• il y a 12 ans
Source : http://www.youtube.com/watch?v=5mifhLsadMU

Voici le professeur Steven E. Jones, physicien. Écoutez ce qu'il raconte sur les incendies qui se produisaient à l'intérieur des Tours Jumelles le 11 septembre 2001 : « Les incendies à l'intérieur de ces tours produisaient une fumée gris-foncée, épaisse et presque noire ; ce qui indique des feux privés d'oxygène ».

J'aurais pensé qu'une personne diplômée en physique comprendrait à la base que lorsqu'un avion heurte ce bâtiment, le souffle de la boule de feu explose n'importe quelle fenêtre située dans la zone d'impact.

Je m'interroge sur la capacité de Steven E. Jones à observer les moindres détails. Regardez attentivement la fumée qui jaillit du sud de la tour, ce qui signifie que le vent soufflait régulièrement vers le sud ; depuis le moment des impacts des avions sur les tours jusqu'à leur effondrement, et plus tard jusqu'à la tombée de la nuit.

En résumé, avec les avions qui ont laissé des trous béants dans les tours, des fenêtres toutes volées en éclats dans la zone d'impact, et cette zone elle-même exposée au vent permanent à environ 300 m d'altitude ; l'air frais s'engouffrait à l'intérieur en alimentant abondamment les flammes en oxygène.

Notas :
- la fumée noire indique une combustion incomplète, ce qui n'empêche pas une élévation de température fragilisant considérablement la structure d'une tour en acier. A 800° C, les caractéristiques de résistance mécanique de l'acier sont divisées par 10 : www.bastison.net/Graphique/Images1/Acier.png
- une simple recherche de photographies des puits de pétrole en flammes et bien exposées au vent montre qu'une fumée noire n'est pas incompatible avec des feux intenses.

Plus d'informations sur le 11 septembre 2001 : http://perlesdu911.blog4ever.com