Revue de Presse du 19 Fevrier 2025 avec Fabrice Nguema
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00:00Sénégal, bonjour. Au menu de l'actualité de l'Observateur Lobs ce matin, le meurtre et bien le meurtre de Babacar Diagne, suite au combat à Mabalé-Franc.
00:08En tout cas, un acte de lâcheté absolu. Voilà le titre qui parle à une du journal du groupe Futur Média.
00:13L'Observateur Lobs indiquait la barbarie révélée, et bien révélée, par l'autopsie du corps du militant de PASTEF, les Patriotes, de Didet Yaro Ykao.
00:21Bon, la terrible contusion thoracique, le choc fatal au cœur, indique toujours l'Observateur Lobs, le journal de parler d'un acte de lâcheté absolu, et même un acte de lâcheté de la pire espèce.
00:33Sommes-nous tentés de dire que dire, autour justement de cette histoire ?
00:36Si l'on se retient et fait retenir au finish, l'Observateur Lobs, à savoir 17 morts et bien 17 morts depuis l'installation de l'arène nationale à Pékin, selon le député Babacar Diagne.
00:46Action, réaction, le ministère de l'Intérieur suspend RAKINTAKTAFTAN et YORIYORI.
00:51La couverture sécuritaire pour la lutte, informe toujours l'Observateur Lobs, à propos justement de BEREDOR, il y a Tribune Quotidien ce matin, qui s'arrête sur des actes de vandalisme de CHENAPIN.
01:02Tristement illustré par des destructions de biens publics et privés, sans oublier les agressions.
01:07Avant de titrer, le ministre, et bien le ministre de l'Intérieur annule, annuler entre guillemets, tous les combats de lutte.
01:13Bon, Tribune Quotidien, pour l'instant, dédique énormément du comité national de gestion de la lutte en abrégé CNG et des acteurs impliqués.
01:21Aussi, il conviendrait de relever toujours, d'après Tribune Quotidien, le non-respect, le non-respect des horaires de démarrage des grands combats.
01:28D'où l'interrogation courbaïphale et boldébouride de la rédaction de Tribune Quotidien, à savoir le CNG, et bien le CNG, un poids plume.
01:35Pour ne pas dire le CNG insignifiant face au promoteur, tout compte fait, Enquête Quotidienne révèle à ça une, après les scènes de violence le week-end dernier,
01:44Jean-Baptiste s'insulte totalement, pour ne pas dire complètement, et voir carrément la reine.
01:49En tout cas, Monsieur le ministre de l'Intérieur a décidé de ne plus, alors là, plus du tout, du tout, assurer la couverture sécuritaire.
01:56Les combats de lutte précisent toujours, Enquête, dans le journal, on peut lire, la décision est motivée par les manquements du CNG, de lutte et des acteurs impliqués.
02:04Aussi, Enquête Quotidienne ne nous apprend que, Ndeke Teyo, Ndeke Teyo, le ministère des Sports condamne, le meurtre de Babacar Diagne.
02:13S'agit-il de médecine après la mort, voire de médecine après inhumation, ou pas ?
02:18Quoi qu'il en soit, le journal les écho d'afficher, violence avant, pendant, et après, les combats de lutte, la police quitte la reine.
02:25Le ministère de l'Intérieur décide de l'arrêt, jusqu'à l'ouvert l'ordre, de la couverture sécuritaire des combats.
02:30Informe toujours les échos, au journal d'ajouter, combats, et bien comment Babacar Diagne a trouvé la mort, sur sa propre moto.
02:36Bon, 9 autres personnes blessées, et d'innombrables dégâts matériels, voilà ce qui a été relevé.
02:41Après le combat, Franck Amabaldé, nous livre toujours les échos, échos favorables ou pas.
02:46En tout cas, sécurité dans la reine, la fin de la saison de lutte, ce que c'est cher à savoir, histoire de faire savoir, le point actuel, au journal, pour l'instant, de retenir, et faire retenir, ce qu'il y a lieu de retenir.
02:56Comprenez, la police suspend sa couverture des combats de lutte, jusqu'à nouvel ordre.
03:01Et pour que tout rentre dans l'ordre, elle invoque, la police invoque, des problèmes de sécurité.
03:06En attendant, restons avec le point actuel qui l'est vers la salle 1.
03:09Ministre, Secrétaire Général du Gouvernement, Al Aminoulo, en première ligne.
03:13Bon, son exposition médiatique pose problème, d'après toujours le point actuel, au journal de renseigner, sa sortie sur la thèse à valeur d'orientation politique majeure.
03:22Bon, un prochain ministre des Finances, Al Aminoulo, l'est-il ?
03:26Interroge, bien entendu, le point actuel, l'autre actualité du journal.
03:30Gravite autour, et bien autour, des questions d'actualité au gouvernement.
03:33En tout cas, M. le Premier Ministre, son Excellence, brosse la porte du boulot, Ousmane Sonko, face au député, ce vendredi.
03:40Bon, ce vendredi, il conviendrait de souligner, les huit questions de PASTEF, les patriotes, et les deux autres, de Taku Walou, et des dons d'inscrits, d'après, bien entendu, le point actuel, ce matin.
03:50Ce matin, l'autre journal qui s'intéresse à cette actualité, c'est le Dakarois Quotidien, Sonko, à l'Assemblée Nationale, sur les difficultés, et bien les difficultés, pour ne pas dire les tolofs, tolofs, et les jaffés, jaffés économiques de l'heure.
04:02A l'heure actuelle, il est question d'une interrogation.
04:04Courbaïfal et Moldébouri du Dakarois Quotidien, à savoir, Sonko, à l'Assemblée Nationale, pour des solutions ou une entourloupe politique, politiquement parlant.
04:13Il y a, dans le Dakarois Quotidien, le parrainant là-bas, pour le pas d'une coup de pied dans la fourmilière, signé Karim Khouroumkha, qui met la pression au gouvernement, en tout cas, Sawai Karim Khouroumkha.
04:23Toujours, dans le Dakarois Quotidien, de jurer la main sur le cœur, avant de dire, à haute intelligible voix, ils n'ont qu'à démissionner, s'ils ne parviennent pas, alors là, pas du tout, à régler, et bien régler, les problèmes des Sénégalais, aux Sénégalaises, et aux Sénégalais, le public quotidien.
04:37De s'arrêter sur la dernière sortie auditoire de Monsieur le Président de l'Assemblée Nationale, en tout cas, ennemi à l'extérieur, dévançant l'État auprès des partenaires financiers, pouvoirs perdus, ou aveux d'incompétence caractérisés, c'est l'interrogation du public.
04:51Le journal, en tout cas, de chercher à savoir, histoire de faire savoir, boule de sur boule, mais qui gouverne en réalité les réalités, le Sénégal, en tout cas, El Mali Ndiaye, Président de l'Assemblée Nationale du Sénégal, de son État, avoue que l'État est faible devant ses ennemis, et a peur les Sénégalais.
05:06Et a peur les citoyens qui ne se sentent plus, alors là, plus du tout, du tout, du tout, en sécurité.
05:11Aussi, annoncer les infiltrés au top du projet ACTE, le manque de retenue et de discrétion des autorités, note toujours le public au journal, d'indiquer l'État doit rester fort et rassurer le peuple, quelles que soient les difficultés de gestion des affaires publiques.
05:27Mais ce que rend public, critique gravite autour, justement, de la position chirurgicale de Biraïm Seck, du Forum Civil, sur le rapport de la Cour des Comptes, tout compte fait.
05:37Il s'agit d'appeler Biraïm Seck, du Forum Civil, dans Critique Quotidienne, de Neferé Mbam, Mbamkour Laiwadé, Mbamkour, pour ne pas dire de Neferé Guilhem, voire de Neferé Elephant.
05:46En tout cas, Biraïm Seck de retenir et faire retenir un massacre, un massacre financier et budgétaire traumatisant.
05:53Propos du patron du Forum Civil, qui barre la une de critique, restons avec le journal qui parle de l'ex-procureur, qui cogne le juge du pôle judiciaire financier.
06:01En tout cas, le pied-de-nez d'Alioune Dao, à la magistrature, indique critique.
06:05Le journal de renseigner, les sympathisants de Farba, arrêté le 13 février, relaxé par le tribunal, nous livre, bien entendu, critique.
06:13Même si la critique est aisée, mais l'art difficile, il conviendrait de s'intéresser à l'évidence quotidienne, qui bosse à une d'une interrogation.
06:20A savoir, acquittement des jeunes de Farba, va-t-on vers une réculade de l'État ?
06:24Et en l'état, ce que retient le Point Info Quotidien, ne souffre aucun doute.
06:30En tout cas, à la une du Point Info, on peut lire, jeune, proche de Farba, arrêté, le juge prononce, la relaxe.
06:36Pur et simple, mais ce qui semble simple comme bonjour, d'après le Quotidien, gravide, bien entendu, autour, justement, des dérives d'Alioune Dao.
06:45Tout compte fait, direct du jour, toujours à ce sujet de révéler, pôle judiciaire financier, Farba, après son audition, est retourné chez lui, l'ex-procureur Alioune Dao.
06:53Mais, la pression sur le juge, est dite, une décision, au nom de qui, ou de quoi ?
06:58Quoi qu'il en soit, Dieu est grand, mais Farbangom, ou le lion du bosséat, n'est pas petit.
07:03Au regard de ce que révèle, bien entendu, le peuple quotidien.
07:06Le journal, en tout cas, veut révéler à ça, une Farbangom, gnalo à la gaïda hako.
07:11En d'autres termes, Farbangom, c'est comme qui dirait, l'éléphant qui n'a pas besoin de berger, ou le borgue, semble tenter de dire, que retenir, en tout cas, d'après, bien entendu, le peuple quotidien.
07:21Sinon, dans la jungle politique, Farbangom, a tout, d'un éléphant, qu'on ne fait pas.
07:25Alors là, pas du tout, du tout, du tout, fléchir, d'après, le peuple quotidien, qui considère, à plus de titre, ce que disent, et bien disent, les gaoulots.
07:33Comprenez, l'éléphant n'a pas besoin, alors là, pas du tout besoin, du tout, du tout, besoin de berger.
07:38Pourquoi ? Et bien, parce que, le peuple quotidien, de retenir, une chose claire, comprenez, Farbangom, il n'est pas, alors là, pas du tout, du tout, du tout, accusé de viol.
07:46Il n'est pas traité, de manipulateur, ni d'affabulateur.
07:49Il ne fait face, qu'à un règlement, de contre-politicien.
07:52Retient, et fait retenir, en tout cas, le peuple quotidien.
07:55Alors, face à ces accusations fantaisistes, Farbangom va affronter, une flétissure, sans fléchir, et l'homme politique, qui l'est, en sortira victorieux.
08:05Indique toujours, le peuple quotidien, dans ses colonnes, pendant ce temps, wolf quotidien.
08:09De s'intéresser, à des échanges aigredous, entre le porte-parole du secteur privé, et Monsieur le Premier Ministre, en tout cas.
08:15Dans le journal du groupe Walfaji, on peut lire, les propos de Adama Lam.
08:19A savoir, nous ne sommes pas, de petits bras.
08:21Et comme il est dit, tantôt, nous ferons, Ousmane Sonko, Premier Ministre de son Etat.
08:25De jurer, la main sur le cœur, avant de dire, à haute intelligible voix, l'affairisme d'Etat, c'est terminé.
08:30Terminons, avec Source A, ce matin.
08:32Ce matin, le journal, en tout cas, de nous dire, Capitaine Touré, se défend.
08:36Se défend, par rapport à Kaua'i, et bien, retenons, en tout cas, d'après Source A, Capitaine Touré.
08:40Capitaine Touré, décrié, pour ses licenciements abusifs, ses recrutements de militaires radiés, dont des chroniqueurs, et bien, des chroniqueurs de Web TV.
08:48Sans oublier, la rétrogradation de certains directeurs, son nouvel organigramme.
08:53L'organigramme de l'ASP, son parc automobile.
08:56Le Capitaine Touré, se défend.
08:58Se défend, avec arguments tirés par les cheveux, voire par les pieds, ou pas.
09:02En tout cas, Sawai, monsieur le nouveau DG de l'ASP, a changé l'organigramme de l'agence, afin de mettre au pouvoir, ses hommes et femmes, qu'il a recrutés personnellement.
09:11En tout cas, retenons, dans cette histoire, d'après Source A, qu'une patriote, qui s'active sur Facebook, a été nommée chef de la cellule de communication de l'ASP, en remplacement du journaliste chevronné, Ibrahima Benjamin Diagne.
09:24Titulaire d'un CDI, qui a fait 11 ans à l'agence.
09:27On est où là ? C'est l'interrogation qui s'impose.
09:29Bon, Ibrahima Benjamin Diagne a été rétrogradé, son salaire baissé, et maintenant, il est chef de division, dans la cellule dirigée, par la patriote activiste, sur Facebook, à question.
09:39A la question de savoir.
09:41Mais Capitaine Touré, toi aussi, pour l'instant, mais là, c'est donc, mais là, c'est donc, d'essayer à la foutue diabétie.
09:47Bon, que Dieu préserve le Sénégal.