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  • 15/03/2025
Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 14/03/2025.

Catégorie

🥇
Sport
Transcription
00:00:00...
00:00:14C'est l'arrivée du soir, l'équipe du soir
00:00:19Et la France gagne le tour d'hallucination des U20
00:00:24Ils ont eu chaud nos petits bleus cocos
00:00:28En s'apposant 45 à 40
00:00:31Tout en profitant du faux pas de l'Angleterre contre le Pays de Galles
00:00:35Mes amis, c'est une première depuis 2018 comme nous l'a assénée
00:00:39Benoît, que c'est une première
00:00:41La France gagne le tour d'hallucination en U20
00:00:44La cérémonie tout de suite
00:00:46On refile à Jean-Bouin, Benoît et Olivier Magne
00:00:48S'enchanter, je ne sais pas
00:00:50Vous faites comme vous voulez
00:00:51Vous nous faites vivre ce beau moment
00:00:53Ce beau moment de sport
00:00:54Bonsoir les gars
00:00:58On est dans un état où on est capable de tout
00:01:00Vraiment capable de tout
00:01:01Parce que ça a été fantastique
00:01:02Tiens, regardez
00:01:03Juste les images partagées de la joie de l'équipe de France
00:01:05Depuis tout à l'heure
00:01:06Ça déborde de partout
00:01:08C'est vraiment une équipe très attachante, Olivier, on l'a dit
00:01:12Évidemment, il y a eu des accros
00:01:14Ils nous ont même fait peur ce soir
00:01:16Mais on a envie de les pousser
00:01:18On a envie d'être avec eux
00:01:19On a envie de les suivre
00:01:20Oui, bien sûr, on a envie de les suivre
00:01:22C'était une équipe attachante
00:01:23Attachante sur le plan humain
00:01:26C'est des jeunes qui nous font plaisir
00:01:29Qui ont beaucoup de qualité
00:01:30Qui, sur le terrain aussi, nous montrent de très belles choses
00:01:33Et puis, voilà, un concours de circonstances
00:01:35On ne s'y attendait pas vraiment
00:01:37Cette équipe d'Angleterre dominait tellement ce tournoi
00:01:40Qu'on a pensé incapable de perdre contre le pays de Galles
00:01:44Et finalement, ça a eu lieu
00:01:46Les Gallois nous font bien plaisir
00:01:48Et c'est l'équipe de France qui remporte ce tournoi
00:01:50Avec une partie magnifique sur ce dernier match
00:01:53Il faut rendre hommage à cette équipe écossaise
00:01:56Qui a très bien joué le jeu
00:01:58Et qui nous a quand même donné du fil à retordre jusqu'au bout
00:02:00Donc bravo à l'équipe de France
00:02:02Bravo à l'Écosse
00:02:03Bravo à toutes les équipes
00:02:04Qui nous ont offert un magnifique spectacle
00:02:06Sur l'ensemble de ce tournoi
00:02:08Bravo au pays de Galles aussi
00:02:09Qui a battu l'Angleterre
00:02:10Et regardez le président de la Fédération Française de rugby
00:02:13Qui a un large sourire, Florian Grille
00:02:15La remise de son petit accident
00:02:17Qui était là pour l'occasion
00:02:19Et qui sent que ça va être un grand week-end
00:02:21En effet
00:02:22Et parce qu'il le sait aussi
00:02:24Cette équipe de France du 20, c'est la vitrine
00:02:26Vraiment du rugby français
00:02:28Yann Etchegaray va même avoir deux médailles
00:02:30Celle de l'homme du match
00:02:32En plus, Quentin Helguet
00:02:34La doublure avec Liam Accra
00:02:36Voilà, on a deux talonneurs de grands talents
00:02:38Mais c'est vrai qu'on le dit
00:02:40C'est la vitrine de la formation française
00:02:42Voilà, c'est très important
00:02:44Alors il y a eu ces titres de champion du monde
00:02:46On rappelle qu'il y a eu ces viches champions du monde
00:02:48Ils ont juste perdu en finale contre l'Angleterre
00:02:50Mais les Français sont tout le temps dans le coup
00:02:52Et cette équipe, maintenant, elle sera tendue
00:02:54Pour aller décrocher un nouveau titre de champion du monde
00:02:56Oui, complètement
00:02:57Il y a cette Coupe du Monde qui aura lieu en juin en Italie
00:03:00C'est encore une belle opportunité à tous ces jeunes joueurs
00:03:05De continuer à progresser avec leurs clubs respectifs
00:03:08Et puis de se projeter pour ce tournoi
00:03:10Cette Coupe du Monde qui arrive
00:03:12Avec beaucoup d'enthousiasme
00:03:24Vainqueur du tournoi 2025
00:03:26L'équipe de France
00:03:28Levin peut savourer complètement son bonheur
00:03:30Face à son public, face à sa famille
00:03:32Face à ses amis, face à tout le rugby français
00:03:34Ils l'ont fait
00:03:36Ce n'était pas rêvé depuis 2018
00:03:38Les Français reprennent
00:03:40Le trophée de gagnant du tournoi destination
00:03:44Et ils vont le partager
00:03:46Pékin, Belgique
00:03:58Porté avec les deux capitaines
00:04:00C'est aussi le symbole
00:04:02Quand on rentre à maison, Antoine Deliance
00:04:04Il était même trois capitaine avec Rafael Dardier
00:04:06Mais voilà, c'est aussi ce partage permanent
00:04:12C'est toujours bien pour ces joueurs
00:04:14d'aller chercher un titre pour la confiance, pour la construction aussi de leur carrière.
00:04:19Ça leur donne un petit peu plus encore d'assurance pour les échéances à venir.
00:04:24C'est magnifique de pouvoir gagner dans ces conditions et surtout avec la manière,
00:04:29avec le spectacle qui nous a été offert, cette capacité à jouer dans toutes les situations,
00:04:33à créer des situations vraiment magnifiques sur le plan offensif.
00:04:38Bravo à cette équipe de France, restons stables.
00:04:40On a envie de voir la même chose, évidemment, demain soir avec le 15 de France.
00:04:43Mais je me rappelle, ça avait fait si mal de voir l'Angleterre soulever le tournoi en U20 l'an dernier
00:04:47du côté de Pau que ça fait vraiment du bien de voir nos U20 avec ce trophée.
00:04:51Il y a quelques instants, Camille McKelly était avec Cédric Laborde,
00:04:54justement le manager de cette équipe de France.
00:04:57Regardez, il était ému.
00:05:00Cédric, on voit toute la joie de vos joueurs derrière vous.
00:05:03C'était votre première épopée aussi avec cette équipe de France U20.
00:05:09On ne s'attendait pas forcément à ça au début du tournoi
00:05:11et pourtant, vous l'avez fait depuis 2018, si ce n'était pas arrivé.
00:05:15Est-ce que vous réalisez le beau tournoi que vous avez fait ?
00:05:17On réalise complet, c'est que du bonheur, c'est génial.
00:05:23C'est un groupe génial, un super staff, on se régale, ça fait vraiment plaisir.
00:05:29Je remercie les Galois beaucoup.
00:05:30Ils sont gentils les Galois, on les aime beaucoup.
00:05:34On voit que vous avez réussi à créer une identité au fur et à mesure,
00:05:38c'était important pour vous.
00:05:40Mais c'est aussi une famille, des frères,
00:05:42le mot « on est des frères » est revenu très souvent tout au long de ce tournoi.
00:05:46J'imagine que vous partez presque déjà avec un sentiment accompli
00:05:50et vous vous projetez qu'avec des belles idées
00:05:52pour cette Coupe du Monde qui arrive très bientôt finalement.
00:05:55Oui, on s'était donné l'objectif de gagner le tournoi.
00:06:01Aujourd'hui, c'est un peu dur, mais les Écossais ont vraiment bien joué ce match.
00:06:05On s'attendait à un match très spectaculaire
00:06:07parce qu'offensivement, c'est un peu le même jeu que nous.
00:06:10C'est une équipe qui joue plutôt très bien.
00:06:12Ils ont réussi à tenir.
00:06:15Et après, c'est une bonne étape,
00:06:18je trouve, une bonne base pour la Coupe du Monde.
00:06:21Je pense à tous les joueurs qui ont joué,
00:06:23qui sont là, les joueurs qui sont blessés.
00:06:25C'est un groupe génial, donc on va bien travailler.
00:06:29On vous sent très émus, on vous laisse aller profiter, coach.
00:06:32Merci beaucoup.
00:06:34Oui, on a vu le cercle des joueurs animé notamment par Mohamed Mekarbi.
00:06:40Voilà, c'est avec la balle.
00:06:42Il n'est pas passé loin de l'accident de fin de tournoi.
00:06:44C'est dangereux d'être le coach des U20
00:06:47qui sont en train de faire carrément un tour d'honneur.
00:06:49Là, on voit Samuel Jean-Christophe et ils en profitent.
00:06:51Et ils ont bien raison d'en profiter parce que c'est tellement de travail.
00:06:56On l'a dit, parce qu'ils ont énormément travaillé.
00:06:58On pense aussi à tous les joueurs, en effet, qui ont partagé cette aventure.
00:07:01Ils étaient 41 en tout dans le tournant des 10 Nations.
00:07:03Deux garçons, parce qu'on a beaucoup parlé des 3K, des 3,5.
00:07:06Il y avait deux garçons, Lya Makrab et Mohamed Mekarbi,
00:07:09qui font chambre commune, qui étaient au micro de Camille aussi tout à l'heure
00:07:11et qui ont été des révélations dans ce tournoi.
00:07:15Avec Mohamed Mekarbi et Lya Makrab, tous les deux, vous êtes révélés sur ce tournoi.
00:07:20J'imagine à quel point vous pouvez être fiers de remporter ce tournoi
00:07:24devant votre famille, devant le public français.
00:07:28Racontez-nous un peu toutes les émotions qui passent dans votre tête là.
00:07:31On ne peut être que fiers.
00:07:33On a fait des semaines et des semaines d'entraînement.
00:07:36On a travaillé ensemble.
00:07:37On a eu des hauts et des bas.
00:07:39On a su se relever.
00:07:41On a gagné.
00:07:42Et aujourd'hui, on ressort vainqueur de ce tournoi.
00:07:45Ce qui compte, c'est le résultat.
00:07:46On est tous très contents de l'équipe.
00:07:48Et on a bien fêté ça.
00:07:50Et on est contents !
00:07:51Oui !
00:07:53Merci beaucoup !
00:07:55Ils se sont bien trouvés tous les deux, c'est clair.
00:07:58La fête continue, Olivier.
00:07:59Allez, le mot de la fin, dans cette joie magnifique communicative du côté de Jean-Bouin.
00:08:03Vivement demain, j'ai envie de dire.
00:08:05Le relais maintenant est passé.
00:08:07On attend demain une performance identique de l'équipe de France.
00:08:10Et un spectacle aussi de grande qualité pour que le rugby soit le grand vainqueur du week-end.
00:08:14Merci évidemment encore une fois à tout le staff de nous ouvrir ces portes.
00:08:17Parce que c'est un vrai plaisir de suivre ce U20 pour lâcher une équipe mémé.
00:08:20On voit en la main, mais on est remplis de bonheur.
00:08:22Merci beaucoup Benoît.
00:08:24Vous direz à Olivier qu'on a encore besoin de lui.
00:08:26On va parler rugby puisque demain, évidemment, la France contre l'Écosse.
00:08:29Si la France gagne le tournoi, ce sera une première.
00:08:31Un doublé chez les U20, un doublé chez l'As, c'est inédit.
00:08:34Ça ne s'est jamais fait.
00:08:36Dans quelques minutes, retour du côté de Jean-Bouin pour y avoir un peu les pensées.
00:08:40L'expertise d'Olivier Magne.
00:08:42Le tournoi touche à sa fin côté...
00:08:44Ah ! Voici le programme de demain.
00:08:46Demandez le programme.
00:08:46Donc ça commence par Italie-Irlande.
00:08:48L'Irlande est troisième.
00:08:49Galles-Angleterre.
00:08:50L'Angleterre est deuxième.
00:08:52Et puis la France, qui est première, reçoit l'Écosse.
00:08:55Au classement, une victoire avec bonus, c'est-à-dire quatre essais,
00:08:59consacrerait automatiquement, mécaniquement, les bleus de Fabien Galtier.
00:09:03Tout autre résultat permettrait aux Anglais,
00:09:05voire peut-être même aux Irlandais, de gagner le tournoi.
00:09:08Après la victoire, donc, samedi dernier en Irlande, 42 à 27,
00:09:12ces bleus-là sont-ils à l'abri d'un accident ?
00:09:14On voit que le rugby, c'est une chance molle.
00:09:17Deux chroniqueurs ne sont pas d'accord.
00:09:18Bien oui et bien non.
00:09:19On y va en régie, s'il vous plaît.
00:09:22Ces bleus-là sont-ils à l'abri d'un accident ?
00:09:25J'ai Hervé.
00:09:26Vous m'avez dit oui, mon cher Hervé.
00:09:28Et Greg, vous m'avez dit non.
00:09:30J'en profite.
00:09:32Vous voyez nos vestons qui sont en pourpris d'une petite jonquille.
00:09:35Voilà, c'est faire un don contre le cancer.
00:09:39Une jonquille contre le cancer, c'est l'opération lancée par l'Institut Curie.
00:09:44Envoyez sur votre SMS Espoir, donc par SMS, au 92002.
00:09:50Voilà la présence des jonquilles.
00:09:52Deux chroniqueurs ne sont pas d'accord.
00:09:55Oui, Hervé, on est à l'abri d'un accident.
00:09:57Pourquoi ? Expliquez-nous.
00:09:58Déjà parce que la différence de niveau entre les deux équipes est énorme.
00:10:02En plus, c'est vraiment une équipe qui peut réussir à l'équipe de France
00:10:04parce que c'est une équipe qui ouvre beaucoup le jeu.
00:10:06À une époque, on les surnommait un peu les « baby blacks ».
00:10:08Ils vont donner du jeu.
00:10:10Et de ce côté-là, en face, c'est vraiment largement supérieur.
00:10:12On a vu que même les provinces écossaises étaient en difficulté.
00:10:15On les a vues pendant ce tournoi.
00:10:16Ils n'ont pas été très bons non plus.
00:10:17Vous allez me dire qu'ils ont échoué de peu en Angleterre.
00:10:19Mais nous, si on n'avait pas eu un peu de beurre sur les doigts,
00:10:21les Anglais, on devait les exploser complètement.
00:10:24Donc, on était largement supérieurs.
00:10:25Puis, il manque même Jacques Dempsey.
00:10:27Donc, ils n'auront pas le punch qu'on peut espérer de cette équipe d'Écosse.
00:10:30Ah, alors l'Écosse, aussi faible art que ça, mon chagrin ?
00:10:34Je ne vois pas du tout ce différentiel-là.
00:10:36Ils nous ont battus deux fois sur quatre.
00:10:37C'est une équipe qui n'est pas au premier tour de la Coupe du Monde
00:10:40parce qu'ils ont les deux meilleures équipes de la planète, l'Irlande et l'Absolute.
00:10:43Alors qu'eux sont peut-être cinquièmes ou sixièmes.
00:10:45Ils ont vraiment trouvé une équipe.
00:10:46Ils sont surtout très brillants derrière,
00:10:49sur tous les postes, à partir du 9 jusqu'au 15.
00:10:52Vandermeer, King Horn.
00:10:53Et ils ont un petit peu réglé,
00:10:55enfin, ils arrivent un petit peu à masquer leur problème traditionnel de puissance
00:10:58qui, effectivement, là, c'est difficile.
00:11:01Mais ils sont capables de touiller la soupe.
00:11:02Ils ont vraiment une équipe.
00:11:03Ce n'est pas l'Italie, ce n'est pas le Pays de Galles.
00:11:05Il ne faut pas confondre.
00:11:06Ok.
00:11:07Le président a réquisitionné.
00:11:09Et puis après, on ira du côté de Jean Bouin pour avoir l'opinion d'Olivier Magne.
00:11:13Président, vous êtes peuneau ou vous êtes Schneider ?
00:11:15Vous êtes corporate avec votre médiateur qui vous a fait voir ?
00:11:21Ou sinon, vous êtes mutuelle libération à vous tuer ?
00:11:23Non, mais moi, je suis président de tout le monde, déjà.
00:11:26De tous les Français.
00:11:27Il est président de tous les Français.
00:11:28Non, non, je suis assez peuneau sur ce dossier-là.
00:11:32C'est bon, il reste.
00:11:33Parce que, très franchement, l'accident, il est déjà arrivé, en fait.
00:11:36L'accident est arrivé en Angleterre.
00:11:38Et normalement, dans le rapport de force, il n'y a pas une équipe qui soit vraiment
00:11:43approchée des Bleus dans ce tournoi.
00:11:45Et je ne vois pas comment l'Écosse y parviendrait.
00:11:47Donc, je n'ai pas la moindre réserve sur ce sujet-là.
00:11:53Ils ont tous trop besoin d'assurer de la continuité après le match de l'Irlande.
00:11:59Olivier Magne est en direct sur la chaîne d'équipe, déjà depuis 21h, avec ce fameux
00:12:05match contre l'Écosse.
00:12:07Olivier, bonsoir et rebonsoir.
00:12:09Vous prenez, on va dire, l'émission comme ça en cours, mais vous êtes chaud, depuis
00:12:15une heure et demie de direct.
00:12:16Olivier, je reviens sur vos propos, notre petite discussion qu'on a eue il y avait une
00:12:22semaine, juste avant l'Irlande.
00:12:24Vous avez qualifié ce match, on va dire, de match bascule, de match carrefour, que
00:12:28ce soit en cas de défaite ou en cas de victoire.
00:12:31Est-ce qu'il y a des choses qui ont été réglées définitivement contre l'Irlande,
00:12:34mon cher Olivier ?
00:12:35Oui, complètement, mais il y a des choses qui ont été réglées.
00:12:43Cette équipe de France, après sa désillusion contre l'Angleterre, a évidemment répondu
00:12:48présent contre l'Italie, mais on ne pouvait pas trop se faire un avis par rapport à la
00:12:52qualité et au niveau des Italiens, mais pour autant, derrière, ils ont basculé sur le
00:12:57match de l'Irlande avec une performance majuscule.
00:12:59J'ai envie de dire que même lorsqu'Antoine Dupont est sorti, c'est une équipe de France
00:13:04qui, collectivement, a encore mieux joué.
00:13:06Je ne la vois pas, demain, se faire surprendre par l'Ecosse, tout simplement parce qu'elle
00:13:11a déjà été avertie contre l'Angleterre et que je ne la vois pas reproduire une contre-performance
00:13:15de cette nature.
00:13:16C'est une équipe de France qui, je pense, a vraiment tout pour elle demain et nous offrir
00:13:22un grand spectacle, même si l'Ecosse, évidemment, va nous poser quelques problèmes, mais je
00:13:28ne crois pas l'équipe d'Ecosse capable de gagner à Paris demain.
00:13:34Greg Schneider et Fabien Galtier partagent la même avis, la même réserve, on va écouter
00:13:40et je vais vous demander un commentaire, mon cher Olivier, alors un, il tient évidemment
00:13:43les Ecossais en respect, c'est normal, c'est le rôle du sport, et il évoque une caractéristique
00:13:48bien française.
00:13:49On me dit Camille en direct, Camille en direct, Camille McAlee en direct, on y va, pardonnez-moi.
00:13:53Avec Jean Cotarmanac, Jean, vous étiez là déjà l'année dernière, on sait la frustration
00:14:02qu'il y a de perdre un tournoi, mais j'imagine qu'il y a aussi beaucoup de joie de remporter,
00:14:08malgré les difficultés, vous avez enfin ce titre.
00:14:11Oui, carrément, c'est vrai qu'l'année dernière c'était un peu compliqué, on avait perdu
00:14:14à la maison à Béziers et ça, ça fait vraiment mal au cœur, donc là c'est cool de pouvoir
00:14:19offrir ça à nos supporters, ils étaient vraiment venus nombreux, et c'est vraiment
00:14:23cool de pouvoir décrocher le titre, on savait que c'était pas l'objectif principal, notre
00:14:27premier objectif c'était de gagner le match, et les circonstances ont fait qu'on a pu gagner,
00:14:31donc c'est vraiment génial, c'est vraiment un bonus énorme pour nous.
00:14:34C'est une équipe qui a plein d'identités, il y a des Bretons, il y a des Basques, et
00:14:39aussi qui a beaucoup de caractère, comment vous l'avez vécu cette deuxième saison chez
00:14:44les U20 ?
00:14:45Oui, c'est vrai qu'on a plein de joueurs qui viennent un peu de partout, et il y a
00:14:50des gros caractères, forcément, on pense aux Basques, et ce qui fait l'identité du
00:14:55groupe, je pense qu'on est tous soudés maintenant, malgré nos différences, on s'est tous rapprochés,
00:15:01et ce qui fait qu'on arrive à produire ça sur le terrain, malgré les difficultés,
00:15:05c'était un match vraiment compliqué, on ne s'attendait peut-être pas à autant de
00:15:09difficultés, on a réussi à surmonter ça, donc c'est vraiment cool d'avoir une force
00:15:13de caractère comme ça, une force de groupe qui nous permet de gagner les tournois.
00:15:18Merci beaucoup Jean, je vous laisse aller profiter, je pense que la soirée sera belle.
00:15:21Voilà, merci beaucoup ma chère Camille, Olivier, est-ce que vous êtes toujours là ? Il est
00:15:30là, ou pas ?
00:15:31Oui, je suis toujours là, bien sûr.
00:15:33Écoutez, je vous propose d'écouter Fabien Galtier, qui tient en respect les Écossais,
00:15:38qui évoque une caractéristique bien française, l'irrégularité latine, est-ce que c'est
00:15:43un gros cliché ? Je vous propose de l'écouter, et puis j'aimerais avoir votre réflexion
00:15:45derrière.
00:15:46Il faut être vigilant parce qu'on est des Latins, on sait que face à nous ce sont
00:15:50des nations britanniques, anglo-saxonnes, qui se préparent très différemment, qui
00:15:55sont en capacité à enchaîner les performances après des contre-performances, toujours avec
00:15:59un niveau d'intensité qui est égal.
00:16:01Nous, c'est spécifique à nous, c'est particulier, il faut qu'on soit vigilant, et je ne lâcherai
00:16:07pas les joueurs là-dessus.
00:16:08Olivier, on est dans le cliché, on est Latins donc irréguliers, ils sont anglo-saxons donc
00:16:13toujours concentrés.
00:16:14Ou il y a une part de vérité ?
00:16:16Oui, il y a forcément une part de vérité, qu'on soit Latins, évidemment, ça l'est,
00:16:24mais pour autant, cette équipe de France, avec le professionnalisme des joueurs, la
00:16:30faute qui a été, enfin la faute, l'erreur, la petite erreur de parcours contre l'Angleterre,
00:16:35je pense que c'est un rappel à l'ordre suffisamment important pour leur permettre
00:16:38finalement de faire une grosse performance demain, d'autant plus qu'il y a quand même
00:16:42un titre en jeu, il y a à aller chercher le gain du tournoi, et ça, les joueurs le
00:16:46savent très bien, parce que la vitrine de l'équipe de France sur ces dernières années
00:16:51n'est pas suffisamment garnie, et ils ont besoin d'aller chercher cette victoire demain.
00:16:55Un grand chème, simplement, sous l'air galtier, Frédéric Verdier, vous êtes plutôt Peuneau
00:16:59ou vous êtes plutôt Greg Schneider, vous pensez qu'un accident est possible ou pas ?
00:17:02Fais attention à ce que tu dis, s'il te plaît.
00:17:04Je suis extrêmement Schneider, d'autant que l'influence Peuneau est très nocive et
00:17:08néfaste ici ce soir, parce que d'abord les écossais, ils sont très joueurs, c'est vraiment
00:17:16une nation, d'ailleurs on les appelait, on les appelle encore les All Blacks de l'hémisphère
00:17:20nord, parce qu'ils ont ce côté comme ça, rouleau compresseur en troisième ligne, hyper
00:17:24performant, polyvalent, et ils sont très capables, ils nous ont planté, pas il y a
00:17:2820 ans, ils l'ont fait aussi, mais avec Olivier Magne qui avait d'ailleurs, pour le côté
00:17:32latin, gagné cette super demi-finale contre les Blacks en 99, derrière, impréparation,
00:17:38un peu d'euphorie, ou au contraire, ils perdent la finale sans vraiment...
00:17:41On est vraiment dans les clichés avec vous, on parle de l'équipe d'Ecosse de cette année
00:17:48contre l'équipe de France de cette année, parce que même quand on parle de l'erreur
00:17:53de l'équipe de France, il y a deux ans ils nous battent, et on se précipite, on fait
00:17:57les cons et on se fait planter, donc ils sont capables de le faire, et nous on est capables
00:18:01malheureusement de faire des grands matchs, mais on est aussi capables de déconner à
00:18:03plein bouillon, on l'a fait contre l'Angleterre, on peut malheureusement tout en faire une
00:18:07recherche.
00:18:08Je regrette, mais contre l'Angleterre, on n'a pas déconné à plein bouillon, certainement
00:18:10pas.
00:18:11On a commis des maladresses monstrueuses.
00:18:12Il y a eu beaucoup d'erreurs.
00:18:13Le match en lui-même, si on juge le match de l'équipe de France contre l'Angleterre,
00:18:16ils ne font pas un mauvais match les Français, dans l'intensité, au début, ils sont dans
00:18:20le combat, après ils revoitent, simplement, après effectivement ils relâchent un paquet
00:18:24de ballons.
00:18:25Dans l'esprit du jeu, ils étaient là quand même les Français, on ne peut pas dire que
00:18:28c'est un match qu'ils ont complètement...
00:18:29Là où Hervé a raison, c'est que ce n'est pas parce qu'ils étaient latins qu'ils ont
00:18:32joué avec des moufles.
00:18:33Si je puis me permettre, je vais vous dire un truc, les matchs de Destination, je les
00:18:39regarde tous.
00:18:40Pas spécialement les Français.
00:18:41Nous on ne les regarde pas.
00:18:42Ah non mais l'Italie-Écosse, l'Italie-Écosse, je l'ai vu, l'Écosse-Gale, je l'ai vu.
00:18:47C'est déjà un joli camp de base, mais on peut monter un peu plus en gamme.
00:18:50Oui, si vous voyez les matchs, c'est bien.
00:18:52Le match qu'ils font contre les Galois ressemblait un peu au nôtre.
00:18:55C'est-à-dire qu'ils ont une faculté à mettre du rythme, ils ont une faculté à
00:18:59trouver des courses.
00:19:00C'est une équipe qui peut brouiller les cartes, c'est une équipe où il y a vraiment de la
00:19:06vitesse.
00:19:07On est quand même bien capable de répondre à tout ça.
00:19:09On est capable, mais je ne peux pas le garantir quand même.
00:19:13J'entends bien, mais je pense qu'en plus, je pense que Galtier, même s'il fait un rappel
00:19:18à l'ordre, il se sert des matchs pour faire progresser ses joueurs, c'est une évidence.
00:19:23On peut s'imaginer quand même que l'Angleterre, c'était l'accroc qu'il ne fallait pas faire.
00:19:29Mais en tout cas, on peut s'imaginer que demain, et surtout que les Français auront
00:19:33l'avantage de connaître quand même les résultats des autres, puisque c'est le dernier match.
00:19:36Donc, ça peut être aussi une forme de motivation supplémentaire.
00:19:39Et tu es quand même à un moment donné où tu dois réussir quelque chose de fort, que
00:19:43l'on attend, nous, Français, quand même depuis pas mal de temps.
00:19:45Et eux aussi, j'imagine.
00:19:47Bien sûr qu'eux aussi, puisqu'il y a quand même l'élimination pendant la récente
00:19:51Coupe du Monde.
00:19:52L'année dernière, ça n'a pas été jusqu'au bout, jusqu'à ce qu'on voulait.
00:19:56Est-ce que là, cette année, tu as vraiment quelque chose à offrir à tout le monde ?
00:19:58Donc, je pense sérieusement que le petit rappel à l'ordre de Galtier est intéressant.
00:20:03Mais moi, je pense que les Français sont aussi plus matures.
00:20:06On tourne autour d'un truc, Olivier Magne, sous l'ère Galtier, les matchs contre l'Écosse,
00:20:12en général, ce n'est pas des parties de plaisir.
00:20:14Pour un résumé, c'est trois défaites en huit matchs.
00:20:17Olivier, qu'y a-t-il dans ce jeu écossais qui nous enquiquine un peu ?
00:20:22Des courses, en fait, ils trouvent des courses.
00:20:26Ce qui nous enquiquine, c'est qu'ils nous ressemblent.
00:20:29C'est une équipe écossaise qui est capable de prendre énormément d'initiatives, de
00:20:33lancer le jeu de très loin, d'avoir des contre-attaques assez fulgurantes.
00:20:37Et dans le tournoi, finalement, quand on est dans une forme de continuité avec les équipes
00:20:41anglo-saxonnes qui jouent en rugby, des fois un petit peu minimalistes, qui ne prennent
00:20:46pas trop d'initiatives de loin, c'est une équipe écossaise.
00:20:50Quand on joue contre elle, elle nous surprend un petit peu.
00:20:52Pour autant, je crois qu'elle n'a pas nécessairement tous les arguments de main pour nous faire
00:20:58douter.
00:20:59Je crois que l'équipe de France est suffisamment armée, suffisamment prévenue aussi pour faire
00:21:06un grand match de main et nous offrir un titre.
00:21:10Olivier, ce soir, vous avez commenté France-Écosse, le score effleuve avec des essais à la pelle
00:21:1445 à 40.
00:21:15Est-ce qu'on va dire un peu un raccourci, une bande-annonce de ce qu'on pourrait voir
00:21:18ce soir, demain, en termes de rugby ou alors pas du tout ? On fait un pas de côté, on
00:21:24suit le signon tracé par les U20 ou pas ?
00:21:26Oui, ce sera une copie pas identique mais qui se rapprochera fortement de ce qu'on
00:21:36a vu ce soir pour la simple et bonne raison que les projets sont transversaux et partent
00:21:42des jeunes et vont jusqu'à la grande équipe.
00:21:44L'équipe de France joue ce rugby d'initiative avec un peu plus de précision et moins de
00:21:48déchets qu'ils ne le font avec les moins de 20.
00:21:52L'équipe d'Écosse, c'est exactement pareil, il y a une formation qui part de la base pour
00:21:56permettre à la grande équipe d'Écosse de retrouver les mêmes principes de jeu et ces
00:22:00principes de jeu sont évidemment sur le jeu de mouvement, l'initiative et ça risque
00:22:03demain de nous donner un spectacle de grande qualité qui sera du même acabit que ce qu'on
00:22:08a vu ce soir.
00:22:09La dernière victoire de la France sur l'Écosse avec le bonus offensif.
00:22:13C'était quand Grégory Schneider ? Au tableau.
00:22:15La dernière victoire avec le bonus offensif.
00:22:17Contre l'Écosse, contre l'Écosse.
00:22:19Non, faut remonter à 4 matchs, vous êtes nuls.
00:22:21Nous sommes le 26 février 2023.
00:22:2332 à 21.
00:22:254 essais marqués, donc synonyme de points de bonus offensif pour le bleu.
00:22:29On est en 2023, le quatrième et dernier essai a été inscrit par Gael Ficou à la 80e minute.
00:22:37Donc on pourrait éventuellement en trembler mais Olivier vous avez raison de le préciser
00:22:41puisque l'Irlande joue avant, l'Angleterre joue avant et on saura quel type de match
00:22:47et quel type de score, si on doit avoir le bonus ou pas pour y accéder.
00:22:51Le mot presque fin ou la transition, on va donner la parole à Finn Russel, francophone,
00:22:57francophile qui a joué au Racing pendant très longtemps.
00:22:59Lui, il n'aimerait pas que l'Angleterre s'impose.
00:23:02Regardez le malicieux Finn Russel.
00:23:04Pour moi, la France, mais je ne veux pas dire ça pour l'hommage de même, tu sais, mais
00:23:10nous, on est ici pour le boulot, pour gagner ce match demain, mais après, on ne sait pas
00:23:16qui va gagner, mais oui, moi, j'espère que c'est l'Angleterre, mais je préfère si c'est la France.
00:23:22Si c'est un neutral, je préfère si c'est la France.
00:23:25On passe au Factor X, toujours en se projetant sur le match de demain, donc entre la France et l'Écosse.
00:23:30Quel bleu attendez-vous le plus ?
00:23:31Habillage à la française, mes amis en régie et je vais passer, on va dire, ramasser les copies.
00:23:36On y va.
00:23:38Fred Vernier, si vous me dites un joueur comme ça, vous attendez un petit truc en plus, un petit truc.
00:23:43C'est quel joueur ?
00:23:44Le cul à fond, le cul.
00:23:45Ok, Greg Schneider.
00:23:47Croce, le troisième ligne.
00:23:48François Croce.
00:23:50Ok, Olivier Rouillet.
00:23:51Le cul aussi.
00:23:53Le cul, deux voix.
00:23:55Hervé Penaud.
00:23:55Ramos.
00:23:56Ramos ?
00:23:57Ramos.
00:23:57Oui, Ramos.
00:23:59Président ?
00:24:00Ntamak.
00:24:01Ntamak ?
00:24:01Absolument.
00:24:02On fait la synthèse.
00:24:04Olivier, est-ce que vous voyez un joueur comme ça, qui a été nommé par les chroniqueurs,
00:24:08un joueur que vous allez suivre attentivement et pourquoi ?
00:24:13Oui, je vais en suivre un particulièrement, c'est Romain Ntamak,
00:24:18qui revient véritablement dans cette équipe de France,
00:24:21qui a fait un début de tournoi avec, évidemment, ce carton, cette exclusion contre le Pays de Galles.
00:24:28Derrière, contre l'Irlande, on ne l'a pas vu de manière, je dirais, excessive dans le jeu,
00:24:34même s'il a parfaitement géré toutes les situations qui lui étaient proposées.
00:24:38Mais voilà, demain, j'attends vraiment du grand Romain Ntamak.
00:24:41Et je pense que c'est un match pour lui, pour vraiment le retrouver en bleu.
00:24:44Et voilà, j'aurai un œil attentif à sa performance.
00:24:48J'ai l'impression que vous l'attendez un peu au tournoi, notre Romain.
00:24:50Un grand match de Romain Ntamak en équipe de France.
00:24:53Il y en a eu des tonnes, il y en a eu la pelle ou peut-être qu'on l'attend encore, Olivier ?
00:24:59Il a été blessé, Romain.
00:25:04Ça fait maintenant plusieurs mois qu'il n'a pas joué en équipe de France.
00:25:09Il y a eu cette exclusion, pas définitive, sur l'ensemble du tournoi.
00:25:15Mais il a repris contre l'Irlande.
00:25:18Je pense qu'il est un petit peu aussi à courte compétition sur le haut niveau.
00:25:21Et donc, moi, j'attends véritablement demain pour voir le grand Romain Ntamak.
00:25:25Et puis derrière, j'imagine qu'il fera briller ses partenaires et que lui brillera aussi.
00:25:30On garde un œil sur le plateau, Olivier, puisque je vais évidemment faire briller nos chroniqueurs.
00:25:35Si vous n'êtes pas d'accord ou en contre, le doigt levé, on viendra du côté de Jean Moin.
00:25:38Romain Ntamak parle le président, c'est pour ça qu'il est président.
00:25:42Romain Ntamak, c'est on va dire un peu mécanique.
00:25:44Dupont n'est pas là.
00:25:45Donc la responsabilité du jeu, c'est sur Tamak ?
00:25:48Oui, c'est pour ça aussi.
00:25:49C'est un des aspects.
00:25:50C'est-à-dire qu'effectivement, avec Dupont, ils avaient un langage commun
00:25:55qu'ils avaient vraiment perfectionné pendant toutes ces années de Toulousaine et aussi en bleu.
00:26:00Et là, effectivement, il va falloir qu'il fasse autre chose.
00:26:02Moi, ce que j'aime chez lui, c'est déjà, je trouve qu'il défend mieux que Zalibert.
00:26:06Et ça compte, malgré tout.
00:26:09Mais oui, dans un match comme ça, il doit être le patron.
00:26:12Dupont n'est pas là.
00:26:13Il faut que l'Ouvert soit le patron.
00:26:14Même si l'UQ est plus qu'une doublure.
00:26:16Passe décisive pour la doublette de notre charnière.
00:26:19Olivier Rouillet, Frédéric Verdier.
00:26:21Fredo, l'UQ qui remplace Dupont.
00:26:25Il l'a remplacé d'ailleurs de manière extrêmement cohérente et classique samedi dernier à Dublin.
00:26:29Vous en pensez quoi du match de l'UQ ?
00:26:31J'attends qu'il s'exprime derrière des avants qui vont être dominateurs.
00:26:36C'est un truc qu'il sait très bien faire.
00:26:37Il a le regard, comme il le fait à l'UB depuis des années, le regard loin devant, périphérique.
00:26:43Il est intelligent.
00:26:44C'est un leader aussi.
00:26:46Ce n'est pas le plus rapide.
00:26:47Ce n'est pas le plus technique.
00:26:48Mais je trouve qu'il est vraiment capable, dans un match comme ça, où des avants vont
00:26:51être changés après 50 minutes, il va avoir des dragsters comme ça.
00:26:56Je trouve que c'est vraiment un match pour lui.
00:26:58Il faut qu'il s'impose parce qu'il a toutes les clés pour ça.
00:27:01Il y a un plus créatif, qui est plus dynamiteur, qui peut entrer peut-être à la fin si ça
00:27:06se passe moins bien, si on a besoin de points, c'est le Garrec.
00:27:08Mais en attendant, quand on sait qu'Antoine Dupont va être absent jusqu'en novembre prochain,
00:27:13il a vraiment une grosse carte à jouer.
00:27:15Il faut qu'il montre, sur un match entier, à quel point il est bon dans ce type de situation.
00:27:19Deuxième voie pour le Bordelais avec Olivier Rouillet.
00:27:22C'est plutôt un gestionnaire de jeu, notre Maxime Lucu.
00:27:26Il le fait à la perfection.
00:27:27Mais je ne le vois pas briller individuellement.
00:27:32Je le vois faire jouer magnifiquement, mais je ne le vois pas…
00:27:34Mais ce n'est pas grave.
00:27:35Il n'y a rien de grave.
00:27:36Mais vous l'attendez quoi de Lucu ?
00:27:37Ça, c'est justement la gestion du match.
00:27:40Parce que, comment dire, le président nous parlait d'Eintamach.
00:27:43C'est vrai que c'est peut-être lui qui va prendre le jeu à son compte.
00:27:45Mais j'attends que moi, Lucu, il prenne des décisions, qu'il oriente le jeu.
00:27:49Et c'est ça qui est important.
00:27:51C'est le rôle du 10 en général.
00:27:53C'est le moment d'accélération.
00:27:54Oui, mais moi, j'aime bien.
00:27:55Parce que, moi, quand je regarde Dupont mettre en route le jeu,
00:27:58c'est quand même des moments extraordinaires.
00:28:00Donc, j'attends…
00:28:01Je ne dis pas qu'il soit au même niveau, parce que ce n'est certainement pas possible pour lui.
00:28:04Mais en tout cas, que sa main mise sur le jeu, on la voit vraiment d'une manière très forte.
00:28:09C'est drôle, c'est très franco-français.
00:28:10Parce que les Anglais, vraiment, le maître à jouer, c'est le numéro 10.
00:28:13C'est le 2000 ouverture.
00:28:14En France, il y a eu les très, très grands numéro 9.
00:28:17C'est eux qui créent, on va dire, un peu l'impulsion.
00:28:21Les Fouraux, les Berbisiers, et j'en passe, c'est les meilleurs.
00:28:23Mais les Galions…
00:28:24Mais parfois, ils étaient plus connectés aux avants qu'aux Jeux globales.
00:28:28Le premier Fouroux, dans la granchette de 1977, il était vraiment très connecté au gros devant.
00:28:33Oui, c'était…
00:28:34Les Galions, c'était un peu plus derrière.
00:28:37Mais c'est pour ça qu'ils ne jouaient pas d'ailleurs en équipe de France qu'en Fouraux.
00:28:39C'était sélectionneur.
00:28:40Hervé, vous, Thomas Ramos, c'est quoi ?
00:28:43C'est des records qui vous intéressent ?
00:28:44Oui, non, parce que c'est bien gentil leur truc.
00:28:46Mais c'est terre-à-terre.
00:28:47Moi, je veux dire, le jour où…
00:28:48Vous, vous nous faites le statisticien de service, en fait.
00:28:51Oui, mais non, mais à un moment, il faut savoir que les statistiques sont importantes.
00:28:54C'est-à-dire que ce demain, vous pouvez avoir un moment d'histoire pour le rugby français.
00:28:57La victoire, c'est quasiment acquis.
00:28:59Bon, on a discuté, le président était d'accord.
00:29:01Il n'y a aucun doute.
00:29:02Donc, la victoire, c'est…
00:29:03Vous avez une chemise d'artiste et vous pensez comme un comptable.
00:29:06Pas comme un comptable, mais allez-y.
00:29:08Comme quelqu'un qui veut voir du spectacle.
00:29:10C'est-à-dire que demain, s'il y a six points de marqués, donc sept points,
00:29:13vous avez Ramos qui va dépasser Michalak.
00:29:15Mais c'est un moment d'histoire pour le rugby français.
00:29:17Attendez, c'est important, ce n'est pas rien.
00:29:19On s'en fout.
00:29:20Attendez, on s'en fout.
00:29:21On est dans le mystère des huit-vingts, là, qui viennent de gagner le tournoi des huit-vingts.
00:29:23On y va.
00:29:24Petite chanson, les amis.
00:29:25C'est la fête.
00:29:26C'est la fiesta, comme dirait.
00:29:37C'est le rugby.
00:29:55Viens !
00:29:56Viens !
00:30:01Viens, toi !
00:30:06Ah, pardon, pardon !
00:30:14Jean !
00:30:16Jean !
00:30:18Vas-y, vas-y !
00:30:24Vas-y !
00:30:36Attention !
00:30:39Merci.
00:30:47Allez, on va faire une photo, Jean !
00:30:53Qu'est-ce que tu veux ?
00:30:54Tu vas chier, là.
00:30:56Pas là, les amis.
00:31:00Ramos !
00:31:03Allez, les gars, c'est comme.
00:31:05Viens, le finale !
00:31:09Oh, le gagné !
00:31:14Viens, on fait une photo.
00:31:16Non, non, non !
00:31:19Elle est où, la foule ?
00:31:22Viens, on filme.
00:31:23Elle est où, la foule ?
00:31:24Elle est là.
00:31:25Ferme-le, ferme-le !
00:31:28La foule dans la piscine !
00:31:34La foule ballonne !
00:31:36Allons, allons, allons !
00:31:40Allez, c'est bon, c'est bon, c'est bon.
00:31:41Allez, c'est bon.
00:31:42Allez, c'est bon, c'est bon.
00:31:43Allez, c'est bon, c'est bon.
00:31:45Allez, c'est bon, c'est bon.
00:31:46Allez, c'est bon, c'est bon.
00:31:48Les bras tournent loin, mais quand tu le lèves.
00:31:52Marion !
00:31:53Marion, ils tournent trop loin, mais quand tu le lèves.
00:31:55Allez, viens.
00:32:00Alors, on quitte le vestiaire des Bleus.
00:32:03On reviendra, lorsqu'il y aura peut-être une chansonnette,
00:32:06un petit truc comme ça.
00:32:08On était sur le match France-Écosse de demain.
00:32:10Quel Bleu attendez-vous le plus ?
00:32:12Nous étions avec le comptable, la suisse d'artiste Hervé Penaud.
00:32:15Ce match, c'est l'occasion d'établir un nouveau record
00:32:17que Thomas Ramos dépasse Michalak.
00:32:21J'aurais pu avoir Blanco-Penaud, non ?
00:32:23Vous auriez pu me faire le coup aussi.
00:32:25Mais j'avais dit exactement la même chose l'après-midi.
00:32:2738 essais, c'est pas la même.
00:32:29J'ai hésité entre Penaud et Ramos,
00:32:31mais je trouve que Ramos, il a le côté un peu historique.
00:32:33Parce que lui, il a déjà égalé Blanco.
00:32:35Donc, ils sont déjà au même niveau.
00:32:37Alors après, effectivement, il peut dépasser.
00:32:38Le même niveau, reformule.
00:32:40Ils sont pas au même niveau.
00:32:42Nombre d'essais.
00:32:44Effectivement, pas du tout au même niveau.
00:32:46Mais il n'empêche que pour Ramos,
00:32:48c'est quand même un mot historique.
00:32:50On ne se rend pas compte.
00:32:51Mais ça marque aussi l'histoire du rugby français.
00:32:53En football, on sait que...
00:32:54C'est pas parce qu'il lui manque deux points, quand même.
00:32:56Ah, regardez, Olivier !
00:32:58Ah, regardez, Hervé vous parlez.
00:32:59Olivier, hop, le petit doigt.
00:33:01Qu'est-ce qu'il y a, mon Olivier ?
00:33:03C'était pour le faire réagir.
00:33:05C'est vrai que c'est un record.
00:33:07Moi, c'est vrai que le record de points
00:33:09pour l'équipe de France,
00:33:11je ne sais pas trop si ça a de l'intérêt.
00:33:13Par contre, il y en a un qui est intéressant.
00:33:15C'est celui que peut battre Bielbarré.
00:33:17Le nombre d'essais marqués dans un tournoi
00:33:19par un joueur.
00:33:21Et c'est vrai que c'est un record qui date de plus d'un siècle.
00:33:23Donc ça, c'est quand même intéressant
00:33:25de voir si Bielbarré,
00:33:27avec la performance collective,
00:33:29pourra aller chercher ce record.
00:33:31Après, le nombre de points en équipe de France,
00:33:33je le trouve moyennement intéressant, on va dire.
00:33:35Olivier, quand vous parlez de stats comme ça,
00:33:37c'est toujours plus intéressant
00:33:39que quand Hervé parle de stats.
00:33:41C'est fou, on n'ose même pas vous contredire.
00:33:43Olivier, vous avez formulé une question
00:33:45au début de la question.
00:33:47Je ne sais pas, Olivier Magne, c'est quoi ?
00:33:49Combien il doit marquer d'essais ?
00:33:51Parce que c'est intéressant quand même.
00:33:53Il a marqué sept essais
00:33:55et il doit en marquer neuf
00:33:57ou dix.
00:33:59Il est étonnant.
00:34:01Pour quelqu'un qui ne s'intéresse pas aux stats,
00:34:03c'est bien.
00:34:05On va aller faire un tour, Olivier,
00:34:07chez les gros, grâce à Grégoire Schneider.
00:34:09Puisque vous, vous nous avez donné
00:34:11François Croce.
00:34:13Vous auriez pu donner Langevin également,
00:34:15Paul Boudet.
00:34:17C'est-à-dire que si on les prend devant,
00:34:19ça va être très compliqué pour eux.
00:34:21C'est un peu leur point faible par ailleurs.
00:34:23Et ce que font Croce et Boudéan
00:34:25au niveau du jeu d'avant depuis un mois
00:34:27dans le tournoi, c'est lunaire.
00:34:29Ils sont ultra dominants,
00:34:31ils font mal, ils dégringolent les mecs,
00:34:33ils ne mettent jamais un plaquage.
00:34:35Et surtout, quand ça se tend,
00:34:37tu les vois grandir un peu
00:34:39et contrarier l'adversaire.
00:34:41Je pense que s'ils font les sécateurs
00:34:43comme ils ont fait en Irlande ou à Dublin
00:34:45où il n'y aura pas trop de soucis pour les bleus,
00:34:47la clé du match, pour moi, elle est là.
00:34:49Tu ne gagnes pas le match de rugby
00:34:51si tu es battu devant.
00:34:53Moi, j'entends que Greg Schneider a dit
00:34:55qu'il n'y aurait pas de soucis pour les bleus.
00:34:57Si ils les prennent devant,
00:34:59encore faut-il les prendre devant.
00:35:01Je ne comprends pas.
00:35:03Vous savez que devant les écossais,
00:35:05on va dire historiquement,
00:35:07ils peuvent faire des choses
00:35:09pour brouiller les cartes.
00:35:11Regardez, Greg, vous étiez en minorité
00:35:13mais c'est là où vous êtes le meilleur.
00:35:15Quand vous ne connaissez pas ce sport,
00:35:17vous êtes le plus convaincant.
00:35:19Il ne faut pas dire ça.
00:35:21Qui a regardé Côte d'Italie ?
00:35:23C'est Hervé.
00:35:25Regarder n'est pas comprendre.
00:35:27Olivier Magne, bonsoir à vous.
00:35:29A chaque fois qu'on parle de rugby,
00:35:31on aime s'embrouiller
00:35:33mais ça ne monte jamais dans les tours.
00:35:35Il est charmant votre sport.
00:35:37On vous embrasse, mon cher Olivier.
00:35:39Vive Zambouze !
00:35:41J'ai passé une très bonne soirée.
00:35:43On a passé une très bonne soirée
00:35:45toujours avec vous, mon cher Olivier.
00:35:47Gros bisous. Dans quelques minutes,
00:35:49on passe au football
00:35:51avec le championnat des occasions manquées.
00:35:53Cénis qui menait 1-0 contre Auxerre.
00:35:55Le temps additionnel a fait qu'Auxerre a égalisé.
00:35:57Je n'ai pas salué ce soir.
00:35:59Je suis un petit sagouin.
00:36:01A tout de suite.
00:36:13Retour sur le plateau de l'équipe du soir.
00:36:15C'est fou comme la poésie s'invite
00:36:17quand on parle de rugby.
00:36:19Claire Bréconne, je vous ai oublié.
00:36:21J'ai oublié de vous saluer.
00:36:23Bonsoir, ma chère Claire.
00:36:25C'est le journal des bonnes nouvelles.
00:36:27La France a gagné le tournoi des U20.
00:36:2945 à 40 face aux Écossais.
00:36:31Au même moment,
00:36:33les Anglais ont perdu contre le Pays de Galles.
00:36:35Racontez-nous cette soirée magnifique.
00:36:37On va commencer par voir ce trophée
00:36:39soulevé par les Bleuets.
00:36:41Ce n'était plus arrivé depuis 2018
00:36:43pour ce tournoi des destinations.
00:36:45Beaucoup de joie évidemment.
00:36:47C'est le chrono qui compte regarder.
00:36:49On est à 38 secondes de jeu.
00:36:5145 jusqu'au bout.
00:36:53C'est l'honneur de la France.
00:36:55Il se passe quelque chose d'énorme.
00:36:57Je me suis trompée d'une seconde.
00:36:59Là, on est à 19,10.
00:37:01Avec ce magnifique essai.
00:37:03On est plutôt sur
00:37:05Baptiste Thillolès.
00:37:07Le demi de mêlée qui va le marquer.
00:37:09On va continuer comme ça
00:37:11jusqu'à notamment
00:37:1333,15 derrière.
00:37:15Qui va pouvoir permettre
00:37:17cet essai transformé.
00:37:19On est à 26,15.
00:37:21Qui va permettre de donner le point
00:37:23du bonus offensif.
00:37:25C'est Chegaray.
00:37:27Il va en solitaire.
00:37:29On se retrouve en fin de match
00:37:31à 38,30.
00:37:33Encore un essai pour la France.
00:37:35Ce sera le 7e et le dernier.
00:37:37C'est déjà énorme.
00:37:39L'Ecosse était en train de revenir
00:37:41à 8 points.
00:37:43C'est un drop du côté de l'Ecosse.
00:37:45On approche de la 80e.
00:37:47Ça donne l'avantage à l'Ecosse.
00:37:49Les Bleus ont bien résisté.
00:37:51C'est ce qui donne la victoire
00:37:53à l'équipe de France.
00:37:55On a eu chaud sur ce plateau.
00:37:57L'autre côté,
00:37:59si l'exploit était rendu possible,
00:38:01c'est que l'Angleterre s'est pris les pieds dans le tapis
00:38:03face au Pédiale.
00:38:05C'est grâce au faux pas de l'Angleterre
00:38:07que les Bleus remportent le tournoi.
00:38:09En plus de la magnifique performance
00:38:11face à l'Ecosse.
00:38:13Ils n'avaient qu'à gagner les Anglais
00:38:15pour pouvoir remporter ce tournoi.
00:38:17L'Angleterre avait incliné 23 à 13
00:38:19face au Pays de Galles.
00:38:21L'Angleterre avait marqué un essai
00:38:23dès la deuxième minute.
00:38:25Ouverture de la 26e journée de Ligue 1.
00:38:27Nice menait 1-0 face à Auxerre.
00:38:29Le temps additionnel est passé par là.
00:38:31Score final un partout.
00:38:33Premier but à la 38e pour Nice.
00:38:35Un corner prolongé par Laborde.
00:38:37Guessant reprend de la tête.
00:38:39Danois le dévie.
00:38:41Ça fait 1-0 pour Nice.
00:38:43Nice aurait pu aggraver le score.
00:38:45Le ballon frôle le poteau derrière.
00:38:47C'est un carton rouge pour Barre.
00:38:49Encore Melvin Barre.
00:38:51Pied gauche contre le mollet de Danois.
00:38:53Nice est donc à 10.
00:38:55On approche du temps additionnel.
00:38:57Auxerre finit par égaliser.
00:38:59Un partout.
00:39:01Premier but en Ligue 1 cette saison
00:39:03de Florent Ayé dans le temps additionnel.
00:39:0590 plus 4.
00:39:07Ce Nice, c'est un peu l'image de notre Ligue 1.
00:39:09Une série de rendez-vous manqués.
00:39:11On fait les comptes avant les journées.
00:39:13On se prête les pieds dans le tapis.
00:39:15Aujourd'hui, ce n'est pas mérité.
00:39:17Ce qui est mérité, c'est d'être puni
00:39:19quand on rate autant d'occasions
00:39:21selon la règle éternelle du foot.
00:39:23En dehors de ça, ils auraient dû
00:39:25m'émener 3-0 et on n'en parlait plus.
00:39:27C'est bien fait pour eux.
00:39:29Qu'est-ce que c'est que le rouge de Melvin Barre ?
00:39:31C'est invraisemblable de faire une faute pareille
00:39:33à 60 mètres de son but.
00:39:35C'est dingue.
00:39:37La fébrilité est folle.
00:39:39Auxerre, zéro occasion.
00:39:41J'en ai compté quelques-unes.
00:39:43Moins que Nice.
00:39:45Bien moins que Nice.
00:39:47On a tous suivi ça.
00:39:49Moi, je les ai toujours sentis
00:39:51qu'ils pouvaient faire un coup comme ça.
00:39:53C'est une équipe qui l'a un peu fait à Lyon,
00:39:55qui s'est accrochée contre le PSG.
00:39:57C'est le grand match de gardien.
00:39:59C'est une équipe qui est toujours au contact.
00:40:01C'est sérieux.
00:40:03C'est très sérieux.
00:40:05T'as l'impression qu'à un moment donné,
00:40:07il ne se passe pas grand-chose
00:40:09parce qu'ils n'ont pas
00:40:11la qualité technique.
00:40:13Mais c'est sérieux, ça reste appliqué.
00:40:15Je trouve qu'ils ont un excellent gardien
00:40:17qui est très attentif,
00:40:19qui fait des parades réflexes,
00:40:21qui est vraiment bien dans ses chaussures.
00:40:23Après, il y a quand même ce coup
00:40:25parce que le but qu'ils marquent,
00:40:27même s'ils sont en supériorité numérique,
00:40:29c'est un but parfait
00:40:31au niveau de l'animation du jeu.
00:40:33Et l'attaquant,
00:40:35la prise de risque au premier poteau,
00:40:37je noterais simplement encore une fois
00:40:39que je trouve que le gardien niçois
00:40:41est un petit peu trop vite au sol.
00:40:43À mon avis, j'ai envie qu'il reste debout.
00:40:45Il fait 1m96 en plus.
00:40:47Il fait 1m96.
00:40:49Mais la frappe, elle est magnifique.
00:40:51Comme le gardien s'affaisse un peu,
00:40:53ça passe.
00:40:55Mais c'est sérieux.
00:40:57Il reste toujours à une portée de tir.
00:40:59Et là, on peut mettre quand même en évidence
00:41:01quelqu'un d'important,
00:41:03c'est l'entraîneur d'Ausserre.
00:41:05Personnellement, je trouve qu'il fait un superbe boulot.
00:41:07Et il bosse bien.
00:41:09Et son équipe, qui à un moment donné
00:41:11était peut-être partie un peu,
00:41:13qui plongeait un peu,
00:41:15il a su la redresser et ils sont cohérents.
00:41:17– Il s'appelle Christophe Pellissier.
00:41:19– Merci.
00:41:21– Je sais que vous avez parfois un problème
00:41:23avec les noms de famille.
00:41:25Est-ce qu'il faut regarder Nice pour Evan Guessant ?
00:41:27Il est deuxième au note de l'équipe.
00:41:29Il a 23 ans.
00:41:31Il a une nouvelle fois planté ce soir.
00:41:33C'est ce qui vous donne envie de regarder Nice ?
00:41:35Je trouve que Nice manque…
00:41:37Comment ?
00:41:39– On est un peu au-delà quand même.
00:41:41C'est une équipe qui joue très bien.
00:41:43C'est une équipe qui joue très bien.
00:41:45C'est une équipe à fréquence.
00:41:47– J'ai trouvé ça chiant.
00:41:49– C'est plus la force collective.
00:41:51– Je trouve que collectivement ça joue.
00:41:53Le lance d'aise me passionnait.
00:41:55Le Nice d'aise me laisse…
00:41:57– Si Donovan Léon ne fait pas Jésus aujourd'hui,
00:41:59ils en mettent trop quatre quand même.
00:42:01– C'est une équipe qui fait des choses.
00:42:03C'est une équipe qui déclenche des choses.
00:42:05– C'est une équipe très forte à la récup.
00:42:07– Par exemple, un gars comme Laborde
00:42:09crée beaucoup de brèches, y compris par ses appels.
00:42:11– Ça fait dommage qu'il est à la rue.
00:42:13Il ne les aide pas beaucoup.
00:42:15– Il y a une passe dès aujourd'hui.
00:42:17– Dans le jeu, ce n'est pas…
00:42:19– Les gars, quand vous voyez jouer Nice,
00:42:21vous vous dites « Ah, chouette, il y a Nice.
00:42:23On va se régaler. »
00:42:25– Non, non.
00:42:27– Il faut se faire le vide la saison dernière.
00:42:29– Là, oui, mais là, il n'y avait rien.
00:42:31– Il y a une équipe qui joue aussi, c'est le stade.
00:42:33C'est-à-dire que là, ce soir, il joue quand même
00:42:35pour la deuxième, tout seul deuxième du championnat.
00:42:37Il y a une moitié de stade.
00:42:39Parce qu'il n'est pas accessible, il est mal foutu.
00:42:41Ces sièges tout blancs, il faut les mettre en noir et blanc.
00:42:43– Non, mais on les a taillés.
00:42:45– C'est quand même dramatique.
00:42:47– Il n'y a pas d'ambiance.
00:42:49– Qu'est-ce que tu en penses sur Nice ?
00:42:51– On les a taillés parce qu'en Ligue Europa,
00:42:53ils ont une catastrophe cataclysmique de France.
00:42:55– On est bien d'accord.
00:42:57– C'est une N2. Ils n'ont pas perdu au tir au but.
00:42:59Ils ont été battus.
00:43:01– Oui, c'est une N2.
00:43:03– Tu n'as pas le droit d'être battu.
00:43:05Donc, on attendait plus de Nice.
00:43:07Mais depuis quelques semaines,
00:43:09le début de saison, ils avaient 12, 13, 14 blessés.
00:43:11Ça a été un enfer pour eux.
00:43:13Ils ont été catastrophiques dans les coupes.
00:43:15En revanche, je trouve que depuis quelques semaines,
00:43:17ils se dégageaient à quelque chose.
00:43:19Même collectivement, même offensivement.
00:43:21J'ai vu des matchs beaucoup plus intéressants,
00:43:23beaucoup plus aboutis du côté de Nice.
00:43:25– Plus aboutis, oui.
00:43:27– Ils se sont ratés complètement.
00:43:29La rendez-vous de Lyon était dramatique.
00:43:31Ils peuvent venir 3-0 à la mi-temps.
00:43:33– J'ai presque envie de te dire que c'est facile de le dire.
00:43:35Il faut bien admettre quand même
00:43:37qu'à aucun moment de la saison,
00:43:39Nice nous a fait rêver.
00:43:41Il faut être sérieux.
00:43:43Effectivement, tu as raison.
00:43:45Les matchs sont plus aboutis, c'est clair.
00:43:47Mais quand même, ils partent de très loin.
00:43:49– Depuis quelques semaines, ça se regarde Nice.
00:43:51Mais pas ce soir.
00:43:53– Ce soir, il est nul.
00:43:55C'est le plan du jeu.
00:43:57– Ils ont tiré 20 fois au but cet après-midi.
00:43:59– Ils ont cherché à jouer.
00:44:01– Il y a quelque chose que je n'arrive pas à m'expliquer.
00:44:03Il y a quelque chose que je n'arrive pas à comprendre.
00:44:05– Je pense que c'est l'une des rares équipes.
00:44:07– Strasbourg, ça me plaît de les voir jouer.
00:44:09Il y a des équipes qui sont moins bien classées.
00:44:11– Il y a des choses qui se passent,
00:44:13déjà ce qu'il a dit par rapport au stade.
00:44:15Ce n'est pas rien quand même.
00:44:17C'est-à-dire que tu as quand même un rendez-vous sur deux
00:44:19où tu les sens un petit peu comme ça.
00:44:21– Ce soir, il y a eu beaucoup de blessés.
00:44:23Samson, Mofi, Boga.
00:44:25Ils ont quand même payé un lourd tribut.
00:44:27Il ne faut pas l'oublier.
00:44:29– Tout le monde le fait.
00:44:31Il y a des blessés partout dans les clubs.
00:44:33– Au PSG, il n'y a pas de blessés par exemple.
00:44:35À Marseille, il n'y en a pas beaucoup.
00:44:37Et je trouve qu'il y a peut-être quelque chose d'ambigu
00:44:39autour du projet INEOS qui, quelque part,
00:44:41casse un peu cet été.
00:44:43– On en reparlera dans les coulisses,
00:44:45dans les trucs et tout ça.
00:44:47Merci les copains.
00:44:49– Alors, Caen à Amiens.
00:44:51– Caen qui était à Amiens en effet.
00:44:53Caen dernier du classement de Ligue 2.
00:44:55On va regarder ses deux buts.
00:44:57Le premier d'Antoine Léauté à la 58e.
00:44:59Il n'y en a pas eu en première période.
00:45:01Pour Amiens, bien sûr, ouverture du score d'Amiens.
00:45:03Et le deuxième de Nordin Kandil à la 73e.
00:45:05Toujours pour Amiens.
00:45:07Ça fait 2-0 à ce moment-là.
00:45:09Il y aura quand même un but de Caen.
00:45:11Réduction du score dans le temps additionnel.
00:45:1390-2 par Khalifa Koulibé.
00:45:15– Kylian Mbappé.
00:45:17Il va falloir qu'il se concentre sur la voile.
00:45:19Ça commence à faire mal.
00:45:21– Autre match de mal classé,
00:45:23c'est Martic qui fait match final contre Pau.
00:45:25De partout.
00:45:27– Martic, autre relégable, bien sûr.
00:45:29Donc oui, de partout.
00:45:31En effet, on va regarder les deux buts de Karim Thili.
00:45:33Parce qu'ils sont vraiment beaux.
00:45:35Un premier retourné.
00:45:37C'est lui qui ouvre le score à la 8e.
00:45:39Et puis le deuxième but.
00:45:41– Il va bien.
00:45:43– La bicyclette, elle est parfaite.
00:45:45Bon, le gardien, un petit peu peut-être endormi.
00:45:47– Allez, deuxième but en même temps.
00:45:49Désolé, après vous continuez.
00:45:51Koufran qui permet l'égalisation à la 85e.
00:45:53Donc voilà, ça donne le but du 2 par 3.
00:45:55– Un missile énorme !
00:45:57– J'ai une question au passage.
00:45:59Vous savez qui est la meilleure attaque de Ligue 2 ?
00:46:01– Non. – Allez, il va le dire.
00:46:03– Rodez, qui est premier non-relégable.
00:46:05Ils sont loin d'être un fait à une super saison.
00:46:07Ils sont meilleure attaque du championnat.
00:46:09Et en termes de défense, ils sont combien ?
00:46:11– Et c'est Verdier qui a marqué ce soir.
00:46:13– Oh !
00:46:15– Tu l'aimes ta famille.
00:46:17Demain, le choc.
00:46:19Dunkerque 4e contre Metz 3e.
00:46:21Le PFC 2e joue à Laval 6e.
00:46:25Et puis Lorient, le leader, reçoit Bastia 8e.
00:46:27Les 4 premiers se tiennent en 4 points.
00:46:29Il reste 8 journées à disputer
00:46:31dans ce championnat de Ligue 2 au Brésil.
00:46:33Pas de sélection pour Neymar.
00:46:35– Et finalement, alors qu'il avait été appelé
00:46:37pour disputer les éliminatoires
00:46:39de la Coupe du Monde 2026,
00:46:41il n'a pas rejoué en sélection depuis un an et demi.
00:46:43Et finalement, il a été blessé début mars.
00:46:45Et la blessure n'est pas remise.
00:46:47Il n'est pas suffisamment remis
00:46:49pour pouvoir rejouer en sélection
00:46:51touché à la cuisse gauche.
00:46:53– Dès qu'il y a le carnaval,
00:46:55l'anniversaire de sa sœur, c'est compliqué.
00:46:57– Démonstration.
00:46:59Il ne sous-entend rien.
00:47:01Démonstration des Wismalis aujourd'hui.
00:47:03On parle de Paris-Nice.
00:47:05En effet, avec une autre information
00:47:07également qui concerne Eleni Martinez
00:47:09qui s'était imposée hier.
00:47:11Regardez ce qu'a fait cette équipe.
00:47:13Une bordure, ça s'appelle comme ça.
00:47:15Un gros groupe qui s'est détaché devant
00:47:17pour permettre au maillot jaune
00:47:19Mathéo Jørgensen de conserver sa tunique
00:47:21et surtout de faire un écart sur Eleni Martinez
00:47:23notamment qui a perdu plus de 7 minutes
00:47:25aujourd'hui, on va le voir arriver.
00:47:27Là, c'est Mats Pedersen, l'ancien champion du monde
00:47:29qui s'est imposé, qui a été remporté cette étape.
00:47:31Il adore ce temps notamment.
00:47:33Il est allé chercher un super résultat déjà hier.
00:47:35– Une journée sur Paris-Nice
00:47:37marquée par le jet de l'éponge
00:47:39de Jonas Vingegaard, non partant ce matin.
00:47:41Expliquez-nous.
00:47:43– Alors, il est non partant parce qu'il a chuté
00:47:45notamment hier, on s'en souvient.
00:47:47Et surtout, il a une contusion à la main gauche
00:47:49mais ce qui est important, c'est la déclaration
00:47:51de son directeur sportif, Grishan Irman.
00:47:53Il est bien mais pas assez pour prendre le départ.
00:47:55Ça veut dire quoi mémé ? Ça veut dire qu'il va viser
00:47:57ses autres objectifs, notamment le Tour de Catalogne
00:47:59fin mars et puis surtout, il ne veut absolument
00:48:01pas faire de risques avant juillet, j'imagine
00:48:03pour espérer… – Il a une course ?
00:48:05– Aller disputer le Tour de France face à Taddeï Pogacar.
00:48:07Je ne sais pas si ça vous dit quelque chose.
00:48:09– J'ai peur qu'il ait la main cassée quand même
00:48:11à un moment. – Oui, exactement.
00:48:13Badminton en France est en demi-finale
00:48:15du All England, une compétition qui, je pense,
00:48:17se passe en Angleterre.
00:48:19– Pour la deuxième année consécutive, c'était Christophe Hopoff
00:48:21qui avait réussi l'exploit d'aller dans le dernier carré
00:48:23déjà l'année dernière. Il s'appelle Alex Lannier.
00:48:25Il est rentré dans le top 10 mondial
00:48:27en début de semaine. Il est normand, il a 20 ans
00:48:29et il a battu le Taïwanais Tsu Weiyang.
00:48:31La suite, demain,
00:48:33pour cette demi-finale.
00:48:35Si vous pensez d'ailleurs qu'il est capable
00:48:37de lâcher prise, regardez avec quelle abnégation
00:48:39il a réussi à s'imposer le normand.
00:48:41Demain, la suite sur l'équipe live
00:48:43à partir de 14h, en espérant
00:48:45bien sûr qu'il aille le plus loin possible.
00:48:47En tout cas, il en a largement le potentiel. Je rappelle qu'il a 20 ans.
00:48:49– On a les droits. – Badminton,
00:48:51c'est terminé. Tennis de table, c'est Alexis Lebrun
00:48:53qui est éliminé en huitième de finale
00:48:55dans le tournoi WTT
00:48:57à Chongqing, c'est en Chine.
00:48:59– Exactement, on rappelle que son frère Félix,
00:49:01lui, s'était qualifié hier pour les quarts.
00:49:03Eh bien, lui, il a été éliminé,
00:49:05Alexis, éliminé en trois manches.
00:49:0711-8, 13-11 et 11-6
00:49:09par le numéro 2 mondial,
00:49:11le chinois Wang Chuqin.
00:49:13Il s'est battu un peu mieux que le score
00:49:15nous montre, en tout cas, donc en 3-7-7.
00:49:17– 11-8, 13-11, ouais.
00:49:19– Le deuxième set a été tendu.
00:49:21Il y a eu des occasions où il a été tendu.
00:49:23– 13-11. – Si c'est un 7 partout,
00:49:25c'est plus le même.
00:49:27– Il regarde le tournoi, mais tous les matchs.
00:49:29– Ça fait huit jours qu'il n'a pas dormi.
00:49:31– Mais ce n'est pas comme l'autre.
00:49:33– T'es flambant, Greg, t'es magique.
00:49:35– Aujourd'hui, j'étais tranquille.
00:49:37– La Libération, ils attendent son premier papier
00:49:39parce qu'ils ont envie de travailler.
00:49:41– Le ski alpin premier podium féminin français
00:49:43de la saison, tout arrive.
00:49:45– De Romane Miradoli qui a pris la troisième place,
00:49:47en effet, alors ça se passait en Italie
00:49:49à la tuile, une jolie place
00:49:51pour la française et vous l'avez dit,
00:49:53c'est le premier podium féminin de la saison.
00:49:55Elle a 31 ans et elle a réussi ce magnifique exploit,
00:49:57ce magnifique résultat.
00:49:59Évidemment, je vous ai parlé de l'Italie,
00:50:01donc on ne peut pas occulter
00:50:03ce qu'a fait Federica Brignone
00:50:05qui est allée chercher à la fois la victoire
00:50:07sur ce deuxième Super-G,
00:50:09mais aussi le Grand Globe
00:50:11alors qu'elle avait été championne du monde
00:50:13en géant à Salbar, notamment,
00:50:15pour un centième d'avance.
00:50:17Là, sur Sofia Goggia, vous avez aperçu
00:50:19sur le podium avec la française également.
00:50:21On a vu deux victimes d'une grosse chute hier.
00:50:23– Oui, on la regarde à nouveau cette chute,
00:50:25attention, on n'aime pas ça, mais on va revoir ça.
00:50:27– On la montre quand même.
00:50:29– Ça montre qu'on a eu des inquiétudes
00:50:31et surtout qu'on est rassurés, toujours impressionnant
00:50:33les chutes dans cette discipline.
00:50:35Qu'est-ce qu'a fait une grosse chute
00:50:37lors de la coupe du monde de Big Air de Tignes ?
00:50:39On a eu peur, elle a été évacuée sur Sivière,
00:50:41notamment, et vous allez voir,
00:50:43elle a récupéré aujourd'hui son petit globe de cristal
00:50:45du Slopestyle parce qu'elle l'a remporté
00:50:47justement à Tignes et elle en a profité
00:50:49des nouvelles justement de son état
00:50:51et de ce qu'elle avait vécu.
00:50:53Vous allez voir quand même que c'était un peu important,
00:50:55j'ai perdu connaissance, il s'est passé beaucoup de choses
00:50:57en peu de temps, mais aujourd'hui tout va mieux,
00:50:59je n'ai rien de cassé à part une grosse commotion cérébrale,
00:51:01je suis en plateforme. – Oui, à part ça, oui.
00:51:03– Pour l'instant, je rajoute quand même qu'elle ne sait pas
00:51:05si elle pourra participer parce que là c'est important,
00:51:07aux championnats du monde en Suisse qui sont la semaine prochaine
00:51:09sur la chaîne L'Equipe.
00:51:11– À part une grosse commotion cérébrale, un bras cassé,
00:51:13la jambe qui est cassée.
00:51:15– Non, rien n'est cassé, rien n'est cassé.
00:51:17– Il va être long, une star sera absente ce week-end.
00:51:19– Johannes Beu, en effet, qui est forfait, toujours malade,
00:51:21donc la Coupe du Monde qui se passe
00:51:23à Polkjuka en Slovénie
00:51:25et évidemment à suivre sur la chaîne L'Equipe
00:51:27à partir de 11h50 demain
00:51:29avec Lama Stark, des femmes, on a beaucoup de droits en visuel.
00:51:31– Vroom vroom, Formule 1,
00:51:33la saison démarre en Australie ce week-end,
00:51:35quelques échos. – On va regarder une image justement,
00:51:37une image assez sympa de celui qu'on attend tous,
00:51:39mais vous le premier, je crois,
00:51:41Lewis Hamilton, bien sûr, avec Ferrari,
00:51:43il va falloir s'habituer donc, et qui a terminé
00:51:45douzième seulement des essais,
00:51:47des premiers essais libres, c'est Norris et McLaren
00:51:49qui étaient en tête, et Charles Leclerc.
00:51:51– Il passe le coup ? – Oui, c'est la même image,
00:51:53c'est pour bien s'imprégner. – Ah non, je crois qu'il a repassé trois fois.
00:51:55Quatrième fois !
00:51:57C'est pas possible !
00:51:59– Il a le swag.
00:52:01– Merci, le journal est aussi en relief.
00:52:03PGOM, dimanche, le Paris Saint-Germain
00:52:05accueille au Parc des Princes l'Olympique de Marseille.
00:52:07Sur le papier, ce classico semble déséquilibré.
00:52:09Depuis 2011, les deux clubs
00:52:11n'habitent plus au même étage
00:52:13et cette saison, la tendance s'est accrue.
00:52:15Pareil compte déjà 16 points d'avance après 25 journées.
00:52:17Une différence qui s'est creusée lors des
00:52:19trois dernières journées, où l'OM a mordu
00:52:21la poussière deux fois sur trois.
00:52:23C'est donc dans ce contexte que Valentin Rangier
00:52:25déboule en conférence de presse et a développé
00:52:27quand même des arguments. Pour lui,
00:52:29il y aura match.
00:52:31Valentin Rangier, c'est gratuit, a été transformé
00:52:33chroniqueur de l'équipe du soir, on ne l'a pas payé.
00:52:35Une minute pour convaincre, on écoute Valentin,
00:52:37il a des raisons d'y croire, on l'écoute.
00:52:39Minute pour convaincre, Valentin.
00:52:41Déjà, je pense que
00:52:43nous ne sommes pas la même équipe
00:52:45qu'à l'allée. Ça faisait très peu de temps
00:52:47qu'on travaillait avec le coach.
00:52:49Ce n'est pas une excuse, encore une fois que je cherche,
00:52:51parce qu'effectivement, dans le contenu, c'était insuffisant.
00:52:53Comme je l'ai dit tout à l'heure, je pense qu'on n'est vraiment
00:52:55plus la même équipe.
00:52:57Ça ne nous assure pas forcément de gagner ce week-end,
00:52:59ce n'est pas ce que je suis en train de dire, mais en tout cas,
00:53:01on est plus à l'aise sur le terrain,
00:53:03on a une mentalité qui est différente.
00:53:05Je pense déjà qu'il va falloir mettre de l'intensité,
00:53:07ça c'est l'ingrédient numéro un
00:53:09pour le match. On n'y va pas pour faire le dos rond
00:53:11et les regarder et se dire
00:53:13qu'ils sont meilleurs que nous. Non, non. On y va pour faire un match
00:53:15très sérieux,
00:53:17avec tous nos atouts aussi, parce qu'on en a.
00:53:19Si personne ne nous voit faire quelque chose, tant mieux.
00:53:21Ça nous enlève
00:53:23de la pression pour ceux qui en ont.
00:53:25Il faut les regarder dans les yeux, il faut jouer notre match.
00:53:29Je pense que, vraiment,
00:53:31tant mieux pour nous que les gens disent ça,
00:53:33mais en tout cas, on n'y va pas pour faire le dos rond, je le répète.
00:53:35Valentin Roger
00:53:37vous l'a écouté, c'était
00:53:39ce matin, enfin cet après-midi,
00:53:41du côté de Marseille, vous faites-il vaciller
00:53:43habillage à l'américaine
00:53:45et je passe dans les rangs.
00:53:47Vous avez écouté Valentin.
00:53:49Fred, à aucun moment
00:53:51il vous a fait vaciller.
00:53:53Greg ? Moi, je n'avais pas besoin
00:53:55de vaciller, mais je trouve ce qu'il dit
00:53:57bien et j'y crois.
00:53:59Avec d'autres arguments en plus ?
00:54:01C'est bien, vous aurez la main.
00:54:03Vous vacillez ou ne vacillez pas du tout ?
00:54:05Il a de bons arguments, mais je ne vacille pas du tout.
00:54:07D'accord, pas du tout.
00:54:09Moi, je n'ai pas été bluffé par les arguments,
00:54:11mais je ne vacille pas du tout.
00:54:13Président ? Rien, pas un bras.
00:54:15Rien du tout.
00:54:17Greg,
00:54:19vous avez la main, vous avez écouté,
00:54:21vous trouvez qu'il y a des excellents arguments.
00:54:23D'ailleurs, on en discutera ensemble,
00:54:25les copains. Vous, vous rajoutez
00:54:27quoi, là, dans le...
00:54:29Il aurait pu parler, parce qu'il est modeste,
00:54:31mais ils ont quand même une qualité individuelle
00:54:33que je trouve tout à fait honorable.
00:54:35Ils ont des internationaux à quasiment tous les postes.
00:54:37Greenwood ne l'est pas. Bon, d'accord,
00:54:39on va sûrement trouver deux, trois,
00:54:41mais il y a de grands joueurs dans cette équipe.
00:54:43On peut parler de Rully, on peut parler de Balerdi,
00:54:45on peut parler de Rabiot.
00:54:47Je pense que le PSG a laissé
00:54:49un peu de gomme, alors non pas physiquement,
00:54:51parce qu'ils ont joué mardi, mais mentalement,
00:54:53la séquence aller-retour,
00:54:55il a quand même fallu le porter,
00:54:57même si c'est une équipe infiniment supérieure.
00:54:59Mais le troisième truc,
00:55:01c'est que l'histoire du sport
00:55:03est pleine de contre-pieds
00:55:05comme ce qui peut survenir dimanche.
00:55:07C'est-à-dire que c'est justement
00:55:09dans ces moments-là que, quelque part,
00:55:11le sport et son incertitude reprennent ses droits.
00:55:13C'est quelque chose qu'on a souvent vu.
00:55:15Ce sera circonstanciel, si j'ai joué dix fois l'un
00:55:17contre l'autre, ils gagneront six fois,
00:55:19j'ai joué neuf ou sept fois.
00:55:21Non, voire dix.
00:55:23Je ne vois pas cette inéluctabilité
00:55:25devant moi.
00:55:27Arguments par arguments développés.
00:55:29Qui veut répondre à l'OM ?
00:55:31Ce n'est pas une équipe de pipe.
00:55:33Toutes les lignes sont remplies d'internationaux.
00:55:35Qui veut répondre à Greg ?
00:55:37Je veux bien répondre, mais la différence de niveau
00:55:39entre les internationaux d'un côté et ceux de l'autre
00:55:41est immense.
00:55:43C'est deux étages différents.
00:55:45J'avais souvent l'habitude de dire dans le championnat de France,
00:55:47je n'ai jamais cru aux calendriers.
00:55:49Les calendriers comme ce soir, par exemple à Nice-Auxerre,
00:55:51il peut y avoir n'importe quel résultat.
00:55:53Mais c'est une des premières années où j'ai la sensation
00:55:55qu'une équipe est largement supérieure au reste.
00:55:57Par l'état d'esprit, la mentalité, la qualité individuelle,
00:55:59collective, et ce qu'ils peuvent mettre en plus.
00:56:01C'est-à-dire ne pas rater des rendez-vous
00:56:03que même des équipes supérieures ratent.
00:56:05Et là, je ne vois pas du tout ce Marseillais-là être capable
00:56:07de s'opposer.
00:56:09Deuxième argument pour Grégory.
00:56:11Il y a eu ce match aller-retour face à Liverpool.
00:56:13Le match était mardi.
00:56:15Ce n'est pas physique, mais ça peut être une décompression
00:56:17psychologique.
00:56:19Vous étiez suffisamment clair.
00:56:21Est-ce qu'il y a quelque chose à gratter ?
00:56:23C'est un argument considéré.
00:56:25Mais il va faire tourner un peu.
00:56:27Et en ce moment, les gars du PSG
00:56:29qui sont remplaçants le mercredi
00:56:31et qui jouent le week-end,
00:56:33ils ont les crocs au pas possible.
00:56:35Ils sont remontés comme des barriques.
00:56:37Et franchement, c'est compliqué pour les autres.
00:56:39Je ne crois pas à cette théorie
00:56:41parce que c'est le dernier match de championnat
00:56:43qui soit intéressant pour eux de la saison.
00:56:45Pardon, mais dans votre réponse,
00:56:47c'était l'argument numéro 2.
00:56:49Mais finalement, l'argument numéro 3,
00:56:51c'est le fameux contre-pied,
00:56:53l'incertitude de ce sport qu'est le football.
00:56:55On attend pratiquement
00:56:57que Marseille soit complètement désossée.
00:56:59Et là, il y a des histoires,
00:57:01des foultitudes d'histoires dans ce sport-là.
00:57:03On attend un truc.
00:57:05Mais là, on n'est pas dans l'argument.
00:57:07Quelle réducteur d'incertitude cette année !
00:57:09Quelle réducteur d'incertitude !
00:57:11Plus que n'importe quelle autre équipe en France, évidemment.
00:57:13A fortiori, face à l'OM,
00:57:15il y a cette rivalité qui est ancestrale.
00:57:17Et il n'y a aucune raison
00:57:19qu'il y ait à la fois un petit peu
00:57:21de complètes supériorités,
00:57:23un petit peu de fatigue psychologique.
00:57:25En tout cas, pas suffisamment pour que ce soit oblitéré.
00:57:27Et que Paris soit comme ça,
00:57:29dans une espèce de mode gestion,
00:57:31les mains au-dessus du guidon.
00:57:33J'y crois pas du tout.
00:57:35Le seul argument recevable...
00:57:37Il est de Rongier, à mon avis.
00:57:39Et là, je le rejoins un tout petit peu.
00:57:41Même si ça me fait...
00:57:43C'est le changement d'équipe.
00:57:45C'est plus la même équipe.
00:57:47Là, je le rejoins.
00:57:49C'est les mêmes joueurs, il n'y a pas de problème.
00:57:51Mais dans la conception, dans l'application
00:57:53à ce que demandait l'entraîneur,
00:57:55ils ont évolué.
00:57:57Ils sont un peu plus...
00:57:59Tu veux dire par rapport au match allé ?
00:58:01Parce que tu penses que Paris, c'est la même équipe
00:58:03qu'au match allé ?
00:58:05Ils sont aussi trois fois meilleurs, quand même.
00:58:07Vincent, je réponds à Rongier.
00:58:09Je ne parle pas de Paris.
00:58:11En termes d'opposition, en termes de rapport de force.
00:58:13C'est pour ça que je ne vacille absolument pas.
00:58:15Ne vacillons pas, vas-y.
00:58:17Mais c'est juste, effectivement,
00:58:19il y a un changement un petit peu
00:58:21dans l'attitude de l'OM.
00:58:23L'OM, en ce moment, c'est quoi ?
00:58:25Ils ont pris 3-0 à Auxerre et ils ont perdu
00:58:27à Domicile contre Lens.
00:58:29Sur le moment où ils ont rencontré
00:58:31le PSG, rappelle-toi.
00:58:33Parce que le match allé, au bout de 5 minutes,
00:58:35on sait déjà que le match est plié.
00:58:37Notre équipe a progressé.
00:58:39Ce n'est pas la même équipe qu'au match allé.
00:58:41C'est ce que nous a dit Valentin Rongier.
00:58:43Après le match contre le Classico,
00:58:45au Vélodrome,
00:58:47quelques semaines plus tard,
00:58:49ils prennent une rousse monumentale
00:58:51avec Auxerre.
00:58:53Il y a 3-0 à la mi-temps. Ils vont perdre le match 3-1.
00:58:55Et là, il y a quelques semaines, ils reprennent
00:58:57une valise à Auxerre.
00:58:59À partir du match du Vélodrome,
00:59:01l'équipe a complètement changé.
00:59:03Auxerre n'était pas bon.
00:59:05Au Vélodrome, ils perdent 3-1 contre Auxerre.
00:59:07Et là, ils ont progressé. Ils perdent 3-0.
00:59:09Si vous me racontez que c'est la même équipe
00:59:11qui prend 3-1 au Vélodrome,
00:59:13là, franchement, c'est faux pognon.
00:59:15Ce n'est pas la même équipe. Est-ce qu'elle a progressé ?
00:59:17Bien sûr qu'elle a progressé.
00:59:19Ça s'est vu.
00:59:21En termes de résultats, ça s'est vu.
00:59:23La différence de qualité
00:59:25entre le Paris Saint-Germain
00:59:27de l'époque et celui d'aujourd'hui...
00:59:29La différence de qualité
00:59:31entre le Paris Saint-Germain
00:59:33de l'époque et celui d'aujourd'hui...
00:59:35La différence est beaucoup plus forte
00:59:37entre le Paris Saint-Germain d'aujourd'hui
00:59:39et celui d'aujourd'hui.
00:59:41Je pense que pour le Marseille de l'époque,
00:59:43le PSG de novembre était jouable.
00:59:45Et pour le Marseille d'aujourd'hui,
00:59:47le PSG d'aujourd'hui est injouable.
00:59:49Vous avez raison, mais n'oubliez pas
00:59:51que le sport est malicieux.
00:59:53Mais là, ce n'est plus un argument.
00:59:55C'est irrationnel.
00:59:57Ce qu'ils ont fait contre Lille
00:59:59lors de la première mi-temps,
01:00:01j'ai rarement vu une équipe en France
01:00:03être capable de faire ça.
01:00:05Mais une qualité technique,
01:00:07c'est que l'équipe de Lille
01:00:09est capable de faire
01:00:11de cette étau-là.
01:00:13On a contacté Benoît Chérou,
01:00:15membre du club d'Azone,
01:00:17qui a été champion de France
01:00:19avec l'OM en 2010.
01:00:21Il a imaginé un scénario favorable
01:00:23à l'OM.
01:00:25C'est à la fois courir,
01:00:27beaucoup plus que dans leurs matchs,
01:00:29et puis un peu se réinventer.
01:00:31Ça fait beaucoup de conditions.
01:00:33Benoît Chérou, extrait
01:00:35C'est sûr que ces dernières semaines,
01:00:37il y a eu des complications face à des équipes
01:00:39contre lesquelles il fallait faire le jeu.
01:00:41Peut-être que là, avec une équipe parisienne plus haute,
01:00:43avec des espaces peut-être dans leur défense,
01:00:45peut-être qu'on va découvrir
01:00:47un visage marseillais peut-être plus à l'aise
01:00:49dans la profondeur et dans la gestion
01:00:51des espaces et utiliser
01:00:53la vitesse de leurs joueurs.
01:00:55La possession, ça va être difficile d'avoir plus de possession
01:00:57que les Parisiens. Ils ont la possession pendant
01:00:59tous leurs matchs de Ligue 1 depuis le début de saison.
01:01:01Les Marseillais aiment bien avoir la maîtrise du ballon
01:01:03pour faire le jeu, mais contre Paris Saint-Germain,
01:01:05il faut accepter
01:01:07de l'abandonner
01:01:09et trouver d'autres
01:01:11moyens de les perturber, je pense.
01:01:13Avec Greenwood, avec Luis Henrique,
01:01:15avec des joueurs rapides, Amine Goury,
01:01:17ce sont des joueurs qui ont des profils peut-être
01:01:19pour gêner la défense parisienne
01:01:21à eux de bien exploiter
01:01:23les quelques occasions qu'ils auront
01:01:25et les opportunités.
01:01:27Même Benoît Chérou a donné quelques peut-être.
01:01:29Évidemment, les avant-matchs
01:01:31ce sont des scénarios
01:01:33qu'on essaie de dessiner, qu'on essaie d'imaginer.
01:01:35Mais là, quand on écoute Benoît,
01:01:37il faut qu'ils offrent un visage
01:01:39qu'ils n'ont encore jamais offert.
01:01:41Avec une opposition qu'ils n'ont jamais encore rencontrée.
01:01:43C'est ça toute la difficulté de nos amis marseillais.
01:01:45On a vu des équipes au Parc
01:01:47pas très bien équipées et résistées.
01:01:49On a vu Saint-Etienne, qui a peut-être fait un de ses meilleurs
01:01:51matchs au Parc, plus perte que de rien.
01:01:53On a vu Reims, qui est venu, mais à un moment
01:01:55où le PSG pensait complètement autre chose,
01:01:57il n'était pas du tout là-dedans, et où il avait fait 7 ou 8 changements.
01:01:59Mais là, actuellement,
01:02:01ils sont dans une telle dynamique,
01:02:03les parisiens, mais une dynamique à la fois
01:02:05collective, mais à la fois individuelle
01:02:07dans le collectif. C'est-à-dire que tous les gars,
01:02:09dès qu'ils ont un quart d'heure, ils ont envie de montrer
01:02:11à Louis-Henriquet qu'il mérite une demi-heure.
01:02:13Et dès qu'ils ont une demi-heure, ils veulent lui montrer...
01:02:15Valentin Angier n'a pas convaincu.
01:02:17Désolé, vous ne serez pas payé, Valentin.
01:02:19C'était pas dans le contrat. Merci, Valentin.
01:02:21Bon match à vous,
01:02:23cher Valentin et vos coéquipiers.
01:02:25On va passer à une deuxième question.
01:02:27Adrien Rabiot s'appelle Rabiot au Parc.
01:02:29À l'air de Rabiot, oui, puisque l'accueil Dimanche au Parc
01:02:31par les ultra-parisiens risque d'être hostile.
01:02:33En septembre dernier,
01:02:35souvenez-vous, c'était le transfert
01:02:37surprise de ce mercato.
01:02:39Il était libre de la juve.
01:02:41On pensait qu'il allait s'engager dans un club
01:02:43Ligue des champions. Et Adrien Rabiot signe
01:02:45à l'Olympique de Marseille.
01:02:47Il est arrivé au Paris Saint-Germain
01:02:49à 15 ans. Il a porté 9 ans,
01:02:51les couleurs du Paris Saint-Germain.
01:02:53Et puis, quand je parle d'accueil,
01:02:55qu'est-ce qu'il dit Dimanche ?
01:02:57Voici une photo qui pourrait être jouée dimanche
01:02:59dans les écrans géants du Parc des Princes.
01:03:01Respect, les champs insultants sont interdits.
01:03:03Le match pourrait être arrêté,
01:03:05voire perdu pour le club.
01:03:07C'est un rappel à la loi contre l'homophobie.
01:03:09Une loi, mais aussi deux articles
01:03:11qui figurent sur le règlement
01:03:13de la Ligue de football professionnelle.
01:03:15Faut-il redouter une interruption
01:03:17de match Dimanche au Parc ?
01:03:19Deux chroniqueurs ne sont pas d'accord.
01:03:21Jingle.
01:03:23Frédéric a dit oui.
01:03:25Il le redoute. Hervé, vous ne le redoutez pas.
01:03:27Vous avez répondu non.
01:03:29Frédéric, ouvrez le bal.
01:03:31Déjà qu'un PSGOM déchaîne
01:03:33toujours les passions pour les supporters,
01:03:35a fortiori avec le retour d'Adrien Rabiot.
01:03:37Je ne vois pas comment,
01:03:39avec en plus le côté PSG fusible idéal,
01:03:41PSG pour les pouvoirs publics,
01:03:43le flou du
01:03:45insultant,
01:03:47quoi qu'ils insultent.
01:03:49Forcément, un truc se prépare
01:03:51entre Adrien Rabiot et Véronique Rabiot.
01:03:53Il y aura tifo.
01:03:55Il y aura accueil individualisé.
01:03:57Ça ne sera pas bon enfant.
01:03:59Forcément pas bon enfant, à mon avis.
01:04:01Hervé Penaud, vous n'y croyez pas.
01:04:03En tout cas, le match ne sera pas interrompu.
01:04:05J'ose espérer que le match ne sera pas interrompu.
01:04:07Je me dis qu'à ce niveau de bêtise,
01:04:09je pense qu'on aura atteint des sommets.
01:04:11On sait qu'ils seront attendus, les supporters.
01:04:13Qu'ils insultent Rabiot,
01:04:15on sait très bien qu'il va se dire des choses.
01:04:17Et à côté de ça,
01:04:19pour que le match ne soit pas interrompu,
01:04:21il faut qu'il y ait quelque chose de grave.
01:04:23J'espère et j'ose espérer que les supporters
01:04:25ne vont pas tomber dans cette folie
01:04:27qui serait d'y dire absolument n'importe quoi.
01:04:29Surtout si le speaker les prévient
01:04:31qu'à un moment, à l'arrêt du match,
01:04:33il se passe quelque chose de plus.
01:04:35Je pense qu'ils vont savoir raison garder
01:04:37et une victoire leur suffirait énormément.
01:04:39Président, vous redoutez ou vous ne redoutez pas ?
01:04:41Hervé Penaud ?
01:04:43Il y a beaucoup de choses que je redoute en ce moment.
01:04:45Il n'y a pas que les supporters.
01:04:47Il n'y a pas que le fait de fermer un virage
01:04:49parce que les supporters s'en prennent
01:04:51à Vincent Labrune.
01:04:53Ça peut être n'importe quoi.
01:04:55Et les propos insultants, ça veut dire quoi ?
01:04:57On est dans le cadre d'une rivalité.
01:04:59Les supporters se sont toujours insultés.
01:05:01On peut préférer un monde où on ne s'insulte pas.
01:05:03Mais dans la mesure où la loi
01:05:05et par exemple, effectivement,
01:05:07vous citiez l'homophobie.
01:05:09Dans la mesure où ce n'est pas dans ce champ-là,
01:05:11dans ce cadre-là,
01:05:13à ce moment-là, il faut revenir.
01:05:15Les insultes de Lyon à Barcola,
01:05:17personne n'en a parlé.
01:05:19Parce que ça fait partie du truc.
01:05:21Mais là, comme c'est le PSG-OM, ça ne serait plus du folklore.
01:05:23Ça ne serait plus du truc.
01:05:25La loi existe.
01:05:27Il faut se tenir à la loi.
01:05:29Je ne vois pas pourquoi
01:05:31à ce moment-là, maintenant,
01:05:33on ne pourrait plus, dans le cadre d'une rivalité,
01:05:35insulter son adversaire. Je préfère qu'on ne le fasse pas.
01:05:37PSG-Lyon, le match avait été arrêté.
01:05:39Hakimi Vitignette est allé voir le Cop.
01:05:41Mais pas pour ça.
01:05:43On ne va pas dire à l'antenne
01:05:45ce que disaient les Lyonnais sur Barcola.
01:05:47Mais au niveau de l'insulte,
01:05:49on était en plein dedans.
01:05:51Moi, ce qui m'inquiète, c'est que j'ai entendu
01:05:53beaucoup de choses.
01:05:55Et pourtant, moi, je n'habite pas Paris.
01:05:57J'habite Nancy.
01:05:59Par l'intermédiaire
01:06:01du supporter,
01:06:03ils disent
01:06:05qu'ils ont été
01:06:07tellement concentrés
01:06:09sur le match de Liverpool
01:06:11qu'ils sont restés calmes.
01:06:13Je crois qu'à Liverpool, ils ont été applaudis.
01:06:15Ils ont été félicités.
01:06:17Ils ont eu une tenue extraordinaire.
01:06:19Et donc, là,
01:06:21ce qui m'est revenu à mes oreilles,
01:06:23c'est qu'ils ont vraiment envie de se lâcher.
01:06:25Quitte à perdre 3 points.
01:06:27Mais laisse-moi
01:06:29te dire ce qu'on m'a rapporté.
01:06:31Qu'est-ce qu'il faut faire pour perdre 3 points ?
01:06:33Je te dis ce qu'on m'a rapporté.
01:06:35Je voudrais que tu me dises ce qu'ils pourraient faire pour perdre 3 points, par exemple.
01:06:37Parce qu'ils vont partir sur des choses
01:06:39et notamment sur Rabiot et d'autres,
01:06:41ils vont partir sur des choses qui iront.
01:06:43Qui iront sur des chants, des cris,
01:06:45des choses
01:06:47qui vont certainement nous surprendre.
01:06:49Ce qui est puni, c'est l'homophobie
01:06:51et c'est le racisme.
01:06:53Mais si ce n'est pas dans ce champ-là,
01:06:55je ne vois pas où est le problème.
01:06:57Le PSG a envoyé un courrier à ses supporters
01:06:59le demandant de ne pas transformer en haine leur énergie.
01:07:01Une petite vidéo
01:07:03produite en digital
01:07:05sur les réseaux sociaux envoie Mevlut Erding
01:07:07à adresser un message.
01:07:09Supporters, supportons.
01:07:11Le message est fou, mais on comprend à peu près l'esprit.
01:07:13Tenez-vous à carreau, pas d'injures et pas d'insultes.
01:07:15Quand on est supporter, on encourage, on soutient
01:07:17sans insulter, sans exclure, sans stigmatiser.
01:07:19C'est le moment d'un petit replay
01:07:21dans l'équipe de Greg, Loic Tansy,
01:07:23toujours au courant des derniers développements
01:07:25sur ces liens tendus entre les supporters
01:07:27et le club. Elle nous fait un point
01:07:29sur ça par rapport au match de dimanche. Écoutez-le.
01:07:31Je ne sais pas si
01:07:33les supporters parisiens
01:07:35vont être tenables. Je ne pense pas.
01:07:37D'ailleurs, on le voit un peu sur les réseaux,
01:07:39la réponse
01:07:41à la campagne du Paris Saint-Germain, c'est de dire
01:07:43laissez-nous tranquille, c'est un classique,
01:07:45c'est le retour de Rabiot, on va faire ce qu'on veut.
01:07:47Là où ils ont un peu la main, c'est sur
01:07:49le collectif Ultra Paris,
01:07:51le principal groupe de supporters
01:07:53du PSG, où ils peuvent discuter avec eux. Pour moi,
01:07:55les banderoles et les leaders
01:07:57de ce groupe-là ne demandent pas
01:07:59aux autres d'avoir des champs
01:08:01injurieux ou homophobes.
01:08:03Après, ce que feront les autres
01:08:05dans le stade, c'est incontrôlable. Le PSG le sait
01:08:07et c'est pour ça que le PSG a très peur sur ce match-là
01:08:09parce qu'ils savent que le match va être
01:08:11très regardé, que les pouvoirs publics ont ciblé
01:08:13ce match-là pour en faire un exemple
01:08:15et donc ils disent
01:08:17à tout moment, le match va être arrêté
01:08:19sur Adrien Rabiot
01:08:21à part si le club arrive à les faire arrêter
01:08:23avant l'entrée du stade, ce qui est quasiment
01:08:25impossible, il y aura des banderoles sur Rabiot.
01:08:27Voilà, donc le match également
01:08:29se disputera les tribunes. Le match
01:08:31pourrait être arrêté ou pas, mais regardez
01:08:33on va dire, c'est un oui
01:08:35qui s'impose 57 à
01:08:3743. Mes amis,
01:08:39on se connecte
01:08:41dans quelques minutes, un arbitre
01:08:43professionnel va ré-arbitrer
01:08:45la semaine de l'équipe du soir, M. Andrani arrive
01:08:47il a le sourire, je crois qu'il a trouvé
01:08:492-3 casseroles. A tout de suite mes amis.
01:09:01Retour sur le plateau de l'équipe du soir, dernière ligne droite
01:09:03Claire, je ne vous oublie pas, demain
01:09:05le journal d'équipe sort, la ligne de l'équipe c'est quoi ?
01:09:07On y va ! Je ne sais pas, à notre avis mémé !
01:09:09En Ecosse ! Evidemment !
01:09:11Regardez comme c'est super joli en plus, on a
01:09:1315 hommes en mission, c'est ça la ligne
01:09:15aujourd'hui, avec un très joli design
01:09:17bien sûr, une semaine après l'exploit de Dublin
01:09:19les Bleus reçoivent l'Ecosse, avec un seul
01:09:21objectif, donc s'imposer et offrir ce 27ème
01:09:23tournoi à la France. On parle aussi
01:09:25de vélo avec Nice-Auxerre, on a vu
01:09:27les images bien sûr, et la Grosse-Bourde
01:09:29de Martinez, Lenny Martinez, on en a aussi
01:09:31parlé pendant le JT, on a été complets mémé !
01:09:33Il design lui aussi l'équipe du soir
01:09:35c'est un arbitre, il se dit professionnel
01:09:37Monsieur Andrani arrive pour la barre de l'équipe du soir
01:09:39juste après le jingle. C'est toujours un très bon moment ça !
01:09:43Bravo !
01:09:47Bonsoir mémé, vous allez bien ? Je peux faire ?
01:09:49Qui vous avez ciblé ?
01:09:51Qui vous avez ciblé ?
01:09:53Mémé, vous, comment ne pas revenir sur vous, vous avez été
01:09:55super violent, niveau Ligue des Champions
01:09:57Ah ouais ?
01:09:59On regarde ça
01:10:01Vous avez une chemise d'artiste et vous pensez comme un comptable
01:10:07Je le trouve moyennement intéressant
01:10:09Olivier, quand vous parlez
01:10:11de stade comme ça, c'est toujours plus intéressant
01:10:13que quand Hervé parle de stade, c'est fou, on n'ose
01:10:15même pas vous contredire
01:10:19Regardez Greg, vous étiez
01:10:21en minorité, mais c'est là que vous êtes le meilleur
01:10:23quand vous ne connaissez pas ce sport, vous êtes le plus
01:10:25convaincant
01:10:29Toujours au moins un tac sur Greg
01:10:31Sinon on ne passe pas une bonne soirée
01:10:35Mémé, j'ai une autre petite surprise, j'ai une palette à vous proposer
01:10:37Avant de commencer la barre, j'ai une palette
01:10:39Il y avait les U20 tout à l'heure
01:10:41On a vu des belles perfs dans les vestiaires
01:10:43Petite image surprise, vous allez voir
01:10:45C'est très sympa ce qu'ils nous ont proposé
01:10:47Regardez, attention, vous allez voir
01:10:49C'est un bel essai transformé ça
01:10:51Bravo les U20
01:10:53Belle perf
01:10:55Vous avez remis ça
01:10:57Hop là, c'est parti
01:10:59C'est le produit
01:11:01Il y a des gens qui ont assisté dans le camion de la VAR
01:11:05Mémé on y va, on siffle le coup d'envoi de la VAR de cette semaine
01:11:09On démarre le coup d'envoi avec une superbe ambiance
01:11:11juste après le match Liverpool vs PSG
01:11:13C'est quoi votre humeur mes amis ?
01:11:15Jérôme
01:11:17Merci Jean
01:11:19Il y avait une super ambiance cette semaine
01:11:21Jérôme, le fils de tête
01:11:23Tu veux faire mon professeur ?
01:11:25C'est pourquoi tu dis ça alors ?
01:11:27Parce que je te réponds à ce que tu dis
01:11:29Je pensais que tu étais un peu plus intelligent
01:11:31Mais apparemment tu dois être comme les gens qui votent sur Twitter
01:11:33Mais apparemment tu dois être pas assez intelligent
01:11:35pour comprendre ce que je dis
01:11:37Ça on y reviendra plus tard
01:11:39Mais pour l'instant Mémé, après le match Liverpool vs PSG
01:11:41Comme joué Stéphane, vous aussi vous avez vécu un moment d'amour
01:11:43C'était bien ?
01:11:45C'est juste légendaire
01:11:47Quel match Mémé
01:11:49C'était trop bien
01:11:51Attention quand même
01:11:53Le reste on ne le diffusera pas
01:11:55Oui bien sûr un vrai tombeur
01:11:57Mais je veux le reconnaître cette semaine Mémé
01:11:59Votre truc c'était la gentillesse
01:12:01Donc je ne vais pas aller vous cuisiner sur l'éventuel compo de Louis-Henriqué
01:12:03Parce qu'après du replay il s'est trompé
01:12:05Surtout ce n'est pas mon genre d'être mauvais camarade mon cher Giovanni
01:12:07Retenez bien ça Mémé
01:12:09Ce n'est pas son genre d'être mauvais camarade
01:12:11Surtout avec Giovanni
01:12:13Il y avait les noms qui étaient là
01:12:15incarnés par Karine et son assistant Giovanni
01:12:17Mais ça va pas
01:12:19Surtout ce n'est pas mon genre d'être mauvais camarade mon cher Giovanni
01:12:21Mais loin de moi l'idée de dire que le Réal
01:12:23est parfois avantagé par les arbitres
01:12:25ça arrive rarement
01:12:27C'est l'ironie
01:12:29Soyez plus direct alors
01:12:31Surtout ce n'est pas mon genre d'être mauvais camarade mon cher Giovanni
01:12:33Mais heureusement Giovanni cette semaine
01:12:35il était aussi à Liverpool et il en a profité pour se faire un vrai bon camarade
01:12:37Alors ce que vous allez voir ce sont des images non diffusées
01:12:39Nous travaillons donc désolé
01:12:41Je suis désolé
01:12:43Au revoir
01:12:45Bonne journée
01:12:51Là on a un animal
01:12:53Là on a un bon gars
01:12:55Vraiment un bon camarade qui n'a pas lâché l'affaire
01:13:05Ceci est une publicité
01:13:07contre les ravages de l'alcool
01:13:09Et il n'y a pas d'accident de voiture
01:13:11La type qui rentre en rampant
01:13:13Personne ne se réveille
01:13:15à côté d'un sombre inconnu
01:13:17Et il n'y a même pas de baston devant un bar
01:13:19Parce qu'il n'y a pas besoin
01:13:21d'en arriver là pour que l'alcool fasse des ravages
01:13:25Pour votre santé l'alcool c'est maximum
01:13:27deux verres par jour et pas tous les jours
01:13:29Giovanni il sait se faire des amis
01:13:31Vous avez aperçu deux personnes
01:13:33en début de coup d'envoi
01:13:35qui sont devenus très copains
01:13:37On les retrouvera dans la commission de discipline
01:13:39On a été obligé d'un peu regarder ça de près
01:13:41Et pour l'instant avant de punir
01:13:43On va célébrer le MVP de la semaine
01:13:45On y va c'est parti
01:13:47Et pour le MVP je déclenche la réconstruction
01:13:49avec un Eric Blanc qui a su faire court cette semaine
01:13:51Enfin je vais pas expliquer ça
01:13:53parce qu'il me faudrait plus de 5 minutes
01:13:55Donc on va passer à autre chose
01:13:57Mais il fallait quand même qu'il explique un petit peu
01:13:59Parce que c'est important en fait
01:14:01C'est Eric quoi
01:14:03C'est bien
01:14:05Il avait pas fini d'expliquer ce qu'il avait à dire
01:14:07C'est ce que disait Bernard
01:14:09Oui mais Bernard il l'a dit en plus court
01:14:11Enfin bref Rico c'est surtout l'homme au mille et une situation
01:14:13Alors prenez place c'est le cours de finaux de l'équipe du soir
01:14:15On a l'habitude
01:14:19Moi j'ai vu Nice pas toute l'année
01:14:21Ils jouent une coupe Europe
01:14:23Ils ont été des champions
01:14:25Ils jouent plus rien
01:14:27Ils ont été nuls
01:14:29Moi je les vois pas tout le temps jouer
01:14:31C'était des tigres, j'ai vu moi des caniches
01:14:33C'était des tigres, moi j'ai vu des caniches
01:14:35Eric Blanc
01:14:37Il est encore en coupe d'Europe
01:14:39Les trois autres ils font plus de coupe d'Europe
01:14:41Marseille pareil
01:14:43Y'a aucune équipe en haut là
01:14:45Comme ça costaud, sûr et qui tient la route
01:14:47On sait pas
01:14:49Ils prennent un coup de vent on les retrouve sur la plage
01:14:51Y'a aucune équipe en haut là comme ça, costaud, sûr, qui tient la route
01:14:53Ils prennent un coup de vent on les retrouve sur la plage
01:14:55Eric Blanc
01:14:57Moi je comprends, j'ai des clés au genou
01:14:59On fait attention, la prévention
01:15:01Mais on demande aux mecs de désosser
01:15:03De scalper, de les démonter
01:15:05Et tu veux qu'ils arrivent avec un bouquet de fleurs de temps en temps
01:15:07Et tu veux qu'ils arrivent avec un bouquet de fleurs de temps en temps
01:15:09On demande aux mecs de désosser, de scalper, de les démonter
01:15:11Et tu veux qu'ils arrivent avec un bouquet de fleurs de temps en temps
01:15:13Eric Blanc
01:15:15Allez, une analyse sur les citations de Rico peut-être ?
01:15:17Je trouve qu'Eric a dit un mot vachement important
01:15:19Je trouve qu'Eric a dit un mot vachement important
01:15:21J'en ai dit qu'il y a un mot
01:15:23C'est le fait de grandir
01:15:25Et surtout Rico c'est un homme qui sait faire des compliments
01:15:27D'ailleurs vous aussi mémé
01:15:29Et t'es plein pot, tu fais 120 kilos, tu fais 2 mètres
01:15:31T'as un mec qui te déséquilibre
01:15:33T'es à 1000 ans, t'as vu, t'es en costard
01:15:35T'es à 1000 ans, t'as vu, t'es en costard
01:15:37Je fais pas 2 mètres
01:15:39Des chemises en double rotor
01:15:41Je fais pas 2 mètres
01:15:43Mais il fait 120 kilos
01:15:45Mais il fait 120 kilos
01:15:47Surtout c'est pas mon genre d'être mauvais camarade
01:15:49Surtout c'est pas mon genre d'être mauvais camarade
01:15:51C'est pas son genre d'être mauvais camarade à mémé
01:15:53Je vois que vous avez vos petites pancartes
01:15:55Est-ce qu'en région on pourrait me faire un petit habillage à l'américaine
01:15:57Et noter la semaine de Rico ?
01:15:59Est-ce que ce serait possible ou pas ?
01:16:01On a quoi ? On a 8, on a 9
01:16:03Ah non, c'est historique
01:16:05C'est historique
01:16:07C'est 9, c'est 10, c'est 10
01:16:09Belle semaine pour Eco
01:16:11Rico Blanco de La Plata
01:16:13Ils sont gentils
01:16:15On enchaîne avec les tacs mémé ?
01:16:176 séances que Donnarumma a disputées
01:16:196 séances que Donnarumma a disputées
01:16:216 qualifications
01:16:23Comment on peut expliquer
01:16:25Il y a des immenses gardiens qui n'ont jamais été doués dans ces exercices
01:16:27Et en France on en sait quelque chose
01:16:31Le mieux n'a pas gagné, Guillaume Duffy
01:16:33Demain évidemment la maison est toute verte
01:16:35J'en fous
01:16:37J'en fous
01:16:39Vous êtes chiants
01:16:45Dominique, vous l'affrontez qui ?
01:16:47Écoutez, je vois des gens médiocres
01:16:53La qualification du HAL était miraculeuse
01:16:55Oui ou non
01:16:57Est-ce que c'est Dominique ou est-ce que c'est Giovanni ?
01:16:59Ah waouh
01:17:01Le parisien, il va mieux
01:17:03Miraculeux à 69%
01:17:05Miraculeux à 69%
01:17:11Le général et son adjudant
01:17:13Le général et son adjudant
01:17:15Viennent de triompher une nouvelle fois
01:17:17Viennent de triompher une nouvelle fois
01:17:19Ça c'est l'effet Castel dit, ils nous plantent tous
01:17:25On embrasse Giovanni qui est rhabillé pour l'hiver
01:17:27On embrasse Giovanni qui est rhabillé pour l'hiver
01:17:29La base qu'on voit bientôt en printemps finalement
01:17:31Mémé, confusion de la VAR
01:17:33La commission de discipline
01:17:35On va voir qui est suspendu la semaine prochaine
01:17:37Et pour un match de suspension on retrouve nos journalistes du Minufo
01:17:39Et pour un match de suspension on retrouve nos journalistes du Minufo
01:17:41Qui nous ont montré leur talent d'articulation
01:17:43On démarre avec vous Claire
01:17:45On va regarder ce but justement
01:17:47Le seul inscrit avant les tiroputes
01:17:49Ah oui je ne connaissais pas cette formule
01:17:51Pas sympa, je vous rassure le lendemain Virginie c'était bien aussi
01:17:53Là c'est fermeture partielle
01:17:55Pour un match ferme de la tribune
01:17:57Ah oui
01:17:59La fameuse tribune qui marche souvent par terre
01:18:01Bon bah c'est pas grave on continue pour deux matchs de suspension
01:18:03C'est le visionnaire Sébastien Tarrago
01:18:05Ça c'est ce qu'il a dit à la mi-temps du match Liverpool-PSG sur Donnarumma
01:18:07Parce que t'as pas le même gardien que Liverpool avait à l'aller
01:18:09Parce que t'as pas le même gardien que Liverpool avait à l'aller
01:18:11Et lui-même n'est pas en confiance ça
01:18:13Et lui-même n'est pas en confiance ça
01:18:15Heureusement Mémé vous étiez là pour le soutenir
01:18:17Et je pense que dans quelques instants on devrait aborder le cas Donnarumma
01:18:19Et je pense que dans quelques instants on devrait aborder le cas Donnarumma
01:18:21Il me semble
01:18:23Ah les têtes vont tomber
01:18:25Surtout c'est pas bon genre d'être mauvais camarade
01:18:27Alors Seb un dernier mot sur Donnarumma peut-être ?
01:18:29Alors Seb un dernier mot sur Donnarumma peut-être ?
01:18:31Donnarumma est-il le MVP de la rencontre mes amis ?
01:18:33Sébastien vous me dites ?
01:18:35Oui
01:18:37On conclut entre un match de suspension pour les deux bagarres de la semaine
01:18:39C'est Stéphane Guy et Jo Mycou
01:18:41Alors toi t'es parti de là
01:18:43Dès que tu mets Mbappé sur la table de suite ça part
01:18:45Bah oui c'est vrai ça réveille le monde
01:18:47Pourtant on parle du PSG tranquillement
01:18:49T'as deux têtes de dur c'est Deschamps et Mbappé
01:18:51Mais pourquoi tu dis ça en fait ?
01:18:53Oui aller retour rouge
01:18:55Parce que ça c'était la phrase d'attaqué pour Jo
01:18:57Il puce ses oeufs comme ça
01:18:59Du coup après il s'est passé ça
01:19:01Moi je me permettrais jamais de te dire que ta cible c'est Nasser Al-Khalafi
01:19:03Moi je me permettrais jamais de te dire que ta cible c'est Nasser Al-Khalafi
01:19:05Stéphane, Jo
01:19:07Non mais c'est irrespectueux de parler comme ça
01:19:09De dire que toi ta cible c'est Deschamps
01:19:11Mais non
01:19:13Je dis ce que je vois en fait
01:19:15Voilà ce que vous venez de voir c'est une engueulade de comptoir
01:19:17Du coup à la VAR on a ralenti les images
01:19:19On va vivre l'engueulade en mode bar fin de soirée
01:19:21Vous allez voir c'est pas mal non plus on comprend bien
01:19:23Mais je ne dirai pas que c'est Nasser Al-Khalafi
01:19:25Mais non
01:19:27Mais non
01:19:29Mais non
01:19:31Tu dis que je cible Nasser Al-Khalafi c'est vrai
01:19:33Mais non
01:19:35Si t'as ton avis c'est pas vrai
01:19:37Si t'as ton avis c'est pas vrai
01:19:39T'as le droit de dire ce que tu veux
01:19:41Si c'est le cas c'est que t'as mis un peu plus d'effroi
01:19:43Si c'est le cas c'est que t'as mis un peu plus d'effroi
01:19:45On a bien le temps de comprendre
01:19:47On a bien le temps de comprendre
01:19:49C'est magnifique merci beaucoup
01:19:51On les embrasse les deux
01:19:53C'est magnifique
01:19:55C'est magnifique
01:19:57Les amis j'attends de se quitter
01:19:59Je vous donne rendez-vous lundi
01:20:01Je vous donne rendez-vous
01:20:03Je vous donne rendez-vous dans quelques secondes
01:20:05Sur nos réseaux sociaux
01:20:07On va jouer
01:20:09Mais ce quiz va être diffusé sur les réseaux sociaux
01:20:11Sur le compte Twitter de l'équipe du soir
01:20:13On vous embrasse mes petits
01:20:15On vous embrasse mes petits
01:20:17Au revoir
01:20:19Au revoir
01:20:45Au revoir

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