On a tous dans le coeur une fête foraine oubliée, une foire votive dans le village de nos vacances, cette ambiance de bulle bruyante avec des odeurs douceâtres ou de merguez grillées au coeur du village. Pas le festival un peu huppée ni la fête à thème. Non, la fête de chez nous avec un orchestre un peu favouille, des barraques où l'on met deux euros pour le "plaisir d'offrir" et la "joie de recevoir". Dans une station balnéaire ou un village de montagne, c'est toujours ce mélange de touristes en goguette, d'ados qui friment devant les filles en tapant trop fort avec les autos tamponneuse et de badauds qui déambulent. Villes-sur-Auzon et son immense place centrale de 8 mai, un grand espace au coeur du village circulaire autrefois occupé par des maisons démolies. Alors cela fait de la place pour les manèges, la scène pour les danseuses et les joueurs de boules qui ont cédé leur terrain pour quelques soirs.
Il ne manque que le "billard japonais" que j'avais découvert à Ronces-les-Bains.
Il ne manque que le "billard japonais" que j'avais découvert à Ronces-les-Bains.
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Musique