Un adolescent de 14 ans a été tué et cinq autres personnes blessées samedi dans une attaque au couteau dans le sud de l'Autriche, sur la place principale du centre ville de Villach, a annoncé la police, ajoutant avoir arrêté le suspect. Cet homme est un demandeur d'asile afghan de 24 ans *et selon la police allemande il a fait état de motivations islamistes pour son acte.
Le gouverneur de Carinthie, Peter Kaiser, membre du Parti social-démocrate (SPÖ), a souhaité les "conséquences les plus graves" pour cette "atrocité incroyable", avec "un emprisonnement et une expulsion".
L'attaque est survenue juste en pleine après-midi dans le centre de Villach, en Carinthie, faisant deux blessés graves et trois plus légers.
La police vérifie des témoignages selon lesquels l'agresseur a crié "Allah Akbar" ("Dieu est grand"), comme l'attaquant afghan deux jours plus tôt en Allemagne.
Témoin de l'attaque, un livreur de repas, lui aussi d'origine syrienne, a lancé son deux roues contre l'attaquant, qui a été légèrement blessé et a pu être arrêté "juste après les faits", selon le porte-parole de la police.
Cette attaque survient deux jours après une attaque à la voiture bélier à Munich, en Allemagne. Une fillette de deux ans et sa mère sont décédées samedi des suites des blessures subies lors de cette attaque à Munich, qui a fait en outre 37 blessés.
Le chef de file de l'extrême droite Herbert Kickl, dont le Parti autrichien de la liberté (FPÖ) a remporté les législatives pour la première fois de son histoire en septembre, s'est dit "consterné" par l'attaque, la qualifiant de "défaillance du système".
"Nous avons besoin d'une répression rigoureuse de l'asile", a déclaré dans un communiqué celui dont le parti a échoué cette semaine dans ses négociations pour former un gouvernement avec les conservateurs.
Après la chute de Bachar al-Assad en Syrie en décembre 2024, l'Autriche et plusieurs pays européens ont gelé les demandes d'asile en attente des Syriens.
Le gouvernement autrichien a annoncé "un programme de rapatriement et d'expulsion vers la Syrie". L'Autriche n'a connu jusqu'à présent qu'une seule attaque jihadiste, en 2020, lorsqu'un sympathisant du groupe État Islamique (EI) a ouvert le feu dans le centre de Vienne, faisant quatre morts.
Le gouverneur de Carinthie, Peter Kaiser, membre du Parti social-démocrate (SPÖ), a souhaité les "conséquences les plus graves" pour cette "atrocité incroyable", avec "un emprisonnement et une expulsion".
L'attaque est survenue juste en pleine après-midi dans le centre de Villach, en Carinthie, faisant deux blessés graves et trois plus légers.
La police vérifie des témoignages selon lesquels l'agresseur a crié "Allah Akbar" ("Dieu est grand"), comme l'attaquant afghan deux jours plus tôt en Allemagne.
Témoin de l'attaque, un livreur de repas, lui aussi d'origine syrienne, a lancé son deux roues contre l'attaquant, qui a été légèrement blessé et a pu être arrêté "juste après les faits", selon le porte-parole de la police.
Cette attaque survient deux jours après une attaque à la voiture bélier à Munich, en Allemagne. Une fillette de deux ans et sa mère sont décédées samedi des suites des blessures subies lors de cette attaque à Munich, qui a fait en outre 37 blessés.
Le chef de file de l'extrême droite Herbert Kickl, dont le Parti autrichien de la liberté (FPÖ) a remporté les législatives pour la première fois de son histoire en septembre, s'est dit "consterné" par l'attaque, la qualifiant de "défaillance du système".
"Nous avons besoin d'une répression rigoureuse de l'asile", a déclaré dans un communiqué celui dont le parti a échoué cette semaine dans ses négociations pour former un gouvernement avec les conservateurs.
Après la chute de Bachar al-Assad en Syrie en décembre 2024, l'Autriche et plusieurs pays européens ont gelé les demandes d'asile en attente des Syriens.
Le gouvernement autrichien a annoncé "un programme de rapatriement et d'expulsion vers la Syrie". L'Autriche n'a connu jusqu'à présent qu'une seule attaque jihadiste, en 2020, lorsqu'un sympathisant du groupe État Islamique (EI) a ouvert le feu dans le centre de Vienne, faisant quatre morts.
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TVTranscription
00:00Bientôt avant 16h, un homme a sorti avec un couteau sur plusieurs passants dans le quartier de la haute-brèche.
00:07Il a été observé par des témoins lors de la tâche.
00:10Un vendeur d'aliments l'a vu et a sorti avec son véhicule sur le tâcheur.
00:15C'est ainsi qu'il a pu s'occuper d'une autre tâche.
00:22Le tâcheur, un Syrien âgé de 23 ans, a été immédiatement découvert.
00:27Il y a, malheureusement, quatre victimes.
00:29L'un des victimes, un jeune homme de 14 ans, est mort.
00:32Deux autres victimes ont eu de graves blessures à l'hôpital.
00:35Deux autres victimes ont eu de légères blessures.
00:39Le tâcheur, un Syrien âgé de 23 ans, est encore en place.
00:43C'est un vendeur d'asile.
00:45Il doit être vérifié.
00:47Il n'a pas encore été découvert par la police.
00:51Ce qui signifie qu'il n'a pas encore été découvert par la police.
00:54Mais il n'y a pas encore beaucoup d'investigations.
00:56Peut-être qu'il y a des exceptions.
00:58Il faut attendre les investigations.
01:01Un Syrien âgé de 42 ans, un vendeur d'asile, a observé la tâche.
01:06Il a sorti avec son véhicule sur le tâcheur.
01:09Il a donc, aujourd'hui, évidemment, évité d'autres tâches.
01:13Cela a aussi fait qu'on a pu le découvrir immédiatement.
01:16C'est-à-dire qu'il est actuellement au courant de la police.
01:18Il a aussi été reconnu.
01:20J'en prie pour votre patience.
01:22Il n'y a pas encore de découvertes.
01:24On ne sait pas s'il y a eu une relation entre le tâcheur et le vendeur d'asile.
01:28C'est l'objet de nos investigations,
01:30qui, dans ce cas, doivent aller dans toutes les directions
01:32et qui prendront des temps.