Robert Charles Albon est un donneur plutôt extrême, puisqu’il revendique avoir "engendré plus de 180 enfants" à travers le monde. Celui qui se fait surnommer “Joe Donor” aurait réalisé ces donations de manière non-réglementée, via de la publicité en ligne.
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00:00Ce donneur de sperme revendique la paternité de 180 enfants et inquiète la justice.
00:04Robert Charles Albon est un donneur plutôt extrême puisqu'il revendique avoir engendré plus de 180 enfants à travers le monde.
00:11Celui qui se fait surnommer Joe Donor aurait réalisé ses donations de manière non réglementée via de la publicité en ligne.
00:16Mais son cas a alerté les autorités qui ont décidé de publier son identité afin de protéger les femmes qui pourraient avoir recours à ses services.
00:23Cette décision émane d'un juge gallois Jonathan Furness-Casey qui a mis en évidence en 2023 le côté malsain des pratiques de Robert Charles Albon.
00:31Les femmes et les enfants semblent presque être une marchandise pour lui.
00:34Il s'efforce d'augmenter le nombre de ses enfants dans le monde entier, Chine, Etats-Unis, Argentine, l'Australie et le Royaume-Uni pour ne citer que quelques-uns des pays où il a eu des enfants.
00:43Une plainte avait notamment été déposée par l'une des femmes qui évoque un don de sperme qui s'est transformé en histoire d'horreur.
00:49Joe Donor avait demandé au tribunal d'exercer la responsabilité parentale, d'être nommé sur l'acte de naissance et de modifier le nom de l'enfant à l'heure âgée de 2 ans.
00:56L'homme, originaire des Etats-Unis, s'est plusieurs fois exprimé dans les médias.
00:59Il se dit fier d'avoir aidé autant de personnes à réaliser leur rêve de former une famille.
01:03Il indique également avoir rencontré 60 de ses enfants biologiques et en voir certains toutes les semaines.
01:11Pour sa méthode, il explique réaliser les dons par insémination artificielle ou naturelle.
01:20Au Royaume-Uni, le sperme d'un donneur ne peut être utilisé dans des cliniques agréées que pour créer un maximum de diffamines.
01:25Par ailleurs, seules ces structures permettent de protéger légalement les demandeurs comme les donneurs.