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La journaliste Véronique Jacquier réagit sur le 4e influenceur algérien arrêté : «Il y a des choses qui se mettent en place pour rétablir le lien avec Alger et pour montrer que la France est forte et qu'elle essaye d'être ferme sur ses positions.»

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Transcription
00:00Je pense que le sujet n'est pas là. On a effectivement un ministre de l'Intérieur qui est droit dans ses bottes sur cette question.
00:05Quand on avait commencé à évoquer cette affaire des influenceurs algériens, même si le mot influenceur, effectivement, n'est pas complètement juste...
00:13On propose agitateur.
00:14Pardonnez-moi, on avait déjà évoqué...
00:16Pressure de haine.
00:17J'avais déjà évoqué qu'un, deux, trois, évidemment, il y en avait d'autres.
00:21Et au bas mot, il y en a sans doute une centaine qui répandent comme ça leur haine de la France sur les réseaux sociaux.
00:29Donc il est temps de les appréhender.
00:31Ce qui est intéressant, je trouve, c'est de voir en toile de fond ce qui se met en place diplomatiquement.
00:37C'est-à-dire le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrault, qui attend le feu vert d'Alger.
00:41Enfin, quand même, qui en tout cas a lancé l'initiative de se rendre à Alger pour tenter d'aplanir les tensions.
00:48Donc on voit qu'il y a quand même des choses qui se mettent en place pour remettre le contact, si j'ose dire, avec Alger.
00:57Et surtout pour montrer que la France est forte et qu'elle essaie d'être ferme sur ses positions.
01:04Alors, on l'a déjà évoqué ici. Pour autant, ça ne suffit sans doute pas.
01:08La balle est dans le camp du président de la République pour se montrer vraiment fort et ferme politiquement.
01:14Et pour montrer que l'État n'est pas faible. Mais ça, c'est une autre histoire.

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