11C'est un peu le phénomène Léon Marchand.
00:44:13Tu as l'impression que le gars peut être ton pote.
00:44:15Il y a une fascination pour les Français.
00:44:18Oui, il y a une fascination.
00:44:20L'arrivée fait que c'est accessible.
00:44:22Je veux dire, un footballeur qui descend d'un bus,
00:44:24vous ne pouvez pas le voir à moins de 100 mètres.
00:44:26Il y a 800 flics devant.
00:44:28Parce qu'attention, l'arrière-droit de telle équipe,
00:44:30on ne peut pas lui parler, on ne peut pas le prendre en photo.
00:44:32Sinon, ça va le perturber.
00:44:34Là, le gars, il vient me faire soin de 4 jours,
00:44:36il est là, il est rasé de print, il est bien.
00:44:38Je crois qu'il y a quelque chose qui va au-delà de ça.
00:44:40Il y a une fascination du public pour ces mecs-là.
00:44:42Oui, c'est des héros.
00:44:44C'est des héros.
00:44:46Et voilà.
00:44:48Et le gars, qu'on le veuille ou non,
00:44:50est revenu d'un tour du monde en solitaire.
00:44:52Il était au milieu de l'océan, tout seul.
00:44:54Quels que soient les accotés techniques
00:44:56et quelles que soient les aides qu'il ait reçues,
00:44:58ça charrie une énorme,
00:45:00une espèce de potentialité,
00:45:02de rêve, de truc absolument incroyable.
00:45:04On voit ce type revenir,
00:45:06on dit qu'il est rasé
00:45:08plus de 2 mois, tout seul, en mer.
00:45:10Ça, ça fait rêver.
00:45:12Seb, il dit qu'il ne faut pas caricaturer Greg,
00:45:14mais en même temps, Greg, on a l'impression que tu dis que...
00:45:16Tu dis que c'est juste un exploit technologique.
00:45:18Tu nous expliques que le gars...
00:45:20Non, je n'ai pas dit ça, mais à aucun moment.
00:45:22Je suis un peu honnête.
00:45:24À un moment donné, ça va aller bien.
00:45:26Je n'ai pas dit ça.
00:45:28Ça va aller bien, ça va aller mal.
00:45:30J'ai dit que c'était des athlètes de très haut niveau.
00:45:32Par exemple, tout à l'heure,
00:45:34j'ai entendu parler de Tabarly.
00:45:36Si vous croyez que les conditions dans lesquelles naviguait Tabarly,
00:45:38notamment au niveau des études météo,
00:45:40ont le moindre rapport avec ce que ce mec
00:45:42a eu sous le nez tous les jours, vous plantez complètement.
00:45:44Ça n'a rien à voir.
00:45:46Mais Tabarly connaît Christophe Colomb.
00:45:48C'est un rigolo.
00:45:50Ça n'a aucun sens.
00:45:52Je les ai croisés.
00:45:54Ils utilisent les moyens de son temps.
00:45:56Il ne va pas s'enfermer dans une drogue pendant six mois
00:45:58devant le Vendée Globe.
00:46:00J'ai quelque chose qui va peut-être vous réconcilier.
00:46:02Greg, vous avez eu le temps de parole.
00:46:04Je pense qu'on vous a écouté.
00:46:06Si vous comptez sur les autres chroniqueurs
00:46:08pour être d'accord avec vous,
00:46:10renvoyez un petit peu.
00:46:12Je crois qu'il y a des doigts menaçants
00:46:14à la médibénatie.
00:46:16En 35 ans, le tour du monde se fait presque deux fois plus vite.
00:46:18Titouan Lamazou, premier vainqueur,
00:46:20109 jours pour faire son tour du monde.
00:46:2264 jours pour Dalin.
00:46:24Puis un petit pas de côté en 2014.
00:46:26Loïc Perron, qui a tenté une expérience en 2014
00:46:28sur la route du Rhum,
00:46:30prend le départ avec un bateau des années 80
00:46:32en délaissant le GPS,
00:46:34le logiciel qu'on a sur nos voitures
00:46:36pour savoir où aller, et en naviguant au sextant.
00:46:38Le marin, qui durant toute sa carrière,
00:46:40Loïc Perron, qui est allé toujours vers
00:46:42les innovations technologiques, les nouvelles voies,
00:46:44les nouvelles conceptions de bateaux,
00:46:46déclare, je voulais réapprendre à naviguer
00:46:48autrement.
00:46:50Ça, c'est de l'aventure.
00:46:52Là, vous pouvez me vendre de l'aventure.
00:46:54Je l'admets et je l'accepte.
00:46:56Mais c'est quand même une démarche très personnelle.
00:46:58C'est un petit peu la démarche de Le Cam,
00:47:00qui aussi refuse...
00:47:02Là, on parle de gens qui font des choix
00:47:04un peu hors des sentiers battus,
00:47:06un peu poétiques, si vous voulez.
00:47:08Ça, je l'entends.
00:47:10Mais ils ne sont pas plus respectables
00:47:12que le l'un d'un.
00:47:16À quel moment j'ai dit qu'ils étaient plus respectables ?
00:47:18J'ai dit ça quand ?
00:47:20C'est tout ce que je dis.
00:47:22J'ai rien dit d'autre.
00:47:34J'avais suivi un peu la reconversion
00:47:36de Jean-Galphion.
00:47:38Jean-Galphion, c'est un athlète
00:47:40de haut niveau qui a tout prouvé
00:47:42dans son sport.
00:47:44La conversion et la part d'aventure,
00:47:46quand tu parles de ça avec lui,
00:47:48c'est bluffant.
00:47:50Il vient d'Amérique.
00:47:52Il a fait aussi la Route du Rhum,
00:47:54deux fois.
00:47:56Malheureusement pour lui, ça ne s'est pas très bien passé.
00:47:58Il a été confronté à la peur,
00:48:00à l'aventure, de façon extrêmement concrète.
00:48:02Là, en plus, on parle évidemment
00:48:04de Dalin parce qu'il est arrivé aujourd'hui.
00:48:06Mais il y a la petite
00:48:08qui nous enchante,
00:48:10la Benjamine de la course,
00:48:12Violette Dorange.
00:48:14Elle est encore
00:48:16un mois de mer devant elle.
00:48:18C'est une vraie aventure aussi
00:48:20pour elle.
00:48:22Moi, je suis vraiment fasciné
00:48:24par les trajectoires de ces gens-là.
00:48:26Il y a plusieurs courses dans la course.
00:48:28Il y a plusieurs coureurs dans les coureurs.
00:48:30Et tous ces gens qui gagnent,
00:48:32moi, ça ne peut pas me faire totalement rêver.
00:48:34Parce que là,
00:48:36on est dans le sport business absolu.
00:48:38Et pour moi, la magie de la voile,
00:48:40tu parles de cette jeune femme,
00:48:42je ne connais pas les budgets,
00:48:44mais j'imagine qu'on est bien loin de monsieur.
00:48:48Oui, on va vers l'aventure.
00:48:50Là, il y a tellement d'argent,
00:48:52tellement c'est le sport business,
00:48:54dans toute sa splendeur aussi,
00:48:56qu'on le veuille ou non.
00:48:58– Mais tu ne rêves pas devant le Real Madrid ou le Barcelone ?
00:49:00– Non, mais moi, quand il y a Real Madrid-Barcelone dimanche,
00:49:02je rêve.
00:49:04– Là, c'est le summum du foot business.
00:49:06– C'est un enfant, dimanche, quand tu as commenté.
00:49:08– C'est le summum du foot business, là.
00:49:10Quand je suis l'attracteur de ces garçons-là,
00:49:12ça me…
00:49:14Y compris Dalin.
00:49:16Puis tu vois, je trouve que son émotion,
00:49:18elle est celle d'un homme vrai.
00:49:20– Je ne crois pas.
00:49:22– Ils sont comme les autres,
00:49:24à la recherche d'aller toujours plus vite, plus fort.
00:49:26– Mais tu dis que le sport business…
00:49:28– Il n'y a pas de recherche.
00:49:30– Mais tu dis que le sport business…
00:49:32– Je ne sais pas qui.
00:49:34– Beyou sur son charal.
00:49:36– Tu as l'air de dire que le sport business empêche de rêver.
00:49:38– Or, ce qu'on commande tous les jours ici,
00:49:40c'est du sport business.
00:49:42– Moi, je ne rêve pas tous les jours dans la vie.
00:49:44– Je comprends,
00:49:46mais moi, tu laisses deux choses au hasard.
00:49:48Moi, tu rêves et eux laissent plus grand-chose au hasard.
00:49:50– Il n'y a pas deux hasards, là, une de l'équipe ?
00:49:52C'est Charlie ?
00:49:54– Je suis Charlie.
00:49:56– L'ultramarin.
00:49:58– L'ultramarin, voilà.
00:50:00Ou alors peut-être que ce n'était pas prévu pour l'instant ?
00:50:02– Si, c'était prévu.
00:50:04– L'ultramarin, Charlie Dalin.
00:50:06Et on remonte sur les 16e de finale de la Coupe de France.
00:50:10Avec, là, on est dans l'aventure,
00:50:12l'exploit du Petit Poucet.
00:50:14Vous nous calez l'image
00:50:16et puis après, il y aura notre
00:50:18bas-normand, haut-normand,
00:50:20la qualification de Div Cabourg.
00:50:22– Exploit des amateurs de Div Cabourg.
00:50:24Petit Poucet de National 3
00:50:26qui bat le Puy-en-Velay
00:50:28de National 2.
00:50:30Performance historique, donc,
00:50:32pour les Normands.
00:50:34Petit envahissement de terrain à la fin.
00:50:36Dans ce joli stade,
00:50:38il se qualifie en 8e de finale
00:50:40grâce au but de Florian Suzanne
00:50:42à la 66e minute.
00:50:44– Le capitaine de Div Cabourg.
00:50:46– Oui.
00:50:48– Et le stade Heurtebate, j'ai retrouvé son nom.
00:50:50C'est extraordinaire parce que
00:50:52qu'un 16e de finale puisse jouer dans le stade
00:50:54où Div joue tous les week-ends dans le championnat,
00:50:56c'est tellement rare aujourd'hui en Coupe de France
00:50:58que ça donne un cadre magnifique à cet exploit.
00:51:00– De l'adversaire de Paris
00:51:02qui joue à Clermont demain.
00:51:04Ils sont obligés de se…
00:51:06– Espali.
00:51:08– Espali-PSG, ce ne sera pas son cas.
00:51:10Espali a joué les 13e de finale à domicile
00:51:12mais dans les 16e, ils sont obligés de…
00:51:14– En même temps, ça les arrange aussi
00:51:16parce qu'ils font une meilleure recette à Marseille-Michelin
00:51:18et ça leur permettra d'avoir…
00:51:20– Ils ne s'en foutent pas toujours.
00:51:22– Ils ne s'en foutent pas toujours.
00:51:24– C'est trois ans de budget.
00:51:26– Je voudrais dire un mot, s'il vous plaît,
00:51:28de l'entraîneur de Div Cabourg.
00:51:30Div Cabourg, c'est un club très solide en Normandie,
00:51:32un club amateur,
00:51:34national 3 depuis des années.
00:51:36Philippe Clément qui est l'entraîneur de ce club,
00:51:38il est à la tête de ce club depuis 25 ans,
00:51:40depuis plus de 25 ans même.
00:51:42C'est une sorte de guérou.
00:51:44Il a plus de 1000 matchs sur le banc avec Div Cabourg.
00:51:46C'est un fidèle de chez fidèle, un solide,
00:51:48un garçon qui mène son club avec une énergie
00:51:50et un enthousiasme extraordinaires
00:51:52depuis tant et tant d'années,
00:51:54qui aurait sans doute pu faire une bien plus belle carrière
00:51:56qui est restée attachée à ces couleurs-là.
00:51:58C'est magique ce qu'ils vivent cette année.
00:52:00C'est un club de milieu de tableau de N3
00:52:02et qui va vivre pour la première fois
00:52:04un huitième de fidèle.
00:52:06– Et coup de chapeau aussi au buteur Florian Suzanne
00:52:08qui ranime la fameuse tradition,
00:52:10débuteur à nom de famille,
00:52:12à prénom féminin, après les Marguerites,
00:52:14Françoise, René Dellaïde
00:52:16et autres Théophile Catherine.
00:52:18– Par rapport à ce qu'a dit...
00:52:20– Je ne vois pas le rapport.
00:52:22– Par rapport à ce qu'a dit mon confrère,
00:52:24l'image que j'ai de la Coupe de France,
00:52:26c'est pour ça que je n'aime pas non plus délocaliser les matchs,
00:52:28c'est la main courante.
00:52:30La main courante derrière les buts,
00:52:32ça c'est quand même quelque chose qui me...
00:52:34Donc je trouve ça dommage de délocaliser,
00:52:36de se priver de la main courante
00:52:38qui est la signature ultime de ces tours-là.
00:52:40– Là il y a de l'aventure là ?
00:52:42– Un peu.
00:52:44– Un peu ?
00:52:46– Le Div' ce n'est vraiment pas le club amateur marron.
00:52:48Il y a encore ces valeurs-là qui respirent.
00:52:50En plus c'est une région...
00:52:52Le Div' c'est une ville...
00:52:54Un port d'ailleurs.
00:52:56Marine et ouvrière en même temps.
00:52:58C'est une belle histoire.
00:53:00– Donc l'exploit de Div' Kabour
00:53:02qui verra les huitièmes de finale.
00:53:04Idem pour le LOSC qui s'est pas imposé
00:53:06mais qui a éliminé l'Olympique de Marseille.
00:53:08– Le match a été particulièrement animé.
00:53:10Il y a eu un but de chaque côté, un but refusé à chaque fois.
00:53:12Et Haraldsson va doucher le vélodrome
00:53:14à la 69ème minute.
00:53:16Ça part de Meunier qui lance parfaitement Jodavid.
00:53:18L'attaque en centre vers le milieu est sondée
00:53:20qui n'a plus qu'à conclure.
00:53:22– Le LOSC pense arracher la qualif
00:53:24mais à l'ultime seconde du match.
00:53:26Rabiot sert Luis Henrique.
00:53:28Le Brésilien fusille Vito Manonet
00:53:30et permet au Marseillais d'aller au tir au but.
00:53:32Sauf qu'il va rater sa tentative.
00:53:34Jonathan Raud va aussi manquer la sienne.
00:53:36Derrière les Lidois feront le sans-faute.
00:53:38C'est donc eux qui filent en huitième.
00:53:40C'est un Bruno Gelesio très heureux
00:53:42qui est venu répondre aux questions en conférence de presse.
00:53:44– Oui, heureux parce qu'on est qualifiés.
00:53:46Heureux parce que c'était pas simple
00:53:48de le faire ici
00:53:50contre une équipe qui était
00:53:52en pleine forme et chez elle.
00:53:54Et on connaît l'importance du public
00:53:56du Vélodrome.
00:53:58On est satisfaits.
00:54:00On est fiers.
00:54:02Mais il faudra aussi
00:54:04qu'on se rappelle de cette fin de match.
00:54:06Encore une fois.
00:54:08Parce que je veux pas faire le rabat-joie.
00:54:10Mais on s'en sort.
00:54:12On est contents.
00:54:14Parce que la séance de tir au but
00:54:16a tourné en notre faveur.
00:54:18On peut pas imaginer
00:54:20si ça avait été l'inverse.
00:54:22Il faudra quand même
00:54:24qu'on apprenne
00:54:26vite
00:54:28à mieux gérer ces fins de match
00:54:30qui nous coûtent assez souvent cher.
00:54:32– Je vous invite à Marseille
00:54:34avec Timothé Mément.
00:54:36Vous avez suivi la conférence de presse de Zerbi.
00:54:38Il s'est présenté. Qu'est-ce qu'il a raconté ?
00:54:42– Il s'est présenté effectivement.
00:54:44Sur le jeu, il était plutôt satisfait
00:54:46de ce qu'avait produit son équipe.
00:54:48Il regrettait évidemment le manque d'efficacité.
00:54:50Mais il a été assez intéressant sur ce dont vous avez
00:54:52déjà parlé assez longuement.
00:54:54Sur les frictions, les tensions qu'il y a eues
00:54:56après l'égalisation marseillaise
00:54:58entre le banc Lillois,
00:55:00entre le président Lillois,
00:55:02Olivier Lettang, qui était au bord
00:55:04de la pelouse, Mehdi Benatia
00:55:06et donc l'entraîneur de Zerbi.
00:55:08Zerbi n'y est pas allé avec le dos de la cuillère.
00:55:10Il a dit que c'est la deuxième fois qu'il nous fait le coup.
00:55:12Il était déjà sur le terrain à la fin du match
00:55:14de championnat en parlant d'Olivier Lettang.
00:55:16Il parlait au quatrième arbitre. Je ne vois pas dans quel monde
00:55:18cela doit arriver. Ça pourrait être
00:55:20le président de la République, c'est la même chose.
00:55:22Et si personne ne le lui dit, je ne vais pas me gêner
00:55:24pour le faire. Voilà ce qu'a dit Roberto
00:55:26de Zerbi sur Olivier Lettang.
00:55:28Et puis il a été relancé
00:55:30sur le fait que Mehdi Benatia
00:55:32avait été exclu
00:55:34suite à ce dont on a parlé tout à l'heure
00:55:36après avoir invectivé peut-être
00:55:38le quatrième arbitre. Et Clément Turpin
00:55:40il a expliqué que parfois
00:55:42il ne comprenait pas les choses. Il a tenté de le faire
00:55:44avec beaucoup de respect en disant que je suis italien
00:55:46je suis invité ici en France mais je suis quand même
00:55:48l'entraîneur de l'Olympique de Marseille. Il y a des choses que je ne comprends pas.
00:55:50Par exemple, que le but
00:55:52soit annulé pour la main de Mopé
00:55:54je le comprends tout à fait
00:55:56s'il a mis la main. Sauf qu'en réalité
00:55:58il estime, Roberto de Zerbi, que ce but
00:56:00est d'abord validé par Clément Turpin
00:56:02qui signa le but et qu'ensuite
00:56:04il revient sur sa décision alors qu'il n'y a pas la VAR.
00:56:06Il a trouvé ça un petit peu bizarre.
00:56:08Bref, pas tout à fait satisfait
00:56:10de l'arbitrage ni du comportement
00:56:12d'Olivier Létan côté de Zerbi.
00:56:14Voilà, merci beaucoup Timothée de ces compléments
00:56:16d'informations qui sont très intéressants
00:56:18qui vont faire agir le plateau. L'homme est éliminé, c'est la faute de Turpin.
00:56:20Non mais de Zerbi, il a raison
00:56:22alors je pense que si c'était qualifié
00:56:24il n'aurait pas parlé de l'arrivée de Létan
00:56:26sur le bord du terrain. Mais en fait, sur le fond, il a raison.
00:56:28Encore une fois, un président n'a rien à faire
00:56:30dans la zone technique, sur le bord du terrain
00:56:32juste à côté des bancs. Et Béni Bénacin, oui ?
00:56:34Non plus. Non plus.
00:56:36Donc, il n'a pas vu ça.
00:56:38Non mais celui qui vient, celui de Presse
00:56:40qu'on comprend. Parce que Bénacin,
00:56:42il a séparé de Zerbi et Létan.
00:56:44Non mais là, on ne parle pas de ça. On parle de
00:56:46est-ce qu'ils ont quelque chose à faire ? Aucun dirigeant
00:56:48dans la zone. Lui, Nicolas, qui vient
00:56:50fumer sa cigarette, c'est terminé.
00:56:52C'était avant, c'était le foutre à la papa
00:56:54il y a 30 ou 40 ans. Campos non plus ?
00:56:56Non, pardon ? Campos, Paris Saint-Germain.
00:56:58Personne n'oublie ce Campos non plus.
00:57:00Personne ne vient dans la zone technique. On est d'accord
00:57:02qu'ils le font tous. Ils le font tous. Mais non, je ne vois pas
00:57:04Bénacin arriver avec tous ses défauts à faire ça.
00:57:06J'espère qu'il ne le fera pas. Il y a Campos.
00:57:08Il faut pas qu'il le fasse.
00:57:10On passe en Coupe des Frances Express.
00:57:12La qualification de Reims contre
00:57:14Monaco plus les autres résultats en images.
00:57:16On y va avec vous. Reims qui s'est bagarré.
00:57:18But sur coup franc d'abord. Teddy Thema au tir.
00:57:20Le coup de casque de Kyprès
00:57:22pour mener à la pause. Tête puissante du
00:57:24défenseur. Salissou égalise
00:57:26à la 70ème après un tir de
00:57:28Venderson repoussé. Le ballon circule.
00:57:30Le défenseur reprend de la tête pour tromper Diouf.
00:57:32Diouf qui va se rattraper à la séance
00:57:34de tir au but avec trois arrêts.
00:57:36Diakité marque celui de la victoire.
00:57:38Reims est qualifié. Monaco est éliminé.
00:57:40Et puis Nice a battu Bastia. Pénalti
00:57:42sifflé pour Bastia juste avant la pause.
00:57:44C'est tiré par Boutra mais super
00:57:46barré du gardien Maxime Dupé
00:57:48qui se relève et repousse une deuxième fois
00:57:50sur la remise de Ducrot. Puis Mohamed
00:57:52Alichaud va trouver la faille et qualifier
00:57:54les aiglons au retour des vestiaires
00:57:56après une bonne combinaison entre Boanani
00:57:58et Van Gees. Un tour marqué
00:58:00par quatre séances de tir au but.
00:58:02Sur les 49 tirs au but tirés,
00:58:0414 ratés.
00:58:0649 sur 14 ratés.
00:58:08Ce qui n'est pas terrible.
00:58:10On passe en série A.
00:58:12On passe en première ligue à la 21ème journée.
00:58:14Il y avait un match à l'échange entre Nottingham
00:58:16et Liverpool. J'en étais resté à 1 partout.
00:58:18Et bien c'est resté à 1 partout.
00:58:20Les premiers ont ouvert le score dès la 8ème minute.
00:58:22Elanga qui récupère assez haut. Il lance
00:58:24Wood dans l'intervalle. Il est couvert par Van Dijk.
00:58:26Et il va tromper Alisson d'une frappe croisée au sol.
00:58:28Et Reds s'égalise à la 66ème
00:58:30grâce à Djogo Jota sur corner.
00:58:32L'attaquant venait d'entrer en jeu
00:58:341 partout. Match accroché aussi
00:58:36entre Chelsea et Bournemouth.
00:58:38Les Blues marquent en premier sur un ballon récupéré
00:58:40par Jackson qui trouve Palmer en profondeur.
00:58:42Petite fin de deux frappes avant une conclure.
00:58:44Mais Kluivert égalise sur pénalty
00:58:46puis Semenyo va doubler la mise à la 68ème
00:58:48servie par Christie.
00:58:50C'est Rhys James qui sauve Chelsea de la défaite
00:58:52sur Koufran en toute fin de match.
00:58:542 partout et puis City s'est pris les pieds dans le tapis
00:58:56contre Brentford après avoir mené 2-0
00:58:58doublé de Foden en 2ème période.
00:59:00D'abord 100mm de De Bruyne
00:59:02à la 67ème et puis la frappe
00:59:04repoussée par le gardien qui le reprend.
00:59:06Mais Ouissa va réduire l'écart
00:59:08à la 82ème. Nord-Garde
00:59:10arrache le point de légalisation dans le temps additionnel
00:59:12et ça fait 2 partout. Les Citizens
00:59:14restent 6ème ce soir.
00:59:18On passe à la Serie A
00:59:20Talente à Jules. J'en étais resté un match nul.
00:59:22Pas de vainqueur entre les deux.
00:59:24C'est bien bébé, vous suivez.
00:59:26Caloulou a débloqué le match à la 54ème
00:59:28en faveur des Bianconeri.
00:59:30Long ballon de Locatelli
00:59:32vers McKennie qui va fixer De Bruyne avant de donner aux Français.
00:59:34Maher et Tegui va relancer
00:59:36le suspense dans le dernier quart d'heure
00:59:38et ça s'arrête partout au coup de sifflet
00:59:40final. Milan s'en est sorti
00:59:42de justesse face à Côme. Ils étaient menés
00:59:441-0 jusqu'à la 71ème.
00:59:46La belle reprise de volée de Théo Hernandez
00:59:48pour égaliser. Et puis le
00:59:50petit piqué de Léa O
00:59:52lancé dans le dos de la défense à la 76ème.
00:59:54Victoire 2 buts à 1
00:59:56des Milanais.
00:59:58Deux résultats de Bundesliga
01:00:0017ème journée. Oui, c'est ça.
01:00:02Dortmund s'est incliné contre le 17ème
01:00:04du championnat. Leustein
01:00:06Kiel, ils ont très mal démarré
01:00:08et mené 3-0 à la mi-temps après cette
01:00:10ouverture du score à la 27ème sur
01:00:12une boulette de la défense. Ils reviennent
01:00:14quand même à 3-2 dans le dernier quart d'heure
01:00:16avec deux buts en six minutes. Mais leurs
01:00:18adversaires ont enfoncé le clou dans le temps additionnel.
01:00:20Défaite 4 buts à 2. Leverkusen
01:00:22a remporté face à Mayence grâce à un sublime
01:00:24coup franc direct de Grimaldo à la reprise.
01:00:26Il envoie une frappe enroulée en plein dans la
01:00:28lucarne à droite et ça fait 1-0.
01:00:30Championnat du monde de Hans, ça commence par une
01:00:32promenade de santé pour les Bleus. Un succès contre
01:00:34le Qatar. 37 à 19 pour le premier match.
01:00:36Ils se sont baladés, les Bleus, très clairement.
01:00:38Ils n'ont pas eu besoin de forcer pour dominer.
01:00:40Ils menaient déjà de 8 buts à la pause
01:00:42grâce au coup de canon d'Emerick Mines
01:00:44et au tir puissant de Romain Lagarde.
01:00:46Le meilleur marqueur Thibaut Brié a placé quelques
01:00:48attaques rapides aussi. Et les multiples
01:00:50parrains de Rémi Desbonnez ont permis de verrouiller le
01:00:52tour. C'est lui le gardien qui a été élu
01:00:54homme du match. Score final 37-19.
01:00:56Notre consultante Mariama
01:00:58Assignaté analyse cette entame
01:01:00parfaite de tournois des Français.
01:01:02Je n'ai pas été franchement surprise.
01:01:04Ce que j'ai bien aimé, c'est surtout dès le début
01:01:06du match, la capacité des
01:01:08Français à se profiter très rapidement.
01:01:10Surtout les ballons à montrer qu'ils étaient en jambes
01:01:12et à se jeter vraiment sur tout.
01:01:14Il y avait des fois, il y avait tellement d'engouement
01:01:16qu'on ne faisait pas la petite passe en plus. Il y avait cette
01:01:18capacité à terminer l'action.
01:01:20C'était très positif. Il y a eu
01:01:22d'engagement d'un point de vue défensif avec
01:01:24encore parfois quelques problèmes
01:01:26de communication dans les charnières centrales.
01:01:28Mais ça reste globalement
01:01:30très très positif.
01:01:32A discrétion l'équipe. Hugo Aradou et Escar Gégou
01:01:34devraient être appelés en bleu par Fabien Galthier
01:01:36pour le prochain tournoi des Six Nations.
01:01:38Un peu plus de six mois après l'affaire
01:01:40de Mendoza, les deux joueurs seront dans la liste
01:01:42des 42 appelés pour préparer
01:01:44le tournoi. Elle sera dévoilée ce mercredi.
01:01:46Eux ont été prévenus ce mardi.
01:01:48L'annonce du non-lieu par la justice argentine
01:01:50les a innocentés et donc réhabilités.
01:01:52Le premier match sera face au Pays de Galles
01:01:54le 31 janvier au Stade de France.
01:01:56Sébastien, vous êtes intéressé au rugby
01:01:58ces derniers mois. On va découvrir votre travail
01:02:00le 3 février prochain.
01:02:02Le doc dans la case équipe enquête s'intitule
01:02:04Rugby, la maison brûle.
01:02:06Vous êtes intéressé à cette affaire
01:02:08ou vous avez fait plutôt un pas de côté ?
01:02:10Un pas de côté, l'affaire est connue.
01:02:12Il faut quand même préciser que la victime
01:02:14supposée a fait appel.
01:02:16Il y a encore un petit temps de justice
01:02:18qui arrivera mais non.
01:02:20Alcool, drogue,
01:02:22médicaments, violences conjugales, racisme.
01:02:24Aujourd'hui,
01:02:26le monde du rugby
01:02:28c'est une cocotte minute
01:02:30et il va
01:02:32finir par exploser.
01:02:34Le jeu est extraordinaire.
01:02:36Les matchs sont souvent
01:02:38haletants et c'est un sport
01:02:40qui prend de l'ampleur mais malheureusement
01:02:42lorsque vous soulevez le couvercle
01:02:44ça fait mal.
01:02:46Très très mal.
01:02:48Le 3 février sur la chaîne équipe
01:02:50Rugby, la maison brûle, c'est un doc.
01:02:52L'équipe enquête avec Sébastien Tarrago
01:02:54et j'oublie en retard
01:02:56l'Open d'Australie.
01:02:58L'Open d'Australie qui n'est pas dans le désert
01:03:00puisque mon fils n'est pas dans le désert.
01:03:02Reste en Australie. Une victoire contre le français
01:03:04le petit jeune qui monte, Mpechi Pericard.
01:03:06C'était le duel franco-français
01:03:08tant attendu. Il l'affrontait
01:03:10il l'a battu mais le match était costaud.
01:03:12Il gagne en 5-7
01:03:14en face de lui de la jeunesse
01:03:1621 ans et puis des coups magiques
01:03:18à l'image de ce point, certainement
01:03:20le plus beau de la rencontre.
01:03:22Papy mon fils s'en souviendra.
01:03:24Ça ne l'a pas empêché de rester debout
01:03:26et d'aller l'emporter au terme
01:03:28d'une longue bataille qui aura duré 3h46.
01:03:30À 38 ans
01:03:32et 135 jours, Gaël Monfils
01:03:34devient le joueur français le plus âgé
01:03:36à remporter un match en grand chelem.
01:03:38Derrière lui, c'est Stéphane Robert
01:03:4038 ans et 47 jours
01:03:42et puis Richard Gasquet, 37 ans et 343 jours.
01:03:46Frédéric, sur
01:03:48l'été qui se poursuit
01:03:50les prolongations
01:03:52qui se poursuivent pour mon fils
01:03:54vainqueur d'un tournoi le week-end dernier
01:03:56c'est extraordinaire.
01:03:58Il a gagné au clan de samedi, il gagne à 38 ballets
01:04:00J'ai bien aimé la réaction de son
01:04:02battu Mpechi Pericard
01:04:04qui dit qu'il n'a pas 28 ans
01:04:06et Gaël, on lui rapporte ça
01:04:08et il dit
01:04:10oui, oui, j'ai peut-être 28 ans
01:04:12demain j'aurai 48
01:04:16Il est capable Fred
01:04:18d'aller loin dans un tournoi comme Melbourne ?
01:04:20Déjà, c'est prodigieux
01:04:22qu'il ait gagné au clan de
01:04:24c'est exceptionnel
01:04:26qu'il gagne en 5-7 face à un Golgoth
01:04:28pareil, c'est un surfbot
01:04:30exceptionnel, voilà
01:04:32Mpechi n'a pas une seule balle de break de tout le match
01:04:34il arrive à pousser en 5-7
01:04:36mais sinon il n'a pas une balle de break
01:04:38Gaël sert extrêmement bien
01:04:40Gaël sert l'acier
01:04:42il ne sert pas à 2-20 ou 2-30
01:04:44il sert des premières pour se protéger
01:04:46intelligent
01:04:48plus il ira loin dans le tournoi
01:04:50malheureusement plus il sera
01:04:52pompé complètement
01:04:54qu'il fasse deuxième, troisième tour c'est déjà magnifique
01:04:56mais ce qu'il arrive à faire aujourd'hui encore
01:04:58à 38 ballets, ça défie l'entendement
01:05:00ça passe pour l'autre français
01:05:02Corentin Mutas
01:05:04ça casse pour Rublev, tête de Sierre
01:05:06numéro 9, le russe, donc éliminé par Djoua
01:05:08on passe à l'Euroleague
01:05:10ça faisait 4 défaites consécutives
01:05:12toute compétition pour Paris
01:05:14Paris s'impose ce soir en Euroleague
01:05:16Paris a stoppé l'héborragie
01:05:18en battant l'EFS Istanbul
01:05:20après toutes ces défaites d'affilée depuis le mois de décembre
01:05:22mais voilà qu'ils se remettent à l'endroit à domicile
01:05:24Mickaël Jantounen a inscrit
01:05:26le panier primé qui leur a donné
01:05:287 points d'avance à 34 secondes de la fin
01:05:30victoire 88-84
01:05:32en face, Lasvell a coulé face aux partisans de Belgrade
01:05:34à la LDLC Arena, la deuxième période a été
01:05:36destructrice, ils ont complètement
01:05:38perdu pied, quasi 30 points d'écart
01:05:40au score final, 62-93
01:05:42Demain sur la chaîne d'équipe
01:05:44la coupe du monde de biathlon
01:05:46continue, on reste en Allemagne
01:05:48après Europe c'est Ruhpolding avec
01:05:50l'individuel Homme, rendez-vous dans les antennes
01:05:5213h55, on marque une petite
01:05:54pause, dans quelques minutes c'est la page Dakar
01:05:56A tout de suite
01:06:00Musique
01:06:08Derrière ligne droite les amis
01:06:10Allez, on y va, poignée en bas du guidon
01:06:129ème étape du Dakar aujourd'hui
01:06:14l'image du jour, la chute de l'espagnol
01:06:16en course, pour le titre
01:06:18Tocha a uspéré 1km
01:06:20ça onde à 20, 1,21kms
01:06:24Le plus incroyable, c'est ce qui s'y passe
01:06:26après, c'est la résultat de Sharena
01:06:28L'Espagnol, un peu grogué, remonte sur sa moto comme s'il rien n'était, il terminera septième aujourd'hui, sauvera sa deuxième place au classement général.
01:06:37Tosca Serena est-il l'incontestable homme du jour sur le Dakar ? Cette séquence est quand même formidable.
01:06:43Félix Verdier.
01:06:44C'est pas Sébastien ?
01:06:45J'ai tout adoré dans cette séquence, en plus ça a une puissance d'évocation, ça m'a rappelé un truc, je vais vous raconter.
01:06:53On voit l'airbag qui se déclenche, heureusement, mais ce qui est fabuleux c'est que le gars est grogué.
01:06:58On sent, comme dans chaque chute en deux roues, ça m'est malheureusement arrivé, un bras, deux bras, les jambes, on dit bon, ça va, commotionné.
01:07:08Allez, et le gars est tellement, contrairement à moi, il est tellement vraiment cortiqué pour y aller parce qu'il est dans la haute compétition,
01:07:15qu'il est dans l'obsession de la vitesse et de ne pas perdre de temps, donc il repart, exceptionnel.
01:07:20Et ça m'a rappelé ce moment mais absolument mythique, le soleil, aux Jeux Olympiques de Nagano 98 d'Hermann Mayer,
01:07:27où il prend une chute de 15 mètres pendant la descente olympique, il prend une chute mais monstrueuse, il tombe sur les cervicales.
01:07:35On se dit, il va avoir au mieux, il va avoir un corset d'acier, un corsier en plastique, il va peut-être même être en fauteuil roulant.
01:07:43Il fait un roulet-boulet monstrueux, c'est une des pires chutes de l'histoire du ski, et le mec deux jours plus tard, qu'est-ce qu'il fait ?
01:07:49Il gagne l'or olympique au super-jeu.
01:07:52J'appelle Louis Boulet, notre chroniqueur, est-ce d'accord ? Louis, bonsoir.
01:07:58Bonsoir tout le monde.
01:07:59Bonsoir Louis.
01:08:00Charéna, on a voulu le mettre vraiment évidemment à l'honneur ce soir dans l'équipe du soir.
01:08:04Il se murmure, on m'a dit, qu'il avait même la clavicule cassée, mais pas sur ce gars-là, mais depuis le début de l'équipe du soir, parce qu'il a chuté.
01:08:14Est-ce que vous avez fait votre enquête ou pas ?
01:08:16Ils ont un rapport à la douleur qui est complètement différent de nous.
01:08:19Vous, moi, si on a la clavicule cassée, on ne serait pas là ce soir.
01:08:22Lui, il joue la gagne, donc tant qu'il peut monter sur sa moto, il sera sur sa moto, et c'est ça qu'on est complètement fou.
01:08:30Frédéric le disait tout à l'heure, je pense que là ce soir, il peut tirer un grand coup de chapeau à l'Airbag, parce que sans l'Airbag, je pense qu'il ne serait pas remonté sur sa moto.
01:08:38Regardez comment ça se déclenche, on le revoit ici avec le leader Daniel Sanders.
01:08:43C'est assez impressionnant.
01:08:45Qu'est-ce qu'il a comme protection à part l'Airbag ?
01:08:48C'est tout, le Airbag, le casque, et c'est tout.
01:08:52Là, ça lui a clairement sauvé la mise, et c'est un rapport à la douleur qui est complètement dingue.
01:08:56Je me rappelle d'être arrivé à des arrivées, on voit les gars, il y a besoin de plusieurs personnes pour les sortir de la moto, tellement ils vont jusqu'au bout.
01:09:06Parfois, il y en a qui sont bloqués, tétanisés, mais ils sont allés au bout, et c'est ça qui est assez impressionnant avec ces gars-là, surtout ceux qui jouent la gagne.
01:09:12Le Gadda, aujourd'hui, de Shareda, me rappelle, alors, ce n'était pas un Gadda, c'était hier Van de Bevereen, parce qu'on a passé les images,
01:09:17et il y a des chroniqueurs qui disent « Merde, il est resté ».
01:09:21C'est la copie conforme, et c'est quand on disait « ça peut tomber sur n'importe qui ».
01:09:26Hier, Adrien Van de Bevereen s'en est très bien tiré, c'est exactement la même.
01:09:31C'est la roue arrière qui part, et lui, il n'est pas tombé.
01:09:35Parfois, on se demande comment ça se fait, et pourquoi ça tombe sur l'un ou sur l'autre.
01:09:41Et c'est pour ça que jusqu'au bout, ça va être intenable, parce que là, si c'était Van de Bevereen, c'était pareil.
01:09:46Stéphane, vous voulez avoir une image ? Le Gadda de Shareda ?
01:09:48Ah oui, oui, je trouve ça complètement…
01:09:50C'est quasiment le même terrain.
01:09:53Exactement, c'est vrai.
01:09:56Je ne sais pas si vous pouvez recaler l'image, c'est en haut à droite dans le conducteur.
01:10:02Allez, 5, 4, 3, 2, 1, 0, on l'appelle.
01:10:05Vous voyez, là, non, ce n'est pas ça, c'est en haut plutôt, voilà.
01:10:08Ah, on a eu la fin.
01:10:09Voilà, on a eu la fin.
01:10:11Vous êtes content Stéphane ?
01:10:12Merci Stéphane.
01:10:13Stéphane, et la prochaine fois, doucement, sur tes demandes.
01:10:16C'est de l'aventure, c'est de l'aventure.
01:10:17Ah, c'est de l'aventure.
01:10:18Avec un véhicule cassé pendant deux semaines et demie, je ne vois pas comment on peut nier le côté hallucinant.
01:10:24Non, mais surtout, je parle en profane, mais on se rend compte qu'en fait, tous les maîtres, quasiment, pour eux, il y a un danger.
01:10:32Il y a un piège.
01:10:33Alors que là, le terrain ne paraît pas spécialement piégeux, mais en fait, aux vitesses auxquelles ils vont,
01:10:37on se rend compte qu'un moindre petit saut, une petite pierre qui est là, et c'est terminé.
01:10:42Il a chuté à quelle vitesse ?
01:10:43Là, globalement, la vitesse maximum, c'est 170 km heure.
01:10:46On imagine, en voyant les images, qu'il ne doit pas en être très loin.
01:10:49Je dirais 150, quelque chose comme ça.
01:10:51Oui, c'est une poupée de chiffon.
01:10:52Et kilomètre 20.
01:10:53Il venait de partir.
01:10:54Il venait de se débarrasser.
01:10:56Au classement général, pas de changement au cas de première place.
01:10:59Mais je m'intéresse un peu à Van de Beveren, parce que c'est le français.
01:11:03On est un peu au cocardier.
01:11:04Il a fait deux chutes au début de Dakar.
01:11:06Il n'a pas rattrapé Benavides aujourd'hui, qui est quatrième au général.
01:11:09Sanders partira derrière lui demain pour la victoire finale.
01:11:13On l'aime bien.
01:11:15On est français.
01:11:16On souhaiterait qu'il gagne.
01:11:17Mais il faut l'oublier, notre ami Van de Beveren.
01:11:19Surtout pas.
01:11:20Surtout pas.
01:11:21Évidemment, il y a le côté Chauvin qui parle.
01:11:23Mais pour une fois, je pense qu'il est du bon côté de la stratégie.
01:11:26Il a l'expérience pour lui.
01:11:28Il a dit Dakar.
01:11:29Il était sur le podium l'année dernière.
01:11:30Il ne faut surtout pas l'enterrer, parce qu'il n'est qu'à 20 minutes, en fait.
01:11:33Et là, on l'a vu avec Tosha Charena.
01:11:35Il va se passer encore plein de choses.
01:11:37Et surtout, la chance qu'il a, c'est que ça va jouer dans les dunes.
01:11:40Et les dunes, c'est son terrain de jeu favori.
01:11:42C'est là où il est le meilleur.
01:11:43Il a gagné trois fois le Enduro World du Touquet.
01:11:45Et là, on l'a vu, il n'a plus de joker.
01:11:48Il a eu ce joker dans les dunes.
01:11:50Il a eu du mal à s'en sortir.
01:11:51On imagine bien la galère que c'est d'enlever une moto ensablée.
01:11:54Et ça, pour le coup, il ne va pas pouvoir le refaire.
01:11:56Là, avec 20 minutes de retard, il n'a aucun joker.
01:11:59Mais si devant, ça patine un petit peu.
01:12:02On peut avoir des surprises.
01:12:03Lui, il faut qu'il soit aux aguets.
01:12:04Et je pense que ce n'est pas fini.
01:12:05Je suis sûr qu'il y croit.
01:12:06Et j'y crois aussi, on va dire.
01:12:07Oui, j'y croyais.
01:12:08Et Sébastien Loeb, la saison prochaine, tu y crois ou pas ?
01:12:10Dans deux ans, dans trois ans, il va finir par y arriver.
01:12:14Il y a encore deux ans pour le faire avec Dacia.
01:12:16Les autos à présent.
01:12:17Changement de leader au classement général.
01:12:19Adios Latégan.
01:12:20Bonjour Yazid Alragy.
01:12:21En victoire aujourd'hui d'Alatia.
01:12:23Latégan, qu'est-ce qui s'est passé ?
01:12:25On se demandait depuis le début s'il allait craquer.
01:12:29Quand est-ce qu'il allait craquer ?
01:12:31Il n'a pas tout à fait craqué aujourd'hui.
01:12:33Mais on n'est quand même pas loin.
01:12:34Il s'est perdu dès le tout début.
01:12:36Il a eu deux crevaisons.
01:12:37Jusqu'ici, il n'a eu que des très bonnes journées.
01:12:39Là, c'était une journée galère.
01:12:41Donc là, il s'en sort très bien malgré tout.
01:12:43Il a sauvé les meubles.
01:12:44Mais jusqu'au bout, là, en plus, on arrive sur les dunes.
01:12:47Lui qui est sujet au mal de dune.
01:12:49Donc, ça va être très compliqué.
01:12:51C'est comme le mal de mer.
01:12:53Mais le mal des dunes.
01:12:54Puisqu'en fait, comme ils passent leur temps à faire ça,
01:12:57le yo-yo pendant 5 heures, à un moment donné,
01:12:59ils ne voient plus l'horizon.
01:13:00Et après, c'est vomito.
01:13:02On se met sur le côté.
01:13:03Donc, il fait le Dakar en ayant le mal de dune.
01:13:05Exactement.
01:13:06Ils sont de plus en plus à être sujet à ça.
01:13:08Parce que pour trouver des dunes, sauf si à Alençon, il y en a.
01:13:11Mais il n'y en a pas trop dans le coin.
01:13:13Donc, en fait, ils ne sont pas forcément habitués.
01:13:15Et en fait, à mesure que la journée avance,
01:13:17à force de faire le yo-yo, à un moment donné,
01:13:19le regard, l'horizon, c'est le plus important.
01:13:21Et quand on commence à faire ça tout le long, on ne l'a plus.
01:13:24Je vous demanderais simplement de respecter Alençon.
01:13:26C'est la dernière fois qu'on évoquera Alençon.
01:13:28Je ne suis pas très vallonné pour autant.
01:13:30Votre chouchou, c'est Alatia.
01:13:32Donc, 4e au classement général.
01:13:34Il a gagné l'étape.
01:13:36Hier, on s'est projeté.
01:13:38On a fait un peu de stratégie du Dakar.
01:13:40Parce que parfois, il vaut mieux ne pas gagner
01:13:42pour ne pas ouvrir la route le lendemain.
01:13:44Racontez-nous.
01:13:46Là, pour l'instant, on est dans la bonne stratégie.
01:13:48Tout s'est passé comme prévu.
01:13:50Il veut vous faire mentir parce qu'il voit bien que vous n'y croyez pas.
01:13:52Mais il va finir par y arriver.
01:13:54Aujourd'hui, tout s'est passé comme prévu.
01:13:56Il a gagné. Demain, il va partir devant.
01:13:58Et ça tombait bien pour lui.
01:14:00C'est ce qu'il voulait.
01:14:02Je pense qu'il est bien placé.
01:14:04Avec les galères de la Tégane, il se replace.
01:14:06Et là, de toute façon, il n'a plus le choix.
01:14:08C'est les dunes.
01:14:10On parle d'aventure.
01:14:12On parle d'aventure depuis tout à l'heure.
01:14:14Vous étiez choqué par ce que disait Greg.
01:14:16Moi, ce qui me choque dans le Dakar,
01:14:18c'est qu'il y a une iniquité totale
01:14:20entre les concurrents.
01:14:22Il y en a certains qui dorment
01:14:24dans des palaces.
01:14:26Et les autres dorment en tant que voitures.
01:14:28Ils ne sont pas là pour la même chose.
01:14:30C'est ça qui est bien.
01:14:32Je ne suis pas sûr qu'ils aient tous les palaces
01:14:34du gars...
01:14:36Du Saoudien.
01:14:38Moi, ça ne me choque pas parce qu'ils ne sont pas là pour la même chose.
01:14:40Il y en a qui sont là uniquement pour l'aventure.
01:14:42Qui sont 6 heures, 7 heures derrière.
01:14:44Ils n'ont rien à faire du temps. Ils sont là pour l'aventure.
01:14:46Et uniquement pour ça.
01:14:48Le Saoudien ou le Qatarien.
01:14:50L'aventure, il n'en a rien à faire.
01:14:52Je trouve ça dommage qu'ils ne soient pas
01:14:54dans les tentes avec les copains.
01:14:56Et même un des concurrents...
01:14:58Je ne regarde pas tout, mais ça m'arrive quand même.
01:15:00Il y a même un des concurrents
01:15:02qui le disait.
01:15:04C'est vrai que l'aventure,
01:15:06aujourd'hui, est quand même très différente.
01:15:08C'est un truc...
01:15:10Sur le Dakar, qu'est-ce que tu en dirais ?
01:15:12Est-ce que tu dis que les premiers,
01:15:14ceux qui sont là pour gagner, se moquent de l'aventure ?
01:15:16Quelle est leur démarche ?
01:15:18Si c'est le débat avec le Vendée Globe,
01:15:20ils ne prennent pas les mêmes risques malgré tout.
01:15:22Ils ne sont pas à 20 m sur le mât
01:15:24en pleine nuit, en pleine mer,
01:15:26avec des creux de 5 m.
01:15:28Le motard, c'est énorme.
01:15:30Le problème, c'est que c'est eux qui maîtrisent.
01:15:32S'il veut s'arrêter, il s'arrête.
01:15:34S'il décide d'aller moins vite,
01:15:36il va moins vite.
01:15:38En mer, la mer, c'est celle qui règle.
01:15:40Même si là, on arrive sur la mer de sable.
01:15:42Mais ce ne sont pas des vrais vagues.
01:15:44On est sortis un petit peu de notre sillon.
01:15:46Le président, qui a tous les droits,
01:15:48interpelle notre chroniqueur S.Dakar.
01:15:50Mais demain, comme Attila a gagné,
01:15:52c'est lui qui va ouvrir l'étape.
01:15:54120 km.
01:15:56Il va se faire déposséder.
01:15:58Peut-être, éventuellement,
01:16:00il va perdre un petit peu de temps.
01:16:02Est-ce qu'on peut avoir un scénario
01:16:04sur cette étape et sur cette fin d'étape ?
01:16:06Est-ce qu'on pourra avoir quelque chose
01:16:08qui pourrait faire réagir demain
01:16:10les chroniqueurs de l'équipe du soir ?
01:16:12A priori, il va se passer quelque chose
01:16:14d'assez spécial parce que,
01:16:16de ce qui se tramait ce soir
01:16:18sur le bivouac,
01:16:20il y a une stratégie à celui qui va être
01:16:22le plus malin. Parce que là, c'est que 120 km demain.
01:16:24120 km, c'est très court.
01:16:26Et en fait, ce qu'il faut faire,
01:16:28c'est absolument pas gagner demain.
01:16:30On s'y perd un peu,
01:16:32mais il ne faut pas gagner.
01:16:34Et l'aube, en début de Dakar,
01:16:36c'est même caché derrière un rocher
01:16:38pour ne pas gagner.
01:16:40On est un peu chez les fous.
01:16:42L'année dernière, le même lobe,
01:16:44donc il ne peut pas le faire cette année,
01:16:46il avait pris une pénalité de 15 minutes
01:16:48pour ne pas gagner. Donc là, demain,
01:16:50il peut se passer exactement la même chose.
01:16:52Et il y arrive d'ailleurs assez bien au final.
01:16:54C'est une stratégie qui fonctionne.
01:16:56Donc là, il va se passer quelque chose,
01:16:58c'est sûr.
01:17:00Mes amis, juste une dernière séquence.
01:17:02Il est bon quand même.
01:17:04Il y a trop de jeunes bons.
01:17:06Un peu insolent par rapport à l'ensemble.
01:17:08L'autre mission, c'est raconter le Dakar
01:17:10et aussi trouver une nouvelle bagnole
01:17:12à Stéphane Guy.
01:17:14Vous avez des propositions à lui faire.
01:17:16Vous m'avez dû donner du boulot.
01:17:18J'ai un peu cherché.
01:17:20Je pense qu'on a trouvé.
01:17:22Vous allez me faire votre petite sélection.
01:17:24Est-ce qu'une 2 chevaux vous plairait ?
01:17:26C'est la grande vadrouille.
01:17:28La 2 chevaux, on ne la prend pas.
01:17:30Est-ce que la Porsche, on la prend ?
01:17:32On voit qu'elle passe bien les dunes.
01:17:34Là, on serait bien.
01:17:36Pas très jolie.
01:17:38Et là, on voit que...
01:17:40Là, ça ne passe pas.
01:17:42Là non plus.
01:17:44En ville, ça fait du beaucoup.
01:17:46Ce n'est pas écolo-compatible.
01:17:48Vous êtes plutôt 2 chevaux, c'est ça ?
01:17:50Voilà, très bien.
01:17:52Je vous propose, on va aller la chercher
01:17:54et on la ramène à un lancement si ça vous va.
01:17:56En plus, sur la route,
01:17:58on va pouvoir faire comme des concurrents.
01:18:00Vous allez voir, on s'arrêtera quand même sur la route
01:18:02parce que l'Arabie Saoudite, ce n'est pas à côté.
01:18:04On pourra aller au McDo.
01:18:06J'en ai très galère.
01:18:08Vous conduisez ou vous êtes co-pilote ?
01:18:10J'irai la chercher.
01:18:12Et je vous ramènerai les frites comme ces concurrents.
01:18:14C'est la pause pour le Dakar.
01:18:16Mais restez avec nous parce que
01:18:18juste une dernière info, c'est le Mercato Express.
01:18:20Information, le Parisien de Benjamin Corrèze qu'on salue.
01:18:22Direction la Juve pour Randal-Colomogny.
01:18:24Les 2 clubs sont tombés d'accord.
01:18:26Le joueur a donné son accord.
01:18:28Ce n'est pas un transfert, mais après de 6 mois,
01:18:30la Juve a eu toutes les difficultés
01:18:32du monde à financer l'opération
01:18:34Le salaire de Colombogny au PSG,
01:18:36c'est 750 000 euros brut mensuel.
01:18:38Le salaire brut moyen à la Juve,
01:18:40c'est 400 000 euros.
01:18:42Dominique, une petite précision par rapport au deal
01:18:44qui est en train de se nouer ?
01:18:46Je ne sais pas qui prend en charge le salaire.
01:18:48C'est pareil.
01:18:50Si c'est un préssec, il ne faut pas non plus...
01:18:52Il avait quand même 4 concurrents.
01:18:544 courtisans.
01:18:56Il avait Tottenham, la Cémilan
01:18:58et Manchester United.
01:19:00Il n'a aucune raison d'être au salaire moyen
01:19:02pour donner à la Juve.
01:19:04Ce que j'ai expliqué, c'est pour expliquer
01:19:06les difficultés de financer l'opération.
01:19:08La moyenne ne regarde pas Colombogny.
01:19:10Pareil pour ne pas perdre sur toute la ligne
01:19:12sans option d'achat
01:19:14et sans salaire pris en charge.
01:19:16Colombogny à la Juve.
01:19:18C'est bien qu'il rejoue au foot.
01:19:20C'est bien qu'il rejoue au foot.
01:19:22C'est l'aventure pour Randall Colombogny.
01:19:24Allez, mes amis, on se quitte.
01:19:26Un dérapage non contrôlé.
01:19:28C'est de la faute du petit bloc.
01:19:30On a pris beaucoup de temps.
01:19:32On vous embrasse.
01:19:34A demain.
01:19:36Ciao.