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00:00Je vous résume les quelques épisodes précédents avant d'arriver à ce qui s'est passé aujourd'hui.
00:05Jean-Noël Barraud aidait donc le week-end dernier en Algérie.
00:08Certains disent pour faire allégeance à M. Tebboune, d'autres pour se mettre ventre à terre.
00:13Suite à la soi-disante normalisation de nos rapports avec Alger,
00:17avec un coup de téléphone entre le dictateur algérien et le président français,
00:20un communiqué commun, un retour à la normale même sur l'immigration,
00:24ce qui équivaut à 250 000 visas par an donnés de la France vers l'Algérie.
00:30Et patatras, qu'est-ce qui s'est passé hier ?
00:33Il y a trois personnes qui ont été arrêtées par les autorités françaises,
00:37dont un agent consulaire algérien, puisqu'ils ont tenté d'enlever rien que ça,
00:42un opposant au régime algérien qui est protégé en France,
00:47qui donc bénéficie de la protection de la France.
00:51Puisqu'il est recherché par la dictature algérienne.
00:57Et donc, en conséquence de quoi, suite à ces trois arrestations,
01:01dont cet agent consulaire algérien,
01:03l'Algérie a annoncé vouloir expulser 12 personnes,
01:0612 Français de l'ambassade présente à Alger.
01:10Je rappelle que l'Algérie a rappelé son ambassadeur à Paris,
01:15alors que nous, nous avons conservé le nôtre à Alger.
01:17Donc, non seulement on n'a pas récupéré Boilem Sansal,
01:20après la soi-disant remise à plat de nos rapports,
01:26mais en plus, les mesures de rétorsion,
01:28elles ne viennent pas de la France vers l'Algérie,
01:30elles viennent de l'Algérie vers la France,
01:32puisque la France a arrêté des personnes qui tentaient de kidnapper quelqu'un.
01:35Donc, on en est là, on va se retrouver avec 12 personnes françaises expulsées de l'Algérie,
01:39et là, la France promet des mesures de rétorsion,
01:42s'il y a 12 Français qui sont expulsés d'Algérie.
01:44Ce n'est pas possible, franchement.
01:45Ils ont fait ce voyage pour rien.
01:48Ils ont fait ce voyage pour s'humilier, une fois de plus.
01:51Bruno Retailleau avait raison, la fermeté était de mise.
01:56Franchement, Jean-Noël Barraud.
01:58Déjà, il y a un mec qui fait ça, je le viens.
02:00Je suis désolé.
02:01Il le fait sur ordre d'Emmanuel Macron.
02:03Mais oui, je vire les deux.
02:04Je vire les deux.
02:05Je suis désolé, je vire les deux.
02:06Je vire les deux.
02:08Je vire les deux.
02:08Sur un des deux, ça pose problème.
02:11Et Gérald Barmanin devait y aller.
02:13Ça va être intéressant de voir si...
02:14Je pense que ça va être annulé, oui.
02:16Et Bruno Retailleau, il faut le dire, est au Maroc aujourd'hui.
02:19On sait que c'est les bonnes relations franco-marocaines
02:22qui créent du trouble en Algérie,
02:23parce que la France a reconnu la suprématie du Maroc sur le Sahara occidental.
02:28Et l'Algérie, d'ailleurs, dit que c'est une manœuvre de M. Retailleau.
02:30La reconnaissance, oui, tu as raison.
02:32Donc, pas seulement.
02:33Il y a Rachida Dati aussi qui s'est rendu au Sahara occidental.
02:35Gérard Larcher, à chaque fois, ça a créé un trouble en Algérie.
02:39Mais donc, je ne sais pas si on se rend compte.
02:41Je vais même vous dire, la semaine dernière, j'ai douté.
02:44Je me suis dit, peut-être, écoutez, si ça...
02:45Tu l'as vu ?
02:47Tu as vu ? J'ai un peu douté.
02:48J'ai douté, moi.
02:48C'est rare.
02:49Non, vous, non.
02:50Vous n'avez pas vacillé un instant.
02:52Je l'ai connais tellement.
02:53Si ça permet de libérer Boilem Sansal,
02:55puisque c'est un otage,
02:56on sait qu'à chaque fois qu'on libère un otage,
02:57il y a une rançon à payer.
02:59Là, ça se paye en visa,
03:01ça se paye en OQTF qu'on garde
03:03sans laisser passer consulaires.
03:05Eh bien, même pas.
03:06Ça n'a même pas fonctionné
03:07d'aller faire allégeance
03:08ou de se mettre ventre à terre
03:09face à monsieur Tebboune
03:11de faire des communiqués communs, etc.
03:12Non seulement ils gardent Boilem Sansal,
03:14mais ils vont nous renvoyer 12 Français.
03:16Et nous, on va les accepter, les 12 Français,
03:17si on les renvoie.
03:18Alors que nous, si on renvoie 12 Algériens,
03:20ils vont revenir aussitôt en France
03:21parce que l'Algérie est prête à en faire des apatrides
03:24pour ne pas les accepter.
03:26Donc, on est totalement humiliés.
03:28On ne leur fait tellement pas peur
03:29qu'ils n'ont aucune angoisse
03:32à essayer de venir enlever et séquestrer
03:34un ressortissant que nous nous protégeons
03:36sur le sol français.
03:37Mais tu te rends compte quand même ?
03:38C'est quand même incroyable.
03:39Sur le sol français,
03:41tentative d'enlèvement de séquestration ?
03:42Bien sûr.
03:43Parce que l'enquête VGT
03:45avant le parquet national antiterroriste,
03:47il s'agit donc d'un influenceur
03:50avec beaucoup d'audience.
03:51Et c'est donc l'intervention
03:52d'une puissance étrangère
03:54sur le sol français
03:55avec enlèvement, séquestration.
03:57Donc, c'est une affaire d'État.
03:58C'est extrêmement grave.
04:00Et il va falloir voir, en effet,
04:01Gauthier a raison,
04:01la manière dont la France réagit aujourd'hui.
04:04Si elle se réveille...
04:05Oui, il se réveille aujourd'hui.
04:07Gauthier Lebril, je les adore.
04:08Vos amis.
04:09Je ne suis pas...
04:09Vos amis, là.
04:11Que vous avez radis, là, dans l'émission.
04:12Je ne fais pas le casting.
04:14Vos amis, que vous avez radis dans l'émission.
04:15Je les aime beaucoup.
04:16Je les aime beaucoup.
04:17Mais les guimauves
04:18qui veulent se transformer
04:19franchement en requins,
04:22c'est bon.
04:22On ne transformera jamais un dauphin en requin.
04:25Les mecs, arrêtez.
04:26Vous êtes des guimauves.
04:27Vous y avez cru.
04:28Quand on s'est fait avoir,
04:30il faut le dire.
04:31Tout simplement.
04:32On s'est fait rouler dans la farine.
04:34Et vous, avec,
04:35je vous le dis,
04:36vous étiez ce qu'on appelle...
04:37Vous étiez en baigné de Mozart.
04:39On vous a roulé dans la farine.
04:40Tac, voilà.
04:41C'est ça, voilà.
04:42Exactement.
04:42Voilà.
04:43Et aujourd'hui, il faut le dire.
04:44Il faut le dire.
04:44Et ce qui est fou,
04:46c'est que hier,
04:48Bruno Rotaillot,
04:48c'est moi-même,
04:49disait,
04:50on a arrêté cet agent consulaire algérien,
04:52mais il n'y a pas de preuve de lien
04:54avec le régime algérien.
04:56Le régime algérien se trahit
04:57à partir du moment
04:58où il annonce l'expulsion
04:59de 12 Français
05:00en mesure de rétorsion
05:02à l'arrestation
05:02de ces trois individus
05:03qui ont enlevé
05:04et séquestré quelqu'un.
05:05Donc là, si vous voulez,
05:06c'est quelque part
05:07se trahir et signer son méfait.
05:09Et je rappelle
05:09que le fameux Doualème,
05:11nous, on veut récupérer Boualème,
05:12mais ils ne veulent pas, eux,
05:14récupérer Doualème,
05:15qui est le fameux influenceur
05:16qui habitait Montpellier.
05:17Il appelait déjà
05:19à s'en prendre
05:19à des opposants
05:20du régime algérien.
05:22Donc, on en revient
05:22toujours à la même chose.
05:24Valérie Benahim, tiens.
05:25Allez, on va faire Guimauve.
05:26Une, deux et trois.
05:27Non, pas du tout.
05:27Non, non, mais effectivement,
05:28on avait un narratif
05:29qui était celui de dire
05:30on reprendra la riposte proportionnée,
05:33mais d'abord,
05:34laissons parler
05:34les voix diplomatiques.
05:35C'est la raison pour laquelle
05:36on envoie Jean-Noël Barreau
05:37à Alger
05:38parce que vous ne comprenez pas
05:40mais en sous-main,
05:41il se passe des choses.
05:42On a envoyé Jean-Noël Barreau
05:43à Alger.
05:43C'est Denzel Washington,
05:45le négociateur.
05:46Il n'a jamais rien négocié
05:47à part deux baguettes
05:48et un pain au raisin.
05:49On a envoyé Jean-Noël Barreau,
05:50les mecs.
05:51Non, mais sans rigoler,
05:52c'est le négociateur.
05:53C'est Denzel Washington.
05:55Non, mais franchement,
05:55il est arrivé.
05:57Non, mais Jean-Noël Barreau,
05:58non, mais franchement,
05:59il me faut arrêter les mecs.
06:00Mais Benahim, arrêtez.
06:01Avec ces gens, arrêtez.
06:02Ressaisissez-vous, Benahim.
06:04Allez signer des BD à Angoulême.
06:06Je ne fais que dire.
06:11Benahim, faites porte-parole
06:12du gouvernement, alors, Benahim.
06:13J'explique ce qu'on nous dit,
06:15ce qu'on nous a dit.
06:15On n'a pas besoin d'expliquer
06:16ce qu'ils font.
06:17Expliquez-nous ce qu'ils ne font pas.
06:18Au lieu de nous dire ce qu'ils font,
06:19on ne voit qu'ils ne font rien.
06:21Non, mais c'est bon, Benahim,
06:22expliquez-nous ce qu'ils ne font pas.
06:23Laissez-vous expliquer ce qu'ils font.
06:24Je ne parle pas du gouvernement français.
06:25Non, mais franchement,
06:26allez signer des BD à Angoulême, là.
06:27C'est bon, là.
06:28Mais je ne suis pas responsable
06:28de ce que fait le gouvernement français.
06:29Vous êtes responsable.
06:30Non, mais c'est bon, c'est bon, c'est bon.
06:34Non, mais ils ont envoyé
06:36Jean-Noël Barreau.
06:37Allez-y, Guimauve 2.
06:38Guimauve 2.
06:39Guimauve 2, attendez.
06:41Guimauve 2.
06:42Alors, s'il vous plaît,
06:44je vais demander aux auditeurs
06:44de nous dire ce qu'ils pensent
06:45de ces trois guimauves.
06:4701, 80, 20, 39, 21.
06:50Appelez-nous, dites-nous
06:51ce que vous pensez des trois guimauves.
06:52Est-ce qu'on n'y a cru ?
06:53Oui.
06:53Non, mais franchement,
06:54ils ont envoyé Jean-Noël Barreau.
06:56Non, mais franchement,
06:57le Denzel Washington de Guincan.
06:59Non, mais arrêtez.
07:00On nous a dit qu'en sous-main,
07:02la diplomatie était en train de...
07:04En sous-main, Valérie Bénède.
07:05C'était à l'œuvre.
07:06Donc, on a espéré.
07:07Stop, stop.
07:08Là, les guimauves, ça suffit.
07:09On n'est plus en confliserie.
07:10Non, mais je vous le dis.
07:11Moi, j'espérais que la diplomatie fonctionne.
07:12Benaï, arrêtez d'espérer.
07:13Ça fait des années que vous espérez,
07:15surtout, Benaï,
07:15il n'y a rien qui est tombé.
07:16Arrêtez.
07:17Le président de la République a pris la même.
07:18C'est qui, déjà ?
07:19C'est qui ?
07:19Emmanuel Macron.
07:20C'est qui, déjà ?
07:21Barraud, c'est anecdotique.
07:22C'est le président de la République
07:25en contact direct avec Tebboune
07:26qui a ouvert une nouvelle séquence.
07:27Mais il est en contact direct avec Tebboune.
07:29Mais Tebboune, il l'a embrouillé.
07:32C'est tout.
07:32Il a embrouillé le président de la République.
07:34Avec un communiqué commun.
07:35Même pas.
07:36Même au téléphone.
07:36Il n'a pas eu besoin de communiquer.
07:37Ils se sont appelés.
07:38Il l'a embrouillé en deux minutes.
07:39Il a raccroché.
07:39Il a dit, c'est bon,
07:40je l'ai embrouillé en deux minutes.
07:40Donc, on pouvait croire à Minima
07:41qu'il y avait un accord sous la main.
07:43Et là, le président a dit,
07:44sortez-moi d'Enzel Washington.
07:46Envoyez-le en Algérie.
07:47Le négociateur.
07:48Non, mais franchement.
07:49Il n'a jamais rien négocié.
07:50Il a négocié trois dragibus
07:52et deux quarts en sac.
07:53Et il vient.
07:53Non, mais franchement.
07:54Toute petite parenthèse,
07:55juste pour vous dire que
07:55je suis là.
07:56Si vous en avez un moment des guimots
07:58et vous voulez un petit rééquilibrage,
07:59voilà.
07:59Je l'actionne.
08:01Je l'actionne.
08:03Je l'actionne.
08:03Après, on aura les deux autres guimots.
08:05Non, je veux juste dire
08:05que ça remet en selle Bruno Rotaillot
08:07qui était discret
08:08ces 15 derniers jours.
08:10Parce qu'il n'était pas suivi
08:11par l'Elysée
08:12et par le Quai d'Orsay.
08:14Tout le monde disait,
08:14même des gens à la France insoumise,
08:17Bruno Rotaillot
08:18peut mettre en danger
08:19Boualem Sansal.
08:20Alors que c'est un ami
08:22de Bruno Rotaillot.
08:23C'est ce qu'on a pu entendre
08:24sur les bancs de LFI.
08:26Jean-Luc Mélenchon
08:26qui se félicitait
08:27de ce qu'Emmanuel Macron
08:28faisait avec Bruno Rotaillot.
08:30La presse algérienne
08:31qui se faisait l'écho
08:32du désaveu
08:33de Bruno Rotaillot
08:34par Emmanuel Macron.
08:35Emmanuel Macron
08:36qui quelque part
08:36faisait le jeu
08:37de la presse algérienne
08:39pro-Téboune.
08:40Donc là, on a Bruno Rotaillot
08:41qui en plus est en visite
08:42en ce moment au Maroc
08:42qui revient sur le devant
08:44de la scène
08:44et on va peut-être se dire
08:45il faut peut-être écouter
08:45Bruno Rotaillot plus souvent
08:46et sa politique de fermeté.
08:48Bien sûr, bravo Gautier Lemoyer.
08:49Voilà encore
08:49une très bonne intervention.
08:51Dites tout ce que vous pensez
08:52des gens qui m'entourent.
08:530,1, 80, 20, 39, 21
08:56sur Europe 1.
08:57On n'est pas dans une confiéderie.
08:58On est bien à la radio.
09:00On est bien sur Europe 1.
09:01Allez, on a écouté
09:02Guimauve 1, Valérie Benahim.
09:03On a Guimauve 2,
09:04Olivier D'Artigol.
09:06Terminé.
09:06Et vous pouvez m'actionner
09:07à tout moment.
09:07Bien sûr.
09:09Allez, avant d'écouter
09:11la Guimauve 3,
09:13je vais, pour le bien de tous,
09:15réactionner.
09:18Réactionner, Gautier Lemoyer.
09:20Je vais le réactionner.
09:21Allez-y, Gautier.
09:22Non, mais c'est vrai
09:23que pendant 15 jours,
09:24pendant 15 jours,
09:26on a écouté
09:26les chantres de la mollesse,
09:29les chantres du ventre à terre,
09:31les chantres de l'allégeance
09:32à M. Théboune
09:33en disant
09:34Bruno Rotaillot s'est trompé
09:35sur toute la ligne,
09:35il faut suivre Emmanuel Macron.
09:37S'il fait cela,
09:38c'est qu'il pense
09:39que Boilem Sansal
09:40a des chances
09:41d'être libéré
09:42par un retour
09:44à la normale
09:44avec Alger,
09:45des communiqués communs,
09:46250 000 visas
09:48par an,
09:48alors qu'en échange,
09:49on ne nous parle pas
09:50d'un laisser-passer consulaire
09:51pour expulser
09:52un Algérien
09:53sous OQTF
09:54vers l'Algérie.
09:55Même quand ils ont
09:55leur passeport
09:56et qu'il n'y a pas besoin
09:56de laisser-passer consulaire,
09:57ils préfèrent en faire
09:58des apatrides
09:59que les reprendre.
10:00C'est ce qui s'est passé
10:01avec le fameux Doualem.
10:02Donc, aujourd'hui,
10:03c'est l'échec de la mollesse,
10:05l'échec du retour
10:06à la normale,
10:07l'échec, en fait,
10:08de la faiblesse.
10:08L'échec de la diplomatie ?
10:09C'est beau, ça.
10:10Est-ce que le ventraterisme
10:11peut parler ?
10:120-1-80-20-39-21,
10:16on est sur Europe 1,
10:16si on marche sur la tête,
10:17vous nous appelez.
10:18Il y a Léo qui est en ligne
10:19qui va nous dire
10:20ce qu'il pense,
10:21ce qu'il pense,
10:21non seulement de tout cela,
10:22mais j'aimerais aussi
10:23qu'il y ait des petits mots
10:24sur les personnes
10:25qui m'entours.
10:26Même ceux qui n'ont pas parlé ?
10:27Merci, oui,
10:27même ceux qui n'ont pas parlé.
10:28Merci.
10:29Léo, bonjour.
10:30Léo nous appelle de Toulouse.
10:32Bonjour, Cyril.
10:33Je connais très bien Toulouse, Léo.
10:36La Ville-aux-Roses.
10:37Ah, ce n'était pas ça là
10:37que je connaissais.
10:39Si, si, j'adore.
10:40J'ai fait beaucoup de tournages là-bas.
10:41Ça va, Léo ?
10:42Vous êtes où à Toulouse ?
10:43Je suis juste à côté
10:44à Blagnac, exactement.
10:45Ah, je connais très bien.
10:46Valérie Bénéhi m'a sévi
10:47sur Blagnac.
10:49C'est vrai, je vous le dis.
10:50Donc, faites attention à elle
10:51si vous la croisez sur Blagnac.
10:53Léo, faites quoi dans la vie ?
10:54Je suis étudiant.
10:55En quoi ?
10:56En sciences de l'éducation.
10:58Non !
10:59Très bien.
11:00Alors, j'aurai besoin de vous
11:01pour les éduquer un peu
11:02autour de ma table
11:03parce que franchement,
11:04c'est tout ça.
11:05Vous allez nous dire déjà
11:06ce que vous pensez de ce sujet
11:07et après, si vous pouvez dire
11:08un petit mot sur les guimots,
11:10vous n'hésitez pas.
11:11N'hésitez pas.
11:11Allez-y, Léo.
11:13Écoutez, moi,
11:13je souhaitais réagir à ce sujet
11:15parce qu'en fait,
11:16j'ai rencontré Bruno Rotaillot
11:18ce week-end
11:18dans une réunion publique
11:20à côté de Toulouse
11:21puisqu'il est candidat
11:22à la présidence VLR.
11:24Et en fait,
11:25j'ai eu l'occasion
11:26d'échanger avec lui
11:26sur le sujet de l'Algérie.
11:28En fait, je pense
11:29que le problème
11:30ne vient pas de Bruno Rotaillot
11:32mais peut-être
11:33un peu plus haut
11:33au-dessus de lui
11:34parce que lui,
11:35il a une réelle volonté
11:38de fermeté
11:38envers l'Algérie.
11:39On le sait,
11:40ça ne vient pas de Bruno Rotaillot,
11:40ça vient d'en haut.
11:41Ça vient d'Emmanuel Macron
11:43qui est représenté
11:44par Denzel Washington.
11:46Jean-Noël Barreau,
11:47le négociateur.
11:48Voilà, donc on le sait.
11:50Je me demande
11:51pourquoi est-ce qu'on
11:53ne parvient pas
11:54à appliquer peut-être
11:54les recommandations
11:56que font la droite
11:57et Bruno Rotaillot
11:58comme le blocage
12:01des transferts de fonds,
12:03la suppression des visas
12:04pour les dirigeants
12:05étrangers,
12:06les dirigeants algériens
12:07en l'occurrence,
12:08la saisie des biens
12:09des dirigeants étrangers.
12:10Pourquoi est-ce que ça ne fait pas ?
12:11Pourquoi vous étiez
12:12à la réunion de Bruno Rotaillot ?
12:13Parce que je suis un sympathisant
12:16à l'air.
12:17C'est bien de le dire
12:18parce que sinon
12:19Jean-Michel Apathy
12:20va venir moi avec mon...
12:21Voilà, donc ça c'est important.
12:22Donc c'est un sympathisant à l'air.
12:23Je m'intéresse beaucoup
12:23à ce qu'il passe à droite
12:24et donc ça m'intéressait
12:25d'aller rencontrer Bruno Rotaillot.
12:27Je connaissais un petit peu sa ligne
12:28mais je voulais approfondir ça aussi.
12:30Très bien, d'accord.
12:31C'est bien de le signaler
12:32à l'antenne d'Europe 1 Béliot.
12:33C'est sûr qu'on le dit ici,
12:35Bruno Rotaillot,
12:36là, mine de rien,
12:37c'est une mini-victoire
12:38pour Bruno Rotaillot.
12:43Oui, mais moi j'étais sûr
12:46que ça allait se passer comme ça.
12:48Quand j'ai vu Jean-Noël Barraud
12:49partir avec son couteau suisse
12:51et sa petite mallette d'Elsey,
12:53je ne peux pas vous dire,
12:54je me suis dit
12:54il ne reviendra avec rien du tout.
12:57Jean-Noël Barraud,
12:58vous l'envoyez acheter du pain,
12:59il vous ramène des chaussons aux pommes.
13:01Je vous le dis, c'est sûr.
13:02On a un grand gagnant aujourd'hui.
13:04Jean-Noël Barraud,
13:04je vais en parler dans un instant.
13:06Le Denzel Washington,
13:10franchement,
13:10ils ont envoyé Jean-Noël Barraud.
13:12Et l'autre, il a téboune au téléphone,
13:14il envoie Jean-Noël Barraud.
13:15Non mais franchement,
13:16non mais franchement,
13:17Jean-Noël Barraud, les mecs.
13:18Alors, Denzel Washington,
13:19Jean-Christ,
13:20c'est pas lui.
13:20C'est Manon Fire.
13:21Le négociateur,
13:22c'est Samuel L. Jackson.
13:23Ah, c'est ça.
13:23Voilà, mais je préfère Denzel Washington.
13:26Parce que sur Manon Fire,
13:27c'est vraiment bien.
13:28Ouais, c'est bien, c'est ça.
13:29Mais voilà, exactement.
13:30Avec ta petite fille,
13:30d'un côté à Fainé.
13:31Merci, merci.
13:32Allez, à tout de suite sur Europe.
13:32Bon, il y a les chiffres en radio
13:43qui vont sortir demain.
13:44Ah !
13:45Je les ai pas encore.
13:46Il y a les lunettes quand même.
13:47Je ne vais pas vous raconter l'histoire.
13:47Mais vous avez les lunettes.
13:48Je ne vais pas vous raconter l'histoire.
13:49Une nouvelle paire de lunettes.
13:50Je les ai pas encore.
13:51Je ne les ai pas encore.
13:52Mais vous êtes dans quel état d'esprit ?
13:53Si c'est bien, on le dira.
13:55Si c'est pas bien,
13:56on le dira aussi.
13:57D'accord.
13:57Bien sûr, évidemment.
13:58On le dira aussi.
13:59Information.
13:59Par contre, on le dira plus si c'est bien.
14:01Ah oui, évidemment.
14:02Alors, moi, je n'ai pas d'info.
14:03Ok.
14:03Donc, sachez-le.
14:04Mais j'espère.
14:05Voilà, j'espère que ça se passera bien
14:06grâce aux auditeurs d'Europe 1
14:07qui nous écoutent tous les jours.
14:08Est-ce que vous avez des indicateurs ?
14:10Est-ce que vous avez une intuition ?
14:10Je n'ai rien.
14:11Je navigue à vue.
14:13A vue.
14:13Je navigue à vue.
14:140,1, 80, 20, 39, 21.
14:16J'espère que les auditeurs
14:17fêteront ou pas
14:18les audiences avec nous demain.
14:20C'est comme Montecristo.
14:21Attendre et espérer.
14:22Exactement.
14:22Vous, vous allez aller danser
14:24au Montecristo.
14:26Toi, c'est attendre et désespérer plutôt.
14:28Pourquoi ?
14:29Franchement.
14:30Pour toi.
14:31Pour toi de t'avoir un peu.
14:33J'ai envie de faire une chanson
14:33pour Jean-Noël Barraud.
14:35Ah.
14:36Jean-Christmas Barraud.
14:37Non, mais c'est vrai.
14:37Je suis en train de faire une reprise
14:38de Maria Carré.
14:39All I want for Christmas.
14:41Non, mais franchement, c'est vrai.
14:42Non, mais il est terrible, ce mec.
14:44Terrible, terrible, terrible, terrible.
14:46On en parle sur Europe 1.
14:48Ils ont envoyé Jean-Noël Barraud,
14:49le Denzel Washington,
14:51des bacs à sable,
14:53pour aller négocier avec l'Algérie.
14:55Ils ont vu arriver le gars, là.
14:56Non, mais le gars, sans rigoler,
14:57c'est comme si tu envoies Pierre Richard
14:58négocier.
15:00Non, mais c'est Perrin, le mec.
15:01Non, mais franchement, c'est vrai.
15:02C'est le dîner de cons.
15:03Non, mais tu l'envoies,
15:04et tu l'envoies en Algérie,
15:05où les mecs sont extrêmement malins.
15:07Tu sais très bien qu'ils vont le rouler
15:08dans la farine, qu'ils vont l'embrouiller.
15:09Et il revient, il est revenu,
15:10la gueule enfarinée.
15:11Il était tout content de son voyage.
15:12Non, mais s'il faut lui payer des voyages
15:14à Jean-Noël Barraud,
15:15qu'il aille travailler chez Pachatour.
15:16Moi, je vais lui faire un...
15:16Voilà, il n'a qu'à partir à l'anniversaire
15:19de la femme de Gauthier Lebrun
15:20avec eux à Venise.
15:21Ah non ?
15:21Non, mais c'est vrai.
15:22Non, mais s'il est là pour voyager,
15:24non, mais sans déconner,
15:25je l'amène au vieux campeur,
15:27je vais lui acheter des tenues,
15:29et puis tu vas voir,
15:29et puis il va en faire des randonnées.
15:31Non, mais sans déconner.
15:31Une tente.
15:32Jean-Noël Barraud.
15:33Non, mais franchement,
15:33Jean-Noël Barraud.
15:34Il faut arrêter ces gens.
15:36Là, les mecs-là,
15:36on est dans une période-là.
15:37Là, les Français,
15:38ils ne veulent plus entendre
15:39ce genre de personnes.
15:40Non, mais franchement,
15:40ils ne veulent plus entendre
15:41ce genre de personnes.
15:41Jean-Noël Barraud.
15:43Non, mais il faut les stopper.
15:44Non, mais sans rien.
15:44C'est dans le professionnel.
15:46C'est Jules Beaumont.
15:47C'est Jules Beaumont.
15:47Qu'est-ce que je fais ?
15:48Je le stoppe.
15:49Non, mais franchement,
15:49on le stoppe.
15:50C'est en train de se décider.
15:50On le stoppe.
15:51Non, mais qu'est-ce qui se passe ?
15:53Angela est mort.
15:55Rosen est mort.
15:56Et moi,
15:57c'est en train de se décider actuellement.
15:59C'est ça, mais j'adore.
16:00C'est la musique.
16:01C'est incroyable.
16:02Et Néborricone.
16:03Rosen est mort.
16:04Angela est mort.
16:05Non, mais c'est magnifique.
16:06C'est un de mes films préférés.
16:08C'est sublime.
16:08C'est vrai.
16:10Non, alors, stop.
16:13D'abord, pas tout de suite.
16:14C'est trop en confiance, ça.
16:15Je suis obligé de donner la parole.
16:17Je suis obligé de donner la parole.
16:18Allez où l'auditeur ?
16:20Le Toulouse.
16:20Qui est avec nous.
16:21Et après, on aura Gégé.
16:23De Toulouse aussi.
16:24Vous êtes de Toulouse aussi.
16:25C'est vrai qu'il est de l'Union.
16:26Oui, à côté de Blagnac.
16:27Ah ouais, vous êtes allée à Paris, comment vous ?
16:29J'ai suivi ma maman qui a refait sa vie avec un homme.
16:31Non, j'adore votre maman.
16:32Elle est magnifique.
16:33Oui.
16:33Je l'adore.
16:34Je l'adore.
16:35Je l'embrasse, d'ailleurs.
16:36Très l'entrée, je lui dirais.
16:37Non, ce n'est pas nous écouter parce qu'elle n'entend pas.
16:39Oui, je sais.
16:39Mais elle nous regardait beaucoup à la télé quand c'était sous-titré.
16:43Très bien.
16:43Elle adorait.
16:44On re-sous-titrera.
16:45Voilà, vous pouvez lui dire.
16:46Oui, je suis sûre.
16:47Mais j'adore.
16:47Je l'adore.
16:48Elle est vraiment sympatoche.
16:49Merci.
16:49Je vais vous lire, juste deux minutes.
16:53Jean-Noël Barraud, il y a une semaine, jour pour jour, ce qu'il disait.
16:57Je suis venu à Alger pour porter le message du président de la République.
17:00Non mais le gars, c'est un messager.
17:01C'est un pigeon voyageur, le gars, sans déconner.
17:03Non mais on lui met un message dans le bec, il va le porter.
17:06Non mais c'est incroyable.
17:08C'est dur.
17:09Nous devons tourner la page des tensions pour reconstruire un partenariat d'égal à égal.
17:13Dans l'intérêt de nos deux pays.
17:15Nous reprenons notre coopération dans tous les domaines.
17:17Non mais...
17:18C'est bien troussé, c'est un bimondi.
17:19Non mais franchement, c'est pour dire des conneries pareilles.
17:22Non mais on arrête de lui faire prendre l'avion à celui-là.
17:24Non mais franchement, on arrête de lui faire prendre l'avion à celui-là.
17:25On l'arrête.
17:26Moi, on le stoppe.
17:27Non mais on le stoppe.
17:28Mais sans rigoler, qu'il se taisent.
17:30Qu'il se taisent.
17:31Qu'il se taisent.
17:32On ne lui demande pas grand-chose.
17:33Taisez-vous.
17:34Mais il a appliqué ce que voulait le président de la République.
17:35Mais arrêtez de dire des conneries.
17:36Mais justement, il a appliqué ce que disait le président de la République.
17:39Les mecs, il ne peut rien.
17:40Il ne peut pas penser par lui-même.
17:42Jean-Noël Barraud, il est payé à quoi ?
17:44Alors, il s'en rigolait.
17:45Et le président de la République,
17:47le président de la République,
17:48le président de la République lui dit de se jeter du haut d'un pont et de se jeter du haut d'un pont.
17:53Tu connais quand ton père dit ça ?
17:55Mais je l'ai fait comme les autres, papa.
17:56Et tes copains se jettent du haut d'un pont et se jettent du haut d'un pont.
17:58Non, mais c'est quand même un monde, ça.
18:02Bon, allez, on va prendre Léo.
18:03Et Benahim, s'il vous plaît, mettez-la en veilleuse.
18:05Mais qu'est-ce que j'ai dit ?
18:05Ça suffit.
18:06Ça n'est pas rien dit.
18:07Ça suffit, Benahim.
18:08Vous allez retourner.
18:08Je vais vous envoyer dans un salon.
18:11Je vais vous envoyer dans un salon, Benahim.
18:13Allez, merci.
18:14De toute façon, je vais vous dire.
18:15Demain, je dirais qui sont les responsables des chiffres.
18:19Ça va être une belle journée.
18:20Si ça marche, c'est votre faute.
18:25C'est les guimauves.
18:25Et si ça marche ?
18:26Si ça marche, ce sera de ma faute.
18:27D'accord.
18:27Enfin, voilà.
18:28Grâce à vous.
18:29Non, non, pas du tout.
18:30C'est une équipe.
18:31Je peux vous dire que...
18:32Je vais vous dire la vérité.
18:34Je vous donnerai exactement le pourcentage
18:36de ce qui a fait que l'émission a marché.
18:37Ah, à chacun d'entre nous.
18:40Exactement.
18:41Ça ira de combien à combien ?
18:420%.
18:43Vous verrez.
18:44Si vous aimez les yaourts...
18:45On va avoir un score de fromage blanc.
18:48On va avoir un score de fromage blanc, exactement.
18:51Il y en a qui vont faire un score de fromage blanc, je vous le dis.
18:54On ne fait pas le rossier.
18:55Je vous le dis.
18:55Non, mais je vous le dis.
18:56Il y en a qui vont faire des scores de fromage blanc.
18:57Il y a Skir qui est arrivé.
18:58Il y a Skir.
19:00Allez, Léo.
19:01Léo.
19:02Léo, vous voulez rajouter quelque chose, Léo, de Toulouse ?
19:04Écoutez, pas plus que ce que j'ai dit.
19:06Après, voilà, pour rebondir et vous suivre dans vos propos, Cyril,
19:10par rapport à Jean-Noël Barreau,
19:13pour moi, il n'a des gals que les barreaux d'un lit.
19:15C'est ce que j'ai dit.
19:16Bah oui.
19:17Non, mais le gars qui...
19:17Franchement, c'est le ministre de l'inaction, lui.
19:21Exactement.
19:21Non, mais quel...
19:22Non, mais franchement, Jean-Noël Barreau.
19:24Moi, je ne peux plus entendre son nom.
19:25On fait des émissions spéciales sur lui.
19:27Oui, c'est vrai.
19:28Vous avez raison.
19:29On va s'emmerder.
19:30Vous avez raison.
19:30On va quand même en parler un petit peu.
19:32Mais franchement, Jean-Noël Barreau.
19:33Non, mais franchement.
19:34Jean-Christmas Barreau.
19:35Non, mais qu'il aille décorer des sapins, sans déconner.
19:37Franchement, merci, Léo, d'avoir été avec nous sur Europe 1.
19:40Merci à vous, Cyril.
19:41Si je peux me permettre, deux petites choses.
19:43D'abord, je n'ai aucun souci pour vos audiences qui seront excellentes, je n'en doute pas.
19:49Je vous dirai demain.
19:49Merci, Léo.
19:50En tout cas, on fera une grosse fête demain.
19:51Si c'est le cas, je vais commencer quand même à acheter deux, trois petites choses ce soir.
19:56Je le sens bien.
19:57Je ne sais pas pourquoi, je le sens bien.
19:59Quelques cacahuètes.
20:01Je pense qu'il y aura des cotillons.
20:02J'aurai Marion.
20:05Mario Cotillon ?
20:05Vous avez vu, Bénaïm ?
20:09Vous avez vu l'humour de Bénaïm ?
20:11Ça, elle ne le faisait pas il y a deux ans.
20:12Elle est élitiste, maintenant.
20:13Elle va vite, ça va vite.
20:14Elle ne le faisait pas.
20:15Oui, alors, et Léo, vous venez de nous dire une deuxième chose.
20:17Cyril, voilà, parallèlement, rien à voir avec tout cela, mais je suis aussi en situation de handicap.
20:22Je voulais vous remercier pour ce que vous faisiez à la télé avec le TPMP ouvert à tous.
20:27Il faudra en faire un avec nous, Léo.
20:28Tu en feras un avec nous.
20:29Voilà, j'aimerais beaucoup avoir l'occasion.
20:31Je suis venu vous voir à la canal.
20:32C'est quoi votre handicap, Léo ?
20:34Je suis malvoyant.
20:35D'accord.
20:36Léo, il faut en faire une avec nous.
20:38Vous allez en faire une avec nous.
20:40Alors, on va changer.
20:41Je tiens à le dire, c'est une nouvelle émission qu'on va faire quand même.
20:44Il va y avoir beaucoup, beaucoup de changements.
20:45Vous n'allez pas retrouver.
20:45Je ne suis pas sûr que vous retrouviez Géraldine Maillet, Valérie Bénaïm, etc.
20:48Il va quand même avoir...
20:50Eh, les mecs, il faut quand même qu'on...
20:52Comme disait François Hollande, le changement, c'est maintenant.
20:56C'est ça.
20:56Hein, les gars ?
20:57Donc, voilà, il y aura des nouvelles têtes.
20:58Beaucoup, c'est une nouvelle émission.
21:00Attention, ne vous méprenez pas.
21:02Merci, Léo.
21:03En tout cas, vous serez là.
21:04Ce qui est dur encore.
21:04Merci à vous.
21:05Voilà, une émission ouverte à tous, bien entendu.
21:07Allez, on va prendre des auditeurs dans un instant.
21:0801, 80, 20, 39, 21.
21:10Après, il y a Géraldine Maillet qui a levé le doigt depuis exactement 35 minutes.
21:15J'ai l'impression qu'elle attend en taxi, sans rigoler.
21:18Allez, à tout de suite sur Europe 1.
21:1916h, 18h, Cyril Hanouna sur Europe 1.
21:24Europe 1, 16h, 18h.
21:26On marche sur la tête, Cyril Hanouna.
21:29Merci d'être avec nous.
21:30Merci beaucoup.
21:31On est contents.
21:32On est contents d'être là.
21:33On est contents de voir des gens.
21:34Ça nous fait du bien d'entendre des gens et de prendre des gens, des auditeurs d'Europe 1 au téléphone,
21:39de voir Dartigol qui est tout pimpant.
21:41Il est beau.
21:42Il a bronzé même lui aussi.
21:44Oui.
21:44Il a rougi, quoi.
21:45Il a rougi.
21:46Vas-y, c'est beau.
21:46J'ai tourné à l'eau à midi.
21:48Ah oui, j'ai tourné à l'eau.
21:50Le lundi, c'est à l'eau.
21:51Ça va, c'est pas fini ?
21:52Ça suffisamment.
21:53Le lundi, c'est la journée la plus dure.
21:54Je peux vous dire, le lundi, c'est la journée la plus dure.
21:58Le mardi, c'est pastis.
22:00Mercredi, à Nizette.
22:01Bien entendu.
22:03Le joli, c'est tout type d'alcool.
22:05Je rappelle que l'alcool est dangereux pour la santé.
22:07Oui, d'abord.
22:07Il est dangereux, bien entendu, pour l'émission.
22:10Surtout quand Dartigol revient d'un déjeuner arrosé.
22:13Mais Géraldine Malier, vous voulez réagir sur l'Algérie ?
22:15Je vais que la Guimauve 3 pose une question.
22:17Pendant que vous réagissez, je vais me permettre de lire un article.
22:20Voilà, puisque je ne la sens pas.
22:23C'est un parti, merci.
22:26Tu peux y aller Géraldine ?
22:27Je peux.
22:28Alors oui, je voudrais poser une question à l'omniscient Gauthier.
22:31Je ne prétends pas à ce titre.
22:33Parce que tu dis à chaque fois, volonté de fermeté,
22:37en fait, ça veut dire quoi ?
22:38Quand tu dis, mais bien sûr qu'il faut faire ça, ça veut dire quoi ?
22:41Est-ce que toi, tu connaissais l'existence de cet influenceur, par exemple, algérien ?
22:44Est-ce que tu connaissais l'existence d'Amir Dezède ?
22:46Est-ce que tu savais que cet influenceur avait eu cette demande d'extradition
22:49qui avait toute reçu un avis défavorable de la Cour d'appel de Paris,
22:53multicondamné par Alger entre 2015 et 2019,
22:55pour escroquerie, menace, diffamation, chantage, calomnie,
22:58adhésion d'affiliation à un groupe terroriste ?
23:00Est-ce que toi, tu le savais ?
23:01Oui.
23:01Tu savais ça, toi ?
23:02Oui, bien sûr.
23:03Quel est le but de la question ?
23:04Parce qu'en fait, moi, si tu veux, j'ai l'impression que toi, d'un revers de manche,
23:07tu dis, mais la diplomatie, ça doit être fait comme ça, c'est facile, il suffit d'être ferme,
23:12tu donnes des sortes de leçons de diplomatie.
23:14Moi, j'ai l'impression qu'en fait, on n'est pas du tout capable de dire
23:16comment on doit gérer cette affaire-là.
23:17Parce que c'est beaucoup trop complexe, parce qu'il y a plein de choses qui se passent en off,
23:22et nous, on a juste les 2% d'iceberg.
23:25En fait, barreau, c'est l'iceberg, c'est la sortie de l'iceberg,
23:27mais sinon, ce n'est pas ce qui se passe en dessous.
23:28Est-ce que je peux répondre à cette attaque ciblée et violente ?
23:30Répondez, et s'il vous plaît, laissez-le parler,
23:32laissez-le parler cette personne
23:34qui intéresse les auditeurs d'Europe 1,
23:37qui est aimée,
23:38qui est choyée, qui est vraiment
23:40quelqu'un en qui... Moi, vous savez,
23:42je vais vous dire la vérité. Vous savez,
23:44Dartigol vient de dire, il y a un instant,
23:46je ne bois pas le lundi.
23:48Eh bien moi, je ne cesserai jamais de boire vos paroles,
23:50Gauthier Lebrun.
23:52Ni le lundi, ni un autre jour.
23:53Je suis désolé de ne pas pouvoir faire une niqueur,
23:55mais c'est parce qu'à l'ivresse.
23:57Exactement. Oui, merci, calmez-vous, s'il vous plaît.
23:59Merci pour l'instant.
24:00Si vous plaît, je ne suis pas agressif,
24:03je m'entends très bien avec la femme de Gauthier Lebrun.
24:05Mais nous avons l'habitude.
24:08Nous travaillons en parfaite collaboration
24:09avec sa femme.
24:10En bonne intelligence.
24:11En bonne intelligence avec Madame Lebrun.
24:14Et je peux vous dire,
24:15Géraldine Maillet,
24:16on n'a pas besoin que vous veniez
24:17nous mettre les bâtons dans les ronds.
24:19Tout ça, c'est une grande fluidité.
24:21Exactement, il y a une grande fluidité
24:22entre la femme de Gauthier et moi.
24:23On travaille en bonne intelligence.
24:25Main dans la main.
24:25Ça ne nous empêche même pas
24:26de vous retrouver le samedi.
24:27Après une semaine de dur labeur.
24:29pour essayer de porter Gauthier
24:30le plus loin possible.
24:31Voilà, exactement.
24:32Vous l'encadrez.
24:33Et après, on laisse s'envoler
24:35de ses propres ailes.
24:36Déjà, je n'ai même pas envie
24:39de répondre à Géraldine.
24:40Si je peux me permettre,
24:42ne regardez pas cette personne.
24:44Je ne veux pas que vos yeux
24:46vraiment se posent sur elle.
24:48C'est vrai, c'est vrai.
24:50Regardez-moi,
24:50et parlez avant tout
24:51à ceux qui vous intéressent.
24:53Pourtant, la question est pertinente.
24:55À ceux pour qui vous vous levez
24:56tous les matins.
24:56Vous et les auditeurs ?
24:57Les Français.
24:58Les Français
24:59qui nous écoutent sur Europe.
25:02Géraldine Maillet,
25:03Valérie Benahim,
25:04ces gens-là,
25:05on ne les croise pas dans la rue.
25:06On ne les croise qu'ici.
25:08Donc, Gauthier Lebray,
25:08parlez à ceux qui nous écoutent
25:10et ceux
25:10à qui on a envie de parler.
25:12Merci.
25:13Vous, je vous avais oublié.
25:13Merci.
25:16Je ne veux pas personnaliser le débat
25:18comme Géraldine a tenté
25:19de le faire avec moi.
25:20Il y a deux lignes.
25:21Il y a deux lignes.
25:22Ce n'est pas Gauthier Lebray
25:23qui invente les deux lignes.
25:25Ce n'est pas Gauthier Lebray
25:25qui fait des leçons de diplomatie
25:27ou qui est omniscient.
25:28Il y a la ligne de la fermeté
25:30prônée par Bruno Rotaillot
25:32qui est tout simplement
25:33ministre de l'Intérieur.
25:34Donc, ça vaut le coup
25:35de l'écouter.
25:36Ce n'est pas Gauthier Lebray,
25:36c'est Bruno Rotaillot,
25:38ministre de l'Intérieur.
25:39Et d'ailleurs,
25:39il n'est pas seul
25:40à prôner cette ligne de fermeté.
25:42Il y a plusieurs partis politiques
25:43sur le spectre
25:45de l'Assemblée nationale.
25:46Une partie de Renaissance.
25:48Les Républicains
25:48qui ont été au gouvernement
25:49pendant de longues années.
25:51Le Rassemblement national.
25:52Tout ça, ce n'est pas Gauthier Lebray
25:53qui le met dans le débat public.
25:55Ça existe.
25:55Et ensuite, tu as ce,
25:56évidemment, tu as raison.
25:58Il y a la France insoumise
25:58qui se fait le relais
26:00d'Alger en France.
26:02Non, ce n'est pas caricatural.
26:03Quand le président Macron
26:05fait une allocution,
26:06il y a quelqu'un qui vient
26:06l'interrompre.
26:07Qui lui coupe la parole ?
26:08Il ne lui semble pas.
26:09L'interrompre ?
26:10Non, mais je suis...
26:10Vous avez cette sensation ?
26:11Non, mais vous voyez
26:12quelqu'un qui passe la tête.
26:13Française, Français.
26:15Emmanuel, je peux te parler ?
26:15Ça peut exister.
26:18Ceux qui tentent de parasiter
26:19des militants d'extrême-gauche,
26:20vous voyez,
26:21qui veulent mettre une banderole,
26:22qui ne respectent pas
26:22les institutions,
26:23ça, ça peut exister.
26:24Vous mettez un signe égal
26:25entre le président de la République
26:27et Gauthier Lebray ?
26:28Je n'ai pas un signe égal.
26:29Je m'ai un signe supérieur.
26:32Pour ceux qui connaissent
26:32un peu les mathématiques,
26:34je m'ai un signe supérieur ou égal.
26:36Oui, Valérie Benahim.
26:37Vous avez beau faire
26:38le salon du livre,
26:38on est des mathématiciens.
26:40Nous, nous sommes des scientifiques,
26:41Valérie Benahim.
26:42C'est votre côté littéraire.
26:43Je vous dis,
26:43votre côté littéraire.
26:45Écrivez des lettres
26:45pour aller vous faire employer ailleurs.
26:47Merci.
26:48Des lettres de motivation,
26:49ça va vous faire du bien.
26:50Avec Géraldine Maillet.
26:51Non, mais franchement.
26:52Merci en tout cas de...
26:53Tritel et Chiptel,
26:54allez vous faire engager
26:55ces balzaines.
26:55De faire respecter l'ordre
26:57dans cette émission.
26:58Merci.
26:58Gauthier Lebray,
26:59j'aimerais maintenant,
27:00quand vous parlez,
27:01j'aimerais vraiment
27:02vous annoncer mieux que ça.
27:03Comment mettre l'hymne national ?
27:05Avec une petite musique ou...
27:06L'hymne national.
27:09Sobriété.
27:10Patrie !
27:11Bonjour.
27:12Allez, on va écouter
27:13Gauthier Lebray
27:13pour son annoncution
27:15sur Paris dès 16h48.
27:16Priorité au direct.
27:18Le président
27:19dont marche sur la tête
27:20vous parle.
27:21Et donc,
27:22même des personnalités
27:24de gauche
27:24comme Arnaud Montebourg
27:25étaient pour serrer la vie,
27:27s'est proposé
27:27de bloquer
27:28les transferts de fonds
27:29par Western Union
27:30des diasporas
27:31vers le Maghreb.
27:32Arnaud Montebourg,
27:33qui a été ministre
27:34de l'économie
27:34de François Hollande.
27:35Je vois qu'on vous parlait
27:37et je fais
27:37un,
27:38un,
27:39un,
27:39un,
27:40un,
27:40un.
27:40Non.
27:40J'ai même pas le droit
27:41d'opiné du chef ?
27:41Il n'y a pas de gestuelle.
27:44Il n'y a pas de...
27:45Je suis en musée Grévin.
27:48Est-ce qu'on peut nous distribuer
27:49le protocole ?
27:50Qu'est-ce qu'on peut faire
27:50et pas de faire ?
27:51Vous recevrez une petite circule
27:53dans le courant de la soirée.
27:56C'est le silence.
27:58Le silence.
27:58Le silence.
27:59C'est une règle.
28:00Le silence.
28:00C'est simple à respecter.
28:02Est-ce qu'il faut qu'on baisse
28:02les yeux ou pas ?
28:03Regardez plutôt,
28:05regardez l'horizon
28:06et regardez le mur
28:07dans lequel vous allez.
28:12Et donc,
28:12les seuls,
28:13au fond,
28:13sur l'échiquier,
28:14on sent quand même
28:14un malaise du PS
28:15qui semble pas trouver
28:16la bonne position
28:17face à l'Algérie.
28:18La France insoumise,
28:19ça,
28:19c'est très clair,
28:20c'est la compromission absolue.
28:22C'est d'ailleurs,
28:23je l'ai dit plusieurs fois,
28:24le parti devrait changer de nom
28:25et se rebaptiser
28:26l'Algérie insoumise,
28:27ça irait plus vite.
28:28C'est nouveau ça ?
28:29Oui,
28:29je l'avais dit,
28:30oui.
28:30Absolument.
28:32Vous pouvez le noter,
28:33vous le gardez ?
28:34Je le note.
28:35Oui,
28:36c'est très bien.
28:38Quand il y a un bras de fer
28:39entre deux pays
28:39et que tu choisis
28:40en permanence
28:41le camp d'en face,
28:42il y a quand même
28:42un sujet.
28:43Les intérêts de la France,
28:44me semble-t-il,
28:45doivent primer
28:45sur le jeu politique
28:47et le jeu électoraliste.
28:48Et donc,
28:49avec les écolos,
28:50puisque Marine Tondelier
28:51s'en était pris
28:52à Bruno Rotaillou
28:53quand il tentait
28:53d'expulser
28:54Doualem,
28:55notamment,
28:56ou d'autres personnes
28:57sous OQTF
28:57en disant
28:58c'est pas des colis
28:58la redoute,
28:59avec les écolos,
28:59ils font la paire.
29:00Donc,
29:01tu as deux possibilités.
29:02Il n'y en a pas deux.
29:03La molesse
29:04prônée par
29:05le quai d'Orsay
29:06depuis longtemps,
29:07c'est-à-dire
29:07le retour à la normale
29:08de nos rapports.
29:10Alors justement,
29:10ce qui est des filles
29:11à râgir,
29:12ils ont dit
29:12j'appelle à ce que
29:13les deux présidents
29:14se reparlent tout de suite
29:15et qu'on ne laisse pas faire
29:15Bruno Rotaillou.
29:16Ça veut bien dire ?
29:17Voilà.
29:18Comme à chaque fois.
29:18Donc,
29:19tout ça pour dire
29:19que ça n'a rien à voir
29:20avec moi,
29:20mais ce n'est pas la première fois
29:21que tu tentes de personnaliser
29:22le débat.
29:23Moi,
29:23je ne suis qu'un observateur,
29:25un commentateur.
29:26Aguerri.
29:26Si tu le dis.
29:27Mais ne tente pas
29:28de te racheter.
29:29Non,
29:29non,
29:30plutôt,
29:30tu es un sœur.
29:31Mais voilà,
29:31c'est tout.
29:32Et je vois juste
29:33les résultats
29:34de cette politique
29:35depuis 15 jours
29:36qui est une politique
29:36de retour à la normale
29:37et je trouve que
29:38250 000 visas
29:40en échange
29:40d'aucun laissé-passer consulaire
29:41alors qu'on n'a toujours
29:43pas voile à l'Eme Sansal
29:43et qu'on va nous renvoyer
29:4512 Français
29:45qui étaient prévus
29:46à l'ambassade
29:47qui étaient à la base de France.
29:47On a baissé notre culotte.
29:48C'est comme un déséquilibre.
29:50Bien sûr.
29:50Tu donnes 250 000 visas
29:51d'un côté
29:52et tu reçois des insultes
29:53de l'autre.
29:53Moi,
29:53ce que je ne comprends pas,
29:55ce que je ne comprends pas,
29:55je vais vous dire,
29:56Gauthier Lebré,
29:56parce que j'aimerais bien
29:57qu'on parle,
29:58vous et moi.
29:59Avec grand plaisir,
30:00Cyril.
30:00Ce que je comprends...
30:01S'il vous plaît,
30:01oh,
30:03je suis que ça,
30:04s'il vous plaît.
30:07Gauthier,
30:07je ne comprends pas
30:08ce que veulent ces gens
30:09qui sont des parasites
30:12qui sont avec nous
30:13actuellement.
30:14Ah oui,
30:14qui nous parasitent.
30:16Non mais franchement,
30:17Gauthier Lebré,
30:19on va se dire la vérité,
30:19je ne comprends pas
30:20en fait ce que veulent ces gens.
30:22Ils n'avouent pas
30:23que ça a été un échec total.
30:25Je ne comprends pas.
30:25Je ne comprends pas
30:26ce qu'il leur faut.
30:26J'ai trouvé quand même
30:27un peu un amendement
30:29du côté de...
30:30D'Artigol,
30:30je le mets à part.
30:31D'Artigol,
30:31c'est un ami.
30:32Mais même Valérie,
30:32Valérie,
30:33c'est un sexe jardiné.
30:34Non,
30:34non,
30:34non,
30:35non,
30:35non,
30:35on va toujours
30:36à vouloir rester
30:36avec les meufs,
30:37lui.
30:38On ne sait jamais,
30:39sur un malentendu,
30:40je peux toujours marcher.
30:41À lui,
30:42si on ne sait jamais,
30:43sans rigoler,
30:44on dirait Michel Blanc
30:45quand il arrive dans la grotte,
30:46là,
30:46tu sais,
30:46j'entends le bruit
30:47d'une bête.
30:49Très loup.
30:50Non,
30:50mais bon,
30:50je vous l'explique.
30:51Est-ce qu'on peut se dire
30:52quand même que malgré tout...
30:52Non,
30:53mais oh,
30:53je parle là,
30:54Bénaïm.
30:54Non,
30:54mais Bénaïm,
30:55il y a des règles.
30:56Le respect du protocole.
30:57Oh,
30:57Bénaïm,
30:58je vous le dis Bénaïm,
30:59je vous le dis
31:00comme je le pense.
31:02Bénaïm,
31:02vous êtes sur une ponte savonneuse.
31:04Je n'aurais jamais fait ça.
31:06J'avais une prof
31:08qui ne faisait que dire ça.
31:09Vous êtes sur une ponte savonneuse,
31:10c'est horrible.
31:10Bénaïm,
31:10vous êtes sur une ponte savonneuse.
31:12J'ai cru avoir une brèche.
31:14Ou vous mettez un coup de collier
31:15dans ce 3ème trimestre.
31:17Ou bien je peux vous dire
31:18que ça va très mal se passer
31:19pour vous la fin d'année.
31:20Non,
31:20mais je vous le dis Bénaïm.
31:22Non,
31:23mais je vous le dis Bénaïm.
31:24C'est la dernière fois.
31:25La dernière,
31:26dernière.
31:26Non,
31:26mais Bénaïm,
31:27j'ai cru voir un interstice.
31:29Je me suis engouffré.
31:31Vous reculez.
31:34Vous reculez.
31:34Je vous le dis.
31:35Vous reculez.
31:36Est-ce que je peux ?
31:37Non,
31:38on s'en fout.
31:39On s'en fout.
31:39Je vais prendre des auditeurs.
31:40Je préfère nettement
31:41les auditeurs.
31:42On avait commencé une conversation
31:43mais on a été interrompu.
31:45Entre génie.
31:45C'est insupportable.
31:46Exactement.
31:46On va être obligés
31:47de se voir ce soir.
31:49Avec plaisir.
31:51Après votre émission,
31:52si vous voulez,
31:52je peux venir vous chercher.
31:53Avec grand plaisir.
31:54Vous voyez aussi
31:54hors antenne à 23h30.
31:56Je vais vous reculer.
31:57Est-ce qu'on peut avoir
31:58une discussion ?
31:59entre gens sérieux ?
32:00Oui, les mecs.
32:01Non mais où ?
32:02Franchement,
32:02Bénaïm,
32:02où vous réussissez ?
32:04On va arrêter tout de suite
32:05notre collaboration.
32:06De ce pas.
32:07À 16h53,
32:08ce sera la fin d'une époque.
32:10Je vous le dis.
32:11Ça va ?
32:12D'Artigol,
32:12vous continuez les dessins ?
32:13Oui,
32:14du coloriage.
32:16J'attends que ça passe.
32:17Je vais donner du coloriage
32:18pendant l'émission.
32:19Il faut aussi un marteau.
32:20J'essaie de retrouver
32:20la voie diplomatique.
32:22Allez,
32:23Jean-Pierre est avec nous.
32:25Jean-Pierre Durone.
32:26J'espère que Jean-Pierre
32:26va dire ce qu'il pense
32:27de ces gens-là
32:28qui m'entourent
32:29et qui me...
32:30Franchement,
32:30je vous le dis.
32:31Ils me nivellent vers le bas.
32:31Non mais ils me nivellent.
32:32Mais quand vers le bas,
32:33ils me nivellent sous terre.
32:34Allez,
32:35Jean-Pierre,
32:35merci d'être là.
32:36Bonjour Jean-Pierre.
32:37Bonjour Cyril,
32:38bonjour Gauthier,
32:38bonjour Gauthier.
32:39Bonjour Jean-Pierre.
32:39Bonjour Jean-Pierre.
32:39Merci.
32:44Jean-Pierre,
32:44franchement,
32:45c'est pas difficile.
32:46Il a dit
32:46bonjour Cyril,
32:47bonjour Gauthier,
32:48bonjour les guimots.
32:49Jean-Pierre,
32:50on en rigole,
32:52mais on n'en peut plus
32:52de ces gens.
32:53Non mais c'est où
32:54ça devient dangereux.
32:55Alors avant de parler
32:56de Barreau,
32:57je trouve que c'est bientôt
32:58plus dangereux
33:00que ce qui est en train
33:01de nous faire Barreau,
33:01là,
33:01ce qu'on entend.
33:02Oui,
33:03je suis d'accord.
33:03Attention Cyril,
33:04je pense qu'il y a eu
33:06une infiltration
33:07quelque part,
33:08c'est la révolte
33:10de la Guimove.
33:10Alors,
33:11il y a cette force
33:12Géraldine,
33:13Maillet et
33:15Bélaïm,
33:16oui.
33:16Bélaïm et Valéry,
33:18qui, bon,
33:19forcément,
33:19facilement ont réussi
33:21à embarquer avec elle
33:22le Guimove rouge.
33:27Il est excellent,
33:28Jean-Pierre.
33:30Je vous laisse gérer ça,
33:32Cyril.
33:34Il va falloir sévire.
33:35Jean-Pierre,
33:36j'aimerais que vous restiez
33:37avec nous,
33:37parce qu'on va parler
33:38de l'Algérie avec vous
33:38dans un instant,
33:39on va rester avec nous
33:39sur Europe 1.
33:40Il est excellent,
33:41Jean-Pierre.
33:41Franchement,
33:42je suis très heureux
33:42de vous avoir.
33:42Il a tout résumé.
33:43Il a tout résumé.
33:440,1,
33:4480,
33:4420,
33:4539,
33:4521.
33:46Et quel est le message
33:47de Jean-Pierre ?
33:47Quel est le message
33:49de Jean-Pierre ?
33:49Il me demande
33:50de serrer la vis.
33:51Voilà ce que me demande
33:52Jean-Pierre.
33:52Voilà ce que me demandent
33:53les auditeurs de Rampin.
33:54Voilà.
33:55Parce qu'ils ont très bien vu
33:57cet axe du mal
33:58qui est en train...
33:59Cette agressivité ?
34:00Exactement.
34:01Cet axe du mal.
34:01Vous avez vu ?
34:02Ça vient toujours
34:02du même côté.
34:03Bien sûr.
34:04Et alors,
34:05elles étaient deux,
34:05Frittel et Schiltel.
34:06Et là,
34:07il y a Monsieur Plus.
34:09Ce n'est pas le plus agressif
34:10de la bande.
34:10Ce n'est pas le plus agressif,
34:11mais c'est le plus sournois.
34:13Attention à lui.
34:15Attention à lui.
34:16Reste avec nous.
34:17Je suis un homme.
34:17A tout de suite.
34:21Europe 1,
34:2216h-18h,
34:24on marchait sur la tête.