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00:00Après, on a raflé 130 des 160 députés mais c'est parce que là, les populations
00:05ne se voient pas dans le passé et ils ne voient pas que Ousmane Senghor
00:08n'a rien entendu et qu'il n'a pas dit ce qu'il voulait dire pour soutenir le réunion,
00:12ils l'ont cru. Donc, nous, notre rôle, c'est de dire aux Sénégalais,
00:20qu'ils n'attendent pas. C'est vrai que les temps sont durs, mais les temps sont durs
00:25parce que ce qu'on a vu ici, c'est difficile. Ce qu'on a vu ici, c'est difficile.
00:29Mais vous avez vu le directeur du port, il a dit qu'il allait travailler pour la restructuration
00:34du port autonome de Dakar. Il sait que c'est le poumon économique de ce pays.
00:38C'est pour ça qu'on l'a fait. Le port est en train de s'arrêter.
00:40Il y a des infractions, il y a des instructions, tout ça.
00:43Tu vois maman? C'est pour ça que même les Malayais, qui sont les premiers clients
00:49du port autonome de Dakar, ont commencé à attendre et à aller vendre leurs marchandises
00:54pour les portes d'Abidjan, pour les portes de Nouakchott.
00:57Ils ont eu une vision. Ils sont en train de recruter leurs portes.
01:00Le port de Dakar, dans les années 60, c'était l'un des ports les plus performants d'Afrique.
01:05C'était le dernier port.
01:08Un bateau ne peut pas venir ici, parce que le temps de déchargement est de 48 heures.
01:12Tu restes ici seulement une semaine, avec tout ce que ça amène comme manquement.
01:17Parce qu'un bateau immobilisé, c'est un manquement pour l'armateur.
01:21C'est pour ça qu'il faut venir ici en deux jours, parce qu'on n'a pas de bonnes infrastructures,
01:25on n'a pas de bons équipements.
01:27Si on arrête de faire des bateaux, le déchargement est fort.
01:31Et ça, ça grève les coûts.
01:33Surtout que tout ce que l'on mange, les marchandises, on importe les marchandises.
01:38Si le débarquement est fort, les commerçants sont obligés de répercuter ces surcoûts
01:45sur les marchandises.
01:48Après, les Sénégalais, on ne les voit pas.
01:50Les Sénégalais achètent des produits plus chers.
01:55Sur des choses que l'on ne peut pas limiter, qu'on ne peut pas éviter.
02:00Donc, la restructuration, c'est sur tous les pans de l'économie sénégalaise.
02:05C'est tout, sur le port, sur la douane.
02:09Sur toutes les structures.
02:12Il y a beaucoup de travail.
02:17Vous pensez que c'est contre la nature cette fois-ci encore?
02:21En tout cas, c'est ce qu'ils ont fait.
02:24Avec PASTEF, ils ont créé l'APR.
02:27Maintenant, ils n'ont même pas créé PASTEF.
02:32Donc, finalement, ils ne comprennent pas notre philosophie.
02:36Mais le contexte est aussi différent.
02:38Donc, on voit qu'il n'y a pas de Sénégal.
02:42Et ils ne répondent pas à notre vision.
02:46C'est ce qu'il faut faire.
02:49C'est ce qu'il faut faire.
02:52C'est ce qu'il faut faire.
02:54C'est ce qu'il faut faire.
02:56On ne prend pas compte de leur récrimination.
02:59On est à l'écoute des Sénégalais.
03:02C'est ce qu'il faut faire.
03:05Mais pas encore une fois la récrimination de quelques forces politiques.
03:09Surtout des oppositions qui font de la politique politicienne.
03:13Alors, il y a des milliardaires.
03:17Un journaliste qui s'appelle Fadjiri Moudi PAP
03:21a dit qu'il y a un ministre, un homme d'affaires
03:26qui a dit qu'il y a une banque de 8 milliards d'euros.
03:32C'est ce qu'il a dit.
03:34C'est pour cela qu'il y a des banques.
03:38C'est ce qu'il a dit.
03:40Il a aussi dit qu'il est dans le même régime.
03:44Cela a soulevé plusieurs interrogations.
03:48Mais il a aussi dit qu'il n'écoutait pas les allégations.
03:56C'est ce qu'il a dit.
03:58J'ai entendu le discours du Sénégalais.
04:02Il a parlé avec beaucoup d'assurance.
04:06Il a bien écouté ce qu'il a dit.
04:10Je l'ai analysé.
04:12Je l'ai convoqué.
04:15Je lui ai demandé de lui expliquer ceci.
04:20Le gouvernement l'a fait le plus rapidement possible.
04:23Si on oublie le gouvernement, on n'a rien à dire.
04:27C'est donc important d'avertir les membres du gouvernement
04:32et d'être dans l'intimité de ton bureau.
04:36Faire ce qu'on n'a jamais fait.
04:40Ne pas croire à la solidarité du gouvernement.
04:43Je rajoute qu'il n'y a pas de solidarité entre les frères de parti.
04:48Il faut attendre les patriotes.
04:51Il ne faut pas attendre les patriotes.
04:54Il faut construire une ligne.
04:58Il faut redresser les liens entre la guerre et la corruption.
05:04Il ne faut pas que personne nous protège.
05:08Le président est dans cette ligne.
05:12Il faut qu'il y ait un ministre qui s'occupe de la situation.
05:16Il faut le sanctionner de la façon la plus sévère.
05:21Pour que ça serve d'exemple.
05:23C'est ce qu'il a dit.
05:25Personne ne sait si c'est vrai ou non.
05:29Il a parlé.
05:31Je salue rapidement le fait qu'on a convaincu Pape Sané
05:37pour qu'il y ait des éclairages.
05:39Donc, on attend les enquêtes.
05:42Si on sait qu'il y a quelque chose entre nous,
05:48on sait qu'il y a une rupture au Sénégal.
05:51Le gouvernement, le président de la République et son premier ministre
05:56ne vont vraiment pas essayer de blanchir qui que ce soit.
06:02Vous pensez que c'est possible?
06:04Surtout en ce moment.
06:07C'est la responsabilité de Cheikh Diba.
06:11Peux-tu y penser ou attendre?
06:15Je ne suis pas le lieutenant et les aboutissants.
06:18Je n'en sais rien.
06:21Je ne sais pas à quel point j'en suis.
06:25Peut-être qu'il y a un chalice.
06:32Il y a peut-être un chalice.
06:37Il y a peut-être un virement dans ce chalice.
06:39Le ministère a dit qu'il y a un chalice.
06:42Peut-être qu'il y a des...
06:47des travailleurs qui l'utilisent pour le faire.
06:51Peut-être qu'il y a un chalice dans le ministère.
06:56On ne sait pas encore.
06:58Il n'y a pas de journaliste.
07:02C'est pour ça qu'on a manqué de journalistes d'investigation au Sénégal.
07:06Parce qu'il n'y a pas de dossier.
07:10Il pouvait aller jusqu'au bout.
07:12Mais il n'a pas cité de nom.
07:14Il ne faut pas avoir peur de citer.
07:17C'est ce qu'on veut avec les journalistes.
07:21Il ne faut pas avoir peur de citer.
07:23On a créé des lanceurs d'alerte.
07:29Le gouvernement a créé ça.
07:32C'est parce qu'on veut mûrir l'air.
07:35Si tu dis quelque chose, tu seras protégé.
07:40Même si tu as des recouvrements, tu seras protégé.
07:46C'est ce que le gouvernement veut encourager.
07:49Si le gouvernement a des dossiers à demi-mesure
07:55et qu'il n'en parle pas, c'est ça.
07:58C'est ce que tu penses.
08:00Il y en a dans le poste.
08:04On parle d'Abou Lays et d'autres.
08:11Mais est-ce que les deux problèmes sont déjà soulevés?
08:18On a des gens qui reculent les allégations.
08:26Ce sera grave car le journaliste est responsable de ses dires.
08:31Il y a le code de la presse qui est là.
08:34On recrimine les journalistes.
08:36Il y a des sources d'air, des murs d'air.
08:40Mais vouloir jeter le gouvernement en eux-mêmes
08:44pour détruire les Sénégalais, c'est grave.
08:47Il faut le sanctionner lui aussi.
08:49C'est crédible.
08:51C'est trop facile d'être derrière son micro ou sa caméra
08:56et de débuter.
08:59Un journaliste Sénégalais, c'est grave.
09:03Jusqu'à présent, je lui ai donné raison.
09:10Jusqu'à présent, je lui ai donné raison.
09:12C'est l'assurance qui lui a donné raison.
09:14Il n'y a pas d'assurance.
09:16Il est dans son micro pour dire ce qu'il veut.
09:19C'est extrêmement grave.
09:21Il faut le sanctionner.
09:23C'est très grave.
09:25C'est très grave.
09:27C'est très grave.
09:29C'est très grave.
09:31C'est très grave.
09:33C'est très grave.
09:35C'est très grave.
09:37C'est très grave.
09:39C'est très grave.
09:41C'est très grave.
09:43C'est très grave.
09:45C'est très grave.
09:47C'est très grave.
09:49C'est très grave.
09:51C'est vrai!
09:55Quand quelqu'un
09:59ministre quand même
10:06pour que vraiment que les
10:08enquêtés tirer ça au clair.
10:09On va voir.
10:17Alors ne soyez pas
10:21Je suis choqué de l'avoir entendu.
10:25En tant que patriote, on n'a pas le droit à l'erreur Aïda.
10:30On a le droit à l'erreur pour le gouvernement passé.
10:36Si on ne fait pas ça, les Sénégalais vont commencer à croire en nous.
10:42On a une lourde responsabilité envers le peuple sénégalais.
10:46On a le droit à l'erreur envers le futur et le débrouillage du peuple de ce pays-là.
10:52On n'acceptera pas que quelqu'un se réclame de nous dans notre partie.
10:56Il peut être léger sur les déniers publics ou sur quelques scandales.
11:03Si on se repose un peu, on voit qu'il y a beaucoup de localités
11:09qui se considèrent toujours comme maires.
11:14On ne peut même pas l'accueillir comme on l'a fait auparavant.
11:22On a vu qu'il y a beaucoup d'erreurs et qu'il faut l'éliminer.
11:30Mais il y a encore beaucoup d'erreurs qui peuvent se reproduire.
11:36Surtout ceux qui sont dans le cadre des maires.
11:41Bachelet Médias est mort politiquement et il n'accepte pas qu'il soit mort.
11:46C'est aussi simple que ça.