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00:00Merci Monsieur le Premier Ministre, vraiment, je ne sais pas ce que je vais dire après le brillant exposé du ministre Pape Malignou.
00:48Je voudrais qu'on sache quel est le format de cette sortie publique. Cette conférence, certains ont dit qu'elle a été organisée par l'APR, mais vous allez constater les personnalités qui sont là au président.
01:05Vous verrez le ministre Momodou Tala, vous verrez le ministre Mansour Faye, vous verrez le ministre Moussa Abadé, vous verrez le ministre Delta Baye Diaye, vous verrez le ministre Ali Ndoye, bien évidemment le Premier Ministre Ndiki Gaba, le ministre Pape Malignou, vous verrez le ministre LH Marium, vous verrez le ministre Adelaïe Seymissou.
01:31Vous allez voir le groupe parlementaire SAKUWALU SENEGAL, l'honorable député PANBANWA, l'honorable député ABDOUBOU,
01:56et vous verrez avec nous, on me signale que le ministre Delta Augustin Thin est là, et on me signale que notre frère allié, le ministre Delta Babacar Gaye est là.
02:17Donc en réalité, le ministre Momodou Tala est là, le ministre Birame Faye est là, cela veut dire que c'est l'ensemble du gouvernement de Macky Sall qui fait face à la presse.
02:36Oui, le commissaire Keïta qui est là, effectivement, notre allié également. Donc vous verrez que c'est l'ensemble du gouvernement du président Macky Sall qui est là, que ce sont l'ensemble de ses alliés qui sont là, et c'est tous les Sénégalais de bonne volonté qui sont soucieux de transparence, de clarté et de vérité qui sont là.
03:04Alors pourquoi nous sommes là ? Nous sommes là parce que le gouvernement a commandité un audit des finances publiques à la Cour des comptes.
03:16Le rapport de la Cour des comptes, il est intitulé « Audit sur la situation des finances publiques, la gestion de 2019 à 2024 », c'est-à-dire toute la période du second et dernier quinquennat du président Macky Sall.
03:35Mais personne n'est contre que la Cour des comptes fasse cet exercice. Personne. Parce qu'elle n'a que beaucoup de facteurs.
03:45La Cour des comptes n'a qu'une seule activité, elle n'a qu'une seule mission, elle n'a qu'une seule succès, c'est le président Macky Sall, c'est l'ensemble de ses alliés.
03:59Cette personne-là, si elle avait quelque chose à cacher, si elle avait quelque chose à faire qui n'est pas conforme avec les prescriptions éduquées par la loi, elle n'allait pas mettre en place cet organe de contrôle des gestions successives de ce gouvernement successif.
04:18Or, que nous dit ce rapport ? Et notre excellent collègue Pat Malibou l'a dit. Ce rapport, nous le rejetons trois fois. Trois fois nous le rejetons ce rapport.
04:35Nous le rejetons d'abord sur la forme, nous le rejetons sur le fond et nous le rejetons sur la finalité. Comme par hasard, c'est trois F qui se suivent, la forme, le fond et la finalité.
04:49Sur la forme de ce rapport, Pat Malibou l'a dit, mais nous on sait comment les audits se passent. Pour auditer quelqu'un, on fait l'exercice. Une fois qu'on a fini, on dit à la personne auditée, voilà ce que j'ai trouvé, qu'est-ce que tu en penses ?
05:08Et la personne fait ses observations. Et une fois que la personne a fait ses observations, les comptes sortent son rapport définitif. Dans cette affaire, jamais, au grand jamais, les ministres des Finances, des gouvernements de Macky Sall, Amourou Ba, Abdoulaye Daoudé Diagnou, et Yarkhamou Moustapha Ba, qu'Allah l'accueille au paradis, jamais on n'a dit à l'un quel compte d'entre eux, qu'est-ce que vous pensez de cela ? Personne.
05:37Personne. On a fait comme si l'interlocuteur de la cour des comptes, c'est toujours le service du ministère des Finances avec les nouvelles autorités politiques. Voyons.
05:50Donc le principe du contrat du poids a été violé et de façon flagrante par la cour des comptes. Ce n'est pas ce qu'on peut appeler un audit.
06:07Toujours sur la forme. Moi j'ai été étonnée parce que quand le rapport on l'a eu, moi j'ai tiré un document physique. Vous ne verrez aucune signature dans ce rapport. Qui a signé ce rapport ? Qui a fait ce rapport ? On nous a dit la cour des comptes, d'accord ? On nous a dit la chambre budgétaire administrative, d'accord ? Mais qui est là-bas ?
06:37Qui ? Il y a ici le nom du président. C'est là dans le rapport. Et le président il s'appelle Bakou. Mais Bakou n'a jamais signé ce rapport. Il ne l'a jamais signé. Où est le rapport signé par Bakou ?
06:54Au moins que ce rapport soit dans le notaire. Mais on ne peut pas assumer ce qu'on a déjà fait. Je n'ai rien dit, je ne l'ai pas signé. C'est pour cela que je l'ai fait et que j'ai signé.
07:12Donc sur la forme, voilà les deux lacunes et les graves lacunes de ce rapport. On ne sait pas qui a fait ce rapport, on ne sait pas qui l'a signé, qui revendique la paternité de ce rapport.
07:27Je veux dire et on n'a pas respecté le principe de compréhension. Si c'est ça qu'on nous dit, il y a mieux et il y a mieux que cela. Mais ce n'est pas seulement ça. Je vous avais dit qu'on rejette ce rapport sur la forme et qu'on va le rejeter aussi sur le fond.
07:48Sur le fond, la chose pour moi la plus grave, mais vraiment la plus grave, c'est que la Cour des comptes vient auditer la gestion de 2019 à 2024. Mais qu'est-ce qu'elle fait ? Elle le dit elle-même, c'est à la page 8 de son rapport.
08:14La Cour des comptes dit objectif de l'audit, qu'est-ce qu'elle veut faire ? Elle dit l'objectif général de l'audit est de s'assurer que le rapport produit par le gouvernement rend compte fidèlement de la situation budgétaire et financière de l'Etat de 2019 à 2024.
08:42Mais la Cour des comptes, de 2019 à 2023, elle a vu la situation budgétaire et financière de l'Etat, elle-même, donc elle est en train de faire un travail qu'elle a déjà fait dans le passé.
08:58Mais qu'est-ce qu'elle a fait ? Qu'est-ce qu'elle a dit ?
09:01Elle est en train de faire un travail qu'elle a déjà fait dans le passé pour arriver à des conclusions qui sont contraintes. Personne ne comprend cela.
09:10Mais qu'est-ce qu'elle a fait ? Parce que le régime ne peut pas changer.
09:13Et la Cour des comptes, en regardant les états financiers de 2019, 2020, 2021, 2022, 2023, la Cour des comptes a tout certifié.
09:27Elle a certifié tous ces comptes-là. Et quand elle les certifie, elle nous dit que c'est conforme, que c'est bon.
09:36Parce que le ministre Bok Malik nous a parlé de la loi de règlement. La loi de règlement, c'est quoi ?
09:43La loi de règlement, c'est la loi qui donne tutus au gouvernement de sa gestion.
09:49Qui dit au gouvernement, voilà, on vous avait voté un budget en 2019, vous avez exécuté le budget en 2019, nous sommes 2020, nous analysons le budget tel qu'il a été exécuté, on trouve que tout est conforme.
10:05Cette loi-là, elle est votée par l'Assemblée nationale. Mais avant que l'Assemblée ne vote, il faut que la Cour des comptes certifie.
10:14Tant que la Cour des comptes ne certifie pas, l'Assemblée ne vote pas.
10:20Maintenant, c'est cette même Cour des comptes qui a accepté les comptes, qui les a déclarés sincères et vrais, c'est la même Cour des comptes qui revient faire un audit pour dire j'ai trouvé ceci, j'ai trouvé cela.
10:33Qu'est-ce qu'il faut penser de la Cour des comptes ? C'est la raison pour laquelle Bok Malik nous a audité l'audit de la Cour des comptes.
10:41C'est la raison pour laquelle Bok Malik nous a audité l'audit de la Cour des comptes.
10:51Mais la loi de règlement, qui peut aller au-dessus d'elle ? Moi, la question juridique que je vous pose est qu'une fois que la loi de règlement est votée, est-ce qu'un audit peut revenir sur les dispositions de la loi de règlement ?
11:06On connait quand même la hiérarchie des normes. Une loi qui est votée, comme nous avons approché, est-ce qu'au Sénégal, ils vont approcher les lois de règlement ?
11:19Il n'y a rien qui n'est pas dans la loi de règlement. Et toutes les lois de règlement, la Cour des comptes a certifié, l'Assemblée a voté,
11:27la Celle de 2022 qui avait été déposée en 2023.
11:33C'est quoi le problème ? La Cour des comptes a certifié, est-ce qu'elle a la capacité de revenir juridiquement, légalement sur les lois de règlement qui ont été votées ?
11:48Voilà le problème de fond que pose ce rapport d'audit. Mais il y a d'autres questions de fond également qui font que nous, on s'arrête à comment la Cour des comptes a procédé.
12:01Aller aux pages 25 et aux pages 26 du rapport, parce que nous ne pouvons pas les libérer. Chaque fois qu'on y va, on y va d'un point à l'autre.
12:15Voilà, page 25, la Cour des comptes est en train de dire, voilà des DAT que le Trésor public avait constitué.
12:27DAT c'est des dépôts à pertes. Et la Cour des comptes reproche au gouvernement d'avoir démobilisé ces DAT.
12:37Et il dit qu'ils ont utilisé l'argent. Mais comment ils ont utilisé l'argent ? Où cet argent est passé ? La Cour des comptes ne le dit pas.
12:45C'est pour ça qu'on est là, qu'on est venus s'amuser, qu'on est venus parler de l'affaire de Nakala Deme, de Foumoudiar et de ce qu'on veut faire avec cette affaire.
12:54Mais ce n'est pas une façon de faire. Ce n'est pas une façon sérieuse de travailler. On a connu la Cour des comptes beaucoup plus rigoureuse que ce qui a été fait dans cette affaire.
13:06Ce que je veux dire, c'est que la Cour des comptes fait comme si on a vendu les immeubles de l'État.
13:14Parce qu'on a vendu les immeubles de l'État. Ce qu'on a réuni, c'est ce qu'il a produit.
13:19A la page 26, la Cour des comptes dit qu'on a procédé à la vente des immeubles.
13:26Mais tout le monde sait que cette vente-là, c'est ce que j'ai dit.
13:30C'est ce que j'ai dit et ce que j'ai fait.
13:36Mais c'est comme si tout ce qui a été fait, a été fait dans le sens de jeter les gouvernements successifs du président Macky Sall à la vindicte populaire.
13:47Mais on n'acceptera pas d'être victime de ce jeu-là.
13:52Et c'est là où je voulais venir à la finalité.
13:54La finalité de ce raccord, c'est de saluer le bilan du président Macky Sall.
14:07C'est un bilan qu'on a tous travaillé pour.
14:11C'est à ce moment-là que nous allons saluer ce bilan.
14:16Parce qu'on a fait tout pour le faire.
14:19Mais demain, on verra le bilan du président Macky Sall.
14:23Demain, on verra le bilan du président Macky Sall.
14:26Demain, on verra le bilan de l'Institut pour le Réunion des Nations Unies.
14:29Demain, on verra le bilan de la mobilisation.
14:32Demain, on verra le bilan de l'aéroport.
14:35Demain, demain, demain, demain...
14:37C'est ce que je veux voir.
14:38C'est ce que je veux voir.
14:40C'est ce que je veux voir.
14:42C'est pour ça que, comme le président Macky Sall est en train de se présenter au Sénégal,
14:48c'est pour ça qu'on a fait ce qu'on a fait.
14:53C'est pour ça qu'ils ont voulu profiter de ce contexte difficile.
15:03Parce qu'ils ont fait ce qu'ils avaient à faire.
15:05C'est ce que je veux dire à tous les gens.
15:08Il y a des choses difficiles.
15:10Aujourd'hui, on va faire le Ramadan pour les musulmans.
15:17Tout le monde sait que c'est une période difficile.
15:20On sait qu'on va avoir des difficultés.
15:23On va avoir des difficultés, des difficultés.
15:26On va avoir des difficultés.
15:28On va avoir des difficultés.
15:30On va avoir des difficultés.
15:31C'est en fait ça, la finalité de ce rapport.
15:35Et voilà pourquoi ce rapport sort maintenant.
15:38Voilà même pourquoi il sort l'avant-veille pour notre camarade,
15:42l'honorable Farouk Ndiaye.
15:46Tout cela, tout cela, nous le savons.
15:51Vous savez quel est le problème ?
15:53Nous savons beaucoup, nous savons l'opposition.
15:56Nous voulons savoir l'opposition.
15:58Nous voulons savoir l'opposition.
16:01Nous savons l'opposition.
16:04Nous savons l'opposition.
16:06Nous savons qu'il n'y a pas d'excuses.
16:09Il n'y a pas d'excuses.
16:11La finalité pour en revenir,
16:14c'est que dans ce contexte difficile,
16:17ils ont eu le prétexte de sortir un texte
16:21aux allures des réquisitoires contre le régime de Macky Sall.
16:24Mais les réquisitoires, il va s'effondrer
16:26aussi rapidement que les accusations sont gratuites.
16:30C'est parce que l'accusation, elle est gratuite
16:33que le réquisitoire va s'effondrer.
16:36Et le ministre Bob Malik l'a dit,
16:38on va inventer un délit sans délinquant.
16:41Ils vont dire, il y a un délit mais il n'y a pas de délinquant.
16:44Il n'y a pas de délinquant ici.
16:46Il n'y a pas de feu, nous ne l'avons pas trouvé.
16:48Donc, c'est ce que nous voulons que les physiciens regardent.
16:50Nous ne l'avons jamais trouvé.
16:52Maintenant, quand même, ce rapport a fait des dégâts.
16:56Il a fait des dégâts?
16:58Et il a fait des victimes.
17:00Les victimes, ce n'est pas nous.
17:03Donc, nous devons nous concentrer sur les victimes.
17:06La première victime, c'est la cour des comptes.
17:09La cour des comptes que vous connaissez,
17:11avec toutes les catégories,
17:13avec tous les conflits,
17:15avec tous les coups d'âne,
17:17la cour des comptes n'a jamais donné rapport
17:20à la vérité.
17:22Parce que personne n'a jamais pensé
17:24qu'on allait parler de la cour des comptes.
17:27Jusqu'à aujourd'hui,
17:29la cour des comptes a publiquement parlé de la cour des comptes.
17:34C'est la première fois dans l'histoire du Sénégal.
17:37Donc, avec ce rapport,
17:39la cour des comptes s'est tirée une véritable barre dans le pied.
17:43Elle n'a jamais pu le faire.
17:47La deuxième victime,
17:49c'est l'état du Sénégal,
17:51le pauvre état du Sénégal.
17:52Le pauvre état du Sénégal.
17:54Et nous le connaissons,
17:56avec ses hauts fonctionnaires,
17:58qui sont des agents déterminés,
18:00courageux, dévoués.
18:02Ils savent qu'ils ne veulent pas de politique.
18:05Si Saint-Laurent est resté, nous allons travailler avec lui.
18:07Si Abdel Youvenier est resté, nous allons travailler avec lui.
18:09Si Abdel Ayouane est resté, nous allons travailler avec lui.
18:12Si Magui Salle est resté, nous allons travailler avec lui.
18:15Nous attendons que,
18:17ils se rendent à l'administration,
18:19pour qu'ils reprennent les hauts fonctionnaires de l'état.
18:23L'état va en payer le prix.
18:26Il a commencé,
18:28on a dit qu'on allait dégrader la note du Sénégal,
18:32on l'a fait.
18:34On l'a dégradé, c'est ça.
18:36Donc on va faire ça,
18:38si on est venu au mois de juin,
18:40si on est venu demain,
18:42on va en parler avec eux.
18:44Mais à l'école, c'est eux.
18:46C'est eux qui l'ont dit.
18:47C'est eux qui l'ont dit.
18:49Ils ont dit que les jeunes ne peuvent pas faire ça,
18:52et que les jeunes sont des états.
18:54Si on est venu au mois de juin,
18:56il y a des choses à faire.
18:58Si on est venu au mois de juin,
19:00il y a des choses à faire.
19:02Le gouvernement est responsable,
19:04il ne faut pas dire qu'il a fait tout ça.
19:06Il a réglé tout ça.
19:08Il a fait tout ça.
19:10Il a dit que c'est lui qui a fait tout ça.
19:12Il a dit que c'est lui qui a fait tout ça.
19:14C'est eux qui ont donné le crédit au gouvernement.
19:15C'est eux qui ont donné le crédit au gouvernement.
19:17Mais ce n'est pas eux qui ont donné le crédit.
19:19Je vous ai demandé de retirer le rapport.
19:21C'est eux qui ont donné le crédit.
19:23Si on n'a pas de rapport,
19:25si on n'a pas de rapport,
19:27si on n'a pas de rapport,
19:29on va avoir un accouchement de protection.
19:31C'est ça qui se passe avec ce rapport.
19:33C'est ça qui se passe avec ce rapport.
19:35Donc, l'Etat va être victime,
19:37donc, l'Etat va être victime,
19:39en un certain sens.
19:41La troisième victime,
19:43qui est même la plus importante,
19:45la première victime,
19:47c'est le peuple sénégalais.
19:49Pauvre peuple sénégalais.
19:51Un peuple si digne,
19:53un peuple si courageux,
19:55un peuple qui s'est levé un matin du 24 mars,
19:58qui a dit, moi, peuple du Sénégal,
20:01j'ai décidé de confier mon sort
20:03à ce régime.
20:05Et voilà à peine dix mois où est-ce que nous en sommes.
20:08Dix mois !
20:10Voilà où est-ce que nous en sommes.
20:12Et je ne le souhaite pas,
20:13je souhaite qu'il rectifie
20:15pendant qu'il est important
20:17de pouvoir rectifier.
20:19Mais l'Uni réunit le monde.
20:21L'Uni réunit le monde.
20:23Et on ne sait pas
20:25où est-ce qu'on va aller avec ça.
20:27Et,
20:29quand je pense au peuple sénégalais,
20:32il y a une image qui me vient
20:35à l'esprit du premier ministre.
20:37Sur le premier ministre,
20:39il y a un écrivain qui s'appelle
20:41Samuel Beckett.
20:43Qui est un Irlandais.
20:45Et qui a écrit une oeuvre
20:47reconnue mondialement
20:49comme étant une grande oeuvre.
20:51Ce livre-là s'appelle
20:53En attendant Godot.
20:55En attendant Godot.
20:57Oui, qui est Godot ?
20:59Godot, je le connais,
21:01on l'attendait.
21:03On l'attendait à tout.
21:05On l'attendait à tout.
21:07On l'attendait à Godot.
21:09On l'attendait à Godot.
21:11On l'attendait à Godot.
21:13On l'attendait à Godot.
21:15Donc,
21:17ce gouvernement-là,
21:19c'est en attendant Godot.
21:21C'est en attendant Godot.
21:23Le gouvernement est en attendant Godot
21:25à
21:27Dieu nous a donné la vie.
21:29Dieu nous a donné la vie.
21:31Dieu nous a donné la vie.
21:33Nous savons que
21:35ce n'est pas seulement
21:37ce qu'il y a là-bas.
21:39Mais,
21:41tout cela,
21:43nous le savons.
21:45C'est pourquoi le président Macky Sall
21:47a fait ce bilan extraordinaire
21:49à la tête du Sénégal.
21:51Et nous sommes témoins.
21:53Nous, qui étions avec lui
21:55tous les jours de la semaine
21:57pour voir comment il a géré
21:59le destin de ce pays.
22:01Pour voir comment,
22:03avec efficacité,
22:05avec son apparemment
22:07et sa qualité d'ingénieur.
22:09L'ingénieur,
22:11c'est celui qui cherche
22:13la difficulté.
22:15L'ingénieur,
22:17c'est celui qui apporte la solution
22:19à tous les problèmes.
22:21Et Macky Sall est un ingénieur
22:23à la tête du Sénégal.
22:25C'est pourquoi nous voulons
22:27qu'il y ait plus de lutte.
22:29C'est pourquoi
22:31nous voulons qu'il y ait
22:33plus de lutte.
22:35J'avais dit à Godot
22:37quand le président Macky Sall
22:39était venu à l'époque
22:40qu'il allait demander
22:42de vivre à Morphée.
22:44Je lui ai dit,
22:46Monsieur le Président,
22:48vous êtes l'homme
22:50à la parole rare
22:52et aux actes incontestables.
22:54Vous êtes l'homme
22:56à la parole rare
22:58et aux actes incontestables.
23:00Macky Sall restera
23:02cet homme à la parole rare
23:04qu'on ne peut pas dire
23:06parce que tout le monde se tombe.
23:08Mais,
23:10c'est ce que nous voulons,
23:12c'est ce que j'espère,
23:14c'est ce que nous voulons,
23:16c'est ce que vous voulez,
23:18c'est ce que nous voulons,
23:20et c'est ce qu'on va faire.
23:22C'est ce qui nous reste.
23:24Merci.
23:30Merci beaucoup.
23:40C'est le moment de le déclencher, c'est le moment de le déclencher, c'est le moment de le déclencher, c'est le moment de le déclencher.