[#Journal] Le 19H30 du 28 Janvier 2025
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00:00Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs, bonsoir, ravi d'être en votre compagnie sur GMT TV
00:23pour votre nouvelle édition d'information.
00:25Avec une dette abyssale, une dégradation de sa note souveraine,
00:29le Gabon se trouve dans une situation financière compliquée.
00:33Vous suivrez dans ce journal le décryptage de José.
00:36Soyez les bienvenus.
00:38C'est l'une des grandes inconnues après la décision du gouvernement
00:42de fixer au 12 avril le premier tour de la présidentielle.
00:47À quelques mois des examens scolaires, la question du calendrier se pose avec acuité,
00:52bien que les autorités se montrent rassurantes.
00:56Au terme de nombreuses spéculations à propos de la date de la tenue de la présidentielle
01:01et contre toute attente, le Conseil des ministres du 17 janvier dernier
01:04a fixé cette date au 12 avril 2025.
01:08Si les éléments de langage côté gouvernement tiennent à une nécessité
01:12de sortir rapidement de l'état d'exception,
01:15il n'en demeure pas moins que ce chronogramme aura un impact sur le calendrier scolaire.
01:21Les craintes sont nombreuses à propos du chronogramme de la présidentielle
01:25déclinée par l'exécutif.
01:27Des voix s'élèvent tantôt pour relever que ce scrutin aura lieu en période pluvieuse,
01:32ce qui ne serait pas compatible avec le réseau routier du pays.
01:36C'est notamment ce qu'a laissé entendre Alain-Claude Bilebinze
01:39le samedi 25 janvier au cours de sa conférence de presse.
01:43Toutefois, la plus grande inquiétude vient du côté des élèves.
01:46Selon l'ancien premier ministre, ce chamboulement, qui à ses yeux,
01:50ne se justifiait pas, ne ferait qu'aggraver la situation des élèves,
01:55notamment ceux des classes d'examens,
01:57déjà négativement impactés par le déficit en enseignants.
02:02Pour le membre du gouvernement,
02:03l'accélération du calendrier de la transition était une nécessité.
02:07La date qui a été donnée correspond, au-delà du caractère indicatif,
02:13à la nécessité de revenir à l'ordre.
02:16Par principe, lorsqu'on dit qu'on revient à l'ordre,
02:18c'est qu'on est dans une situation de non-ordre.
02:21Et la communauté internationale, en pareille circonstance, est catégorique.
02:27Ceux qui s'intéressent davantage à la situation du Gabon
02:30vont aller dans le détail pour comprendre que ce que nous vivons n'est pas commun.
02:35Nous vivons quand même une transition particulière
02:38qui a bien des égards et différentes des transitions vécues dans d'autres pays.
02:41Donc, ceux qui ont un regard bienveillant
02:44vont, au-delà des sanctions qu'ils pourraient prendre sur notre pays,
02:48être souples et comprendre que, plutôt que de sanctionner,
02:51il y a lieu d'accompagner notre pays.
02:53Mais hélas, la majorité considère que,
02:56tant que nous ne sommes pas revenus à l'ordre constitutionnel,
02:59beaucoup de portes nous sont fermées.
03:01Si concernant le bouleversement inévitable du calendrier scolaire,
03:04Camélien Toutoumbe Leclerc n'a pour l'heure fait aucune déclaration,
03:09son collègue de l'intérieur se veut confiant
03:11quant aux dispositions appropriées qui seront prises.
03:15Une fois que cette date a été communiquée,
03:17le ministère en charge d'Education nationale
03:19va s'atteler à établir un nouveau calendrier scolaire,
03:22tenir compte de cela.
03:23Ce n'est pas la première fois que nous le faisons dans notre pays
03:26et je crois que nous, jusqu'à présent, nous en sommes assez bien sortis.
03:30Donc, le ministère d'Education nationale,
03:31qui est une administration bien organisée,
03:33va, de manière transversale avec d'autres ministères concernés,
03:36réajuster le calendrier qui sera connu
03:39et qui permettra aux parents de prendre les dispositions qui s'imposent.
03:43Sur cette question, Alain Mwagwadi, délégué général de la CONASICED,
03:48qui était de passage dans le loco,
03:51nous a donné son point de vue.
03:53Regardons.
03:54Bien, j'ai été un peu déçu de constater que
03:58les élections sont organisées
04:02en plein deuxième ou troisième trimestre, je voulais dire.
04:05Parce que je sais que les enseignants sont des
04:09hommes politiques, politiquement dans leur majorité.
04:12Ils sont souvent concernés par les joutes politiques.
04:16Mais également, beaucoup de Gabonais votent
04:21dans leur région de provenance ou d'origine.
04:25Donc, ils sont souvent obligés de voyager pour aller voter.
04:28Donc, le fait de positionner l'élection à cette période,
04:33à mon avis, ça pourrait perturber le fonctionnement
04:38normal de nos établissements.
04:40Et j'espère dans ce cas que l'administration va réaménager
04:45nos calendriers scolaires, peut-être déplacer
04:48les vacances de Pâques et les faire correspondre
04:51avec la période des élections.
04:54Mais bon, nous attendons le réagissement de ce calendrier.
04:57Parce que si ce n'est pas fait, je crois que ça va être
05:00près d'une semaine de perdu pour les enseignants
05:03qui seront impliqués politiquement et ceux qui seront
05:05en campagne sur le terrain.
05:07Je pense que nous devons sortir des paradigmes anciens.
05:13Il faut tout simplement que les élections soient organisées
05:17de manière transparente, qu'il n'y ait pas de contestation.
05:20Parce que c'est souvent la contestation des élections
05:22qui crée le trouble dans la vie du pays.
05:25Donc, nous souhaitons tout simplement que ceux qui seront
05:28chargés d'organiser ces élections vont le faire
05:31dans la transparence, dans l'équité, dans le respect
05:35de toutes les valeurs que nous, que le peuple gabonais
05:39souhaite commettre devant la scène.
05:41Donc, nous attendons voir.
05:43Mais nous appelons surtout le gouvernement qui organise
05:46les élections à tout faire, qu'il n'y ait aucune contestation
05:49afin que ceux qui seront perdants reconnaissent la victoire
05:55de ceux qui auront gagné cette élection.
05:57Non, malheureusement, cette question n'a pas
06:00encore été évoquée.
06:02Le ministre de l'Intérieur a communiqué sur la date
06:06des élections, mais le ministre de l'Education nationale
06:08ne s'est pas encore saisi du dossier pour dire clairement
06:13qu'est-ce qui sera fait.
06:14Mais quand cela ne tient, je crois que si les élections
06:17sont bien organisées, parce que les élections,
06:20c'est le samedi.
06:21Le dimanche, nous avons le temps de réorganiser
06:27les établissements.
06:28Le lundi, les enfants pourront repartir dans les salles de classe.
06:32Nous pensons que le plus important,
06:34c'est que les élections se déroulent sans aucun incident
06:36particulier.
06:37Je pense que le gouvernement a déjà décidé de la date
06:41des élections.
06:42Quand on a la date des élections, on connaît la date de lancement
06:46de la campagne.
06:47Logiquement, le réaménagement voudrait tout simplement
06:51que le calendrier scolaire tienne compte de cette marge-là.
06:54On n'a pas besoin de faire une quelconque communication
06:57ou tenir une quelconque réunion.
06:58Comme l'a dit quelqu'un, c'est le CTI qui dirige en ce moment
07:01le pays et, logiquement, ils font les choses pour le bien
07:05des Gabonais.
07:06Mais il ne faut pas seulement que les élections viennent
07:09une nouvelle fois perturber le fonctionnement
07:11des noticiers médicaux.
07:12Maintenant, comme je l'ai dit tout à l'heure,
07:16le calendrier des élections est connu.
07:19Il faut juste que les enseignants qui souhaitent faire campagne
07:24puissent avoir leur temps libre.
07:25Parce qu'imaginez-vous un enseignant qui a une salle,
07:28qui a un emploi du temps, qui fait cours,
07:30qui doit être en même temps sur le terrain politique,
07:32ça va être difficile.
07:33Parce qu'on ne peut pas exclure les enseignants de la lutte politique
07:37ou encore de l'organisation politique du pays.
07:39Ce sont les citoyens comme tous les autres.
07:40Il faut que ce calendrier leur permette d'exercer
07:44leurs activités sans pédaliser nos apprenants.
07:47Merci.
07:49En bref, dans ce journal, le parti démocratique gabonais
07:53tient son congrès le jeudi 30 janvier,
07:56après la phase de questionnement.
07:58Le parti de masse, qui se trouve dans une phase de reconstruction,
08:02entend désormais se doter d'une équipe dirigeante stable,
08:06en prélude aussi aux futures échéances électorales
08:09et pour peut-être espérer mettre un terme aux démissions en cascade.
08:14Des démissions, justement.
08:16Sachez que le dernier secrétaire général statutaire du parti,
08:20Steve Dzeko-Dzeko, a annoncé son départ du parti de masse,
08:25marquant ainsi une rupture avec la ligne défendue par la direction actuelle.
08:31Nous reviendrons plus en détail sur cette dense actualité
08:35au cours de nos prochains programmes.
08:37Passons à présent au décryptage de ce mardi avec José,
08:42qui nous parle de la situation du pays sur le plan financier
08:46et les mauvaises nouvelles qui s'accumulent.
08:48C'est à vous José Bilogué.
08:51La dette publique gabonaise s'élève à 7 075 milliards de francs CFA
08:55au troisième trimestre 2024,
08:57une légère baisse de 74,2 milliards par rapport à 2023.
09:01Cette diminution, bien que notable, s'apparente à un marin épuisé
09:05qui parvient à écoper un peu d'eau de son navire,
09:07mais dont la coque reste fragilisée.
09:11En parallèle, le Gabon encaisse une mauvaise nouvelle.
09:13L'agence Fitch Ratings a abaissé sa note souveraine à CCC.
09:18Dans le monde économique, cette note agit comme un bulletin de santé
09:22et avec une décote pareille,
09:23le Gabon est désormais perçu comme un malade à risque élevé.
09:27En clair, cela signifie que le pays a de grandes difficultés
09:30à honorer à ses dettes.
09:32Pour les investisseurs, c'est un signal rouge.
09:34Prêter au Gabon devient un pari risqué.
09:38Cette dégradation a des conséquences graves.
09:40Imaginez que la note d'un pays soit son score de crédit.
09:43Plus la note est basse, plus les prêteurs demandent
09:45des taux d'intérêt élevés pour compenser le risque.
09:48Résultat, les coûts d'emprunt financés explosent,
09:51rendant difficile le financement de projets d'infrastructures
09:54ou le remboursement des dettes existantes.
09:56C'est un cercle vicieux où l'argent coûte plus cher,
09:59aggravant les problèmes budgétaires.
10:02Cette situation est d'autant plus préoccupante que l'économie gabonaise
10:06reste dépendante du pétrole,
10:08comme un navire qui navigue avec un seul moteur.
10:11Et ce moteur s'essouffle.
10:13La baisse prévue des prix du baril à 70 $ en 2025
10:16risque de réduire considérablement les recettes pétrolières,
10:21laissant peu de carburant pour relancer l'économie.
10:24Depuis le changement de régime en 2023,
10:27le gouvernement a opté pour une politique budgétaire expansionniste,
10:31investissant massivement dans les infrastructures
10:34et recrutant de nouveaux fonctionnaires.
10:37Mais cette stratégie bien qu'ambitieuse a créé un déficit inquiétant,
10:41passant d'un excédent de 2,5 % du PIB en 2023
10:46à un déficit de 1,7 % en 2024.
10:50Les défis s'amoncèlent.
10:52Une économie trop dépendante des hydrocarbures,
10:54une conscience des investisseurs en berne
10:56et des échéances budgétaires qui s'apparentent à des vagues de plus en plus hautes.
11:01Pour éviter le naufrage, le gouvernement devra resserrer les voiles,
11:04diversifier l'économie, réduire les dépenses
11:07et restaurer la confiance par une gestion plus transparente et rigoureuse.
11:13En résumé,
11:15le Gabon est à la croisée des chemins.
11:17Soit il redresse la barre,
11:18soit il s'expose à un naufrage économique aux conséquences sociales dé-va-sta-trices.
11:25C'est tout pour votre décryptage aujourd'hui.
11:27À la semaine prochaine pour votre prochain numéro.
11:29L'Union pour la démocratie et l'intégration sociale,
11:33parti politique dirigé par Hervé-Patrick Opianga,
11:36a fait une sortie ce 28 janvier.
11:39Il était question pour la secrétaire permanente
11:42d'appeler au retour solennel de leur chef de file.
11:46L'Union pour la démocratie et l'intégration sociale
11:48a lancé un appel vibrant et solennel pour le retour de son président,
11:53Hervé-Patrick Opianga, dans une déclaration publique lue ce mardi 28 janvier 2025
11:58par la secrétaire permanente du parti, Léa Cynthia Amorissiani.
12:03Ce plaidoyer intervient dans un contexte de tension politique
12:07marqué par des accusations d'abus de pouvoir
12:10et de violation des droits fondamentaux.
12:13Le parti fustige l'intervention illégale et disproportionnée de la garde républicaine,
12:19ainsi que la perquisition qu'il estime illégale
12:22et la confiscation de biens personnels de grande valeur,
12:25renforçant ainsi l'idée selon Ludis d'un acharnement politique motivé
12:30par l'opposition de son président au référendum constitutionnel but 16 novembre 2024.
12:36Nous avons ainsi rappelé l'indisponibilité forcée de notre président,
12:41M. Hervé-Patrick Opianga,
12:45dont le domicile avait été encerclé par des hommes lourdement armés
12:50en date du 20 novembre 2024,
12:54au seul prétexte d'exécuter un ordre du parquet de la République
13:00dont nous ignorions qu'il pouvait ordonner la mise en branle de forces de troisième catégorie,
13:08notamment la garde républicaine.
13:11De même, la perquisition illégale du domicile de M. Hervé-Patrick Opianga,
13:19qui a conduit à la confiscation d'une importante somme d'argent,
13:24de nombreux bijoux et montres de très grande valeur,
13:28matérielle et symbolique.
13:32Le traitement très grave réservé à la famille de M. Hervé-Patrick Opianga
13:38et à certains de ses employés,
13:41a fini à nous convaincre qu'il a purement et simplement fait l'objet d'un attentat politique
13:50dont l'origine se trouve essentiellement dans la liberté exercée par notre parti
13:58en appelant à voter non au référendum constitutionnel du 16 novembre 2024.
14:06Face à cette situation, l'UDIS a, dans un plaidoyer adressé à la communauté nationale et internationale,
14:13rappelé que l'état de droit repose sur la préminence des lois
14:17et le respect des conventions internationales.
14:19L'état de droit est un concept juridique, philosophique et politique
14:27qui suppose la préminence dans un état du droit sur le pouvoir politique
14:35ainsi que le respect par chacun gouvernant et gouverné de la loi.
14:42Nous prenons à témoin la communauté nationale,
14:47la communauté internationale,
14:50dont les représentations diplomatiques sont légion au Gabon.
14:56De ce qu'aucune raison ne devrait permettre d'assumer de manière aussi grossière
15:03de piétiner la loi où les conventions internationales dûment signées et ratifiées.
15:12L'UDIS appelle solennellement au retour de son président, M. Hervé-Patrick Okianga.
15:21L'Union pour la démocratie et l'intégration sociale a salué
15:26la résilience de son président Hervé-Patrick Okianga
15:29et réaffirmé sa détermination à poursuivre le combat pour la justice et la vérité.
15:37Le code électoral nouvellement adopté consacre l'obligation pour les candidats à l'élection présidentielle
15:44de parler au moins une langue nationale.
15:46Les Gabonais ont leur avis sur la question.
15:49On a toujours voulu que notre pays soit géré par des autochtones,
15:52par ceux-là qui sont rattachés à leur terre et que ça, c'est une véritable souveraineté.
16:00Souveraineté en ce sens que c'est un enfant du pays qu'on doit avoir à la tête d'État,
16:04contrairement aux années passées ou du moins à celles qu'on a décriées dans le passé.
16:09Mais je trouve que vraiment, ça serait une bonne chose et cette condition-là doit s'étendre jusqu'à,
16:15comment dirais-je, elle doit s'étendre pour les générations futures et c'est une avancée significative.
16:21Je pense que l'initiative est à saluer parce que c'est déjà pour nous une manière d'inciter déjà,
16:26non d'abord les jeunes, les enfants, à pouvoir parler une langue vernaculaire,
16:30mais aussi à transmettre les valeurs culturelles parce que c'est ce qui fait notre identité,
16:38à transmettre des valeurs culturelles à toute la population et même à l'international pour dire qu'au Gabon,
16:44désormais, pour pouvoir accéder à la souveraineté ou encore au poste de président,
16:50il faut parler au minimum une langue vernaculaire.
16:54Pour moi même les deux, une ou deux, trois, pour moi c'est une initiative à saluer
16:58parce que ça permet à ce qu'on ne soit pas déracinés.
17:01Sachez que vous pourrez regarder l'intégralité de ce micro-trottoir à partir de 21h sur toutes nos plateformes.
17:08Une note de sport dans ce journal au terme du tirage au sort de la Coupe d'Afrique des Nations 2025.
17:15Le Gabon, qui avait passé l'étape des qualifications,
17:18se retrouve dans le groupe F avec le Cameroun, le Mozambique et le ténant du titre, la Côte d'Ivoire.
17:38Le Gabon, qui avait passé l'étape des qualifications, se retrouve dans le groupe F avec le Cameroun, le Mozambique et le ténant du titre, la Côte d'Ivoire.
17:45Le Gabon, qui avait passé l'étape des qualifications, se retrouve dans le groupe F avec le Cameroun, le Mozambique et le ténant du titre, la Côte d'Ivoire.
17:52Le Gabon, qui avait passé l'étape des qualifications, se retrouve dans le groupe F avec le Cameroun, le Mozambique et le ténant du titre, la Côte d'Ivoire.
17:59Le Gabon, qui avait passé l'étape des qualifications, se retrouve dans le groupe F avec le Cameroun, le Mozambique et le ténant du titre, la Côte d'Ivoire.
18:06Le Gabon, qui avait passé l'étape des qualifications, se retrouve dans le groupe F avec le Cameroun, le Mozambique et le ténant du titre, la Côte d'Ivoire.
18:13Le Gabon, qui avait passé l'étape des qualifications, se retrouve dans le groupe F avec le Cameroun, le Mozambique et le ténant du titre, la Côte d'Ivoire.
18:20Le Gabon, qui avait passé l'étape des qualifications, se retrouve dans le groupe F avec le Cameroun, le Mozambique et le ténant du titre, la Côte d'Ivoire.
18:27Le Gabon, qui avait passé l'étape des qualifications, se retrouve dans le groupe F avec le Cameroun, le Mozambique et le ténant du titre, la Côte d'Ivoire.
18:34Le Gabon, qui avait passé l'étape des qualifications, se retrouve dans le groupe F avec le Cameroun, le Mozambique et le ténant du titre, la Côte d'Ivoire.
18:41Le Gabon, qui avait passé l'étape des qualifications, se retrouve dans le groupe F avec le Cameroun, le Mozambique et le ténant du titre, la Côte d'Ivoire.
18:48Le Gabon, qui avait passé l'étape des qualifications, se retrouve dans le groupe F avec le Cameroun, le Mozambique et le ténant du titre, la Côte d'Ivoire.
18:55Le Gabon, qui avait passé l'étape des qualifications, se retrouve dans le groupe F avec le Cameroun, le Mozambique et le ténant du titre, la Côte d'Ivoire.
19:02Le Gabon, qui avait passé l'étape des qualifications, se retrouve dans le groupe F avec le Cameroun, le Mozambique et le ténant du titre, la Côte d'Ivoire.
19:09Le Gabon, qui avait passé l'étape des qualifications, se retrouve dans le groupe F avec le Cameroun, le Mozambique et le ténant du titre, la Côte d'Ivoire.
19:16Passons à présent aux chiffres du jour. Il s'agit de deux.
19:20C'est le nombre de députés de l'étranger fixés par le nouveau Code électoral, dont un pour l'Afrique, pour la zone Afrique, et l'autre qui représentera les compatriotes du reste du monde.
19:33Parler au nom des populations, au nom des Gabonais, est une grande responsabilité.
19:39C'est pourquoi le Code électoral fixe la caution à 30 millions de francs CFA pour marquer un caractère solennel et particulier à la fonction de président de la République, mais également pour décourager les candidatures fantaisistes.
19:54Cette déclaration est de Herman Imongo, ministre de l'Intérieur et de la Sécurité, qui tenait une conférence de presse samedi dernier.
20:03C'est ainsi que se termine ce journal. Retrouvez José Bilogué demain pour votre édition d'information de la Maisonnet. Quant à moi, je vous donne rendez-vous à partir de 19h30. Bonne soirée chez vous.