LE RACISME STRUCTUREL OU COMMENT ASSASSINER L'AVENIR DE NOS ENFANTS GRÂCE AUX MESSAGES SUBLIMINAUX DIFFUSÉS PAR LA TÉLÉVISION D'ETAT.
Ce cours extrait fait état du racisme institutionnel qui gangraine la publicité française depuis des décennies (sans occulter l'ensemble des médias français). Une fois de plus on se rend compte que la négrophobie - qui est une des émanations de ce racisme d'état - y occupe une bonne place.
Mais cette fois-ci il est possible que le postulat que nous avançons passera d'autant mieux que ceux sont les grands pontes de la publicité française qui l'admettent. Cela non sans s'être rendu complices de cette vaste fumisterie jusqu'en 1998 d'après leurs propres dires. Cependant il est dommage de constater que ce changement de cap n'est pas le fruit d'un humanisme soudain mais bien la conséquence d'un conflit d'intérêts financiers (les minorités étant dorénavant jugés bankable).
Pendant des décennies les minorités dites "visibles" étaient paradoxalement "invisibles" dans l'espace médiatique français. Pourtant c'est au sein de cette "Apartheid" médiatique que nombre d'enfants devenu aujourd'hui des adultes (perçus comme issus de l'immigration) ont du construire leur imaginaire confronté à la profonde négation où caricature d'eux même, dès lors ou ils n'appartenaient pas au groupe majoritaire. Aussi cet extrait semble donner tout son sens à l'expression "la réalité dépasse la fiction". Car bon nombre de ces enfants à qui le paysage médiatique français n'offrait aucun reflet positif d'eux-même on finit en marge d'une société française qui laissait clairement entendre qu'elle ne voulait pas d'eux (dixite les messages publicitaires).
COLLECTIF ANTI NÉGROPHOBIE (www.ancfrance.com )
Ce cours extrait fait état du racisme institutionnel qui gangraine la publicité française depuis des décennies (sans occulter l'ensemble des médias français). Une fois de plus on se rend compte que la négrophobie - qui est une des émanations de ce racisme d'état - y occupe une bonne place.
Mais cette fois-ci il est possible que le postulat que nous avançons passera d'autant mieux que ceux sont les grands pontes de la publicité française qui l'admettent. Cela non sans s'être rendu complices de cette vaste fumisterie jusqu'en 1998 d'après leurs propres dires. Cependant il est dommage de constater que ce changement de cap n'est pas le fruit d'un humanisme soudain mais bien la conséquence d'un conflit d'intérêts financiers (les minorités étant dorénavant jugés bankable).
Pendant des décennies les minorités dites "visibles" étaient paradoxalement "invisibles" dans l'espace médiatique français. Pourtant c'est au sein de cette "Apartheid" médiatique que nombre d'enfants devenu aujourd'hui des adultes (perçus comme issus de l'immigration) ont du construire leur imaginaire confronté à la profonde négation où caricature d'eux même, dès lors ou ils n'appartenaient pas au groupe majoritaire. Aussi cet extrait semble donner tout son sens à l'expression "la réalité dépasse la fiction". Car bon nombre de ces enfants à qui le paysage médiatique français n'offrait aucun reflet positif d'eux-même on finit en marge d'une société française qui laissait clairement entendre qu'elle ne voulait pas d'eux (dixite les messages publicitaires).
COLLECTIF ANTI NÉGROPHOBIE (www.ancfrance.com )
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