Le choix du diplomate algérien Amar Bendjama de s’exprimer en anglais devant le Conseil de sécurité de l’ONU a visiblement surpris plus d’un. Mais c’est surtout le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, qui s’est fait remarquer… sans dire un mot.
Dans une séquence captée par les caméras et largement partagée sur les réseaux sociaux, on observe clairement la mine déconcertée du ministre français, visiblement interpellé par cette prise de parole inhabituelle.
Le français, langue diplomatique historique entre Paris et Alger, a été écarté au profit de l’anglais, une langue que l’Algérie cherche justement à promouvoir dans son système éducatif depuis 2022.
La réforme, impulsée par le président Tebboune, introduit l’anglais dès la 3e année du primaire. Une stratégie appuyée par le Royaume-Uni, prêt à accompagner Alger dans cette transition. Mais dans les cercles francophones, ce virage est vu par certains comme une prise de distance symbolique. Et le visage de Jean-Noël Barrot, à cet instant précis, en dit long sur ce glissement linguistique.
Dans une séquence captée par les caméras et largement partagée sur les réseaux sociaux, on observe clairement la mine déconcertée du ministre français, visiblement interpellé par cette prise de parole inhabituelle.
Le français, langue diplomatique historique entre Paris et Alger, a été écarté au profit de l’anglais, une langue que l’Algérie cherche justement à promouvoir dans son système éducatif depuis 2022.
La réforme, impulsée par le président Tebboune, introduit l’anglais dès la 3e année du primaire. Une stratégie appuyée par le Royaume-Uni, prêt à accompagner Alger dans cette transition. Mais dans les cercles francophones, ce virage est vu par certains comme une prise de distance symbolique. Et le visage de Jean-Noël Barrot, à cet instant précis, en dit long sur ce glissement linguistique.
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00:00Cette inertie inacceptable de ce Conseil depuis plus d'un an face à la tragédie palestinienne.
00:11Je ne citerai que deux chiffres.
00:16Ces deux derniers mois, nous avons assisté à la mort de 2273 palestiniens.
00:30Et près de 6 000 blessés.
00:38Monsieur le Président, j'aimerais sincèrement remercier le secrétaire général pour son exposé et pour les efforts qu'il déploie sans relâche afin d'alléger les souffrances du peuple palestinien.
01:00Et de mettre fin à l'agression israélienne acharnée contre une population civile sans défense.
01:08Ces efforts que nous applaudissons du fond du cœur, malheureusement, n'ont rien entamé la détermination de la puissance occupante israélienne
01:25qui reste bien décidée à mener à bien cette campagne mortifère.