Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:00Je vais démarrer par David Assouline, vous connaissez David Assouline ?
00:03Oui, ancien sénateur PS.
00:05Exactement. Alors lui, il est allé... Il ne nous aime pas.
00:08Non.
00:08David Assouline, on le savait. On ne l'aime pas non plus, on ne va pas se mentir.
00:12On ne va pas se raconter d'histoire, David Assouline.
00:14En plus, David Assouline, il n'existe pas. On ne va pas se raconter d'histoire.
00:18Qui ça ?
00:18David Assouline. Je ne sais pas qui c'était. On dirait un mec qui était dans ta classe.
00:21Franchement, c'est vrai. On a tous...
00:23Normalement, tu fais David Assouline. Mais si, il est avec toi en TD.
00:26Oui, souviens-toi.
00:27C'est mon docteur de biologie. Rappelle-toi, David Assouline.
00:30Un petit, gros, très beau gosse.
00:32Rappelle-toi. Bah oui, c'est lui.
00:34Alors, David Assouline.
00:35C8 n'a pas été supprimé.
00:37Elle n'a pas eu le renouvellement de sa place sur la TNT qui n'est ni automatique ni éternelle
00:40après 30 condamnations et avertissements.
00:43C'est une attribution de l'État à partir d'engagements contractualisés.
00:45Elle peut émettre ailleurs que sur la TNT. N'importe quoi, déjà.
00:47Mais enfin, ça veut dire vraiment ne pas connaître comment ça fonctionne.
00:50Ça ne veut rien connaître à la TNT.
00:51Puisqu'être sur la TNT, c'est parce qu'on a besoin des revenus publicitaires.
00:54Alors, il y a Sylvain Attal qui lui a répondu.
00:57Un internaute qui est très intelligent, lui, par contre.
00:59Cher David, en plus, il a bien répondu, très gentil.
01:01C'est un argument un peu scabreux.
01:02Tu sais bien que pour une chaîne gratuite, cela anéantit son modèle économique.
01:05Bravo.
01:06Ce qui est scabreux, répond David Assouline, c'est le modèle économique de Bolloré
01:09qui ne cesse de faire de ses médias des instruments idéologiques de diffusion de la haine
01:13au-delà de ce qui est admissible par ses obligations et la loi
01:15tout en demandant à l'État de l'aider gratuitement à le faire.
01:18N'importe quoi.
01:19Moi, j'aimerais bien quand même qu'à un moment...
01:20Maintenant, désormais membre du bureau national du Parti Socialiste.
01:23Moi, j'aimerais bien quand même...
01:24Il est responsable au PS des questions audiovisuelles.
01:27Oui, c'est vrai.
01:28Un instrument de la...
01:29Un mec qui s'y connaît aussi mal.
01:30On est passé à côté de la catastrophe.
01:31Cyril, pardon, mais un instrument de la haine, moi, j'aimerais bien qu'à un moment,
01:34on nous dise, voilà, à tel moment, tel phrase est un instrument de la haine...
01:38Non, mais il ne parle pas de ça, il parle de tous les médias.
01:40Oui, mais où, quand, comment ?
01:41Mais au moins, là, c'est-à-dire que le premier tweet, il tourne un peu en rond.
01:45Il ne dit pas vraiment ce qu'il pense.
01:48Et là, au moins, ce tweet, il est clair.
01:50Il est clair, voilà.
01:52Et après, on nous dira que l'interdiction de C8 n'est pas politique,
01:56comme l'a dit le président de la République ce week-end.
01:58Alors, on va en parler dans un instant,
01:59parce qu'on va avoir l'extrait de Franz-Olivier Gisbert ce matin sur CNews.
02:03Fog.
02:04C'était énorme.
02:05Fog, exactement.
02:06Il était avec Sonia Mamo.
02:07Et là, lui, franchement, il a...
02:09Ah oui, il n'est pas allé...
02:10Ah, il n'est pas allé avec le dos de la cuillère.
02:11Non.
02:12Franchement, j'ai eu plein de messages me disant, il est incroyable.
02:14Bon, on en parlera.
02:15Et puis, il y a eu la réaction d'Emmanuel Macron, bien sûr.
02:17Emmanuel Macron, une journaliste de CNews.
02:19Incroyable, d'ailleurs.
02:20Elodie Huchard.
02:21Elle est exceptionnelle, Elodie.
02:22On parlera de ce qui s'est passé,
02:23parce qu'elle s'est fait un petit peu secouer par l'Elysée, ou pas ?
02:27Vous savez quoi, je vais lui demander,
02:29et comme ça, je transmettrai son témoignage direct.
02:31Eh bien, vous lui dites que je l'embrasse.
02:32En tout cas, on se retrouve dans un instant sur Europe 1.
02:34Vous nous appelez, on revient dans deux minutes.
02:35Ah non, il n'y a pas de pub ?
02:36Ah non, il n'y a pas de pub, je crois.
02:38Est-ce que tu m'avais mis un décompte que tu as refait, Romain ?
02:41Je t'explique, tu m'avais mis un décompte.
02:43Voilà.
02:44Alors, est-ce que tu peux le dire à l'antenne, s'il te plaît, que tu t'es trompé ?
02:46Non, non, parce qu'il me gueule.
02:48Il faut expliquer que c'est Romain notre réalisateur.
02:50Romain est notre réalisateur.
02:51Romain, est-ce que tu peux dire que tu t'es trompé, s'il te plaît ?
02:53Tu trouves un micro ? J'en ai rien à foutre.
02:55J'en ai rien à foutre, Romain.
02:57Parce que les gens me prennent pour un con, là.
02:59Non mais Romain, tu veux bien qu'on me prenne pour un con.
03:01Mais voilà, Romain dit la vérité.
03:03Quand je me trompe, je le dis.
03:05Romain, bonjour Romain.
03:06Bonjour.
03:07Bonjour Romain, merci. Romain, qui est notre réalisateur, est extrêmement talentueux.
03:09Précieux.
03:10Que j'adore.
03:11Oui, précieux et talentueux.
03:12Un peu comme l'ex de Valérie Béding.
03:14Romain, est-ce que tu peux expliquer aux auditeurs ce qui s'est passé ?
03:18J'ai rajouté une minute au chrono.
03:20Du coup, ça a dû te déstabiliser.
03:23Et tu as cru qu'il fallait faire une pub.
03:25D'où vient l'erreur ?
03:27Romain, je t'aime.
03:29Et tu ne fais jamais d'erreur, d'accord ?
03:31Tu fais ce qui se fait de mieux dans l'émission.
03:34Tu fais ce qui se fait de mieux, merci.
03:35Allez, je t'embrasse.
03:36Je te rappelle le courant de la semaine ?
03:38Voilà.
03:39Merci Romain, notre réalisateur qu'on peut embrasser.
03:41Donc, David Assouline, c'est normal.
03:44C'est dingue comme le monde, comme la France est coupée en deux.
03:47Vous avez vu qu'il n'y a pas un mec du PS ou du PS qui s'est prononcé en faveur de ces huit.
03:54Et par contre, tout le reste, c'est en train de faire quand même consensus.
03:57À droite et à plus à droite.
04:00Tous les courants de droite sont plutôt avec ces huit.
04:04Et il faut quand même souligner le courage des deux macronistes qui ont pris la parole.
04:07Maud Bréjon et Carl Olive.
04:09Maud Bréjon et Carl Olive.
04:10Exactement.
04:11Parce que je peux vous dire que Maud Bréjon, en plus, elle s'est prise après,
04:14comme souvent, un procès sur la boucle WhatsApp des députés Renaissance,
04:20la critiquant ouvertement.
04:21Et elle, elle a dit, je n'enlève aucun mot que j'ai prononcé en faveur de ces huit et de Cyril Hanouna.
04:27Et Carl Olive aussi, qui a fait un tweet pour soutenir ces huit.
04:31Voilà.
04:32Parce qu'on parlait souvent du silence des macronistes.
04:34Il faut quand même citer ces deux députés qui se sont fâchés avec beaucoup de leurs amis politiques pour soutenir ces huit.
04:40Bravo à eux.
04:41Franchement, moi, j'aime beaucoup.
04:42Je les aime beaucoup tous les deux.
04:43On le sait.
04:44C'est les deux seuls qui viennent dans nos émissions, d'ailleurs, à ne pas se raconter l'histoire.
04:47Qu'est-ce que vous en pensez d'Articool ?
04:48Sur la non-réaction des macronistes ?
04:50Non, non, sur votre coiffure.
04:52Merci, Cyril.
04:53Non, sur ce qu'il a dit, Assouline, le mec qui était dans notre classe.
04:56David Assouline, normalement.
04:57Ou bien ça peut être un prof de TD.
04:58Vous savez, Taki Stané.
05:01C'est un prof d'histoire, normalement.
05:03Taki Stané, bon, histoire, on a Assouline.
05:04Oh non, pas Assouline.
05:06Il ne fait que des contrôles surprises, c'est insupportable.
05:08Je l'ai vu sortir de la salle des professeurs tout à l'heure.
05:11David Assouline.
05:12Non, mais sans rigoler.
05:13David Assouline, on dirait sinon le nom d'un chanteur raté.
05:16Vous savez qui n'a fait qu'un titre ?
05:17Genre, l'oiseau et le clown de David Assouline.
05:20Rappelez-vous, c'était en 1982.
05:22David Assouline, l'oiseau et le clown.
05:24Non, mais David Assouline.
05:27Il a été dirigeant de la Fédération Socialiste de Paris.
05:33Et après, quand vous ne pouvez pas vous faire élire dans une circonscription,
05:37vous allez plutôt, quand vous êtes à paratique d'un parti,
05:40vous allez plutôt vers le scrutin sénatorial.
05:42Parce que si le parti vous désigne, vous êtes sûr d'être élu.
05:46Et au Sénat, il était Monsieur Médias pour le Parti Socialiste.
05:51En participant notamment à des commissions d'enquête sénatoriales
05:55où il avait en effet le verbe « au ».
05:58Et il n'a pas été renouvelé sénateur au dernier renouvellement.
06:03Non, mais ce qui est dommage, c'est qu'on a salué...
06:05Mais bon, pas de surprise le concernant.
06:07Oui, mais c'est ça.
06:08On a salué, par exemple, Carl Olive et Maude Bréjean
06:11parce qu'ils arrivent, j'allais dire, à sortir d'un dogmatisme
06:14et à penser contre soi-même.
06:16Et donc, j'aurais voulu que de l'autre côté aussi,
06:18du côté socialiste ou de la gauche plus généralement,
06:22ils arrivent à sortir d'un dogmatisme idéologique
06:24et à penser de façon pragmatique.
06:26Maude Bréjean et Carl Olive, je ne pense pas qu'ils pensent contre eux-mêmes.
06:29Je pense que c'est sincère et qu'ils se disent que ce n'est absolument pas normal
06:33de fermer deux chaînes de télé en France en 2025,
06:36dont la chaîne de la TNT.
06:38Justement, Gérard Britsviré, qui a donc répondu à David Asseline,
06:43Gérard Britsviré, le directeur général de Canal+, France,
06:46qui a dit, contrairement à ce qu'on peut lire dernièrement,
06:48la TNT joue un rôle absolument essentiel pour C8.
06:51C8 est une chaîne gratuite financée par la publicité.
06:53Sa présence sur la TNT lui permet d'atteindre une large audience nationale,
06:56cruciale pour attirer les annonceurs.
06:58Après, il a continué, mais c'est vrai qu'il y a eu des gens qui disent une énorme bêtise.
07:01Et lui, c'était Monsieur Médias au Parti Socialiste.
07:04C'est comme si moi j'étais Monsieur Charcuterie dans une boucherie.
07:08Je ne connais rien.
07:12J'ai eu le témoignage de ma collègue Elodie Houchard.
07:14On va rappeler, parce que Elodie Houchard, c'est cette jeune fille,
07:17cette journaliste qui a été exceptionnelle de CNews,
07:19qui a interpellé le Président de la République au Salon de l'Agriculture
07:22et qui lui a demandé ce qu'il pensait de la décision concernant C8.
07:25Elle me dit qu'effectivement, elle s'est fait engueuler par le service presse de l'Elysée,
07:29mais non pas tant pour la question que de la manière de l'avoir posée à ce moment-là
07:33et qu'il ne fallait pas poser des questions visiblement à ce moment-là au Président de la République,
07:36qui a quand même été consentant pour répondre.
07:38Et qu'après, le service presse s'est excusé auprès d'elle pour l'avoir engueulée.
07:42Mais le service presse, ils ont le numéro des journalistes ?
07:46Non, mais il était là. Le service presse accompagne le Président de la République lors de ses déplacements.
07:51Donc, c'était directement sur place au Salon de l'Agriculture.
07:53Donc, ils ont eu le temps de l'engueuler et après de s'excuser.
07:56Il est resté plusieurs heures au Salon de l'Agriculture.
07:59Donc, ils l'ont recroisé, ils l'ont dit, finalement, on l'a vu, on l'a excusé.
08:02D'accord, je vois, d'accord, d'accord.
08:04C'est pas David Hasselhoff, plutôt, le mec ?
08:06Non, c'est pas David Hasselhoff d'Alerte à Malibu, sans rigoler.
08:10Non, mais c'est vrai, David Hassouline, moi je croyais que c'était un mec qui jouait dans Alerte à Malibu avec David Charvet.
08:14Je n'ai jamais vu David Hassouline en maillot de bambou.
08:16David Hassouline, avec une bouée rouge, ce serait magnifique.
08:19Qui est en train de sauver Pamela Anderson.
08:21Non, mais c'est pour ça qu'il était responsable média, parce qu'il a joué dans Alerte à Malibu, David Hasselhoff, David Hassouline.
08:27Non, mais c'est vrai, François.
08:28Ça nous met des images.
08:32Bon, allez, on va parler de François-Olivier Gisbert.
08:34Dans un instant, il a fait sur Europe 1 et CNews.
08:37Franchement, il a envoyé du pâté.
08:41Mais juste avant, juste avant quand même,
08:43je voudrais qu'on écoute l'édito de Chana Lousteau.
08:46Donc, journaliste de CNews, qui est la meilleure amie de Gauthier Lauré.
08:51Je ne sais pas, ça fait 10 ans qu'ils se connaissent, je ne sais pas s'il y a déjà eu un truc entre eux.
08:56J'espère qu'il nous le dira.
08:58Il n'y a rien eu. Elle est amie aussi de ma femme, Chana.
09:01Vous avez le droit d'avoir eu plusieurs vies avant votre femme.
09:04Vous allez nous mettre en porte à faux.
09:06Vous l'avez connue avant votre femme ?
09:08Non, je connaissais déjà ma femme.
09:10Non.
09:11Mais si, parce que ma femme, je la connais depuis que j'ai 17 ans.
09:13Et Chana, je l'ai rencontrée, j'en avais 19.
09:15Et d'ailleurs, il y a ma femme qui vient de m'écrire à l'instant.
09:18On en apprend tous les jours.
09:19J'ai bien fait d'écouter aujourd'hui à bon 14 points d'interrogation.
09:23Donc, vous voyez dans quelle sauce vous mettez, Cyril.
09:27Calmez votre femme, s'il vous plaît.
09:29Calmez votre femme, s'il vous plaît, Gauthier.
09:31On n'est pas là pour ça.
09:32Faut l'avouer.
09:34Cette émission, actuellement, c'est deux chaînes perdues.
09:36Les mecs, 14 divorces.
09:38Les mecs, non, non, non, c'est bon.
09:40Molo, molo, lastico.
09:42On va redescendre de deux étages.
09:44Donc, allez, écoutons ce qu'a dit Chana Lousteau.
09:46Aujourd'hui s'ouvre la dernière semaine de C8.
09:49Vendredi signera la fin de la première chaîne de la TNT de France
09:53et la perte de 400 emplois.
09:55Du jamais vu dans un pays démocratique comme le nôtre.
09:58La ministre de la Culture, Rachida Dati,
10:00disait hier dans les colonnes du journal du dimanche
10:02qu'elle avait une pensée pour les téléspectateurs
10:04injustement privée d'un média.
10:06Elle a raison.
10:07Comment ne pas avoir ce sentiment d'injustice ?
10:09C8 a battu de nouveaux records d'audience encore la semaine dernière.
10:13Avec Touche pas à mon poste, Cyril Hanouna
10:15cumulait près de 2 700 000 téléspectateurs vendredi dernier.
10:19Préservant ainsi sa place de leader des taules que français.
10:22La suppression de C8 décidée par l'ARCOM
10:25et validée par le Conseil d'État
10:27nous oblige à faire ce constat.
10:29Les français, aussi nombreux soient-ils,
10:31ne font pas le poids face à la poignée
10:33de ceux qui décident à leur place.
10:35Emmanuel Macron a assuré ce week-end
10:37que cette décision n'était pas politique.
10:39Comment ne pas en douter quand certains
10:41se mûrent dans le silence
10:43et que d'autres exposent leur satisfaction sans retenue ?
10:46Vendredi 28 février 2025 signera la fin de C8
10:50mais aussi le début d'un recul,
10:52celui de la liberté d'expression.
10:54Qu'est-ce que vous en pensez de ce qu'a dit Chanel Houston ?
10:56Forcément, Gauthier, c'est sa meilleure amie.
10:58C'est parfait.
10:59C'est parfait.
11:00En tout cas, c'est gentil de sa part.
11:02Je ne sais pas si elle l'a fait pour vous, Gauthier,
11:04mais c'est gentil.
11:06Je ne veux pas mettre d'huile sur le feu avec votre femme, bien entendu.
11:09J'aime beaucoup votre femme.
11:10Vous la connaissez bien en plus maintenant.
11:12Au pire des cas, il restera toujours un petit canapé pour vous à la maison.
11:15Un petit sofa.
11:16J'espère que si un jour je me retrouve chez vous,
11:18je serai au moins dans une chambre d'amis.
11:19Je ne serai pas sur un clic-clac.
11:20Gauthier, il faut voir.
11:22Il faut voir.
11:23C'est bon.
11:24À un moment, je ne serai plus là.
11:28Elle a raison.
11:29Elle pointe du doigt plusieurs choses.
11:31Elle dit effectivement que c'est la première chaîne de la TNT,
11:34que sur votre émission, Cyril,
11:36il y a encore eu des records d'audience
11:38de plus de 2 700 000 téléspectateurs.
11:40Elle pointe également du doigt la perte d'emploi
11:42pour 400 salariés.
11:44Ce n'est pas rien.
11:45Et elle s'interroge.
11:46Et elle pose des questions.
11:47Il y a Jean-Noël Barreau aussi qui a...
11:49Le ministre des Affaires Électorales.
11:51C'est votre meilleur ami.
11:52Lui, c'est une phrase, une connerie.
11:54Pâte de chèvre.
11:55Lui, c'est rien.
11:56Lui, il les met toutes dedans.
11:58Je n'ai jamais vu ça.
11:59L'ARCOM a décidé de retirer l'accès à la fréquence de C8,
12:01mais en aucun cas de fermer C8.
12:03C'est notamment les journalistes, les édimateurs,
12:05les professionnels de C8 de travailler.
12:08Il n'y a rien, lui.
12:09Forcément, si on n'est plus sur la TNT,
12:10il n'y a plus de pub.
12:11Donc forcément, on ne peut pas engager le même nombre de gens.
12:13Dé facto.
12:14Dé facto.
12:15Voilà, le joueur du Real Madrid.
12:17Emilio, dé facto.
12:18Franchement.
12:19Voilà.
12:20Dé facto.
12:21Jean-Noël Barreau.
12:22Non mais Jean-Noël Barreau, c'est quand même quelqu'un.
12:24On a un extrait de ce qu'il a dit ou pas ?
12:26Là ?
12:27Moi, qu'on écoute ses conneries.
12:29L'ARCOM n'a pas fermé C8.
12:32L'ARCOM a décidé de retirer l'accès à la fréquence
12:37de C8, c'est-à-dire l'accès au domaine public,
12:41hertzien, de l'État,
12:43mais en aucun cas de fermer C8,
12:46c'est-à-dire d'empêcher notamment les journalistes,
12:49les animateurs, les professionnels de C8 de travailler.
12:53L'ARCOM n'a pas dit C8 doit fermer,
12:56C8 doit cesser d'y mettre.
12:58Je fais la différence, par exemple,
13:00avec des mesures qui ont été prises au niveau européen
13:02sur Spoutnik, sur RT,
13:05où des décisions ont été prises d'interdiction d'y mettre.
13:07Ce n'est pas du tout ce qu'a dit l'ARCOM.
13:09L'ARCOM a dit qu'il y a un domaine public,
13:11hertzien, qui est gratuit,
13:13que la loi prévoit de mettre à disposition d'éditeurs,
13:17en contrepartie du respect d'un cahier des charges,
13:20et c'est l'ARCOM qui décide si ce cahier des charges
13:22a été respecté ou non.
13:23C'est un cahier des charges qui est donc fixé par la loi.
13:25Est-ce que le cahier des charges est trop exigeant ?
13:29Le législateur est libre de prendre des dispositions
13:34pour faire évoluer ce cahier des charges.
13:36Mais n'importe quoi !
13:38C'est brouillant.
13:39Vous savez quoi ?
13:40Là, c'est devenu leur nouveau truc.
13:41Comme ils se disent, ça nous retombe dessus,
13:43et on nous dit qu'on a mis plein de gens...
13:44Moi, j'ai dit, attendez, on n'a pas décidé de faire BC8,
13:46on a juste dit à BC8 de ne plus être...
13:48C'est les nouveaux éléments de langage.
13:49Exactement, c'est les nouveaux éléments de langage.
13:50Ils ont dû faire une réunion, à mon avis, en catastrophe,
13:52pour dire, bon, les mecs, c'est en train de nous retomber dessus,
13:54on arrête tout là, on arrête les conneries.
13:56Non mais Jean-Noël Barraud,
13:57non mais en plus, on ne comprend rien de ce qu'il dit.
13:59Lui, franchement, je mets deux.
14:01Deux, nul, zéro.
14:03Allez, ça sort de classe.
14:05Ça suffit, nul, zéro, deux, H-U.
14:07Mais poursuivez vos efforts, non ?
14:08Non, mais non, même pas, il ne poursuit rien du tout, lui.
14:10On va lui changer d'orientation, lui.
14:12On va le changer d'orientation, lui.
14:13Moi, je voudrais, Cyril,
14:15revenir quand même sur ce qu'a dit Rachida Dati dans le JDD.
14:18Rachida Dati, justement.
14:19Non, mais attendez, attendez.
14:20On va en parler de Rachida Dati, deux minutes.
14:22Rachida Dati, ce sera un volet tout à l'heure.
14:24Moi, voilà, j'aime bien Rachida Dati,
14:26mais je n'ai pas trouvé non plus que Rachida Dati avait été...
14:29Voilà, ce n'était pas ouf dans le JDD.
14:32Je suis désolé, excusez-moi de vous dire ça.
14:34C'est plutôt les éléments de langage du gouvernement.
14:36Elle a subi le gouvernement, je suis désolé.
14:38Et je l'aime beaucoup, Rachida, je vous l'ai toujours dit.
14:40Mais je n'ai pas trouvé vraiment que c'étaient les mecs.
14:43C'est bon, ça, on va en parler dans un instant.
14:45Je ne sais pas ce qu'on va en parler tout à l'heure,
14:49mais je trouvais que c'était tiède.
14:50Excusez-moi.
14:51Je trouvais même que c'était très, très tiède.
14:54Voilà, c'est extrêmement tiède.
14:56Jean-Noël Barraud, lui, c'est n'importe quoi.
14:58On ne comprend rien de ce qu'il dit.
14:59Surtout qu'il pourrait se consacrer à...
15:01Bon, qu'il n'évoque pas tout ça parce qu'il maîtrise mal le sujet.
15:03On a Boilem Sansal, il est ministre des Affaires étrangères,
15:06toujours emprisonné, il pourrait s'en occuper.
15:08Il y a comme s'il n'y avait pas une crise diplomatique de haut niveau aujourd'hui.
15:14Bon, qu'il ne s'égare pas.
15:15Enfin, qu'il ne se disperse pas.
15:17Puisque tu parles de Boilem Sansal et du dossier algérien,
15:19il ferait mieux effectivement de s'occuper du dossier algérien
15:21puisque ce week-end, il y a un OQTF qui a tué à Mulhouse.
15:24L'Algérie avait refusé dix fois de le reprendre.
15:27Dix fois.
15:28Ah, il y a un autre truc.
15:29Vous avez vu, Jean-Noël Barraud, la connerie qu'il a dit aussi ce week-end ?
15:31Vous avez vu, il y a eu la lune du JDD qui était excellente, d'ailleurs.
15:34Vous pouvez l'expliquer quand il le brait.
15:36Alors, ça pointait l'aide au développement.
15:39Vous savez, c'est cet argent que la France verse à différents pays
15:43et qui s'élève à 15 milliards d'euros.
15:46Donc, ce sont concernés les pays comme l'Algérie, la Jordanie, le Sénégal, le Tchad.
15:51Et la semaine dernière, Sarah Knafo était sur le plateau de Christine Killid en face à l'info
15:56et elle a dit qu'il faut arrêter avec ces 15 milliards d'euros
15:58qu'on donne à ces pays dont certains, comme l'Algérie,
16:01sont dans un bras de fer diplomatique très intense avec la France.
16:04Et Jean-Noël Barraud a défendu ce qu'on appelle l'AFD
16:09et l'aide française au développement.
16:12Non, non, non, mais il a dit un truc, une connerie.
16:15Pour empêcher la résurgence de Daesh.
16:17Mais une connerie, il dit des conneries lui, mais c'est pas possible.
16:20Il en met pas une dedans, sans déconner.
16:22T'imagines, c'est un attaquant que t'as payé 100 millions d'euros
16:25qui te met pas un but dans le championnat, non mais sans déconner.
16:27C'est pas possible, il te met pas un but tous les week-ends et des fois à côté, sans déconner.
16:30C'est pâte de chèvre.
16:31Non, vous avez vu ce qu'il a dit, pâte de chèvre.
16:33Parce que qu'est-ce qu'il a dit à ça aussi, à ce qu'a fait Sarah Knafo ?
16:36Il a dit un autre truc, il a dit on va faire un espèce de moratoire
16:40pour voir si on donne trop d'argent, donc un truc qui va encore coûter de l'argent,
16:43pour voir si on donne trop d'argent.
16:45Il coupe tout de suite, tu vois bien, t'as besoin de faire...
16:48Non mais c'est un gars qui était ministre des affaires étrangères.
16:50T'as déjà une équipe, tu dois avoir une équipe de fous déjà.
16:53Vous vous réalisez, vous voyez, puis vous voyez bien que de toute façon,
16:55vous voyez bien que tous les Français trouvent que c'est trop.
16:57Et puis on voit bien qu'aujourd'hui, on a plus les moyens.
17:02On a plus les moyens de donner 300 millions ici, 200 millions là,
17:053 milliards ici, 3 milliards là-bas, on le voit bien.
17:08On le voit bien, non ? Franchement.
17:10Et l'autre, il dit on va faire une réunion pour dépenser encore de l'argent.
17:13Donc il va encore dépenser de l'argent pour nous dire qu'on dépense trop d'argent.
17:16Et puis surtout, déjà, il y a la question purement financière,
17:20au moment où on a 3200 milliards de dettes,
17:22peut-être arrêter de dépenser de l'argent de cette manière-là.
17:25Et puis quand vous êtes dans un rapport de force avec l'Algérie,
17:28vous dire que vous continuez à leur donner de l'argent,
17:30alors qu'ils refusent de libérer Boilem Sansal, qui a un cancer,
17:33et qui maintenant fait une grève de la faim,
17:36pour protester contre son incarcération arbitraire.
17:39Que vous avez quelqu'un, un Algérien sous OQTF,
17:42qui vient de tuer à Mulhouse,
17:44et qui a été refusé par 10 fois par son pays d'origine,
17:47qui est l'Algérie, vous vous dites peut-être,
17:49il faut commencer à couper l'aide au développement à l'Algérie.
17:51Non, mais lui il ne se dit rien.
17:53C'est pas possible.
17:54Et lui, franchement, c'est quand même un champion.
17:56Lui, c'est un des champions du gouvernement.
17:58Sans déconner, pour l'ameublement, l'électroménager,
18:00boum, boum.
18:01Je lui dis c'est bien, je lui dis c'est barreau.
18:03Franchement, il faudrait travailler dans les meubles.
18:05Je sais pas, qu'est-ce qu'il fout là ?
18:07On a pensé que c'était mieux que C'est journée ?
18:09Je suis même pas sûr.
18:11Il parle très bien anglais.
18:13Mais C'est journée disait pas de conneries.
18:15Lui, il en dit beaucoup.
18:16Moi, C'est journée, on l'entendait pas.
18:18Je préfère un pote qui me parle moins,
18:21mais qui dit pas de conneries,
18:22plutôt qu'un qui parle toute la journée,
18:24et qui dit 9 conneries sur 10.
18:26Bon, même 10 sur 10.
18:27Allez, on va revenir dans un instant.
18:29Bon, pas sur lui, ça y est,
18:31c'est le grand gagnant du jour, comme d'habitude.
18:33On va parler d'Emmanuel Macron,
18:34qui s'est exprimé sur la fin de C8,
18:35et on va vous entendre France Olivier Gisbert.
18:37Vous allez voir, il y a ces deux sons de cloche.
18:39Allez, à tout de suite sur Europe 1.
18:41Europe 1, 16h, 18h.
18:43On marche sur la tête.
18:44Cyril Hanouna.
18:46Merci d'être avec nous.
18:47Merci d'être sur Europe 1, 16h32.
18:49On est bien, on est heureux d'être avec vous.
18:51Et c'est vrai que ça a parlé énormément
18:53de la fermeture de C8, ce week-end.
18:54Tout le monde a pris la parole.
18:55Tout le monde prend la parole.
18:56C'est pareil avec le député Philippe Juvin,
18:58qui a pris la parole,
18:59qui a été très bon d'ailleurs, Philippe Juvin.
19:01Écoutez ce qu'il a dit.
19:03La décision de l'ARCOM de fermer C8,
19:05est-ce qu'elle est justifiée,
19:06est-ce qu'elle est justifiable ?
19:07Alors, elle n'est pas compréhensible.
19:09C'est une chaîne qui était regardée
19:11par beaucoup de Français.
19:12Ça va faire également 400 personnes
19:14qui vont être au chômage.
19:15Moi, la question que je pose sur l'ARCOM,
19:17il faut évidemment, probablement...
19:18Donc, parce que, pour nos éditeurs,
19:20ça a été une décision de l'ARCOM.
19:22Absolument.
19:23Mais qui est une autorité régulatrice,
19:25ça me semble logique.
19:27Toutefois, ce qui est frappant
19:28dans la vie quotidienne de l'ARCOM,
19:30c'est la question des saisines.
19:32Vous pouvez saisir l'ARCOM,
19:33parce qu'il y a eu une parole
19:35qui vous a déplu, etc.
19:37Mais ce qu'on ne sait pas,
19:38c'est pourquoi l'ARCOM poursuit
19:40certaines paroles et pas d'autres.
19:43Et l'ARCOM poursuit parfois
19:46des faits et des paroles
19:47qui ne sont pas condamnables
19:48devant les tribunaux de la République.
19:50C'est-à-dire que le législateur
19:51n'a pas considéré que telle ou telle parole
19:53pouvait être condamnée.
19:54En revanche, l'ARCOM condamne.
19:55Ça veut dire qu'il y a un problème ?
19:56Il y a un problème ?
19:57L'ARCOM n'est pas C8 ?
19:58Il y a un problème ?
19:59L'ARCOM ?
20:00Regardez l'affaire de...
20:01Quand Anouna, il y a eu les insultes
20:03à l'encontre du député Boyard,
20:05le petit jeune.
20:06Je crois que ça a été 3,5 millions
20:08que l'ARCOM a infligé comme amende
20:10à C8.
20:11Et en même temps, les tribunaux,
20:124 000 euros.
20:13Donc, on devrait se poser la question
20:15de savoir comment l'ARCOM travaille,
20:17sur quelle base il choisit
20:19de juger les saisines
20:21dont il fait l'objet.
20:22Déjà, c'était chez l'excellent
20:24Frédéric Azizat.
20:25Frédéric Azizat,
20:26que l'on brasse, d'ailleurs.
20:27Oui, il est très bon.
20:29Je l'adore.
20:30Il se fait remarquer,
20:31il est incroyable.
20:32Et M. Juvin a tout résumé,
20:34il a raison.
20:354 000 euros, 3,5 millions.
20:36Mais je vais expliquer aux auditeurs d'Europe.
20:37Je vais vous dire.
20:38Vous savez comment ça se passe,
20:393,5 millions d'euros ?
20:40Ils peuvent, en fait,
20:41donner une amende
20:42à hauteur de 7 %
20:44du chiffre d'affaires global
20:46de la société.
20:47Vous vous rendez compte ou pas ?
20:49Donc, ils font ce qu'ils veulent.
20:51C'est complètement arbitraire.
20:52Sachez-le.
20:53C'est pas comme...
20:55Les juges,
20:56quand ils ont dit 4 000 euros,
20:57ils ont dit ça,
20:58on ne le prend pas en compte.
20:59Ça, on le prend en compte.
21:00C'était 12 000 euros le maximum.
21:01On n'a pas pris en compte ça,
21:02on n'a pas pris en compte ça.
21:03Ça fait 4 000 euros.
21:04Donc, c'est clair.
21:05Les juges, ils sont clairs,
21:06mine de rien, là-dessus.
21:07C'est motivé.
21:08Exactement.
21:09Eux, c'est aux petits doigts mouillés.
21:11Ils sont les dix, comme ça.
21:16Je ne vous charrie pas.
21:17C'est exactement ça.
21:18Ils sont donc les mecs,
21:19avec le président de l'ARCOM.
21:21Ils sont en réunion
21:22et ils disent
21:23« Qu'est-ce que vous voyez pour Anouna ? »
21:24« Je ne sais pas, moi 1 million. »
21:25« Non, t'es fou, plus 3 millions. »
21:27« Allez, on met 3,5 millions. »
21:28Comme ça, c'est bien 3,5 millions.
21:30Je pense que c'est le bon chiffre.
21:31C'est bien 3,5 millions.
21:32Mais les mecs,
21:33est-ce que vous vous rendez compte
21:34qu'il n'y a aucune motivation ?
21:35Vraiment, ça se passe comme ça.
21:36Je vous le dis, je le sais.
21:37C'est complètement arbitraire.
21:38Ils peuvent dire ce qu'ils veulent.
21:39Le différentiel entre la justice et l'ARCOM,
21:41c'est qu'il a tout résumé.
21:43Il a tout résumé.
21:44Il a raison.
21:46C'est incroyable.
21:47On n'est même pas du simple au double.
21:48C'est lunaire.
21:49Je vais vous dire, c'est n'importe quoi.
21:51Voilà.
21:52C'est n'importe quoi.
21:53Je vous le dis, c'est fou.
21:55C'est incroyable de voir
21:57des bêtises qui sont dites.
22:00C'est fou quand même.
22:01Excusez-moi.
22:02Des bêtises qui sont faites.
22:03L'affaire CNews aura permis
22:04de mettre tout ça au grand jour.
22:06Parce qu'on ne le savait pas trop avant.
22:08Bien sûr.
22:09L'affaire C8, oui.
22:11Ce que vous venez de dire, la série,
22:13on ne le savait pas.
22:14Comment une amende est calculée ?
22:16Elle est calculée comme ça.
22:17C'est vraiment au doigt mouillé.
22:18Je vous promets que c'est vrai.
22:19Il n'y a pas d'échelle.
22:20Et là, le delta est tellement flagrant.
22:22Le delta est flagrant.
22:23On n'est pas à 4 000 et puis 6 000 de l'autre.
22:25Là, il y a un gouffre entre les deux.
22:28Est-ce que ça ne va pas amener
22:29des législateurs, des députés
22:31à remettre ça à plat
22:32et à demander à ce que la loi
22:34se saisisse de ça ?
22:36Parce que là, c'est l'arbitraire.
22:37Quand il n'y a pas de cadre,
22:38c'est arbitraire.
22:39Ils font ce qu'ils veulent.
22:40Bien sûr, ils font ce qu'ils veulent.
22:410-1-80-20-39-21.
22:43Dites-nous ce que vous pensez de tout ça.
22:44Et là, on va parler d'Emmanuel Macron.
22:45Je vais faire un tour de table.
22:46Je vous le dis,
22:47il va falloir avoir des couronnes.
22:49Je préfère vous prévenir tout de suite.
22:51Déjà, on va écouter Emmanuel Macron
22:52qui s'est exprimé au salon de l'agriculture.
22:54Il a été interpellé par cette excellente journaliste.
22:57Bravo.
22:58Elodie Huchard.
22:59Merci.
23:00Je connais son cousin.
23:01C'est qui ?
23:02Roger.
23:03Roger Huchard.
23:04Merci.
23:05Allez, écoutez.
23:06Sur la fermeture des chaînes C8 et Energy News,
23:09qu'est-ce que vous pensez
23:10de toute cette saga et de cette décision ?
23:12Là aussi, d'abord,
23:13de là où je suis,
23:14je ne peux pas commenter des décisions
23:16prises par une autorité indépendante
23:19qui applique la loi.
23:21Il faut simplement s'assurer
23:23que ces décisions sont prises conformément à la loi
23:25et qu'elles sont ensuite faites sous le contrôle du juge.
23:28Ce qui a été le cas de ces décisions
23:29qui ont fait l'objet de recours.
23:30Le juge les a confirmées.
23:32Ce qui ne m'empêchera d'avoir une pensée
23:34pour les collaborateurs qui sont impactés par ces décisions.
23:37J'espère qu'ils pourront,
23:38dans le cadre des autorisations nouvelles
23:40qui ont été données sur le domaine artien,
23:42retrouver un avenir.
23:43Que ce soit des vedettes,
23:45des gens qu'on ne voit pas forcément,
23:47pour que les gens qui ont du talent puissent travailler.
23:50Vous pensez que Cyril Hanouna peut se lancer dans la présidentielle ?
23:53Non, ça, ce n'est pas vrai.
23:55Ce n'est pas une décision politique du tout.
23:57D'ailleurs, c'est rassurant.
23:58La loi a été conçue
23:59pour que ça ne soit pas une décision politique.
24:01Ce n'est pas à l'arbitraire,
24:02ni d'un ministre, ni le président,
24:04d'ouvrir ou fermer une chaîne.
24:07Alors, c'est vrai que...
24:08Là, je voudrais revenir sur d'autres petites choses
24:10qu'a dit le chef de l'État, Emmanuel Macron.
24:12Hein ?
24:13Sur...
24:14C'est énorme cette phrase.
24:15J'espère qu'ils pourront trouver du travail
24:17sur les nouvelles chaînes
24:18des deux nouvelles entrantes de la TNT.
24:19Oui.
24:20Écoutez-moi bien.
24:21Quand on voit le budget de ces chaînes,
24:22il faut vraiment...
24:23Les mecs, ça, c'est vraiment...
24:24Ça, écoutez-moi.
24:25Ça, pour moi, c'est une faute professionnelle.
24:26Excusez-moi.
24:27Vous ne pouvez pas...
24:28Comment vous pouvez mettre...
24:29Ils ne vont même pas...
24:30Vous voulez que je vous dise ?
24:31Le budget de West France,
24:33il n'est même pas le budget de ses stars.
24:35Il est inférieur,
24:36bien inférieur à celui de ses stars.
24:38Pour vous dire,
24:39comment vous voulez prendre tous les gens de C8 ?
24:40Mais c'est...
24:41C'est...
24:42Non, mais c'est vrai.
24:43C'est une méconnaissance du...
24:44C'est pareil pour la chaîne de M. Kretensky.
24:45C'est exactement pareil.
24:46Exactement.
24:47Mais ça va être ni fait ni à faire.
24:48Mais ça veut dire aussi qu'il y a une sorte de légèreté.
24:49Je veux vous dire,
24:50pour la télé,
24:51la télé aujourd'hui,
24:52il faut avoir l'air insolite
24:53pour avoir un Média Télé.
24:54Et ils avaient la chance
24:55d'avoir un actionnaire
24:56qui avait l'air insolite
24:58de Vincent Bolon et de Vivendi.
24:59Et ils vont...
25:00Ecoutez-moi bien.
25:01West France, je les aime bien en plus.
25:02Vraiment, j'aime bien West France.
25:03Moi, je n'ai pas de problème avec eux.
25:04Mais je pense qu'ils font une énorme connerie
25:06en allant dans la télévision.
25:07Je ne peux pas vous dire
25:08qu'ils vont perdre énormément d'argent.
25:09Mais Cyril, vous dites...
25:10Croyez-moi, moi qui connais bien les médias...
25:11C'est de la méconnaissance.
25:12Oui, c'est de la méconnaissance.
25:13Au mieux...
25:14Oui, au mieux, c'est sûr.
25:15Au mieux...
25:16Oui.
25:17Sinon, c'est du foutage de gueule.
25:18Il sait très bien
25:19que les deux fréquences attribuées
25:22ne vous permettent pas
25:23d'accueillir 400 personnes.
25:24C'est du foutage de gueule.
25:25C'est du foutage de gueule.
25:26Non, mais en plus,
25:27c'est genre il est très content
25:28des nouvelles fréquences
25:29parce que c'est ce que ça veut dire
25:30en sous-texte qu'il est très content
25:31des nouvelles fréquences.
25:32Et il va dire que c'est formidable.
25:33Bien sûr.
25:34Ça va faire 0,2 d'audience.
25:35Mais l'audience,
25:36ce n'est pas le premier critère.
25:37C'est vrai que si vous mettez des chaînes
25:38que personne ne regarde...
25:39La télé, c'est vrai qu'on les fait
25:40pour qu'Emmanuel Macron
25:41et l'ARCOM
25:42et le Conseil d'État soient contents.
25:43Donc, on ne les fait pas
25:51parce qu'il n'a pas répondu
25:52à la question.
25:53Il n'a pas répondu.
25:54Il n'a pas répondu.
25:55Il n'a pas répondu.
25:56Il n'a pas répondu.
25:57Il n'a pas répondu.
25:58Il n'a pas répondu.
25:59Il n'a pas répondu.
26:00Il n'a pas répondu.
26:01Il n'a pas répondu.
26:02Il n'a pas répondu.
26:03Il n'a pas répondu.
26:04Il n'a pas répondu.
26:05Il n'a pas répondu.
26:06Il n'a pas répondu.
26:07Il n'a pas répondu.
26:08Il n'a pas répondu.
26:09Il n'a pas répondu.
26:10Il n'a pas répondu.
26:11Il n'a pas répondu.
26:12Il n'a pas répondu.
26:13Il n'a pas répondu.
26:14Il n'a pas répondu.
26:15Il n'a pas répondu.
26:16Il n'a pas répondu.
26:17Il n'a pas répondu.
26:18Il n'a pas répondu.
26:19Il n'a pas répondu.
26:20Il n'a pas répondu.
26:21Il n'a pas répondu.
26:22Il n'a pas répondu.
26:23Il n'a pas répondu.
26:24Il n'a pas répondu.
26:25Il n'a pas répondu.
26:26Il n'a pas répondu.
26:27Il n'a pas répondu.
26:28Il n'a pas répondu.
26:29Il n'a pas répondu.
26:30Il n'a pas répondu.
26:31Il n'a pas répondu.
26:32Il n'a pas répondu.
26:33Il n'a pas répondu.
26:34Il n'a pas répondu.
26:35Il n'a pas répondu.
26:36Il n'a pas répondu.
26:37Il n'a pas répondu.
26:38Il n'a pas répondu.
26:39Il n'a pas répondu.
26:40Il n'a pas répondu.
26:41Il n'a pas répondu.
26:42Il n'a pas répondu.
26:43Il n'a pas répondu.
26:44Il n'a pas répondu.
26:45Il n'a pas répondu.
26:46Il n'a pas répondu.
26:47Il n'a pas répondu.
26:48Il n'a pas répondu.
26:49Il n'a pas répondu.
26:50Il n'a pas répondu.
26:51Il n'a pas répondu.
26:52Il n'a pas répondu.
26:53Il n'a pas répondu.
26:54Il n'a pas répondu.
26:55Il n'a pas répondu.
26:56Il n'a pas répondu.
26:57Il n'a pas répondu.
26:58Il n'a pas répondu.
26:59Il n'a pas répondu.
27:00Il n'a pas répondu.
27:01Il n'a pas répondu.
27:02Il n'a pas répondu.
27:03Il n'a pas répondu.
27:04Il n'a pas répondu.
27:05Il n'a pas répondu.
27:06Il n'a pas répondu.
27:07Il n'a pas répondu.
27:08Il n'a pas répondu.
27:09Il n'a pas répondu.
27:10Il n'a pas répondu.
27:11Il n'a pas répondu.
27:12Il n'a pas répondu.
27:13Il n'a pas répondu.
27:14Il n'a pas répondu.
27:15Il n'a pas répondu.
27:16Il n'a pas répondu.
27:17Il n'a pas répondu.
27:18Il n'a pas répondu.
27:19Il n'a pas répondu.
27:20Il n'a pas répondu.
27:21Il n'a pas répondu.
27:22Il n'a pas répondu.
27:23Il n'a pas répondu.
27:24Il n'a pas répondu.
27:25Il n'a pas répondu.
27:26Il n'a pas répondu.
27:27Il n'a pas répondu.
27:28Il n'a pas répondu.
27:29Il n'a pas répondu.
27:30Il n'a pas répondu.
27:31Il n'a pas répondu.
27:32Il n'a pas répondu.
27:33Il n'a pas répondu.
27:34Il n'a pas répondu.
27:35Il n'a pas répondu.
27:36Il n'a pas répondu.
27:37Il n'a pas répondu.
27:38Il n'a pas répondu.
27:39Il n'a pas répondu.
27:40Il n'a pas répondu.
27:41Il n'a pas répondu.
27:42Il n'a pas répondu.
27:43Il n'a pas répondu.
27:44Il n'a pas répondu.
27:45Il n'a pas répondu.
27:46Il n'a pas répondu.
27:47Il n'a pas répondu.
27:48Il n'a pas répondu.
27:49Il n'a pas répondu.
27:50Il n'a pas répondu.
27:51Il n'a pas répondu.
27:52Il n'a pas répondu.
27:53Il n'a pas répondu.
27:54Il n'a pas répondu.
27:55Il n'a pas répondu.
27:56Il n'a pas répondu.
27:57Il n'a pas répondu.
27:58Il n'a pas répondu.
27:59Il n'a pas répondu.
28:00Il n'a pas répondu.
28:01Il n'a pas répondu.
28:02Il n'a pas répondu.
28:03Il n'a pas répondu.
28:04Il n'a pas répondu.
28:05Il n'a pas répondu.
28:06Il n'a pas répondu.
28:07Il n'a pas répondu.
28:08Il n'a pas répondu.
28:09Il n'a pas répondu.
28:10Il n'a pas répondu.
28:11Il n'a pas répondu.
28:12Il n'a pas répondu.
28:13Il n'a pas répondu.
28:14Il n'a pas répondu.
28:15Il n'a pas répondu.
28:16Il n'a pas répondu.
28:17Il n'a pas répondu.
28:18Il n'a pas répondu.
28:19Il n'a pas répondu.
28:20Il n'a pas répondu.
28:21Il n'a pas répondu.
28:22Il n'a pas répondu.
28:23Il n'a pas répondu.
28:24Il n'a pas répondu.
28:25Il n'a pas répondu.
28:26Il n'a pas répondu.
28:27Il n'a pas répondu.
28:28Il n'a pas répondu.
28:29Il n'a pas répondu.
28:30Il n'a pas répondu.
28:31Il n'a pas répondu.
28:32Il n'a pas répondu.
28:33Il n'a pas répondu.
28:34Il n'a pas répondu.
28:35Il n'a pas répondu.
28:36Il n'a pas répondu.
28:37Il n'a pas répondu.
28:38Il n'a pas répondu.
28:39Il n'a pas répondu.
28:40Il n'a pas répondu.
28:41Il n'a pas répondu.
28:42Il n'a pas répondu.
28:43Il n'a pas répondu.
28:44Il n'a pas répondu.
28:45Il n'a pas répondu.
28:46Il n'a pas répondu.
28:47Il n'a pas répondu.
28:48Il n'a pas répondu.
28:49Il n'a pas répondu.
28:50Il n'a pas répondu.
28:51Il n'a pas répondu.
28:52Il n'a pas répondu.
28:53Il n'a pas répondu.
28:54Il n'a pas répondu.
28:55Il n'a pas répondu.
28:56Il n'a pas répondu.
28:57Il n'a pas répondu.
28:58Il n'a pas répondu.
28:59Il n'a pas répondu.
29:00Il n'a pas répondu.
29:01Il n'a pas répondu.
29:02Il n'a pas répondu.
29:03Il n'a pas répondu.
29:04Il n'a pas répondu.
29:05Il n'a pas répondu.
29:06Il n'a pas répondu.
29:07Il n'a pas répondu.
29:08Il n'a pas répondu.
29:09Il n'a pas répondu.
29:10Il n'a pas répondu.
29:11Il n'a pas répondu.
29:12Il n'a pas répondu.
29:13Il n'a pas répondu.
29:14Il n'a pas répondu.
29:15Il n'a pas répondu.
29:16Il n'a pas répondu.
29:17Il n'a pas répondu.
29:18Il n'a pas répondu.
29:19Il n'a pas répondu.
29:20Il n'a pas répondu.
29:21Il n'a pas répondu.
29:22Il n'a pas répondu.
29:23Il n'a pas répondu.
29:24Il n'a pas répondu.
29:25Il n'a pas répondu.
29:26Il n'a pas répondu.
29:27Il n'a pas répondu.
29:28Il n'a pas répondu.
29:29Il n'a pas répondu.
29:30Il n'a pas répondu.
29:31Il n'a pas répondu.
29:32Il n'a pas répondu.
29:33Il n'a pas répondu.
29:34Il n'a pas répondu.
29:35Il n'a pas répondu.
29:36Il n'a pas répondu.
29:37Il n'a pas répondu.
29:38Il n'a pas répondu.
29:39Il n'a pas répondu.
29:40Il n'a pas répondu.
29:41Il n'a pas répondu.
29:42Il n'a pas répondu.
29:43Il n'a pas répondu.
29:44Il n'a pas répondu.
29:45Il n'a pas répondu.
29:46Il n'a pas répondu.
29:47Il n'a pas répondu.
29:48Il n'a pas répondu.
29:49Il n'a pas répondu.
29:50Il n'a pas répondu.
29:51Il n'a pas répondu.
29:52Il n'a pas répondu.
29:53Il n'a pas répondu.
29:54Il n'a pas répondu.
29:55Il n'a pas répondu.
29:56Il n'a pas répondu.
29:57Il n'a pas répondu.
29:58Il n'a pas répondu.
29:59Il n'a pas répondu.
30:00Il n'a pas répondu.
30:01Il n'a pas répondu.
30:02Il n'a pas répondu.
30:03Il n'a pas répondu.
30:04Il n'a pas répondu.
30:05Il n'a pas répondu.
30:06Il n'a pas répondu.
30:07Il n'a pas répondu.
30:08Il n'a pas répondu.
30:09Il n'a pas répondu.
30:10Il n'a pas répondu.
30:11Il n'a pas répondu.
30:12Il n'a pas répondu.
30:13Il n'a pas répondu.
30:14Il n'a pas répondu.
30:15Il n'a pas répondu.
30:16Il n'a pas répondu.
30:17Il n'a pas répondu.
30:18Il n'a pas répondu.
30:19Il n'a pas répondu.
30:20Il n'a pas répondu.
30:21Il n'a pas répondu.
30:22Il n'a pas répondu.
30:23Il n'a pas répondu.
30:24Il n'a pas répondu.
30:25Il n'a pas répondu.
30:26Il n'a pas répondu.
30:27Il n'a pas répondu.
30:28Il n'a pas répondu.
30:29Il n'a pas répondu.
30:30Il n'a pas répondu.
30:31Il n'a pas répondu.
30:32Il n'a pas répondu.
30:33Il n'a pas répondu.
30:34Il n'a pas répondu.
30:35Il n'a pas répondu.
30:36Il n'a pas répondu.
30:37Il n'a pas répondu.
30:38Il n'a pas répondu.
30:39Il n'a pas répondu.
30:40Il n'a pas répondu.
30:41Il n'a pas répondu.
30:42Il n'a pas répondu.
30:43Il n'a pas répondu.
30:44Il n'a pas répondu.
30:45Il n'a pas répondu.
30:46Il n'a pas répondu.
30:47Il n'a pas répondu.
30:48Il n'a pas répondu.
30:49Il n'a pas répondu.
30:50Il n'a pas répondu.
30:51Il n'a pas répondu.
30:52Il n'a pas répondu.
30:53Il n'a pas répondu.
30:54Il n'a pas répondu.
30:55Il n'a pas répondu.
30:56Il n'a pas répondu.
30:57Il n'a pas répondu.
30:58Il n'a pas répondu.
30:59Il n'a pas répondu.
31:00Il n'a pas répondu.
31:01Il n'a pas répondu.
31:02Il n'a pas répondu.
31:03Il n'a pas répondu.
31:04Il n'a pas répondu.
31:05Il n'a pas répondu.
31:06Il n'a pas répondu.
31:07Il n'a pas répondu.
31:08Il n'a pas répondu.
31:09Il n'a pas répondu.
31:10Il n'a pas répondu.
31:11Il n'a pas répondu.
31:12Il n'a pas répondu.
31:13Il n'a pas répondu.
31:14Il n'a pas répondu.
31:15Il n'a pas répondu.
31:16Il n'a pas répondu.
31:17Il n'a pas répondu.
31:18Il n'a pas répondu.
31:19Il n'a pas répondu.
31:20Il n'a pas répondu.
31:21Il n'a pas répondu.
31:22Il n'a pas répondu.
31:23Il n'a pas répondu.
31:24Il n'a pas répondu.
31:25Il n'a pas répondu.
31:26Il n'a pas répondu.
31:27Il n'a pas répondu.
31:28Il n'a pas répondu.
31:29Il n'a pas répondu.
31:30Il n'a pas répondu.
31:31Il n'a pas répondu.
31:32Il n'a pas répondu.
31:33Il n'a pas répondu.
31:34Il n'a pas répondu.
31:35Il n'a pas répondu.
31:36Il n'a pas répondu.
31:37Il n'a pas répondu.
31:38Il n'a pas répondu.
31:39Il n'a pas répondu.
31:40Il n'a pas répondu.
31:41Il n'a pas répondu.
31:42Il n'a pas répondu.
31:43Il n'a pas répondu.
31:44Il n'a pas répondu.
31:45Il n'a pas répondu.
31:46Il n'a pas répondu.
31:47Il n'a pas répondu.
31:48Il n'a pas répondu.
31:49Il n'a pas répondu.
31:50Il n'a pas répondu.
31:51Il n'a pas répondu.
31:52Il n'a pas répondu.
31:53Il n'a pas répondu.
31:54Il n'a pas répondu.
31:55Il n'a pas répondu.
31:56Il n'a pas répondu.
31:57Il n'a pas répondu.
31:58Il n'a pas répondu.
31:59Il n'a pas répondu.
32:00Il n'a pas répondu.
32:01Il n'a pas répondu.
32:02Il n'a pas répondu.
32:03Il n'a pas répondu.
32:04Il n'a pas répondu.
32:05Il n'a pas répondu.
32:06Il n'a pas répondu.
32:07Il n'a pas répondu.
32:08Il n'a pas répondu.
32:09Il n'a pas répondu.
32:10Il n'a pas répondu.
32:11Il n'a pas répondu.
32:12Il n'a pas répondu.
32:13Il n'a pas répondu.
32:14Il n'a pas répondu.
32:15Il n'a pas répondu.
32:16Il n'a pas répondu.
32:17Il n'a pas répondu.
32:18Il n'a pas répondu.
32:19Il n'a pas répondu.
32:20Il n'a pas répondu.
32:21Il n'a pas répondu.
32:22Il n'a pas répondu.
32:23Il n'a pas répondu.
32:24Il n'a pas répondu.
32:25Il n'a pas répondu.
32:26Il n'a pas répondu.
32:27Il n'a pas répondu.
32:28Il n'a pas répondu.
32:29Il n'a pas répondu.
32:30Il n'a pas répondu.
32:31Il n'a pas répondu.
32:32Il n'a pas répondu.
32:33Il n'a pas répondu.
32:34Il n'a pas répondu.
32:35Il n'a pas répondu.
32:36Il n'a pas répondu.
32:37Il n'a pas répondu.
32:38Il n'a pas répondu.
32:39Il n'a pas répondu.
32:40Il n'a pas répondu.
32:41Il n'a pas répondu.
32:42Il n'a pas répondu.
32:43Il n'a pas répondu.
32:44Il n'a pas répondu.
32:45Il n'a pas répondu.
32:46Il n'a pas répondu.
32:47Il n'a pas répondu.
32:48Il n'a pas répondu.
32:49Il n'a pas répondu.
32:50Il n'a pas répondu.
32:51Il n'a pas répondu.
32:52Il n'a pas répondu.
32:53Il n'a pas répondu.
32:54Il n'a pas répondu.
32:55Il n'a pas répondu.
32:56Il n'a pas répondu.
32:57Il n'a pas répondu.
32:58Il n'a pas répondu.
32:59Il n'a pas répondu.
33:00Il n'a pas répondu.
33:01Il n'a pas répondu.
33:02Il n'a pas répondu.
33:03Il n'a pas répondu.
33:04Il n'a pas répondu.
33:05Il n'a pas répondu.
33:06Il n'a pas répondu.
33:07Il n'a pas répondu.
33:08Il n'a pas répondu.
33:09Il n'a pas répondu.
33:10Il n'a pas répondu.
33:11Il n'a pas répondu.
33:12Il n'a pas répondu.
33:13Il n'a pas répondu.
33:14Il n'a pas répondu.
33:15Il n'a pas répondu.
33:16Il n'a pas répondu.
33:17Il n'a pas répondu.
33:18Il n'a pas répondu.
33:19Il n'a pas répondu.
33:20Il n'a pas répondu.
33:21Il n'a pas répondu.
33:22Il n'a pas répondu.
33:23Il n'a pas répondu.
33:24Il n'a pas répondu.
33:25Il n'a pas répondu.
33:26Il n'a pas répondu.
33:27Il n'a pas répondu.
33:28Il n'a pas répondu.
33:29Il n'a pas répondu.
33:30Il n'a pas répondu.
33:31Il n'a pas répondu.
33:32Il n'a pas répondu.
33:33Il n'a pas répondu.
33:34Il n'a pas répondu.
33:35Il n'a pas répondu.
33:36Il n'a pas répondu.
33:37Il n'a pas répondu.
33:38Il n'a pas répondu.
33:39Il n'a pas répondu.
33:40Il n'a pas répondu.
33:41Il n'a pas répondu.
33:42Il n'a pas répondu.
33:43Il n'a pas répondu.
33:44Il n'a pas répondu.
33:45Il n'a pas répondu.
33:46Il n'a pas répondu.
33:47Il n'a pas répondu.
33:48Il n'a pas répondu.
33:49Il n'a pas répondu.
33:50Il n'a pas répondu.
33:51Il n'a pas répondu.
33:52Il n'a pas répondu.
33:53Il n'a pas répondu.
33:54Il n'a pas répondu.
33:55Il n'a pas répondu.
33:56Il n'a pas répondu.
33:57Il n'a pas répondu.
33:58Il n'a pas répondu.
33:59Il n'a pas répondu.
34:00Il n'a pas répondu.
34:01Il n'a pas répondu.
34:02Il n'a pas répondu.
34:03Il n'a pas répondu.
34:04Il n'a pas répondu.
34:05Il n'a pas répondu.
34:06Il n'a pas répondu.
34:07Il n'a pas répondu.
34:08Il n'a pas répondu.
34:09Il n'a pas répondu.
34:10Il n'a pas répondu.
34:11Il n'a pas répondu.
34:12Il n'a pas répondu.
34:13Il n'a pas répondu.
34:14Il n'a pas répondu.
34:15Il n'a pas répondu.
34:16Il n'a pas répondu.
34:17Il n'a pas répondu.
34:18Il n'a pas répondu.
34:19Il n'a pas répondu.
34:20Il n'a pas répondu.
34:21Il n'a pas répondu.
34:22Il n'a pas répondu.
34:23Il n'a pas répondu.
34:24Il n'a pas répondu.
34:25Il n'a pas répondu.
34:26Il n'a pas répondu.
34:27Il n'a pas répondu.
34:28Il n'a pas répondu.
34:29Il n'a pas répondu.
34:30Il n'a pas répondu.
34:31Il n'a pas répondu.
34:32Il n'a pas répondu.
34:33Il n'a pas répondu.
34:34Il n'a pas répondu.
34:35Il n'a pas répondu.
34:36Il n'a pas répondu.
34:37Il n'a pas répondu.
34:38Il n'a pas répondu.
34:39Il n'a pas répondu.
34:40Il n'a pas répondu.
34:41Il n'a pas répondu.
34:42Il n'a pas répondu.
34:43Il n'a pas répondu.
34:44Il n'a pas répondu.
34:45Il n'a pas répondu.
34:46Il n'a pas répondu.
34:47Il n'a pas répondu.
34:48Il n'a pas répondu.
34:49Il n'a pas répondu.
34:50Il n'a pas répondu.
34:51Il n'a pas répondu.
34:52Il n'a pas répondu.
34:53Il n'a pas répondu.
34:54Il n'a pas répondu.
34:55Il n'a pas répondu.
34:56Il n'a pas répondu.
34:57Il n'a pas répondu.
34:58Il n'a pas répondu.
34:59Il n'a pas répondu.
35:00Il n'a pas répondu.
35:01Il n'a pas répondu.
35:02Il n'a pas répondu.
35:03Il n'a pas répondu.
35:04Il n'a pas répondu.
35:05Il n'a pas répondu.
35:06Il n'a pas répondu.
35:07Il n'a pas répondu.
35:08Il n'a pas répondu.
35:09Il n'a pas répondu.
35:10Il n'a pas répondu.
35:11Il n'a pas répondu.
35:12Il n'a pas répondu.
35:13Il n'a pas répondu.
35:14Il n'a pas répondu.
35:15Il n'a pas répondu.
35:16Il n'a pas répondu.
35:17Il n'a pas répondu.
35:18Il n'a pas répondu.
35:19Il n'a pas répondu.
35:20Il n'a pas répondu.
35:21Il n'a pas répondu.
35:22Il n'a pas répondu.
35:23Il n'a pas répondu.
35:24Il n'a pas répondu.
35:25Il n'a pas répondu.
35:26Il n'a pas répondu.
35:27Il n'a pas répondu.
35:28Il n'a pas répondu.
35:29Il n'a pas répondu.
35:30Il n'a pas répondu.
35:31Il n'a pas répondu.
35:32Il n'a pas répondu.
35:33Il n'a pas répondu.
35:34Il n'a pas répondu.
35:35Il n'a pas répondu.
35:36Il n'a pas répondu.
35:37Il n'a pas répondu.
35:38Il n'a pas répondu.
35:39Il n'a pas répondu.
35:40Il n'a pas répondu.
35:41Il n'a pas répondu.
35:42Il n'a pas répondu.
35:43Il n'a pas répondu.
35:44Il n'a pas répondu.
35:45Il n'a pas répondu.
35:46Il n'a pas répondu.
35:47Il n'a pas répondu.
35:48Il n'a pas répondu.
35:49Il n'a pas répondu.
35:50Il n'a pas répondu.
35:51Il n'a pas répondu.
35:52Il n'a pas répondu.
35:53Il n'a pas répondu.
35:54Il n'a pas répondu.
35:55Il n'a pas répondu.
35:56Il n'a pas répondu.
35:57Il n'a pas répondu.
35:58Il n'a pas répondu.
35:59Il n'a pas répondu.
36:00Il n'a pas répondu.
36:01Il n'a pas répondu.
36:02Il n'a pas répondu.
36:03Il n'a pas répondu.
36:04Il n'a pas répondu.
36:05Il n'a pas répondu.
36:06Il n'a pas répondu.
36:07Il n'a pas répondu.
36:08Il n'a pas répondu.
36:09Il n'a pas répondu.
36:10Il n'a pas répondu.
36:11Il n'a pas répondu.
36:12Il n'a pas répondu.
36:13Il n'a pas répondu.
36:14Il n'a pas répondu.
36:15Il n'a pas répondu.
36:16Il n'a pas répondu.
36:17Il n'a pas répondu.
36:18Il n'a pas répondu.
36:19Il n'a pas répondu.
36:20Il n'a pas répondu.
36:21Il n'a pas répondu.
36:22Il n'a pas répondu.
36:23Il n'a pas répondu.
36:24Il n'a pas répondu.
36:25Il n'a pas répondu.
36:26Il n'a pas répondu.
36:27Il n'a pas répondu.
36:28Il n'a pas répondu.
36:29Il n'a pas répondu.
36:30Il n'a pas répondu.
36:31Il n'a pas répondu.
36:32Il n'a pas répondu.
36:33Il n'a pas répondu.
36:34Il n'a pas répondu.
36:35Il n'a pas répondu.
36:36Il n'a pas répondu.
36:37Il n'a pas répondu.
36:38Il n'a pas répondu.
36:39Il n'a pas répondu.
36:40Il n'a pas répondu.
36:41Il n'a pas répondu.
36:42Il n'a pas répondu.
36:43Il n'a pas répondu.
36:44Il n'a pas répondu.
36:45Il n'a pas répondu.
36:46Il n'a pas répondu.
36:47Il n'a pas répondu.
36:48Il n'a pas répondu.
36:49Il n'a pas répondu.
36:50Il n'a pas répondu.
36:52Et puis qu'est le compositeur des débats religieux ?
36:54Oui, c'est vrai.
36:55Il est fort.
36:56Oui, bien sûr.
36:59C'est vrai qu'elle sort beaucoup.
37:02Et le style.
37:03C'est vrai qu'elle est…
37:06Vous vous rendez compte ce qu'il a écrit ça pour Valérie Benay.
37:08C'est vrai.
37:09C'est beau.
37:10Et peu de gens le savent.
37:11C'est un loup et une tourterelle.
37:13C'est un mélange.
37:14C'est un animal.
37:15C'est ça que c'est un animal étonnant Valérie Benay.
37:17C'est vrai.
37:18Belle fourrure.
37:22C'est ses deux matières préférées.
37:24Avec l'élastane.
37:26Merci Didier Barbelli.
37:27J'adore.
37:28C'est une de mes chansons préférées.
37:29Et j'étais 1980.
37:30Merci.
37:31On n'avait rien demandé.
37:32Vous aviez 6 ans.
37:33On n'avait rien demandé mais merci de le dire.
37:34Non mais c'est bien.
37:35C'est important que vous soyez là.
37:36C'est toujours bien les dates.
37:37Non mais c'est vrai.
37:38Pas le fruit.
37:39Ça remet le contexte.
37:40Merci.
37:41Pas le fruit.
37:42Merci.
37:43Tiens.
37:44Alors.
37:45Rachid Alati alors.
37:46Voilà.
37:47Bravo.
37:48Bravo.
37:49Mais comme je n'ai pas l'ensemble.
37:51Moi je peux vous le lire si vous voulez.
37:52Heureusement qu'on a Gauthier Lebray les mecs.
37:54Attendez.
37:55Je vous lis.
37:56Je vous prends tous les passages sur C8.
37:57Vous allez nous dire ce que vous en pensez.
37:58D'accord ?
37:59Donc.
38:00Je vous fais les questions pour que vous compreniez bien.
38:01Bien sûr.
38:02Faites tout.
38:03Faites tout.
38:04Donc.
38:05Question de nos amis du JDD.
38:06Le Conseil d'Etat confirme la fermeture de NRJ12 et de C8 supprimant la première chaîne
38:07de la TNT et une émission TPMP qui s'adresse à un public large et populaire.
38:11Comment justifier une telle décision ?
38:12Réponse de la ministre.
38:14L'ARCOM est une autorité indépendante qui a été créée par un vote du Parlement.
38:17Les missions et les procédures ont été fixées dans la loi.
38:20La décision de l'ARCOM a été prise après un long processus conforté par le Conseil
38:23d'Etat.
38:24Donc là, elle soutient la décision de l'ARCOM.
38:25Bien sûr.
38:26Si une majorité de responsables politiques considère que ces règles sont injustes,
38:28il revient au législateur de les modifier.
38:31Après, vous savez, elle est interrogée sur ce fameux déjeuner gate avec Jules Torres,
38:36Charlotte Dornelas et Geoffroy Lejeune qui ont rapporté des propos de cadre de l'ARCOM
38:41et elle dit, je ne sais pas dans quel cadre ont été tenus ces propos, mais s'ils sont
38:44avérés, ils sont inacceptables et constituent une faute déontologique grave.
38:48On va reparler de ça dans un instant.
38:49J'aimerais bien qu'on ait la réponse de l'ARCOM aussi là-dessus parce qu'ils ont
38:51fait un communiqué.
38:52Et dans ce cas, je m'en entiendrai avec le président de l'ARCOM afin de faire toute
38:56la transparence.
38:57Certains plaident pour la suppression de l'ARCOM.
38:59Que leur répondez-vous ?
39:00Pendant longtemps, on a reproché aux responsables politiques de trop interférer dans le paysage
39:03audiovisuel, ce qui a conduit à la création d'une autorité indépendante dès 82 et
39:07depuis jamais remise en cause aujourd'hui.
39:09Quoi qu'on en pense, le paysage audiovisuel est divers.
39:12Justement, est-ce qu'on peut lancer un sondage ? Est-ce que vous êtes pour la suppression
39:15de l'ARCOM ? Est-ce qu'on peut lancer ce sondage là tout de suite ? Et le lancer
39:17même dans le JDD aussi.
39:1950 millions d'euros de coûts à l'ARCOM.
39:21Exactement, 50 millions d'euros de coûts.
39:22Est-ce que vous êtes pour la suppression de l'ARCOM ? On va voir.
39:24On vous donnera les résultats du sondage tout à l'heure, mais est-ce qu'on peut
39:26le lancer, si ce n'est pas trop vous demander ? Bien entendu.
39:28Vous nous appelez également 0180 20 39 21 sur Europe 1.
39:32Il reste deux questions à vous lire, Cyril.
39:34Vous récusez toute intervention du politique dans l'univers médiatique.
39:37Pourtant, votre prédécesseur, Rima Abdul-Malak, avait ciblé en février 2023 CNews et C8
39:42sur l'antenne de France Inter.
39:43Rima Abdul-Malak est retournée dans le slam.
39:45Je ne suis pas sur sa position, c'est-à-dire du centre CNews ou du groupe auquel elle appartient.
39:51Je tiens au pluralisme comme au respect des règles qui régissent l'audiovisuel.
39:54Et puis, dernière question sur les 400 salariés qui vont être mis sur le carreau.
39:57Vous avez raison, il y a des conséquences sociales.
39:59Je pense à la secrétaire, à la maquilleuse, à tous les techniciens qui perdent leur emploi.
40:03Le paysage audiovisuel évolue.
40:05Ce n'est pas la première fois qu'une chaîne s'arrête.
40:06Mais je resterai évidemment attentive au suivi social.
40:08J'ai également une pensée pour ces téléspectateurs qui considèrent qu'on les a privés injustement d'un média.
40:13Bon, ça c'est la seule bonne phrase.
40:15Mais elle dit même, vous avez vu la subtilité, c'est les téléspectateurs qui considèrent que c'est injuste.
40:19Pas elle directement.
40:20Exactement, bravo.
40:21Qui considère ? Les téléspectateurs qui considèrent que c'est injuste.
40:25Rima Abdul-Malik, il est retourné en slammer.
40:28J'ai pas envie de me prendre la tête, j'ai envie de manger une tartiflette.
40:41C'est les vacances du sport d'hiver.
40:43J'ai pas envie de me prendre la tête, j'ai envie de manger une tartiflette.
40:47La poésie, elle est magnifique.
40:49La poésie, toi tu nous tiens.
40:50Y'a ça qui m'est venu.
40:51Non mais Rachida Dati, on va en parler dans un instant.
40:55Vous allez nous dire ce que vous en pensez.
40:57Pour moi, c'est service plus que minimum.
40:59Excusez-moi.
41:00C'est vraiment, c'est service minimum de chez minimum de chez minimum.
41:03Pourquoi je pense aussi que tous les ministres, ils sont tellement dans une situation précaire
41:07que le seul qui a de l'attitude, c'est Bruno Retailleau.
41:11T'es choqué par cette décision.
41:13Bruno Retailleau, c'est le seul au gouvernement qui a eu vraiment les bons mots.
41:17On va pas se mentir, mais Bruno Retailleau, il est exceptionnel.
41:19J'ai pas peur de le dire.
41:21Il est exceptionnel, c'est le seul qui a eu des mots.
41:23Gérald Darmanin, est-ce qu'il a réagi ?
41:25Vous savez qu'il ne peut pas, parce que s'il réagit, le ministre de la Justice,
41:29il termine devant la Courge de Justice de la République.
41:31Gérald Darmanin est très bon aussi dans ce qu'il fait.
41:33Gérald Darmanin, malheureusement, ne peut pas réagir.
41:35C'est bien que vous le disiez, parce que j'ai vu des gens qui disaient
41:37pourquoi Gérald Darmanin n'a pas réagi.
41:39Il ne peut pas.
41:40Il ne peut pas le faire.
41:41C'est bien de le dire, parce que comme ça, les gens comprennent.
41:43Il y a plein de gens qui s'étonnaient de ne pas avoir vu Gérald Darmanin réagir là-dessus.
41:47Mais c'est constitutionnel. Merci Gauthier.