Joachim Le Floch-Imad, essayiste et enseignant, revient sur les tensions en fin de cortège durant la manifestation du 8 mars à Paris : «La libération de la parole du néo-féminisme est à géométrie variable».
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00:00Vous citez Cologne, on pourrait aussi citer ce qui s'est passé avec les viols de jeunes filles britanniques par des gangs pakistanais dans l'indifférence quasi totale.
00:11Et on est une fois de plus, en effet, dans les contradictions du néo-féminisme qui prétend libérer la parole, ce que c'est de libération de la parole.
00:18Elle est à géométrie variable puisqu'il y a une volonté de faire taire, de silencier, comme on dit en termes intersectionnels, celles qui pointent du doigt certaines réalités qui dérangent.
00:26Par exemple, les ravages de l'islamisme radical et de l'immigration de masse sur la vie ordinaire des femmes, pour parler comme Christopher Lach.
00:35Alors oui, le petit monde politico-médiatique n'est pas trop choqué par ce qui se passe. Je pense que les Français le sont beaucoup plus ce soir.