• il y a 10 heures
Seneweb, c'est le site numéro 1 , Pionnier et toujours leader des réseaux de plateforme digitale au Sénégal et en Afrique de l’Ouest francophone
Visitez notre site web: https://www.seneweb.com

Catégorie

📺
TV
Transcription
00:30C'est vrai qu'aujourd'hui, c'est difficile d'avoir de l'argent.
00:33Les syndicats ont entendu parler de l'argent de l'asphalte.
00:37Pour trouver une solution mais ce n'est pas le cas.
00:41Il y a beaucoup d'alerte sur les banques.
00:47Il y a beaucoup de revendications sur les salaires et sur les licenciements.
00:54Nous devons nous concentrer sur le bureau pour trouver une solution.
01:02Même s'il y a un communiqueur qui ne veut pas parler de la situation actuelle.
01:07Mais nous devons nous concentrer sur les grèves pour trouver une solution.
01:14Depuis que je suis maire, j'ai vu des grèves dans les syndicats.
01:19Même si le président sorti nous a dit qu'il y a confiance en nous
01:28mais nous devons nous concentrer sur les syndicats pour trouver une solution.
01:34Où devons-nous aller dans cette situation?
01:38Je vais vous donner des dires sur les syndicats.
01:45Nous sommes en train de l'entendre et de l'écouter.
01:51Nous allons commencer à l'entendre.
01:54Il y a des groupes qui sont en train de s'entraîner.
02:01Il y a une communauté permanente de dialogue.
02:05Surtout sociale qui peut anticiper les pétribations.
02:11Les sénégalais sont là-bas.
02:13J'ai entendu le secrétaire général du gouvernement demander
02:18que le premier ministre allait à l'Assemblée Nationale.
02:21Mais s'il y a un problème, il va parler avec les syndicats.
02:28Je pense que c'est vrai qu'il faut attendre l'annonce de l'Assemblée Nationale.
02:34Nous avons des décisions et des annonces fortes à prendre.
02:42Mais nous voulons aussi que ce soit au second plan.
02:50Les salaires sont très importants.
02:55La pédagogie est la meilleure solution.
03:02Tout ce que nous devons faire pour qu'il s'agisse de l'Assemblée Nationale
03:07c'est de prendre les salaires et les privilèges.
03:11Nous devons prendre les salaires et les privilèges.
03:15Si nous prenons des subventions,
03:21nous devons prendre les salaires et les privilèges.
03:27La pédagogie peut aider les sénégalais à prendre les privilèges.
03:36C'est ce que mon grand-père m'a dit.
03:39Nous devons prendre les privilèges et les privilèges.
03:45En attendant, nous devons en parler avec les syndicats.
03:52Le président de la République et le Premier ministre sont syndicalistes.
03:56Ils savent ce qu'est le syndicat et quels sont les syndicalistes.
04:02Le gouvernement sait qu'il y a des syndicalistes.
04:05Le président du comité du dialogue social
04:11est aussi un syndicaliste.
04:16Nous devons en parler avec tous les syndicats
04:22car nous savons tous que c'est difficile à gérer.
04:27Nous savons tous que c'est difficile à gérer.
04:30C'est très difficile à gérer.
04:33Donc, nous devons en parler avec tous les syndicats.
04:41C'est important.
04:42Nous devons en parler avec tous les syndicats.
04:49Car nous avons tous des intérêts particuliers.
04:55Mais si tu n'as pas d'intérêt particulier, tu n'as pas le droit d'en parler.
05:02Tu ne peux pas en parler.
05:05Au-delà des intérêts particuliers, il faut aussi voir l'intérêt général.
05:14C'est l'arbitrage qui fait la relation conflictuelle.
05:19C'est celui qui a le plus d'intérêt et celui qui a le plus d'intérêt.
05:22Mais on ne peut pas le dépasser.
05:25Il y a aussi le dialogue social et sincère entre les syndicats.
05:31C'est ce qui fait que nous devons mettre sur la table la situation.
05:35L'état peut aussi faire des sacrifices mais les syndicats doivent aussi lâcher du lest.
05:41Pour qu'ils puissent se remettre à la paix.
05:47C'est un dire qui va redresser le pays.
05:49Pour qu'ils puissent se mettre à la paix.
05:56C'est la seule solution.
05:59Tu peux taxer le problème ici ou là-bas.
06:04Tu ne peux pas régler le problème ici et là-bas.
06:09Donc, tu n'as pas le choix.
06:11Tu dois trouver des solutions.
06:14Mais si tu as réussi à le faire, c'est parce que tu t'es séparé de toi-même.
06:19Tu as perdu tout ce que tu avais.
06:22C'est pourquoi nous devons l'accepter comme une opportunité.
06:25Pour qu'ils puissent se mettre à la paix.
06:29Pour qu'ils puissent avoir une légitimité populaire incontestable.
06:32Pour qu'ils puissent se mettre à la paix.
06:37Pour qu'ils puissent se mettre à la paix.
06:40Mais tout le monde peut le faire.
06:44Par rapport à la position à Bassefale.
06:46Oui, c'est le ministère du Travail.
06:50Donc, il faut se mettre à la paix mais les négociations avec les syndicats
06:55se règlent à la primature.
06:58Où est-ce qu'il y a-t-il?
07:00Il y a un ministère dans l'autre quartier.
07:03C'est le ministère qu'il faut se mettre à la paix.
07:06Il faut se mettre à la paix.
07:10Après, il faut se mettre à la primature.
07:15Il faut se mettre à la primature.
07:18Pas seulement à la primature mais aussi au président de la ville, au ministre des Finances.
07:24Donc, il y a des arbitrages.
07:26Mais il faut se mettre à la primature.
07:28Il faut se mettre à la paix.
07:32Il faut se mettre à la paix dès le matin.
07:35C'est ce que le premier ministre Ousmane Sonko a dit.
07:37Il faut se mettre à la paix dès le matin.
07:41Mais à Bassefale, il est dans son rôle.
07:43Il faut se mettre à la paix.
07:46Il faut se mettre à la paix au premier plan.
07:49Je ne l'ai pas vu mais peut-être qu'il est en dialogue.
07:52Il faut se mettre à la paix.
07:56Le ministère du Travail est transversal.
07:58Il faut se mettre à la paix auprès des institutions.
08:01Mais les ministres concernent directement.
08:05Par exemple, les syndicats de l'éducation
08:07Il faut se mettre à la paix.
08:10Il faut se mettre à la paix.
08:13Il faut se mettre à la paix au premier plan.
08:17Mais ça se passe comme ça.
08:19Mais je pense qu'on peut régler ça car on est tous des patriotes.
08:23On est tous des patriotes.
08:27Mais on sait que tout le monde a un intérêt à s'éclairer.
08:31Même si on perd le salaire.
08:34Mais si on perd le salaire, on perd le pouvoir d'achat.
08:37Si on perd le pouvoir d'achat
08:40et que les prix s'éloignent, on perd le pouvoir d'achat.
08:49Si on perd le pouvoir d'achat, on ne perd pas la paix.
08:55Mais si on perd le salaire,
08:57on perd le pouvoir d'achat.
09:06Si on perd le pouvoir d'achat, on ne maîtrise pas les prix.
09:10C'est pour ça qu'on doit bien regarder les choses.
09:14Mais il y a des privilèges qu'on doit regarder.
09:18Il y a des paradoxes qui nous manifestent.
09:23Par exemple, le président de la République a payé 5 millions de francs CFA.
09:28Il a des dégâts de plus que le président de la République.
09:32C'est un paradoxe qu'on doit regarder en revue.
09:36Il y a des paradoxes qu'on doit regarder en revue.
09:40Le DG de l'ARDP a payé un salaire de plus de 1 million.
09:46Je ne veux pas dire ce que je ne dois pas dire
09:49mais il y a des dégâts de plus de 1 million de francs CFA.
09:55Il a payé 5 millions de francs CFA.
09:58C'était le président de l'ARDP.
10:01Il faut harmoniser les choses car il a des dégâts de plus de 1 million de francs CFA.
10:05Il y a des gens qui ont payé des millions de francs CFA
10:08comme le président de la sélection nationale.
10:11Il a payé 2 millions de francs CFA mais il a payé plus de 1 million de francs CFA.
10:14Mais ça, on peut le comprendre.
10:15Au niveau des structures éthiques, il y a des dégâts de plus de 1 million de francs CFA.
10:20Il faut harmoniser les choses car il y a des privilèges.
10:24C'est un paradoxe qu'on doit regarder en revue.
10:28C'est un paradoxe qu'on doit regarder en revue.
10:34Le président de l'Assemblée n'a pas besoin de monopoliser les choses.
10:38Mais si on calcule 900.000 francs
10:41et qu'on le donne à quelqu'un
10:46dans 5 ans,
10:49si on le harmonise,
10:531 million sur 10 mois, c'est 10 millions.
10:57Mais si on le fait en 15 mois, c'est 10 millions.
11:02Mais si on le fait en 10 mois, c'est 10 millions.
11:06Si on multiplie le 10 millions par 5, c'est 50 millions.
11:11Et si on fait en 900.000 par mois,
11:17et qu'on le donne aux députés, on en fait 50 millions.
11:20Si on le donne aux députés, en 30 millions,
11:24C'est très important.
11:28Il faut qu'on le mette là et qu'on le garde à l'esprit.
11:34Il faut qu'on le mette là et qu'on le garde à l'esprit.
11:39Mais si on le donne à 900.000f, on peut en acheter 30.000f.
11:45C'est très important.
11:51C'est très attendu.
11:57On a besoin de l'entendre parce qu'il est le chef du gouvernement.
12:03Il doit donner les grandes orientations car c'est lui qui est responsable de l'Assemblée Nationale.
12:09C'est ce que j'ai appris de mes collègues.
12:15Si on ne fait pas la radio-thérapie et qu'on évacue les maladies
12:22et qu'on les emmène partout, c'est compliqué.
12:27C'est un secteur stratégique.
12:31Si on parle de santé, de l'éducation, de l'éducation à la base
12:37on ne peut pas dire qu'il n'y a pas de solution.
12:41Pour moi, le manque de sincérité n'est qu'une erreur.
12:47Il faut être sincérité, un syndicaliste ne peut pas dire ce qu'il veut sur la table.
12:52C'est ce qu'il faut faire.
12:56On est dans une erreur car on ne peut pas entendre ce qu'on dit sur les réseaux sociaux.
13:03Je veux dire qu'on ne peut pas se calmer sur la table
13:09car on ne peut pas signer des lois.
13:13C'est pourquoi je vous donne des conséquences.
13:15C'est la situation actuelle.
13:18Il faut s'intéresser à ce qui se passe et s'assurer de la solution.
13:23Le problème se trouve dans les syndicats et c'est la communication.
13:32Il faut réaliser les difficultés des autres.
13:35Il faut tout faire pour parler aux autres à temps.
13:39Mais ce n'est pas ce qu'on vous a dit aujourd'hui?
13:41Je vous l'ai expliqué, c'est ce qu'il faut faire.
13:43Nous avons des problèmes et nous n'avons pas le temps de les résoudre.
13:47Même pour les banques, nous ne travaillons pas car nous ne pouvons pas perdre notre emploi.
13:52Il faut être sincère sur la table.
13:55Il faut être sincère.
13:57Les syndicats ne peuvent pas se calmer à temps.
14:03Mais Abad Fallou, Ibrahima Siou et Abdou Rahman Dioufou
14:09sont tous des membres des syndicats et je crois qu'il y a une urgence.
14:15Ils ne peuvent pas continuer de manifester ou de grèver.
14:20La situation est alarmante, les moyens ne sont pas disponibles.
14:25Nous voulons que les syndicats prennent des meilleurs moyens.
14:29Mais il n'y a pas d'autre choix.
14:32La solution est là mais il n'y a pas ce qu'il faut pour la résoudre.
14:38C'est ce que Abidjan a toujours dit.
14:43Il ne faut pas abandonner la solution.
14:46Le problème que nous avons le plus souvent, c'est l'institution.
14:54Les gens qui veulent prendre leurs droits sont les institutions.
14:57Donc, il ne faut pas abandonner l'institution.
15:03Mais il ne faut pas abandonner l'institution car les gens en ont des problèmes.
15:08Effectivement.
15:09Les syndicats ne peuvent pas se calmer à temps.
15:12Il n'y a pas de solution définitive mais il faut le faire à temps.
15:18Il ne faut pas abandonner l'institution car c'est leur droit.
15:24Mais il faut avoir une disponibilité dans les groupes.
15:27C'est une urgence mais il faut avoir une disponibilité dans les groupes.
15:32Ils doivent accepter de se rencontrer avec eux.
15:36C'est ce qu'il faut faire avec sincérité.
15:41Si tu n'as pas le moyen d'en parler avec lui, il ne le saura pas.
15:45Nous savons tous que Réoumi a des problèmes.
15:49Donc, il faut s'occuper d'eux et leur donner une disponibilité.
15:54Il faut s'occuper d'eux mais les gens de Sénégal ne sont pas d'accord.
15:59Ils pensent qu'ils n'ont plus d'amis.
16:01Ils ne peuvent pas s'occuper d'eux.
16:03Ils ne peuvent pas s'occuper d'eux.
16:08Mais il faut s'occuper d'eux.
16:13On doit chercher cette disponibilité.
16:15On a toujours eu cette proximité auprès des gens.
16:22Je veux jouer ce rôle car ils n'ont pas beaucoup de choix pour moi.
16:26Vous aussi, vous devriez avoir des solutions.
16:32Vous devriez parler avec eux.
16:34C'est toujours un problème, est-ce qu'on peut anticiper les choses?
16:39Oui mais il y a un problème car il n'y a pas de langage de vérité.
16:44On ne peut pas discuter avec les syndicats sur des problèmes.
16:49On ne peut pas discuter sur les choses qui se sont arrangées.
16:54On ne peut pas en parler.
16:57Mais avant d'y aller, il faut qu'on le dise carrément.
17:01Je ne peux pas vous arrêter en termes de disponibilité, de temps et de communication.
17:07Il faut qu'on le dise car il y a beaucoup de choses qui se sont arrangées.
17:15Il y a aussi des syndicalistes qui vont le soutenir.
17:19Ils vont accepter les choses car c'est leur situation.
17:24Si on ne les tue pas, on peut avoir des problèmes car on ne peut pas s'occuper de l'urgence.
17:29On ne peut pas s'occuper de l'urgence.
17:34On ne peut pas discuter sur des choses qui se sont arrangées.
17:41Car il y a des conséquences dans le cadre de l'escale.
17:46Si tu entres à l'école avec des enseignants, on te répercute.
17:49Si tu entres à l'hôpital avec des fatigants, on te répercute.
17:52On ne peut pas discuter sur des choses qui se sont arrangées.
17:56On ne peut pas s'occuper de l'urgence.
17:59D'accord, on va passer au dernier point.
18:03Le 38ème sommet africain où le président de la république, Bassirou Dioumaï, est allé.

Recommandations