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00:00Oui, à rajouter au chaos déjà créé par la dissolution, mais vous en avez rajouté beaucoup.
00:06Et l'incertitude qui plane indéfiniment sur les gouvernements en rajoute beaucoup,
00:10alors que les Français, d'abord, étaient plutôt contents du gouvernement Barnier.
00:15N'importe quoi !
00:16Bah si, c'est vrai.
00:17Il était plus opportunaire que Attal.
00:19Mais c'est faux.
00:20C'est totalement vrai.
00:21Mais c'est faux.
00:22Mais c'est n'importe quoi.
00:23Mais c'est faux.
00:24Mais on reprendra les soins.
00:25Vous pouvez reprendre tout ce que vous voulez.
00:26Il n'y a aucun problème.
00:27Donc en réalité, vous êtes dans une forme de...
00:28Vous donnez beaucoup de leçons, mais vous êtes dans une forme de désinvolture.
00:29On essaie de donner des leçons depuis ce plateau toute la journée.
00:32De désinvolture politique.
00:33Et vous vous foutez de la situation concrète des Français qui, eux, vivent effectivement
00:38le gel des jambonges, le gel des...
00:41Ah voilà, ça c'est l'argument massif qu'on avait plus.
00:43Bah oui, c'est l'argument massif, oui.
00:44Bah oui, c'est l'argument qu'on avait plus.
00:45J'en ai bien d'autres.
00:46Oui, mais moi, je suis dans la réalité, vous voyez.
00:47Moi, je suis indépendant.
00:48Vous êtes sur les plateaux.
00:49Bah non, pas du tout.
00:50Vous vivez de pré-bandes.
00:51Pas du tout.
00:52Je suis un avocat.
00:53De quel pré-bande ?
00:54Vous êtes sur les plateaux gratuits.
00:56Bon, ça vire au règlement de compte, on va peut-être...
00:59Non, mais ça vire au n'importe quoi.
01:01Moi, je suis dans la réalité.
01:02Je suis un petit chef d'entreprise indépendant.
01:04Mais vous n'êtes pas un chef d'entreprise.
01:05T'as un fils à papa.
01:06Si, pas du tout.
01:07Je suis conventionné par le système.
01:09Mais pas du tout.
01:10Pas du tout.
01:11Je suis un chef d'entreprise indépendant.
01:12Quand vous aurez créé un emploi...
01:14Bon, allez, on va avancer.
01:15Je crois que...
01:16Quand vous aurez gagné un centime d'argent...
01:17On va avancer parce que sinon, on ne va pas se ressortir et ça va durer encore plus longtemps.
01:20Vous gagnez, vous gagnez.
01:22Alors, attendez, attendez, attendez.
01:23Non, moi, je crois qu'il y a bon désinvolture politique.
01:26Et les Français qui nous regardent doivent savoir qu'ORN, on se fout complètement de leur situation.
01:31On fait de la propole.
01:33Et il n'y a que ça qui nous intéresse et notamment qui intéresse M. Tanguy.
01:36Très bien, très bien.
01:37Ça, c'est dit.
01:38Donc, la censure est soutenue par les Français.
01:40Dans nos circonscriptions, nous faisons des voeux.
01:42Donc, vous n'aurez pas la main qui tremble si vous votez la censure.
01:45Les gens sont massivement en soutien, évidemment, de nos actions.
01:48Et la désindexation, puisque M. Consigny est très proche des gens,
01:51je peux vous dire que quand vous avez une retraite de 1500 euros,
01:53la désindexation, ça ne passait pas.
01:55Quand vous avez une retraite de 1500 euros, vous avez envie que le système soit pérenne.
01:59Et vous, vous voulez retenir la retraite dans cette circonscription ?
02:01S'il vous plaît, s'il vous plaît.
02:02Il faudra casser le système par épargne.
02:04Oui, c'est ça, bien sûr.
02:05Jean-Philippe Tanguy, Jordan Bardella, dans ses voeux, dans ses voeux.
02:10Arrêtez, s'il vous plaît, ne faites pas une émission à deux.
02:12Les mecs ont jamais bossé, qui bosseront jamais.
02:14Les téléspectateurs qui nous regardent, ne faites pas une émission à deux.
02:16Vous n'êtes pas dans votre salon en train de débattre tous les deux,
02:17donc j'aimerais quand même qu'on puisse avancer et dérouler cette interview.
02:19Non, mais c'est un mépris, pas de prestige.
02:21Jean-Philippe Tanguy, Jordan Bardella, dans ses voeux, a dit qu'il était inévitable de convoquer des législatives.