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Richard Ramos s’explique face à Bruno Retailleau qui cible les antifas : «Il y a une gauche qui se réveille».

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Transcription
00:00On sait d'où ça viendra, parce que j'imagine que les antifas ne font pas le pont et seront demain dans la rue, dans les grandes villes de France.
00:09Déjà on sait par qui ils sont téléguidés, puisque leur représentant est à l'Assemblée nationale, il s'appelle Raphaël Arnaud, on vient d'en parler.
00:15Et vous avez donc sans cesse cet assistant parlementaire qui appelle à l'intifada, qui appelle à la formation de brigade, qui appelle à déborder le cas de policier.
00:22C'est de la violence souhaitée en permanence.
00:23Oui, alors moi je fais confiance à M. Nounes, que je connais un peu, qui est préfet de Paris, je pense que tout ça va, je l'espère, être contenu.
00:33Mais de toute façon c'est une stratégie, c'est une stratégie politique de chercher au-delà de la conflictualisation, l'affrontement, l'affrontement physique,
00:43pour essayer de vraiment sortir de la République, sortir du schéma légal.
00:48C'est une stratégie de l'extrême gauche, c'est très très clair.
00:51Et donc, voilà, moi je le dis, heureusement vous avez, je crois, Jérôme Guedj sur vos antennes demain.
00:57Demain matin.
00:57Il y a une gauche qui se réveille. Je ne suis pas de gauche, donc je suis très à l'aise.
01:01Mais je pense que, heureusement, des gens comme Jérôme Guedj, demain peuvent proposer, je l'espère, dans les urnes,
01:07qu'on n'ait plus des gens comme cet individu-là à l'Assemblée nationale.
01:09Et donc pour ça, il faut une gauche. On peut combattre des idées.
01:13Il le paye au prix fort de refuser l'Alliance.
01:15Il s'est fait chasser de cette manière dimanche parce qu'il est juif, au cri de salle sioniste.
01:20Mais c'est pour ça que je vous dis que je pense à lui, je pense à Raphaël Glucksmann.
01:24Je pense qu'il y a des gens...
01:25Raphaël Glucksmann, lui, il accepte les alliances.
01:26Quand Jérôme Guedj, je les refuse.
01:27Non, non, non, non, pardon.
01:28C'est pas pareil.
01:29Je pense qu'il a pris aussi beaucoup de coups dans cette campagne.
01:32Enfin, il s'est renié en 24 heures.
01:34Non, non, attendez.
01:35Moi, je pense qu'aujourd'hui, les choses se...
01:39Il fait une campagne entière contre LFI.
01:4024 heures plus tard, il accepte le deal.
01:42Mais attendez.
01:43Moi, je pense que quelqu'un comme Raphaël Glucksmann, aujourd'hui, ne fera pas demain,
01:46c'est pas mon parti, encore une fois, ne fera pas d'alliance avec LFI.
01:49Il l'a fait deux fois, Richard Ramos.
01:50Je l'espère.
01:51Il l'a fait deux fois, Raphaël Glucksmann.
01:53Nous n'aurons plus ces individus-là à l'Assemblée nationale.
01:56Et je pense qu'il faut qu'il y ait une gauche forte pour que ces gens-là ne soient pas forts.
01:59Non, mais franchement, Raphaël Glucksmann, il y est allé.
02:00Sous-titrage Société Radio-Canada

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