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00:00C'est un honneur d'être notre invité.
00:03C'est un de mes amis de la maison.
00:06Nous voulons vous présenter à votre maison.
00:09Je suis Asou, on s'appelle Gaye.
00:13On s'appelle comme ça.
00:15Il veut juste parler.
00:18C'est vrai, il ne veut pas parler.
00:21Il veut juste parler de construire.
00:24C'est vrai.
00:25C'est pour ça que je t'appelle comme ça car tu es le coordinateur.
00:31Nous devons juste parler de l'actualité de l'immigration circulaire.
00:37Tout d'abord, il faut comprendre l'histoire du Sénégal.
00:42Qu'est-ce qui s'est passé au Sénégal et pourquoi est-ce qu'on est là aujourd'hui?
00:48Je suis Asou, on s'appelle Baba Kare et on s'appelle comme ça.
00:57L'immigration circulaire est une partie de l'immigration.
01:03On a signé des conventions et des mémorandums d'attente.
01:09On a permis d'accéder aux droits de l'immigrant.
01:15On a aussi permis d'accéder à certains secteurs comme le bâil, la manufacture etc.
01:21On a permis d'accéder en un temps donné.
01:25On a permis d'accéder au maximum à 6 mois.
01:32On a aussi permis d'accéder aux emplois.
01:39On a aussi permis d'accéder à un personnel de main-d'oeuvre.
01:46On a aussi permis d'accéder à des conventions.
01:52L'immigration circulaire est un levier de l'immigration irrégulière.
01:59On dit que l'immigration circulaire est pour le chômage mais ce n'est pas le cas.
02:04L'immigration circulaire est un levier pour lutter contre l'immigration irrégulière.
02:09Il y a des leviers pour lutter contre le chômage et d'autres pour lutter contre l'immigration irrégulière.
02:16Si vous vous souvenez, le Président de la DPJ a dit que l'immigration circulaire
02:22est un levier pour lutter contre le chômage.
02:26L'un d'entre eux développe l'économie réelle pour lutter contre le chômage.
02:32L'autre développe l'assurance sur le plan juridique pour les trafiquants d'immigrants.
02:39L'autre développe la promotion de l'immigration légale.
02:43Le pacte de Marrakech l'a dit.
02:49L'immigration circulaire est pour lutter contre l'immigration irrégulière.
02:55C'est ce qu'on appelle l'immigration circulaire.
03:00C'est l'immigration légale.
03:10C'est ce qu'on appelle l'immigration circulaire.
03:13Le Sénégal a fait ce qu'il a fait depuis longtemps.
03:17On n'a pas pu y aller depuis septembre 2008.
03:20Malheureusement, on n'a pas pu y aller depuis.
03:24Il y a eu des suspensions.
03:26Je vais vous parler de ce qu'il s'est passé en 2019.
03:33Les conventions de Sénégal et d'Espagne
03:39On a eu des conventions d'entente.
03:42Je parle du 9 avril 2021.
03:45C'est le 9 avril 2021 qui représente l'Espagne.
03:51C'est le 9 avril 2021 qui représente l'Espagne.
03:53C'est le 9 janvier 2023.
04:00Le ministère des affaires étrangères et de Sénégal
04:06a signé une carte d'entente avec l'Etat espagnol.
04:09Au mois de juin, il y a eu une déclaration d'entente
04:15avec l'Etat espagnol.
04:20La dernière convention date du 29 août 2024.
04:28Si vous vous rappelez bien,
04:32il y a eu deux conventions pour la lutte contre la migration irrégulière.
04:41Deuxièmement, c'était la migration circulaire.
04:45Mme Yacine Fall a signé la carte d'entente.
04:48Le ministère l'a signé mais le général a pas signé.
04:52C'est la migration circulaire.
04:57Ce qui est important à comprendre
05:02c'est que les Sénégalais ont déjà une migration circulaire.
05:08J'ai entendu Djalo dire que la migration circulaire n'existe pas au Sénégal.
05:16Mais les jeunes n'avaient pas d'informations.
05:20La migration circulaire est venue cette année
05:23et on a publié les risques pour les jeunes.
05:31Donc, tous les Sénégalais doivent avoir un droit à l'information.
05:38La migration circulaire est un droit à l'information.
05:43Si on lance la migration, on peut déposer plus de 20000 postes par an.
05:52Aujourd'hui, on dépose plus de 127 000 postes pour 2 000 personnes.
06:00C'est donc légal et logique pour les Sénégalais.
06:04En réalité, la migration circulaire n'existe pas.
06:11Le Sénégal a fait une erreur.
06:15En réalité, la migration circulaire n'existe pas.
06:21C'est pourquoi on ne peut pas dire qu'il n'y a pas d'information.
06:26Mais je suis en 2019 et il y a 47 personnes.
06:33En 2023, il y aura 123 personnes.
06:41En 2024, il y aura 150 personnes.
06:50Qu'est-ce qu'on va faire?
06:52On va demander à l'ambassadeur espagnol de ne pas mobiliser tout un état
06:58et les ministres pour qu'ils mobilisent les personnes.
07:03Parce qu'en Sénégal, c'est plus facile.
07:06Parce qu'il y a très peu de gens qui veulent le mobiliser.
07:09Lorsque l'ambassadeur espagnol est parti, on a décidé de le mobiliser.
07:14Aujourd'hui, il y en a 370.
07:22C'est pour ça qu'il y a des chiffres de mobilisation.
07:33C'est pour ça qu'on l'a doublé.
07:36On a fait ça depuis des centaines d'années.
07:42On a fait tout ce qu'on pouvait au départ.
07:47On ne peut pas tout utiliser.
07:49On peut mobiliser des centaines de personnes.
07:53Mais le taux de retour qu'on avait l'année dernière
07:56n'était pas aussi élevé que l'année précédente.
08:00Parce qu'on a vraiment besoin de ce qu'on a fait pour Maroc.
08:06La migration circulaire a été faite par l'Italie et l'Italie par la France.
08:15Le Venezuela, le Canada, l'USA etc...
08:21C'est ce qu'on a fait pour Maroc.
08:23Chaque année, Maroc déploiera 14 000 travailleurs saisonniers vers l'Espagne.
08:34On ne les a pas reçus.
08:36C'est ce qu'on va développer sur le plan économique.
08:42On a fait tout ce qu'on pouvait pour Maroc.
08:47C'est pour ça qu'on a vérifié l'orientation du débat.
08:52On a fait tout ce qu'on pouvait pour Maroc.
08:58Mais on a eu l'opportunité de faire cette migration légale.
09:04On parlait de cette migration irrégulière.
09:11On a même parlé de la migration circulaire.
09:16On a eu des informations mais je n'ai pas eu l'occasion d'en prendre.
09:23Je l'ai reçue et j'ai fait mes placements.
09:28Mais je n'ai pas eu l'espoir d'y aller.
09:32Malgré tout ce qui s'est passé, on a eu l'occasion d'y aller.
09:38C'est grâce à Dieu qu'on a eu l'occasion d'y aller.
09:46Maintenant, tout le Sénégal a l'espoir d'y aller.
09:54Quels sont les critères de choix?
09:55D'abord, on prend les ouvriers agricoles.
10:07Il y a eu un bémol dans le passé.
10:10Les espagnols ont besoin d'ouvriers agricoles.
10:18Ils ont déposé des techniciens agricoles.
10:24Ils ont même des diplômes et ils n'en ont pas besoin.
10:29Ils ont besoin d'ouvriers agricoles pour qu'ils puissent s'entraîner.
10:37Deuxièmement, il faut être âgé de 25 à 55 ans.
10:44Troisièmement, il faut être apte pour le travail.
10:48Donc, le Sénégal a un rôle à jouer.
10:52L'état du Sénégal doit recueillir ce qu'il dépose.
11:02Il a une pression sur l'espagnol.
11:06En réalité, les espagnols peuvent choisir.
11:09Mais on doit s'assurer de ce qu'ils choisissent.
11:16C'est pour ça que le Sénégal a besoin de l'information.
11:24C'est pour ça qu'il a décidé de déposer cette information.
11:29Il s'est dit qu'il n'allait pas le faire et qu'il allait la déposer.
11:37Il a dit qu'il allait la déposer.
11:42Le dépôt est déjà déposé dans le Sénégal.
11:47Il n'y a plus de sens de la déposer au Sénégal.
11:52Mais il y a toujours l'espoir de la déposer car on ne peut pas le laisser tomber.
11:59Donc, l'espoir du Sénégal permet de lutter contre cette migration irrégulière.
12:05Comment avez-vous réagi sur les dépôts et dossiers?
12:09On a entamé un dépôt physique.
12:14Il nous en restait jusqu'à 10.000 le premier jour.
12:18Il y avait 10.000 dépôts.
12:20Donc, on a eu l'espoir de le corriger.
12:28C'est ce qu'a dit Abimbo, tu as raison.
12:30On a eu l'espoir de le corriger.
12:33C'est une mauvaise histoire, on ne peut pas la laisser tomber.
12:36Vous avez dit qu'il y avait des dépôts passifs.
12:38Je vous donne des chiffres clairs.
12:45Si vous faites l'analyse, vous verrez que c'est vrai.
12:51Il y a 18 à 19 millions d'habitants au Sénégal.
12:55Si vous le comptez, il y a presque 60% de jeunes qui ont des dépôts.
13:01Si vous comptez les 35 ans, il y a 13.300.000 jeunes qui ont des dépôts.
13:10Sur ces 3.300.000, il y a 10.000 jeunes qui ont des dépôts.
13:13C'est la ratio.
13:16Le taux de rechemence est de 20,3%.
13:20Si vous le comptez, il y a presque 3 millions de jeunes qui ont des dépôts.
13:28Comparer ces 3 millions avec les 10.000 jeunes qui ont des dépôts.
13:3510.000 pour le moment mais ça peut évoluer.
13:38Ce n'est pas plus que 30.000, vous le savez.
13:42Donc, vous ne comptez pas.
13:45Mais ça n'a pas déjà été fait.
13:48Ce qui m'intéresse le plus
13:53c'est de comprendre les gens.
13:55Quand on parle de jeunes, on parle de jeunes qui ont des dépôts.
14:00Mais ce n'est pas le cas ici.
14:02On peut dire qu'il y a 13.300.000 jeunes qui ont des dépôts.
14:09Mais ces jeunes-là ont un arc-en-ciel de profil au Sénégal.
14:19Ils ont des profils de fonctionnaires, d'enseignants et d'autres choses.
14:39Est-ce que c'est un désespoir pour les enseignants et les fonctionnaires?
14:45C'est-à-dire qu'il n'y a plus d'espoir pour les enseignants et les fonctionnaires.
14:50Est-ce que c'est un désespoir pour les enseignants et les fonctionnaires?
14:55Au contraire, ce n'est pas un désespoir.
14:57Je m'explique.
14:59C'est un désespoir pour les enseignants et les fonctionnaires.
15:05C'est un désespoir très basique.
15:11Ce n'est pas un désespoir.
15:15Je pense que c'est un désespoir pour ceux qui ont été enceintes par l'amigration légale.
15:25C'est un désespoir pour ceux qui ont été enceintes par l'amigration légale.
15:29Si Dieu le veut, il peut les laisser en Espagne pendant 3 mois.
15:35En pleine année scolaire?
15:36Non, j'y vais.
15:37C'est un désespoir pour les enseignants et les fonctionnaires.
15:40Non, c'est un désespoir pour les enseignants et les fonctionnaires.
15:44Mais les enseignants et les fonctionnaires sont en train de faire un autre concours.
15:49Les enseignants et les fonctionnaires sont en train de faire un autre concours.
15:53Mais il y a beaucoup d'entre nous qui savent que j'ai travaillé dans l'amigration.
15:59Je n'ai jamais politiqué l'amigration parce que j'étais en Espagne.
16:07Donc, il faut qu'on s'intéresse à l'amigration pour qu'on puisse analyser l'amigration.
16:14On a tous des désespoirs.
16:18Mais si les enseignants et les fonctionnaires veulent aller en Amérique
16:24est-ce qu'on peut les laisser en Espagne pour qu'ils puissent s'occuper d'eux-mêmes?
16:30On a l'impression qu'on peut en avoir plus.
16:32C'est une très bonne question.
16:34Aujourd'hui, on doit faire en sorte que les gens qui sont là
16:40puissent voir qu'ils travaillent pour eux-mêmes.
16:43C'est ce qui m'intéresse le plus.
16:46Il faut appuyer vraiment sa politique
16:51pour qu'ils puissent s'occuper d'eux-mêmes.
16:55Pour qu'ils puissent s'occuper d'eux-mêmes.
17:01Deuxièmement, il faut qu'ils puissent s'occuper d'eux-mêmes.
17:08Troisièmement, il faut qu'ils puissent s'occuper d'eux-mêmes.
17:12C'est très important de déposer ces débats.
17:18Il y a deux choses à faire en Amérique.
17:22Les gens qui sont là
17:24devraient donner les moyens qu'il faut
17:27pour mettre en place les politiques qui sont là.
17:32Les politiques d'ampouloir.
17:35Ils sont en train de sortir.
17:38Si on a 1800 milliards, ils vont sortir.
17:42Comme pour les migrations circulaires, ils doivent sortir.
17:46Ils doivent arrêter de faire de l'information.
17:52Je donne des preuves.
17:54Il n'y a pas moins d'un mois
17:58que notre département a financé des projets.
18:02A hauteur de 860 millions.
18:04Avec 111,91% de projets.
18:08Les gens qui sont là,
18:12ils ont inhalé leurs capacités professionnelles
18:15et leurs connaissances.
18:17Quand ils sont partis, ils ont appris des choses.
18:22Ils ont réalisé des projets.
18:25C'est la réintégration.
18:27Mais ils ont le financement.
18:30Ils ont le système qu'ils devraient s'occuper d'eux-mêmes.
18:34Parce qu'ils ont accompagné les gens jusqu'à aujourd'hui.
18:42Ils sont tous venus pour nous.
18:44Mais ils ne sont pas venus pour qu'on aille à l'étranger.
18:48Ils sont venus pour qu'on sache qu'ils sont là pour nous.
18:53Il n'y a pas d'importance de les suivre.
18:56Merci beaucoup.
18:57Tu parles de l'espoir de transparence, il y a beaucoup de choses à déposer.
19:03Quelle est la méthode la plus facile à utiliser?
19:07Pour qu'on sache qu'on va aller à l'étranger.
19:11Quelle est la question de choix?
19:14Il faut savoir les critères de base.
19:20Est-ce que tu travailles dans l'agriculture?
19:22Tu n'as jamais travaillé?
19:24Oui, il n'a jamais travaillé.
19:26Il est éligible encore.
19:28Donc il faut savoir ça.
19:33Est-ce que tu es un homme?
19:36Tu veux dire que je suis un homme?
19:38Parce qu'avec ces critères, il y aura une sélection.
19:42Une sélection après?
19:43Oui, une sélection.
19:46Donc la procédure sera plus longue.
19:48Elle peut être longue mais elle ne sera pas longue.
19:51Parce qu'il y a aussi de la transparence.
19:54Il y aura une sélection et une sélection.
19:56Tu sais ces critères qu'on utilise aujourd'hui?
20:00Si tu es un homme, tu peux faire la sélection.
20:03La sélection de la presse, c'est la différence entre nous et les espagnols.
20:08On ne s'est pas sélectionnés.
20:09On fait la présélection et on donne aux espagnols.
20:13Les espagnols sont là en tant que commission.
20:16On est là et les ministères sont là aussi.
20:21On est là et on regarde.
20:23On pose mille et une questions sur les critères de base.
20:31Les espagnols sont là pour faire la sélection.
20:35Mais ce qui nous intéresse le plus c'est le contrat qu'on signe.
20:39C'est un bon contrat.
20:42C'est un bon contrat.
20:47Deuxièmement, on a les mêmes critères de base.
20:54On a les mêmes critères de base.
20:57Ce qui est plus positif, c'est l'obtenir de la base de données.
21:03C'est la base de données.
21:08Ce sont des données bénéfiques.
21:13Si on les classe et les ordonne, on saura à peu près
21:19où on trouve nos politiques d'emploi et de migration.
21:25Au-delà des images que vous voyez, il y a des leçons à tirer.
21:30Il y a des perspectives à dégager.
21:32Cela nous permettra de voler le migratoire.
21:36C'est ce qui nous intéresse le plus.
21:39Parce qu'il y a quelque chose qui nous intéresse.
21:42On en parlera plus tard.
21:45Notre régime a une autre option pour la migration.
21:51C'est les dérives migratoires.
21:54Nous voulons trouver des solutions.
21:57Mais nous voulons aussi présenter aux Sénégalais les opportunités de la migration.
22:06Nous voulons changer le cadre.
22:09On a entendu beaucoup de propositions de Galiane Kipo.
22:14Deuxièmement, qu'est-ce qui est positif pour la migration?
22:19Qu'est-ce que c'est que la migration au Sénégal?
22:21Où peut-on aller en Sénégal?
22:24C'est aussi important pour le bureau de rentation et de suivi.
22:28Il y a des missions spécifiques.
22:31Premièrement, c'est d'assurer la réintégration des migrants de retour.
22:36C'est-à-dire qu'ils doivent être accompagnés.
22:40Est-ce que vous avez un projet?
22:42Est-ce que vous avez besoin de financement?
22:45Quels sont les partenaires que vous devez rencontrer?
22:47Est-ce que vous avez accès sur la terre?
22:49Est-ce que vous devez amasser des partenaires pour les réintégrer?
22:54Si vous les déportez, peut-être qu'il y a des emplois pour les accompagner.
23:02Les Sénégalais ont des projets.
23:04Leur mission est de nous orienter vers des secteurs porteurs.
23:12Vous devez rencontrer des partenaires d'accompagnement.
23:16Parce que les Sénégalais veulent que le président de la CAP
23:21soutienne la plupart des acteurs clés par rapport au développement économique de son pays.
23:29Mais il y a aussi la sensibilisation sur les dangers de l'immigration irrégulière
23:35mais aussi la promotion de l'immigration régulière.
23:39Il y a deux personnes qui veulent y aller et qui ne savent pas où aller.
23:44Notre rôle est de leur dire où ils veulent aller et les critères.
23:53Informer les gens sur les plateformes et les dispositifs comme la migration circulaire
23:59pour qu'ils puissent s'y rendre.
24:02La migration n'est pas un crime.
24:05La migration est un droit garanti par la déclaration universelle d'Edouard Lund
24:08dans son article 13.
24:10On a le droit d'entrer et d'y aller.
24:13Maintenant, nous devons faire quoi en tant qu'État?
24:17Il y a deux dispositifs.
24:19Le secrétaire pour la migration et la sécurité.
24:23Le ministère de l'intérieur doit agir.
24:26Mais le dispositif sur la migration économique, développement
24:31et le ministère de l'intégration africaine et des affaires étrangères.
24:36Le secrétaire d'état au Sénégal de l'extérieur et les bureaux d'orientation et de suivi.
24:41Donc la carte est très claire, ils sont sur la défense et nous sur l'asphère.
24:46Il y a toujours une question de suivi.
24:50Tu disais que c'est le bureau de Mbappé.
24:54On a voulu voir s'ils étaient dans le bureau ou s'ils étaient dans l'orientation.
25:01On sait qu'ils ont beaucoup de difficultés et qu'il faut les soutenir.
25:07Mais on a aussi voulu voir s'ils étaient dans l'orientation.
25:14On l'a créé en juillet 1987.
25:19On l'a créé à la présidence pour appuyer le Sénégal de l'extérieur.
25:27On avait un plan stratégique opérationnel PCO.
25:32En 2013, on a aussi pris la présidence au niveau du ministère des affaires étrangères.
25:42Mais en 2021, on a un projet financé par l'Union Européenne
25:47pour la gouvernance migration et le développement.
25:49Ce projet n'est qu'une partie du budget du ministère.
25:55Il est logé dans l'ensemble du territoire national y compris Aïbédé.
26:01On a aussi des bourses à Aïbédé.
26:07Si tu as un repartiment ou un migrant, tu peux faire une fiche de référencement.
26:14Tu peux dire à qui tu es allé, où tu es allé, ce que tu veux faire, où tu es allé.
26:20Tu peux aussi le référencer directement sur le plan digital de ta fiche.
26:26Si c'est suffisant, tu peux le suivre jusqu'à ta réinsertion sociale et professionnelle.
26:32Les migrants sont-ils là pour nous aider?
26:33Oui, mais comment se fait-il que le nombre d'immigrants s'améliore tout le temps?
26:41Non, je ne parle pas du nombre circulaire mais du nombre d'immigrants.
26:47C'est une chose importante.
26:51On a un autre cap que le secrétaire d'Etat a donné.
26:54C'est la proactivité.
26:57Au lieu d'aller à l'immigration, il faut aller à la bourse.
27:02C'est là qu'on trouve la bourse.
27:06La proximité.
27:08Donc, on ne peut pas faire autre chose.
27:09Non, mais il y a une autre tangente à prendre.
27:15On ne peut pas attendre l'arrivée de l'immigrant.
27:18On ne peut pas le référencer directement.
27:21Il y a des références à l'aéroport et à l'AEBD.
27:25Ils savent où tu es, ton corps et tout le reste.
27:28Si on le référencie au niveau régional, on peut le suivre.
27:34Si on le suit, il peut venir t'échanger et te déployer.
27:39Cette année, la bourse est responsable des assistants.
27:44Qu'est-ce qu'on fait avec ces assistants?
27:46Je n'ai pas d'assistants, c'est bien mais ce n'est pas mauvais.
27:51C'est désordonnant.
27:53Ce qu'on a fait, c'est qu'on s'est mis en direction de l'action sociale.
27:59On a donné des assistants sociaux professionnels.
28:04Des ENTSS.
28:05Ils sont venus nous aider.
28:07Ils ont donné tout ce qu'il faut à la place qu'il faut.
28:12Si quelqu'un a un repartiement ou un problème dans sa vie
28:17on peut l'aider sur le plan psychothérapeute.
28:24Sur le plan social, sa réassociation familiale et professionnelle.
28:31La bourse est responsable de ces capacités.
28:36Ce sont des migrants de retour.
28:41En tant que coordonnateur de la bourse, on a des objectifs clairs.
28:46On a des migrants de retour.
28:50Des migrants de l'extérieur qui portent le développement économique de ce pays.
29:00En termes de réinsertion, on va voir comment les réinserter.
29:06On va faire des projets, les encadrer et les formaliser.
29:14J'ai déjà fait une interview avec un de ces migrants.
29:19On a fait le rapport en 2021.
29:24Je pense que je l'ai fait plus tôt que toi.
29:28Il y a tant de jeunes qui sont dans l'agriculture.
29:34Ils ont besoin d'une capacité professionnelle.
29:41Ils ont besoin d'une orientation et d'un accompagnement.
29:45On est tous dans la bourse.
29:49On travaille sur la réinsertion mais il y a aussi les potentiels candidats à la migration.
29:56Ce sont ces jeunes-là.
29:59On va travailler à travers l'information et la sensibilisation.
30:05A travers l'accompagnement à la réintégration.
30:10De telle sorte que ces jeunes-là n'auront pas besoin d'un candidat.
30:13Ils ont besoin d'une relation et d'une réinsertion.
30:21Vous pouvez aussi utiliser votre communication avec le gouvernement.
30:25Vous avez parlé avec Mbobo Diagne et Abbas Fall sur le même sujet.
30:29Cela fait un peu Mme Bicho Ngbalo.
30:33Au contraire, nous avons la chance d'avoir un gouvernement qui s'assure.
30:40Nous ne pouvons pas faire notre première journée sur la terre.
30:48Nous avons le droit d'assumer et d'accepter.
30:54Nous avons aussi la chance d'avoir des pieds.
30:58C'est ce qu'on appelle la digitalisation.
31:01Comment avons-nous la chance d'avoir un gouvernement qui s'assure?
31:06En termes de communication, nous devons avoir une communication harmonisée
31:12portée par qui?
31:15Par le porteur du gouvernement.
31:18Un ministre de la république peut se rencontrer et discuter.
31:24Un autre peut se rencontrer et discuter aussi.
31:29Donc vous n'allez pas le faire avec Mbobo Diagne?
31:32Non, ce n'est pas pareil.
31:34Donc, nous devons nous encadrer dans la liberté.
31:37Non, ce n'est pas pareil.
31:39Là, on parle de la gestion gouvernementale.
31:44Je suis actif et je sais que le gouvernement s'en occupe.
31:47Effectivement, les images ne sont pas bonnes.
31:53Je tenais à faire une précision, vous m'avez donné l'image de Dakar.
31:58Entre 9h45 et 9h40,
32:02je me suis retrouvé à 9h47 et personne n'était là à 10h.
32:08A 10h30, personne n'était là donc
32:11à 15 minutes, tout le monde s'est bousculé.
32:16Au moment de la chasse, nous étions là aussi.
32:23Mais il faut harmoniser les choses.
32:29On est devenus des extra-terrestres.
32:34On ne s'est pas mis au bout.
32:37On est devenus des êtres humains qui pensent à ce qu'il doit se passer.
32:43Si on pensait à ce qu'il devait se passer, on serait à 60%.
32:48Si on pensait à ce qu'il devait se passer, on serait à 100%.
32:54Pour qui? Pour l'introduire au Sénégal.
32:57C'est la plateforme Nopé ou Nopé?
32:59C'est presque fini et je pense que c'est important.
33:05Il y a beaucoup d'intérêts et très peu d'intérêts.
33:11On doit inscrire dans la plateforme pour qu'on soit prêts à l'élection.
33:17Mais les documents sont déjà là?
33:21Non, ils sont déjà là-dedans.
33:24Par régions?
33:27Non, on a des bureaux d'orientation dans toutes les régions.
33:31On a des bureaux d'urgence.
33:33On a des bureaux d'urgence dans tous les régions.
33:42Parce qu'il y a de l'eau par région?
33:44Non, c'est pour l'eau.
33:46On dit que dans certaines régions, il doit y avoir de l'eau.
33:51Oui mais on va choisir par proportionnalité.
33:56Dans Dakar, on peut choisir entre 20% et 20%.
34:02Parce qu'il y a beaucoup d'affluence là-bas.
34:06On a demandé à Dakar de nous déposer.
34:09C'est un travail scientifique et on l'a déjà fait.
34:15Ce que je veux dire c'est qu'on doit réfléchir avant tout.
34:22Mais on va améliorer les choses au fur et à mesure.
34:27Tu as beaucoup de connaissances au Sénégal.
34:31J'ai l'impression qu'aujourd'hui, la jeunesse est dans l'opposition.
34:36Parce qu'elle a l'impression que les jeunes ne veulent pas vivre en migration.
34:43Mais la tension et la perception de la jeunesse s'améliorent au cours des 9 mois.
34:51Ce que je ressens le plus, c'est l'engagement et l'espoir du gouvernement.
34:57Personnellement, on a parlé avec la jeunesse.
35:03On a vu les jeunes rentrer dans les taxis et s'amuser.
35:09Je ne ressens aucun désespoir.
35:11Mais c'est la vie de la jeunesse.
35:13C'est la vie de la jeunesse et le volet économique de l'Etat.
35:18Mais il y a un volet.
35:20C'est le volet de tout le Sénégal.
35:24On doit affronter la réalité en face et apporter des solutions.
35:33Si c'était plus difficile, on l'aurait déjà fait.
35:38On a annoncé des mesures sur les kiosques, etc.
35:43Donc l'Etat a fait ses efforts mais dans l'applicabilité et la surveillance
35:48on peut avoir d'autres solutions.
35:51C'est une chance pour le Sénégal.
35:55Ils ont compris la vision du président Ousmane Soukoui.
35:59Ils savent où est le président Bastien Diama.
36:02Maintenant, c'est à eux de parler avec les Sénégalais.
36:09Pour qu'ils comprennent parce qu'il y a de l'argent là-bas.
36:13Il y a deux types d'hommes qui sont là-bas.
36:15Surtout les Canadiens.
36:19Ils sont là-bas parce qu'ils n'ont pas d'argent.
36:26Ils n'ont pas l'espoir d'avoir de l'argent.
36:29Ils n'ont pas l'espoir d'avoir de l'argent.
36:33Mais ils sont dans le même pan.
36:37Ils savent que c'est la vérité.
36:43C'est pour ça qu'ils sont là-bas.
36:47S'ils savaient qu'ils étaient là-bas, ils n'auraient pas d'argent.
36:51Maintenant, il faut regarder, assumer,
36:57mettre des plans d'action et avancer.
37:00C'est ce qu'on a besoin et c'est le gouvernement qui est là-bas.
37:04Ce qu'il a fait sur le plan de l'amouloir, c'est l'éducation.
37:08Sur notre gamme d'enseignement, il y en a 5.000.
37:13On a recruté 2.000.
37:16Il y a aussi 120.000 dépôts.
37:21Comme Ami a dit, il y a 20.000 dépôts.
37:25Je peux m'occuper de mes dépôts comme ça.
37:33Est-ce qu'il n'a pas déposé la caravane de moraphine?
37:36Je veux la déposer à Bab Diouf.
37:38Non, c'est à Galgue.
37:40Tu parlais de notre relation avec l'Espagne
37:44mais il y a un internaute de Bab Diouf qui parle de notre relation avec le Qatar.
37:49Nous l'avons ratifié depuis 2014.
37:54J'ai vu que le ministre Abbas Fall est sorti.
38:00Il a demandé à nos jeunes d'y aller.
38:03C'est parce que le Qatar a une crème.
38:06Quelle crème?
38:07Des diplômés dans les secteurs bien définis.
38:11C'est ce qu'il a dit à l'amouloir.
38:14Je l'ai appris.
38:16Il faut que nous l'écrivons.
38:21Sinon, nous ferons une analyse superfétatoire et ça ne leur permettra pas d'y aller.
38:27C'est pour ça qu'on a appelé les Qataris.
38:31C'est pour qu'ils sachent qu'ils ont des diplômes.
38:36Donc, ils ne devraient pas aller là-bas.
38:39Ils devraient aller là-bas pour travailler et pour s'occuper de leurs diplômes.
38:44Donc, ils ne devraient pas aller là-bas.
38:48Tu as appris la crème mais pas le baicad.
38:51Non, je n'ai pas appris ça.
38:53Même le baicad est qualifié.
38:56C'est la crème et le baicad est qualifié.
38:59Le baicad est qualifié.
39:01Nous avons besoin d'un technicien pour faire la migration circulaire.
39:07Je te dis que c'est la migration circulaire.
39:09Mais tu vas l'apprendre.
39:10Non, c'est la migration ouvrière.
39:13Non, c'est l'ouvrière agricole.
39:16C'est le baicad qu'on a formé.
39:20Mais on va voir.
39:22Je t'ai dit que si on a de l'information, on sera d'accord.
39:27Il ne faut pas se voiler la face de l'Etat.
39:32Il y a des opportunités.
39:37C'est ce qu'on peut offrir.
39:39On est des entrepreneurs, des combats sur l'Etat employeur
39:43et des combats sur la migration circulaire.
39:45Tu peux amasser tout ce que tu veux.
39:49Je t'ai dit qu'on ne peut pas l'amasser.
39:51Si vous l'amassiez...
39:52Par exemple, on parle de l'Espagne.
39:55Mais c'est pour parler.
39:56Il y a des discussions avec le Canada, l'Italie...
40:02Même l'Allemagne.
40:03Avec l'Allemagne, c'est pour ça qu'on ne veut pas entrer là-bas.
40:10Parce qu'on est honnêtes.
40:13On ne veut pas entrer là-bas.
40:17Où qu'on aille, c'est là qu'on veut aller.
40:22La migration circulaire, on l'a opté parce que c'est la solution sur la migration.
40:29Irrégulière ou clandestine.
40:32Mais les jeunes veulent qu'on les laisse là-bas.
40:35Il y a des gens qui veulent qu'on les laisse là-bas.
40:37Si c'est les 100 et les 300, on les prend.
40:42Qu'avez-vous à nous dire sur les conditions du Sénégal?
40:46On sait que beaucoup de Sénégalais et d'autres nationalités sont là-bas.
40:53On vous a demandé d'être là-bas car il y a beaucoup de monde là-bas.
40:59Mais est-ce qu'on peut les laisser là-bas?
41:02C'est très important et c'est pour ça qu'on est là.
41:05Le ministère de l'intégration africaine et des affaires étrangères.
41:08Je vous donne un exemple.
41:12Un bon nombre d'entreprises espagnoles sont en train de se retirer.
41:18C'est-à-dire qu'ils n'ont plus d'engagement.
41:22Le ministère a attaqué l'ambassade espagnole.
41:30Mais l'entreprise a été récupérée par le tribunal.
41:36Pour vous dire qu'ils ne vont pas se laisser là-bas.
41:39Mais c'est le Qatar.
41:40C'est le Qatar mais ils n'ont pas l'expression qu'ils veulent dire.
41:44Ce qui importe le plus pour nous c'est le Sénégalais.
41:49On est un peuple Sénégalais.
41:52On ne laissera personne derrière nous.
41:56Tout le monde qui est là-bas sera retrouvé là-bas.
42:02Qu'on soit au Qatar, au Dubaï ou à Edmonton.
42:07C'est la proactivité et l'approximation que nous avons.
42:12C'est ce qui nous intéresse le plus.
42:15C'est difficile d'être là-bas dans des conditions difficiles.
42:19Si on regarde les zones où nous vivons, c'est difficile d'être là-bas.
42:24Rassurez-vous, même si le ministère des Travails a été décroché
42:31on est là pour des affaires transgères.
42:35Et nous, on est stricte.
42:38C'est comme si l'Américain avait vu son enfant.
42:41C'est ce que nous voulons.
42:44C'est ce que nous voulons.
42:46Le ministère de l'Intérieur et le secrétaire d'Etat sont en Libye.
42:54Que voulez-vous qu'ils vous demandent?
42:57Je veux que vous arrêtez l'immigration parce que vous avez vos enfants là-bas.
43:02Dans quelques semaines, nous allons tous être libérés.
43:07Il y a donc un autre changement qui est le Sénégal d'abord.
43:13Vous avez dit que vous n'étiez pas d'accord avec l'immigration.
43:19Vous avez dit que vous étiez d'accord avec le Sénégal.
43:22Est-ce que vous n'êtes pas d'accord avec l'immigration?
43:28Je pense que le scientifique l'a fait.
43:36Je pense qu'il est là pour nous.
43:39C'est juste qu'il y a un changement qui est arrivé.
43:44Maintenant, nous verrons le juge.
43:46Ce que nous promettent les Sénégalais, c'est qu'on ne laissera pas le juge.
43:52C'est la même chose pour tous.
43:55Nous avons entendu beaucoup de choses sur le sénégalais.
43:59Il y a eu beaucoup d'instructions.
44:02On a vu beaucoup de gens qui ont dit qu'ils étaient d'accord avec l'immigration.
44:06Il n'y a pas de juge qui n'est pas d'accord avec l'immigration.
44:11Nous savons que tout le monde peut faire erreur.
44:17Nous ne ferons pas d'erreur, nous ne ferons pas d'erreur.
44:20Nous ne ferons pas d'erreur, nous ne ferons pas d'erreur.
44:24Mais tout le monde sait que c'est ce qu'il va faire.
44:29C'est ce que nous ferons.
44:33Si vous étiez là, nous ferions les dépenses de la maison.
44:37Mais si vous avez des dépenses, vous devriez les payer.
44:43C'est ce qu'il va se passer.
44:48En ce moment, Omar Abdelaziz est le cinquième Khalif de l'islam.
44:54Mais quand il est venu au Dakar, il s'est réglé.
44:58Avec la réduction des comptes et la bonne gouvernance.
45:01Il s'est réglé, c'est ce qu'il s'est passé.
45:04Il a demandé à ses frères de l'amener au Dakar.
45:08Ils l'ont dit et il est venu.
45:15Il est venu avec la bonne gouvernance, il est devenu un homme.
45:18Il est devenu un homme et il est venu au palais.
45:21Il n'est pas venu avec des femmes, il est venu avec des hommes.
45:26Il a été libéré parce qu'il a augmenté ses dépenses.
45:32Il a été donné une face de l'or.
45:35On l'a payé et il est devenu un trésor.
45:40C'est l'argent du peuple.
45:42Il a été donné deux ans et cinq mois à la maison.
45:45Il n'y a rien de plus important que ça.
45:49On peut dire que les poursuites de l'annonce du premier ministre sont inacceptable.
45:55C'est aussi parce qu'il ne l'a pas payé qu'il est devenu un homme.
45:59Non, pas du tout.
46:01Il y a des ministères de souveraineté qui l'accompagnent dans la politique.
46:10Ils sont des hommes et des femmes qui n'ont pas de passif.
46:16Ils sont des ministères de souveraineté.
46:21Ils sont des hommes et des femmes qui n'ont pas de passif.
46:26Si tu es un homme, on ne te laisse pas rentrer à la maison.
46:30Mais si tu es une femme, on ne te laisse pas rentrer à la maison.
46:34On verra comment tu vas réagir.
46:37C'est clair.
46:39Sinon, il faut gouverner par l'exemplarité.
46:46Il faut poser des actes pour que tout le monde sache qu'on fait ce que l'on veut.
46:55C'est ça mon petit frère.
46:56Alors, qu'est-ce qu'on peut faire pour mettre en place cette politique?
47:03Parce qu'il y a beaucoup de chômage ici.
47:09Vous devriez mettre en place une politique pour avoir de l'argent.
47:16Absolument, il y a des politiques conjoncturelles et structurelles.
47:19Comme le plan Sénégal 2050 avec les 8 pôles et les territoires.
47:26Sur le plan conjoncturel, il y a des stratégies à mettre en place.
47:30Il y aura des recrutements dans le secteur de l'éducation.
47:34Vous pourrez faire des études.
47:37Mais il y aura aussi de l'éducation pour les jeunes.
47:42Il y aura aussi de l'éducation pour les jeunes.
47:47Il y aura aussi de l'éducation pour les jeunes.
47:50Ils devraient aller à l'école pour se récuperer.
47:53Ils devraient aller à l'école pour se récuperer.
47:59L'état de l'emploi crée les cartes et les conditions de l'employabilité.
48:04Pourtant, la formation professionnelle est exclusivement pour les jeunes.
48:11Il y a seulement 70.000 jeunes qui n'ont pas de métier à l'université.
48:16Mais on va réorienter pour qu'ils puissent avoir une capacité professionnelle.
48:22Pour qu'ils puissent avoir un métier et qu'ils puissent faire ce qu'ils veulent.
48:27Vous savez bien qu'il y a beaucoup d'enfants dans ce pays.
48:32Il y a beaucoup d'enfants qui font ce qu'ils veulent.
48:35Vous savez bien qu'il y a beaucoup d'enfants qui font ce qu'ils veulent.
48:40Il y a beaucoup d'enfants qui font ce qu'ils veulent.
48:43Ils importent des sacs, des dalles, des ceintures, etc.
48:48C'est ce que nous voulons dans le Sénégal.
48:50Il n'y a pas de tabac.
48:53Si quelqu'un veut aller à l'école, il faut le faire.
48:58Le gouvernement, c'est la vérité et la transparence.
49:03Quand nous faisons des promesses politiques...