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00:00Il est 20h14 sur Europe 1, Julien Audou, député Rennes de Lyon et porte-parole du Rassemblement National est installé dans ce studio.
00:06Bonsoir Julien Audou.
00:06Bonsoir.
00:07Et on commençait déjà à discuter pendant la pause de l'actualité qui nous a marqués.
00:12Évidemment, on va revenir sur les événements d'hier.
00:16On va résumer, les auditeurs sont au courant de ce qui s'est passé, c'est-à-dire que les manifestations ont dégénéré,
00:22avec des casseurs qui se sont invités dans les cortèges.
00:26Julien Audou, question, le 1er mai est-il devenu finalement une journée de violence et de casse avant d'être à la journée des travailleurs ?
00:36Malheureusement, comme toutes les manifestations en France, cette journée a été prise en otage par l'extrême-gauche.
00:42Tout simplement, l'extrême-gauche, les milices, les Black Blocs, qui sont le bras armé de la France insoumise, il faut bien le dire.
00:49Mais on a l'impression de s'étonner de cette situation depuis 2022, même avant.
00:53Mélenchon et LFI, en fait, ont fait de la violence un mode d'action politique.
00:59Violence verbale, outrance, sectarisme, voire violence physique.
01:04Donc aujourd'hui, les alliés de LFI, qu'ils soient écologistes, socialistes ou autres, subissent cette violence.
01:12Ils la subissent.
01:14Jérôme Gage constate une nouvelle fois qu'effectivement, LFI est le parti antisémite qui a dansé...
01:21Il vous a choqué de voir Jérôme Gage sorti manu militari de cette manifestation, surtout que ce n'était pas la première fois qu'il se faisait exclure, violemment.
01:32Alors écoutez, Jérôme Gage, effectivement, on peut avoir, j'allais dire, un peu de compassion pour lui.
01:39Je n'en ai pas du tout pour les socialistes.
01:40Les socialistes ont nourri la bête immonde.
01:44Ils ont fait alliance avec LFI au moment des législatives pour avoir quelques postes.
01:48Ils n'ont rien dit pendant des mois et des mois.
01:49Pierre Jouvet, je le dis aux auditeurs d'Europe 1, pardon, Julien Audou, c'est engagé tout à l'heure.
01:54C'est engagé tout à l'heure.
01:55Il n'y aura pas d'alliance en des prochaines élections avec LFI.
01:58Vous repasserez la bande lors de la prochaine dissolution ou à une autre élection.
02:03Et vous verrez que, pour avoir quelques députés supplémentaires, ils feront alliance avec LFI.
02:08Et puis, moi, j'aime bien ces gens-là, en fait, qui condamnent la violence politique, la brutalité des milices d'extrême-gauche.
02:16Qu'est-ce qu'ils ont fait, en fait, avec les journalistes de frontière à l'Assemblée nationale ?
02:19Comme vous avez la députée socialiste, Mme Rouault, qui vient plaquer une jeune journaliste contre un mur.
02:27Alors, voilà, ils sont, eux aussi, j'allais dire, à la fois victimes, mais ils cautionnent et ils mettent en pratique cette violence qui est intolérable.
02:35Violence et antisémitisme.
02:37Et antisémitisme, ça fait partie du corpus de la France insoumise, on le voit, mais j'allais dire...
02:44Et les drapeaux palestiniens dans les cortèges pour la fête du travail.
02:46On ne s'en étonne plus.
02:48Vous voyez, Julien Audou, c'est bien ça le problème, c'est que ça va rentrer, voilà, on va s'y habituer.
02:54Et voilà, il va falloir s'habituer au drapeau palestinien, pardon, à la place du drapeau français dans les cortèges de l'extrême-gauche.
02:59Il va falloir s'habituer à de l'antisémitisme primaire.
03:02Non, mais il est hors de question de s'habituer à ça, Julien Audou est bien d'accord.
03:05Bien sûr, mais pardonne-moi, mais la responsabilité...
03:08Pourquoi l'extrême-gauche est aussi forte dans notre pays ?
03:11Pourquoi elle est aussi représentée à l'Assemblée nationale ?
03:14C'est parce que vous avez des gens comme Gabriel Attal, que vous avez des partis comme Renaissance,
03:19ou aujourd'hui Ensemble pour la République, le parti Macroniste, qui ont fait élire ces gens-là,
03:24qui se sont désistés pour faire entrer Raphaël Arnaud.
03:27Et il a réussi à remporter la timbale du vieux tutile en 2022, et depuis a pris le leadership sur la gauche.
03:33Ce leadership est quand même largement remis en cause aujourd'hui.
03:37Moi, je pense que vous pourrez repasser la déclaration du numéro 2 du PS.
03:40J'ai demandé à Adrien Bagé et à Stéphane de mettre ça de côté, je vous jure, Pierre Jouvet.
03:46Oui, mais Pascal, je crois vraiment qu'au point où ils en sont rendus,
03:49il n'est plus concevable pour le PS de s'allier avec les filles.
03:52Alors ça causera plein d'autres problèmes, parce que ça, de facto, ça diminuera,
03:57si on a une dissolution à l'automne, par exemple,
03:59ça diminuera objectivement le nombre de députés de gauche, racontons pas d'histoire.
04:03Les mêmes avaient dit ça après le 7 octobre,
04:05les mêmes avaient dit ça après les déclarations de Daniel Obono,
04:09après Mathilde Panot, qui ne voulait pas dire que le Hamas était un mouvement terroriste,
04:13qui disait que le Hamas était un mouvement de résistance.
04:16Les mêmes étaient outrés en disant plus jamais à LFI,
04:18pourtant, quelques mois après, ils étaient main dans la main dans le nouveau fonds populaire.
04:22Donc, à un moment donné, stop, il y a d'hypocrisie derrière ces gens-là,
04:25qui préfèrent la timbale, qui préfèrent les postes, les yamels,
04:29plutôt que leur valeur et leur conviction.
04:31Ça doit être préféré les postes dans la classe politique,
04:32ils ne sont pas exactement les seuls.
04:34Si vous lisez les textes du Congrès du Parti Socialiste, je vous y encourage,
04:39vous verrez qu'ils sont tous d'accord sur le fait de ne plus faire d'alliances avec LFI.
04:44Je pense que le Parti Socialiste ne pourrait pas résister.
04:47Olivier Faure, je ne suis pas sûr.
04:48Olivier Faure est plus timoré, mais vous verrez que...
04:52Ça fait régler au doux, l'univers.
04:54Le problème LFI est réglé au PS, en réalité.
04:57Le problème est de savoir...
04:58En fait, le vrai problème de la gauche, ce n'est pas le PS ou LFI.
05:01Le vrai problème de la gauche, c'est les écologistes.
05:03S'il y a eu le nouveau Front Populaire, tout le monde...
05:06Marine Tondelier, je voudrais deux secondes sur elle.
05:09Marine Tondelier paraît très gentille.
05:11Mais on va laisser la parole à Julien Rondoul.
05:13La vraie responsable du nouveau Front Populaire, c'est Marine Tondelier.
05:16Qui a obligé le PS à faire alliance avec LFI en disant qu'elle ne voulait pas partir à LFI.
05:21Excusez-moi, on parle pas de Marine Tondelier, là ?
05:24Oui.
05:24J'ai l'impression qu'elle est présidente mondiale, qui a obligé Marine Tondelier.
05:30Elle n'a jamais obligé qui que ce soit.
05:33Elle n'a même pas obligé, en fait, la cabine téléphonique qui l'a fait élire secrétaire nationale des Verts.
05:39Mais très clairement, c'est parce que les socialistes ont considéré que pour leur utilité,
05:44que pour leurs intérêts propres et pour leur groupe, il fallait constituer cette alliance.
05:49Tout simplement.
05:50Voilà, encore une fois, ils doivent aujourd'hui en assumer les conséquences politiques.
05:54Bon, et LFI qui attaque aussi l'État et qui l'accuse d'islamophobie.
05:58Évidemment, en marge de ce qui s'est passé dans cette mosquée du Gard,
06:00vous savez, cet assassinat d'un fidèle qui est prié dans la mosquée.
06:06La procureure, ce soir, annonce, au semble-t-il, que ça n'a strictement rien à voir avec sa religion.
06:11Il s'agit d'un... C'est ce qu'a dit la procureure, vous me dites, Philippe Bibert.
06:16C'est ce qu'a dit la procureure, que c'était un fou qui cherchait à tuer n'importe qui, n'importe quoi.
06:21Voilà, donc...
06:22Juste d'un mot...
06:23Attendez, vous voulez faire l'interview à la place de Julien Audoul ?
06:26Je suis désolée, c'est insupportable, Philippe Bibert.
06:29Julien Audoul, répondez.
06:31Porte-parole du RN.
06:32À en croire les propos de la procureure, on s'oriente manifestement vers un profil de déséquilibré.
06:38Ce qui apparaissait après les premières déclarations, c'est un déséquilibré,
06:44qui a commis véritablement un acte de barbarie, certes, mais qui, on va attendre évidemment la confirmation,
06:51qui ne serait pas motivé par sa haine des musulmans, par sa haine de l'islam.
06:55Donc on voit bien que la récupération outrancière de la France insoumise, de la gauche en général,
07:03qui, quelques minutes après, lançait l'opération rassemblement en place de la République,
07:08lançait les slogans lutte contre l'islamophobie, etc.
07:13Tout ça, en fait, ça fait pchit, tout simplement.
07:16On va parler un peu du rassemblement national.
07:19Il n'y a plus de rassemblement autour de la statue de Jeanne d'Arc.
07:21Donc c'est terminé pour le 1er mai, également.
07:24Il y a un hommage, toujours.
07:25Il y a un hommage, mais il n'y a plus de rassemblement.
07:27Marine Le Pen, Jordan Bardella ont rendu hommage à Jeanne d'Arc.
07:29Mais hier, ils étaient à Narbonne pour un meeting qui a réuni 8000 personnes.
07:34C'était quoi un peu le but de l'opération, d'unifier un peu le parti ?
07:38Déjà, c'est une tradition chez nous qu'il y ait un grand rassemblement, un grand meeting pour le 1er mai.
07:44Mais il faut reconnaître que c'est quelque chose d'inédit dans la classe politique hors période électorale.
07:51Qu'un parti arrive à rassembler 8000 personnes lors d'un meeting, c'est totalement extraordinaire.
07:58Et ce qui montre bien l'engouement, l'enthousiasme, l'adhésion qui est de plus en plus grande
08:04autour des idées du rassemblement national et des deux personnalités, Jordan Bardella et Marine Le Pen.
08:08Ah oui, mais c'est-à-dire que Jordan Bardella, qui est sorti dans la presse et qui a dit qu'il serait tout à fait le candidat
08:13pour remplacer Marine Le Pen si jamais elle ne pouvait pas y aller,
08:18ça a été pris comment au sein du rassemblement national ?
08:21En fait, ça a surpris que quelques journalistes, j'ai l'impression, parce que tous les adhérents, les militants,
08:27avaient conscience et avaient à l'esprit que si Marine Le Pen ne pouvait pas aller à la présidentielle
08:32pour n'importe quelle raison, c'était Jordan qui y allait et qui allait représenter le mouvement.
08:37Et nous, on est très fiers...
08:38Pas du tout, pas du tout, encore une fois, c'est une clarification, ça arrive très vite, 2027, ça arrive très vite,
08:45mais c'est quand même assez rassurant, et je pense que tous les autres partis nous envient
08:50d'avoir deux leaders de ce calibre qui, pour moi, c'est un homme d'État en devenir
08:57et une femme d'État qui sont potentiellement candidats à la présidentielle.
09:02Pourquoi vous n'en avez pas parlé lors de ce rassemblement devant 8000 personnes, ça n'a pas été évoqué ?
09:06Le cas d'empêchement de Marine Le Pen, le cas d'empêchement de Marine Le Pen...
09:10Non, mais ça avait été évoqué avant, vous savez, la répartition...
09:12C'est un énorme sujet quand même, c'est un gros dossier.
09:14La répartition des rôles, c'est un gros dossier.
09:18C'est un gros dossier pour vous, pour nous, c'était un secret de polichinelle.
09:23Et d'ailleurs, la répartition des rôles entre les deux a toujours été très claire.
09:26Au moment de la dissolution, c'était Jordan qui devait aller à Matignon.
09:30Non, si Marine est présidente de la République, demain, ce sera Jordan qui sera son premier ministre.
09:36Si par malheur, et nous le souhaitons pas et nous ferons tout pour que ça n'arrive pas,
09:41Marine Le Pen ne peut pas se présenter à l'élection présidentielle, ce sera Jordan.
09:44Et elle sera première ministre ?
09:46Ça, nous n'en savons rien, il est trop tôt pour le dire.
09:48Non, il n'est pas trop tôt pour anticiper les 27, vous venez de dire que c'était demain.
09:52Là, encore une fois, c'est la candidate naturelle.
09:54Elle est taquine, elle est taquine.
09:57Mais ce que je veux dire, c'est que la candidate naturelle, c'est Marine Le Pen.
10:01C'est celle qui a trois élections présidentielles au compteur,
10:05qui a rassemblé 13 millions de Français.
10:06Vous ne répondez pas du tout à ma question.
10:07Mais si, je vous le dis.
10:09Encore une fois, nous nous souhaitons et nous ferons tout pour que Marine Le Pen soit notre candidate en 2027.
10:14Mais ça, c'est la justice qui en décide.
10:16Oui, mais justement, et on verra d'ici à un an.
10:19Et nous ferons tout pour que Marine Le Pen fera tout pour prouver son innocence et être candidate à la présidentielle.
10:24Et c'est aussi un peu pour vous le coup d'envoi des élections municipales 2026.
10:28Vous avez choisi Narbonne pour le rassemblement hier, pas par hasard.
10:32Rien n'est pas hasard.
10:33Oui, bien sûr.
10:33Pourquoi Narbonne, Julien Audoul ?
10:35Mais Narbonne fait partie des villes, évidemment, que nous convoitons.
10:42Vous avez des chances de l'emporter ?
10:43On a des chances de l'emporter dans un certain nombre de grandes villes, effectivement, ou de villes moyennes.
10:50Je pourrais en citer une dizaine, mais très clairement, nous avons des prétentions pour, ne serait-ce que gagner des villes, pour prouver...
10:59Il ne voit pas, Philippe Guibert, il n'y a pas la dizaine.
11:01Il n'y a pas la dizaine, vous l'avez en mars 2026, alors on m'a laissé un peu de suspens.
11:06L'intérêt, c'est de la voir un peu venir avant.
11:08Comme 2027, c'est demain.
11:12Ah, 2026, c'est ce soir.
11:14C'est ce soir, et on sera là ce soir.
11:17Mais ce que je veux dire, c'est que nous avons évidemment de grandes ambitions pour ces municipales.
11:22Ce sera le dernier scrutin avant la présidentielle.
11:24Et nous avons déjà apliqué la politique de la preuve.
11:27C'est-à-dire que nos concitoyens ont vu ce que nous faisions au niveau local, à Hénin-Beaumont, à Ayange, à Bocaire, notamment à Perpignan, bien évidemment.
11:38À Perpignan, bien évidemment.
11:41Et donc, effectivement, ça participe de l'adhésion auprès de nos idées, de la gestion qui est la nôtre.
11:48Pour les municipales, le 2026, vous vous préparez.
11:51Non, mais c'est vrai, c'est demain.
11:52Qu'est-ce qu'il y a ?
11:52Nous nous préparons pour deux élections.
11:54La dissolution.
11:56Ah, la dissolution aussi.
11:56J'ai l'honneur de conduire la campagne des législatives anticipées que mon collègue Thomas Ménager.
12:02Et puis, oui, la dissolution qui peut intervenir à l'automne.
12:05Vous voyez les choses comment, qu'il y a de dissolution ?
12:07En cas de dissolution, nous aurons des candidats partout.
12:11Nous sommes prêts.
12:12Nous allons engager, nous allons engager, petite, évidemment, taquinerie de mon voisin de gauche.
12:20De mon voisin de gauche, on ne fera pas la liste.
12:23J'ai dit meilleur que la dernière fois sur les candidats aux législatives.
12:25On sera toujours meilleur que la dernière fois.
12:26Vous savez, plus d'années passent.
12:27Et plus on gagne en compétences.
12:32Mais vous le savez, des brebis galeuses, on en a eu dans tous les groupes, dans tous les partis.
12:36Malheureusement, chez nous, ça a des conséquences et une visibilité qu'il n'y a pas ailleurs.
12:42Il faut bien dire.
12:42C'est normal qu'on est en position de favori.
12:44Philippe Guibert.
12:45Oui, ce qui n'est pas normal, c'est le traitement différencié.
12:50Parce que, quand vous voyez la galerie des horreurs qu'on a eues chez LFI, notamment,
12:55les candidats antisémites, homophones, homisogènes et autres.
13:00Mais les vôtres, il est pas mal.
13:02Mais qu'on ait fait des erreurs, vous savez, on l'a dit très clairement, il y a eu des erreurs,
13:06il y a eu des recadrages.
13:07Et nous nous sommes professionnalisés sur la sélection des candidats, sur leur formation.
13:13Là, nous avons engagé un cycle de formation.
13:15Mais très sincèrement, c'était une minorité de candidats.
13:19Pas de candidats avec le choc de la lutte bâche.
13:21C'était un peu costaud, les brebis galeuses.
13:24Non, mais oui, on peut reprendre la liste de la LFI.
13:26Je suis la première à les dénoncer.
13:27Mais vous êtes l'une des seules.
13:30Parce que quand vous regardez dans la presse, notamment la presse régionale,
13:32a été très indulgente pour un petit peu mettre sous le tapis les profils suffireux.
13:37Mais c'est pas parce que LFI fait des conneries que ça justifie les vôtres.
13:40Vous savez, nous, dès qu'on a des brebis galeuses, elles sont exclues automatiquement.
13:44Oui, normalement.
13:44Chez LFI, en revanche, elles sont suspendues.
13:46Elles sont promues.
13:47Elles sont promues, suspendues un temps, puis réintégrées derrière la porte.
13:52Bon, donc le casting des législatives est lancé.
13:56Ah ben, il est lancé depuis quelques mois.
13:57Nous travaillons depuis le mois de septembre,
13:59où nous avons des candidats de très très bon niveau dans tous les départements
14:04et qui vont, là, aujourd'hui, commencer un cycle de formation.
14:09Formation sur la ligne politique, sur comment faire campagne,
14:11déjouer aussi les pièges médiatiques,
14:14parce que ça fait partie aussi du boulot.
14:17Donc nous serons prêts en cas de dissolution.
14:19En cas de dissolution, vous l'avez dit, peut-être à l'automne, dites-vous.
14:23Même en juillet, peut-être.
14:24Ça, c'est tout à fait rire.
14:24Oui, c'est possible.
14:25C'est possible.
14:26En juillet, c'est vrai.
14:27C'est vraiment pas mal.
14:28En juillet, c'est possible.
14:29Est-ce que vous avez une stratégie d'alliance différente ?
14:31Parce que, quand vous êtes tout seul ou presque tout seul...
14:33Alors, je vous explique.
14:34Il n'y en a plus le temps.
14:35En fait, il y a Hubert.
14:36Il vous est indénable ce soir.
14:37Je n'ai pas le temps.
14:37Ce soir, je suis à Constituent.
14:38Hubert, je ne sais pas ce qu'il a ce soir.
14:40Vous êtes indénable, on n'a malheureusement plus le temps.
14:42Il se léphise.
14:43Il se léphise.
14:43Il est hors de contrôle.
14:45Bon.
14:46Merci beaucoup, Jérôme Guille,
14:47pour l'envergure,
14:48d'être venu ce soir dans l'émission.

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