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00:00Europe 1, 16h-18h, on marche sur la tête, Cyril Hanouna.
00:05On marche sur la tête sur Europe 1, bien entendu, 16h32, on est heureux d'être là, on est heureux.
00:12Il y a Fabien Lequeuve qui sera là, bien entendu, dans un instant, à 17h pour ses Info People.
00:17Il y a du lourd aujourd'hui, comme d'habitude, apparemment l'amour existe encore, il nous en parlera dans un instant.
00:22Olivier Lartigolle est là, il y a bien entendu Gauthier Lebré, il y a bien entendu Géraldine Maillet.
00:29Appelez-nous 01 80 20 39 21 et puis on va réagir à plein de sujets.
00:33Ceux qui veulent réagir à complément d'enquête, le complément d'enquête d'hier sur les OQTF, vous nous appelez.
00:38Et puis dans un instant, je vous raconterai ma rencontre avec Alexis Collère, le secrétaire général de l'Elysée.
00:44Je l'avais un petit peu bousculé, le même jour et le soir même, alors que je ne l'ai jamais rencontré de ma vie,
00:48je tombe sur lui au Parc des Princes.
00:51Vous n'attendez pas un truc de fou.
00:53Mais on veut tout savoir.
00:54Je préfère vous dire la vérité.
00:55Ah oui, bravo, ça c'est limiter à un bonjour, au revoir.
00:58On va en parler dans un instant.
00:59On veut tout savoir, regard, poignée de main, comment il était habillé, tout.
01:01On reste sur les OQTF pour l'instant.
01:03Moi, je veux bien répondre aux camarades d'Artigol.
01:05Qui a dit quoi ?
01:06Qui a dit que les OQTF avaient explosé, qu'on délivrait beaucoup plus d'OQTF qu'avant.
01:10Oui, forcément, l'immigration clandestine a explosé.
01:13Plus il y a d'étrangers en situation irrégulière, plus il y a d'OQTF.
01:16Ce n'est pas la volonté de délivrer plus d'OQTF qu'avant,
01:20c'est qu'il y a plus d'étrangers en situation irrégulière qu'avant.
01:23On connaît cet argument, mais y compris des gens de droite.
01:26Ça veut dire qu'il vaudrait mieux peut-être en délivrer un peu moins, en exécuter un peu plus.
01:32Parce qu'Alprès, en termes de ce qu'on peut appeler la politique du chiffre,
01:35quand tu donnes le bilan à la fin de l'année de ce qui est exécuté,
01:39c'est tellement indigne, famélique, que ça pose la question de la volonté politique réelle.
01:44C'est simplement ça que je disais.
01:46Là-dessus, on est d'accord, mais il ne faut pas cacher les chiffres en délivrant moins d'OQTF.
01:49Il faut les appliquer.
01:50Parce qu'après, si on s'aperçoit qu'on délivre moins d'OQTF pour avoir des meilleurs chiffres à la fin de l'année,
01:55c'est un problème.
01:56Le problème, c'est de raccompagner chez eux, ceux qui n'ont rien à faire en France.
01:59Ah ouais, non, il est de là.
02:00De toute façon, aujourd'hui, vous deux, là, vous ne le sentez pas.
02:02Non, non, non.
02:03Il y en a eu au moment de Bayrou à Matignon, et il n'y en a plus.
02:06Il y a des petits soucis, quand même.
02:07Allez, il y a des auditeurs qui sont avec nous pour réagir à ce complément d'OQTF.
02:12S'il vous plaît, s'il vous plaît.
02:13Christophe est avec nous, de Seine-et-Marne.
02:15Merci, Christophe.
02:16Merci à vous, Cyril. Bonjour à toute l'équipe.
02:19Merci d'être avec nous, Christophe, et bonjour à vous.
02:22Écoutez, moi, je voulais réagir simplement.
02:24J'ai fait pas mal de sauts de puce.
02:26J'ai vécu, j'ai travaillé en boulangerie aux États-Unis et au Canada.
02:28La question que j'aimerais poser à nos dirigeants,
02:31c'est comment font les Ricains, comment font les Canadiens, les Australiens ?
02:34Moi, j'ai des anecdotes là-bas, mais à la moins bêtise, ils déchirent votre passeport.
02:40Je vous le dis, je connais les Ricains, je connais les macaronistes,
02:42je connais les rosemifs pour dire que ça marche.
02:45Vous savez, moi, j'ai une histoire d'une connaissance là-bas.
02:51Ils sont venus frapper dans la nuit les services d'immigration
02:53pour voir si son mari, c'était marié avec un Français,
02:56pour voir si son mari était bel et bien là.
02:58J'ai un boulanger à Venice Beach qui a eu le malheur de sortir,
03:03de partir en vacances alors qu'il était en process d'avoir une carte verte.
03:08Il est parti au Venezuela au moment de rentrer,
03:10alors qu'il avait une boulangerie à Venice Beach depuis dix ans.
03:12Il dit non, monsieur, vous n'aviez pas le droit de sortir, vous ne rentrez plus.
03:15Donc là-bas, mais à la moins bêtise, même au Canada, c'est une histoire de poing,
03:19vous faites une bêtise sur la route, c'est un poing moins.
03:22Et voilà, on applique des lois de bon sens,
03:25vous ne respectez pas la loi, une fois, deux fois, trois fois, c'est dehors.
03:29C'est exactement ça, oui, on le sait.
03:31C'est vrai que...
03:32Et pourquoi chez nous, on...
03:35Alors justement, est-ce que vous avez des réponses à ce que demande Christophe,
03:38tiens, Olivier d'Artigolle, pourquoi chez nous ?
03:40Après, on va demander la vraie réponse à Gauthier Leroy, mais Olivier d'Artigolle...
03:43La fausse réponse à quoi, chez nous ?
03:44C'est une question de réponse judiciaire, c'est ça, monsieur ?
03:47Bah non, j'imagine, ouais, j'imagine.
03:50L'Europe aussi, il y a l'Europe qui bloque également.
03:54Bah oui, alors pour vous, Gauthier ?
03:56Non, mais là, on parlait d'abord des expulsions avant du laxisme judiciaire.
03:59Pourquoi est-ce que, par exemple, Donald Trump met la pression à la frontière avec le Mexique,
04:05quand nous, quand on est dans un conflit ouvert avec l'Algérie, on tend l'autre joue ?
04:09Bah, c'est la volonté politique, c'est aussi simple que ça, la volonté politique.
04:13Vous savez, Cyril, que je ne pense pas qu'on me contredira,
04:18mais les lois les plus dures en matière d'immigration aux États-Unis
04:21sont sorties en 1998 sous Clinton, notamment sur le mariage blanc.
04:26Clinton était un démocrate, donc Trump le vilain, le méchant,
04:30alors qu'il y a des lois qui ont été extrêmement strictes qui sont passées sous Clinton.
04:35Clinton, voilà, quoi.
04:37C'est sûr, il a tout à fait raison, Christophe, on ne va pas le contredire là-dessus.
04:42Géraldine Maillet ?
04:43Après, le problème, je trouve, en France, c'est qu'on est écrasé par l'idéologie,
04:46et à partir du moment où on parle d'immigration, on est raciste.
04:50On n'a même pas dit comment on voulait gérer le truc, on est raciste.
04:55Au QTF, on prononce le mot, c'est bon, t'es facho, t'es raciste, t'es disqualifié.
04:59Contrôle des frontières, oulalala, t'es raciste.
05:02On a bien vu qu'ils avaient enlevé des affiches parce qu'on disait que le meurtrier présumé de Philippines,
05:10était un au QTF, rappelé, Gauthier Lebray, qui avait enlevé les affiches.
05:13Bien sûr, c'est Anne Hidalgo qui était choquée par ces affiches,
05:16puisque sur les affiches concernant Philippines, il était mis tué par un au QTF.
05:22Et le simple fait de rappeler qu'il était sous obligation de quitter le territoire français,
05:27c'était être xénophobe.
05:29Et c'est un peu la petite musique que veut sous-entendre le complément d'enquête hier.
05:34Le simple fait de dire, si cet homme avait été expulsé, il n'aurait pas de fait tué Philippines,
05:41et donc ce meurtre n'aurait jamais dû se produire si le QTF était correctement appliqué,
05:46ça c'est être xénophobe pour le système, pour Jean-Michel Apathy, pour Anne Hidalgo.
05:50Mais donc c'est pour ça qu'on a reculé, qu'on n'a pas pris les bonnes décisions,
05:53parce qu'on avait peur d'être disqualifié et d'avoir ce procès en racisme.
05:57Et moi j'aimerais juste dire un truc aussi aujourd'hui, cet après-midi,
06:00c'est que parler des OQTF, ça n'est pas être contre les étrangers.
06:05Parler des frontières passe-soir, ça n'est pas être contre les étrangers.
06:09On n'essentialise pas les étrangers, on doit juste contrôler les gens qui sont là,
06:14et ce n'est pas une question d'étrangers ou pas étrangers.
06:16Merci, Christophe reste avec nous sur Europe 1.
06:19Et il y a Lucas qui veut réagir également des Vosges.
06:220180 20 39 21, on parle de ma rencontre avec Alexis Collère aussi, secrétaire général de l'Elysée.
06:28On revient dans une minute sur Europe 1, on est là.
06:3116h18, Cyril Hanouna sur Europe 1.
06:3516h18, on marche sur la tête, Cyril Hanouna.
06:40Allô, oui bonjour, merci Olivier Dardigolle qui me fait rire, côté Lebray exactement.
06:46Également Fabien Lequeuvre, Géraldine Mailly, merci.
06:49On est sur Europe 1 et Christophe est avec nous.
06:52Il y a d'autres auditeurs qui nous appellent, 0180 20 39 21,
06:55vous nous appelez bien entendu sur Europe 1 pour nous dire ce que vous avez pensé du complément d'enquête.
06:59Et puis on va parler d'autres sujets juste après bien entendu.
07:02Éric Piolle notamment, un maire de Grenoble qui veut trouver un moyen de vivre avec les dealers de sa ville.
07:06Ah oui, un modus vivendi.
07:08Ça c'est magnifique, c'est une des meilleures phrases de la semaine.
07:12Pépite.
07:12Je pense que c'est la meilleure phrase de la semaine, je la mets numéro 1.
07:140180 20 39 21 sur Europe 1, il y a Christophe qui réagissait aux OQTF.
07:20Je voulais juste rajouter une chose.
07:22Où est-ce qu'on met le curseur extrême droite ?
07:25Ça me fait rire avec l'extrême droite.
07:26Parce que quand il y a eu Pasqua qui a renvoyé pas mal de charteurs à l'époque,
07:32l'extrême droite n'existait quasiment plus.
07:35Si on ne veut pas d'extrême droite, déjà comment on qualifie effectivement quelqu'un d'extrême droite ?
07:40Mais à partir du moment où les gens ou retaillots ou d'autres vont appliquer des mesures de bon sens,
07:48l'extrême droite va disparaître.
07:50C'est tout simple, c'est aussi simple que ça.
07:52Mais voilà, la question aussi que je pose,
07:54à partir de quel curseur on vous qualifie d'extrême droite ?
07:59Vous voyez ce que je veux dire ?
08:00Si alors Le Pen ou Zemmour ou d'autres sont d'extrême droite,
08:05mais les lois américaines, quand je vous en parlais juste avant,
08:09mais à côté des propositions de Le Pen, sont bien pires.
08:13Donc à ce moment-là, l'Amérique est d'extrême droite,
08:15si on regarde les lois américaines en matière d'immigration.
08:19Bien sûr, exactement, je suis assez d'accord avec vous Christophe.
08:23On ne sait pas en fait, le problème qu'il y a aujourd'hui,
08:25c'est que comme a dit Géraldine tout à l'heure, je suis complètement d'accord avec elle,
08:28en fait vous ne pouvez pas parler d'immigration, vous ne pouvez pas parler d'OQTF.
08:31Non, ce n'est pas possible.
08:32Et puis au-delà de ça, dès que vous dites même aujourd'hui,
08:36quand on est anti-woke, on dit qu'on est des fachos,
08:40d'extrême droite ou des fachos, mais c'est incroyable.
08:43Il n'y a pas d'argument, on n'a que 2-3 mots à s'en dire,
08:47vous êtes fachos, vous êtes...
08:49Trouver des solutions surtout en fait, trouver des solutions pour les français,
08:53pour la sécurité, pour la maîtrise des frontières.
08:55La maîtrise des frontières, ce n'est pas un truc de droite ou de gauche,
08:58d'extrême droite ou d'extrême gauche.
08:59Même Thomas Guénolé, qui n'est pas forcément un mec de droite,
09:01il dit que tous les OQTF, ils n'ont rien à faire en France.
09:04Donc moi je trouve que ça devrait faire l'unanimité,
09:06d'où ce truc de faisons un référendum.
09:08Dans les enquêtes d'opinion, une écrasante majorité de ceux qui se reconnaissent dans la gauche,
09:14veulent de la sécurité, veulent que les OQTF soient exécutés,
09:18c'est que quelques dirigeants d'une partie de la gauche,
09:21qui sont sur un combat idéologique.
09:22On a l'impression qu'ils mènent le débat sur tout en fait.
09:25Regardez même Olivier d'Artigolles qui est quelqu'un d'intelligent,
09:27voilà, il parle de l'immigration, il parle de l'OQTF,
09:30même Julien Drey, exactement, pas bien sûr.
09:33Ils sont juste censés ces gens-là.
09:35Il y a Manuel Valls aussi, Manuel Valls.
09:38Exactement, mais c'est qu'il n'y a pas d'argument en face.
09:42Oui, t'es raciste, mais les blacks américains aujourd'hui aux Etats-Unis,
09:47on parle de, ce qu'a dit Trump aujourd'hui, c'est le mérite d'abord.
09:51On s'en fout de la couleur.
09:52Moi je m'en fiche qu'il soit bleu, blanc, voilà.
09:55C'est simplement qu'on respecte nos lois.
09:58Il y a des différences de cultures, mais la culture elle se fait à la...
10:02Enfin, voyez ce que je veux dire.
10:03Je pense que tout le monde est d'accord avec ça quoi,
10:05sauf effectivement à la fille qui a sa clientèle à positionner.
10:10D'un point de vue tout à fait pratique en fait,
10:12si vous partez par exemple d'un pays soit en guerre, soit pas en guerre,
10:16je sais pas, l'Afghanistan, la Syrie,
10:17vous traversez plein de pays pour arriver en France
10:20dans des conditions d'une immense précarité.
10:22Vous n'avez pas de papiers, vous n'avez pas de travail,
10:24vous n'avez pas de quoi vous loger.
10:25En fait, évidemment que c'est un aspirateur à insécurité, à délinquance.
10:29On n'essentialise pas l'étranger en disant que de fait, il est délinquant.
10:32Mais c'est juste qu'on n'a pas...
10:33Enfin, quelque part, on n'a pas le choix.
10:35Comme le disait tout à l'heure M. Dupont-Aignan,
10:37on n'a pas le droit de faire la liaison.
10:38En fait, on n'a pas de travail, on n'a pas de...
10:40Si vous l'avez fait, c'est que vous êtes de gauche.
10:41Ah voilà.
10:41Voilà, il n'y a pas de travail, il n'y a pas d'éducation pour eux,
10:44il n'y a pas de place dans les hôpitaux.
10:45Donc c'est très compliqué.
10:47Redites le nom de Nicolas Dupont-Aignan.
10:49Vous êtes de gauche.
10:51J'aurais une question lundi pour M. Retailleau.
10:54M. Dupont-Aignan.
10:56Il est en train de virer.
10:57Ah, il est en train de virer.
10:59Par rapport à ce que disait Gauthier tout à l'heure, il faut exécuter...
11:02Puisque vous êtes en train de nous dire
11:04que vous avez une question pour lundi pour Bruno Retailleau.
11:06Vous la poserez lundi, on est vendredi.
11:08J'ai essayé de la tester auprès de vous.
11:09Non, non, non.
11:11Moi j'ai confiance à 1000%.
11:12Franchement, Olivier Lartigonne, moi j'ai confiance.
11:15J'ai confiance.
11:16J'en aurais cru de la poser.
11:17Vous la poserez en direct, ne vous inquiétez pas.
11:18Lundi avec Bruno Retailleau sur Europe 1.
11:20Dès 16h.
11:22Franchement, non, non, non.
11:23J'ai confiance.
11:24J'ai une confiance absolument.
11:25Il est solide.
11:25Ne vous inquiétez pas, il est solide.
11:26Je peux vous dire, il est sur ses appuis.
11:28Merci.
11:30Merci Christophe d'avoir été avec nous sur Europe 1.
11:32Merci Cyril.
11:33Ça m'a fait bien plaisir.
11:34J'apprécie beaucoup.
11:36Autant je regarde très peu tes PMP,
11:37mais franchement, vous vous assurez sur Europe 1.
11:40Merci beaucoup.
11:41Il faut nous regarder aussi.
11:42Il assure sur tes PMP.
11:44Il a peut-être quelque chose à faire.
11:46Il a peut-être quelque chose à faire, Christophe.
11:47Merci Christophe.
11:49Il a une vie, Christophe.
11:50Faut le laisser, il a une vie.
11:51Merci.
11:52Merci Christophe d'avoir été avec nous.
11:54Merci Christophe.
11:55Vous avez bien raison.
11:56Je vous embrasse fort, Christophe.
11:57Merci d'avoir été avec nous sur Europe 1.
11:59Merci beaucoup.
12:00Merci.
12:01Ah, on a Gauthier Lebré d'abord,
12:03après on a Lucas qui veut nous parler.
12:04Oui, vous parliez du wokisme à l'instant.
12:06Effectivement, j'ai vu que le simple fait
12:08de critiquer le mouvement WOK
12:10pouvait choquer certains.
12:12Je rappelle que même le mouvement WOK,
12:14c'est comme le mouvement immigrationniste.
12:17Il était ultra minoritaire en Europe
12:19et même maintenant outre-Atlantique
12:21puisque avec la victoire de Trump
12:24et la démission de Trudeau,
12:26le wokisme a du plomb dans l'aile.
12:27C'est simplement parfois du bon sens
12:29quand je vois que Donald Trump
12:31veut empêcher que des femmes trans
12:35participent à des compétitions sportives
12:38avec d'autres femmes.
12:39C'est une question d'égalité et d'équité.
12:41C'est-à-dire que quelqu'un qui était un homme,
12:43qui est né homme,
12:44forcément, sportivement,
12:46ce n'est pas juste pour les autres femmes
12:48de le faire participer à la compétition.
12:50Ça me paraît assez logique.
12:51On a vu des compétitions aux Etats-Unis,
12:53notamment de course à pied
12:55où la femme trans doublait toutes les autres femmes.
12:58Parce qu'évidemment,
12:59les aptitudes physiques ne sont pas les mêmes.
13:01C'est normal.
13:02Après, s'il y a être anti-wok,
13:03c'est grâcier des gens qui sont entrés dans le Capitole
13:05avec des dossiers tous, pour le moins,
13:08très problématiques.
13:10Ça n'a rien à voir avec le wokisme.
13:13Le problème, c'est qu'il ne faut pas être
13:15dans l'idolâtrie pro-Trump
13:17qui fait quand même des choses très bordeurs.
13:19Il a grâcié 1 500 émeutiers.
13:21Mais ça n'a rien à voir,
13:23c'est deux sujets différents.
13:24Effectivement, je peux te rejoindre
13:26sur la grâce aux 1 500 émeutiers du Capitole
13:29qui peut choquer,
13:31parce que c'était une émeute au sein du Capitole.
13:33Et si 1 500 militants de la France insoumise
13:35faisaient pareil avec l'Assemblée nationale,
13:37on serait en debout.
13:38Donc là, je peux tout à fait te rejoindre.
13:39Il n'empêche que Donald Trump avait dit
13:41qu'il ne les lâcherait pas,
13:42puisqu'il les a quand même un peu poussés à y aller.
13:44Donc, c'était un peu de sa responsabilité.
13:46Vu qu'il ne les lâche pas,
13:47soit qu'il retourne à la Maison-Blanche,
13:48il les grâcie.
13:49Je suis complètement d'accord avec ça.
13:50Pas un vendeur de drogue, pardon.
13:55Et je suis d'accord avec Gauthier.
13:57Bravo Gauthier.
13:58Lucas est avec nous, dévoge.
13:59Salut Cyril et salut l'équipe.
14:01Merci d'être avec nous, Lucas.
14:03Bonjour, bonjour.
14:04Écoutez, Cyril.
14:05Moi, je suis aveugle.
14:07Et franchement, j'aimerais être
14:09comme Benahim, sourd.
14:11Non, vraiment.
14:12Comme Benahim, c'est énorme.
14:14Je vous assure, j'en peux plus.
14:15Tous ces walk et tout, on n'en peut plus.
14:17On n'en peut plus.
14:18Heureusement qu'il y a en marche sur la tête
14:20pour se reposer un petit peu les oreilles l'après-midi.
14:24Merci.
14:25C'est incroyable.
14:26Au QTF, ça ne divise pas la France.
14:29Au QTF, c'est quatre lettres.
14:30Et le O, ça veut dire obligation.
14:33Vous aimez le foot, Cyril, évidemment.
14:35Oui, j'aime bien.
14:36Bien sûr.
14:37Si un joueur prend un carton rouge,
14:39on l'expulse.
14:40S'il ne reste pas 30 minutes de plus dans le match.
14:41On est d'accord.
14:44Là, il prend un carton rouge,
14:45mais on lui dit, attends,
14:46tu vas sortir,
14:47mais peut-être à la deuxième mi-temps,
14:48mais ce n'est pas encore sûr.
14:49C'est ça.
14:50Tu casseras de la deuxième jambe,
14:51peut-être à la deuxième mi-temps.
14:52À la deuxième mi-temps,
14:53tu peux rester encore un petit peu.
14:54Il y a un vrai souci d'application.
14:57Il y a un vrai souci de justice.
14:58Et plutôt que d'entendre M. Piolle,
15:01vous allez en parler aussi,
15:02qui dit cette fois-ci extraordinaire...
15:05Il veut discuter avec les dealers.
15:06Voilà.
15:07Il veut discuter avec les dealers.
15:08Il veut demander en français un référendum
15:10sur la dépénalisation du cannabis.
15:13Nous, en fait,
15:14on aimerait des référendums
15:15sur les choses qui nous concernent,
15:16sur l'immigration,
15:17sur comment finir nos fins de mois
15:20sans être à compter les euros prêts.
15:23C'est ça qui nous intéresse.
15:24Et on a vraiment une classe politique
15:26qui est déconnectée,
15:28mais incroyable.
15:30C'est sûr.
15:31Il y a tout qui est hallucinant.
15:32Après, on a un complément d'enquête,
15:33on a le service public
15:34qui en rajoute une couche.
15:36Bon, vous savez,
15:37dès que ça ne va pas fort,
15:39je me refais le complément d'enquête sur vous,
15:41si ça va mieux après.
15:42Oh, merci.
15:43Oh, merci, Lucas.
15:44Ça me fait plaisir.
15:45C'est connectant, cette émission.
15:46Franchement, c'est connectant.
15:47Vous savez que moi,
15:48je ne l'ai vue qu'une fois.
15:49Une fois, j'étais avec des potes
15:50et on s'est dit,
15:51on va peut-être se le refaire.
15:52C'est toujours un bonheur,
15:53toujours un plaisir.
15:54Un plateau télé.
15:55Vous savez que,
15:56ce qui est énorme,
15:57je vous dis la vérité,
15:58je vous jure que c'est vrai,
15:59vous savez que c'est le record historique.
16:00Non pas que pour le complément d'enquête,
16:02même pour cette case-là,
16:04le jeudi soir sur France 2,
16:06on n'a jamais fait cette audience
16:07de toute l'histoire de France Télévisions.
16:093 millions, c'est énorme.
16:10Plus de 3 millions.
16:11C'est énorme.
16:12Et les replays, ça doit être hallucinant, non ?
16:13Ils sont arrivés à 4 ou 5 millions, je crois.
16:16C'est le record historique
16:17pour cette case-là sur France 2.
16:19Et je leur avais dit en plus,
16:20vous savez ce que je leur avais dit en plus sur France 2 ?
16:21Je leur avais dit,
16:22vous auriez dû en mettre en prime.
16:23Parce que ça fait 2 fois plus que le prime.
16:24Je leur avais dit,
16:25il fallait le mettre à 20h50.
16:26Vous auriez dû produire.
16:27Vous auriez dû produire.
16:28J'aurais dit,
16:29ils sont cons,
16:30ils ne m'écoutent pas.
16:31Ça a été décevant.
16:32Ils auraient fait 4 millions,
16:334 millions et demi en prime.
16:34Mais non.
16:35Il n'y avait rien.
16:36Bah oui, c'est con.
16:37Mais oui, mais bon,
16:38il y avait une promesse.
16:39Et c'était désormais parce que
16:41il était déçu.
16:42Il y avait une promesse de me faire chier.
16:43Vous savez,
16:44il n'y a pas grand-chose à dire en ce moment.
16:45Vous n'avez rien.
16:46Ah oui, vous me direz quoi ?
16:47J'ai deux balles de ping-pong.
16:48Merci.
16:49Non mais c'est vrai.
16:50Franchement, c'est vrai.
16:51Je ne fais rien.
16:52À part jouer au paddle.
16:53Et bon, voilà.
16:54Vous allez écrire vos mémoires un jour.
16:55Et croiser Alexis Colère.
16:56Exactement.
16:57Ah, Alexis Colère.
16:58On en parlera dans votre livre.
16:59Quel talent.
17:00Quel talent pour un maestro.
17:01Qu'est-ce qu'elle est forte.
17:02Lucas,
17:03merci d'avoir été avec nous sur Europe.
17:04C'était un bonheur.
17:06Et honnêtement,
17:07ça me ferait extrêmement plaisir
17:08une fois de venir
17:09dans des PMP
17:10ou dans l'émission.
17:11Est-ce qu'il y a un petit peu…
17:12Lucas,
17:13on va te caler tout de suite.
17:14On va te caler sérieux.
17:15T'es quelqu'un de dansé.
17:16Comme disait Philippe Laville.
17:17C'est pas grave.
17:18C'est vrai.
17:19On va te caler.
17:20Ne vous inquiétez pas, Lucas.
17:21On vous cale ça
17:22pour la semaine prochaine.
17:23La semaine prochaine.
17:24Lucas, avec moi.
17:25C'est fait.
17:26Merci, Lucas.
17:27Voilà.
17:28Non, la semaine prochaine.
17:29Je ne suis pas là.
17:30Semaine d'après.
17:31Je ne suis pas là.
17:32J'ai les championnats de France
17:34Je ne suis pas là.
17:35Je ne suis pas la semaine prochaine.
17:36Je voulais le dire aux auditeurs.
17:37La semaine prochaine,
17:38j'ai les championnats.
17:39Mais pas toute la semaine prochaine.
17:40Non, je ne suis pas là.
17:41Bien sûr que je suis là
17:42toute la semaine prochaine.
17:43Bien sûr que je suis là.
17:44Sauf vendredi.
17:45Et qui vous remplace vendredi ?
17:46Patrick Fiori.
17:47Merci.
17:48Est-ce que c'est vous
17:49qui choisissez votre remplaçant
17:50à Europe 1 ?
17:51C'est Europe 1 qui choisit.
17:52Vous avez votre mot à dire ou pas ?
17:53Je dis toujours oui.
17:54Je dis toujours oui
17:55car je suis pour que les gens
17:56s'amusent.
17:57Non, mais je crois que c'est
17:58Mickaël Dorian.
17:59Mickaël Dorian,
18:03c'est pas Verdez.
18:04Non, ça se raconte.
18:05On a pensé à Thomas Guénolé.
18:08Merci.
18:09Merci, Lucas.
18:10Je vous fais des gros bisous.
18:11Merci d'avoir été avec nous sur Europe.
18:12Merci, Thierry.
18:13Quel bonheur.
18:14Quel bonheur d'avoir
18:15des auditeurs comme ça
18:16qui connaissent tout.
18:17Vous avez vu ?
18:18Ils connaissent tout.
18:19C'est incroyable.
18:20Alexis Collet.
18:21Je vous explique.
18:22J'étais au Parc des Princes.
18:23J'étais au Parc des Princes.
18:25C'était pour le match
18:26PSG Manchester City.
18:28Je suis arrivé,
18:29bien entendu,
18:30à la fin de la première mi-temps.
18:31J'ai regardé trois minutes
18:32de la première mi-temps.
18:33Et ensuite,
18:34il y a un endroit
18:35où tout le monde se retrouve.
18:37Tous les gens qui sont...
18:38Les people.
18:39Non, qui sont là.
18:40Le carré.
18:41Le carré VIP.
18:42Ça s'appelle le carré.
18:43Les gens qui comptent.
18:44Non, non, non.
18:45Tout le monde compte.
18:46Les gens qui pèsent.
18:47Tout le monde compte.
18:48Mais là, c'est ça, moi.
18:49Tout le monde compte,
18:50tout le monde pèse.
18:51Oui, c'est vrai.
18:52Et donc, il y avait
18:53Victor,
18:54le basketeur.
18:55Oui, Beniamin.
18:56Qu'est-ce que vous avez dit ?
18:57Beniamin.
18:58Il y avait beaucoup de lettres.
18:59Merci, merci.
19:00Il y avait Victor, très sympa.
19:03Il y avait des stars américaines.
19:06Valérie Pécresse,
19:07vous l'avez dit hier.
19:08Il y avait Gaël Brown-Pivet,
19:09très sympa.
19:10Il y avait Valérie Pécresse,
19:12que j'ai vu passer,
19:13et repasser,
19:14et re-repasser.
19:15Et à un moment,
19:16elle a repassé.
19:17Très sympa, Valérie Pécresse.
19:18Très gentille.
19:19Et à un moment,
19:20je vois Alexis Colère.
19:22Alexis Colère,
19:23secrétaire général de l'Élysée.
19:25Secrétaire général de l'Élysée.
19:27Et je parle rarement de lui.
19:29Et bizarrement,
19:30l'après-midi,
19:31on avait dit qu'il partait de l'Élysée.
19:34Il y avait une rumeur comme quoi il partait.
19:35Et c'est vrai qu'on n'a pas été des guimauves.
19:40On a un peu bousculé, quand même.
19:42On ne va pas se mentir, Gauthier Lebray.
19:44Je n'ai pas le souvenir.
19:45Oh ben, vous avez l'avis parfois.
19:47On en parle dans un instant sur Europe 1.
19:49Tout de suite.