27 juin 2011. Robert Misrahi parle de la mort, la sienne envisagée, et de la jouissance du monde.
Ou comment évoquant de l'une, il il discourt encore et toujours sur l'autre, sur cette aptitude à convier sans cesse, pour que sa vie devienne une création.
Ou comment évoquant de l'une, il il discourt encore et toujours sur l'autre, sur cette aptitude à convier sans cesse, pour que sa vie devienne une création.
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