C’est toujours délicat d’exposer sa vision des choses, surtout si elle ne cadre pas l’histoire « officielle » enseignée aux enfants. Ca risque de créer une polémique, ou de provoquer un malaise moral, mais aucun risque ici en ce qui concerne la KOUNDALINI, puisque pratiquement personne ne sait de quoi il s’agit, et il est certain que ça ne les intéresse pas non plus. Quant aux témoignages d’éveil, hum… je n’en connais qu’un seul, et c’est celui de Gopi Krishna, (décédé en 1984 - publié par « Le courrier du livre ».), un yogi indien du Penjab, mystique, enseignant, réformateur social et devenu écrivain. Un seul sur une population de plus d’un milliard d’habitants ? Attendez ! C’est interpelant. Ne me dites pas que c’est le seul véritable témoignage sincère de la Koundalini ! On compte environ sept cent cinquante millions en Europe – cela signifie-t-il qu’il n’y a pas d’énergie vitale par ici ?
Impossible ! En fait, ces personnes n’osent pas sortir du bois, et je les comprends.
Le paradoxe est que le mot « énergie » est devenu un sujet banal, rebattu, et aussi bateau. Mais Dieu merci, il y a d’autres chemins à emprunter pour comprendre de quoi on parle exactement, sans pour autant se retrouver sur des voies de garage, et c’est ce que j’ai tenté de faire, en remontant très loin dans le temps, tout en laissant tomber des petits cailloux blancs derrière moi pour retrouver le chemin du retour ! C’est ce moment que l’on regrette de ne pas un voyant extralucide, mais quand on sait que ca tourne essentiellement autour du bonheur, de la santé , de l’amour et de l’argent, il faudrait appeler cela autrement. Alors, justement, il s’agit aussi de cela : les termes employés pour désigner, décrire et qualifier quelque chose, qui- avec le temps – nécessite d’être redéfini et d’être replacés dans leur contexte exact. Tout un programme. Voire un travail de bénédictin, car Il faudrait relever l'ensemble des mots de la langue française ainsi que les anglicismes, comme le fit James Murray au début du siècle pour l’Oxford English Dictionary
Impossible ! En fait, ces personnes n’osent pas sortir du bois, et je les comprends.
Le paradoxe est que le mot « énergie » est devenu un sujet banal, rebattu, et aussi bateau. Mais Dieu merci, il y a d’autres chemins à emprunter pour comprendre de quoi on parle exactement, sans pour autant se retrouver sur des voies de garage, et c’est ce que j’ai tenté de faire, en remontant très loin dans le temps, tout en laissant tomber des petits cailloux blancs derrière moi pour retrouver le chemin du retour ! C’est ce moment que l’on regrette de ne pas un voyant extralucide, mais quand on sait que ca tourne essentiellement autour du bonheur, de la santé , de l’amour et de l’argent, il faudrait appeler cela autrement. Alors, justement, il s’agit aussi de cela : les termes employés pour désigner, décrire et qualifier quelque chose, qui- avec le temps – nécessite d’être redéfini et d’être replacés dans leur contexte exact. Tout un programme. Voire un travail de bénédictin, car Il faudrait relever l'ensemble des mots de la langue française ainsi que les anglicismes, comme le fit James Murray au début du siècle pour l’Oxford English Dictionary
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Éducation