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Ras-le-bol pour Jean-François Sababady, planteur de cannes connu de la profession. Depuis le passage de Garance, impossible pour lui d'accéder à ses champs. Ce matin, il a organisé une action devant son exploitation de Saint-André, avec le soutien de ses collègues.

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Transcription
00:00Le champ est impraticable parce que le facture ne peut pas rentrer, ni pour désherber, ni pour mettre l'engrais.
00:06Là, par rapport au cyclone, j'aurais dû déjà intervenir, mais par rapport au fil,
00:11mais là, sur 7 hectares, à 1 hectare, disons, je pourrais relancer,
00:16je pourrais récupérer au moins avec l'irrigation à 25-30 tonnes hectares,
00:20mais là sur 7 hectares, ça fait peut-être 200 tonnes, en plus des paires, c'est peut-être 200 tonnes que je vais perdre.
00:26La semaine dernière, j'ai déjà intervenu, le commandant dit, il prend en main, là, je n'ai toujours pris toujours rien,
00:32mais il faut arrêter, mais quand je rentre dans mon champ, mais moi, personnellement, je ne peux plus intervenir,
00:36je ne peux plus mettre 500 euros l'engrais encore, à deux mois de la compagnie supérieure,
00:42à remettre 200 euros par tonne pour l'imbécile, pour désherber, ça ne sert plus rien,
00:48pour mettre encore les salariés dedans, alors que, après le cyclone, si j'avais intervenu,
00:52mais quand on avait l'engrais, il aurait peut-être un peu plus grand, mais ça, ils doivent très vite comprendre,
00:57parce que maintenant, se retourner contre moi, ça sera un peu facile,
01:01ça sera très compliqué pour la mairie, pour les opérateurs, de dire que c'est de ma faute.
01:06J'ai interdit un camion de lever ses fils, il faudra avant déterminer les responsables,
01:13de quantifier les pertes, et de me donner le montant conséquent.

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