Meurtre de Louise : Le témoignage d'une paysagiste avec qui Owen L. a effectué un stage
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00:00Sinon aux aveux, du moins dans une forme de reconnaissance partielle, ça fait partie des éléments qui seront sans doute éclaircies dans les heures qui viennent.
00:08J'accueille Johanna Rosenblum sur ce plateau, bonsoir, merci d'être avec nous, psychologue, clinicienne, consultante BFMTV.
00:12Je voudrais, Johanna, vous soumettre ce témoignage qui a été recueilli par les équipes de BFMTV, par Rebecca Blanc-Lelouch et par Morgane Dumont,
00:20d'une femme qui a eu le principal suspect au 1L comme stagiaire à deux reprises.
00:26On écoute et on commente et on analyse ensuite. Écoutez.
00:30Le petit stagiaire qui n'a pas trop envie de bosser en jogging, qui ramasse les branches une à une, pas très motivé par le métier.
00:38Il était censé s'inscrire dans une école d'espace vert et après, il n'a pas eu de nouvelles.
00:44Quand on s'est demandé Owen, Owen, on s'est rappelé de lui par sa petite blessure au genou, son arrêt maladie et son jogging.
00:52On travaillait avec lui en partie sur les chantiers à l'époque. Et quel lien ? Comme je vous dis, hyper introverti.
00:59On le poussait un petit peu. Il écoutait nos remarques, mais bon, il fallait toujours le pousser.
01:05Sinon, il faisait pas grand-chose. Après, pas de lien. Voilà. On est des stagiaires avec qui on s'est très bien entendus.
01:10D'autres, voilà, il nous a pas marqués. Il nous a pas marqués, ni dans sa façon de travailler, ni dans le côté humain à côté.
01:17Il venait toujours super bien habillé. Alors pas super bien, ça dépend des goûts et des couleurs, mais en tout cas avec des vêtements très neufs à chaque fois.
01:23Et dans notre métier, il vaut mieux être avec des choses qui s'abîment pas. Et il râlait un peu quand le rosier attrapait son jogging qui était neuf.
01:31Enfin, il voulait avoir de l'impression aussi sur les chantiers. Voilà. Par rapport à ses joggings, il mettait toujours des belles vestes, que du neuf.
01:41Il était jamais en tenue de chantier. On avait beau lui dire chaque jour, mais rien n'y faisait.