• il y a 17 ans
Biographie

Big Bill Broonzy est un guitariste et chanteur de blues américain (28 juin 1893, Scott (Mississippi) - 15 août 1958, (Chicago) dont le patronyme est William Lee Conley Broonzy

La guitare est introduite aux États-Unis par les vaqueros mexicains venus travailler au Texas. Elle devient très rapidement l’instrument de prédilection des musiciens et chanteurs de blues dès le début du XXe siècle.

Né dans une famille nombreuse de paysans, le jeune William Lee Conley, dit plus tard Big Bill Broonzy, joue d’abord du violon et du banjo lors des mariages et des fêtes familiales. Mais c’est en tant que guitariste qu’il commence sa carrière au milieu des années vingt à Chicago, enregistrant ses premiers 78 tours en 1926. Deux ans plus tard, il connaît son premier grand succès avec Big Bill Blues, qui lui assure une réputation qui durera jusqu’à sa mort.

Il enregistre plus de 300 faces de disque en vedette et autant en qualité d’accompagnateur d’autres grands bluesmen (Washboard Sam, Jazz Gillum, Memphis Slim, entre autres). Chanteur à la voix forte, claire et prenante, au ton déclamatoire, il est un guitariste complet, véloce et bondissant dont le style innovant sera abondamment imité. Son immense talent et sa personnalité chaleureuse le rendent populaire auprès de la communauté noire de la ville de Chicago, pendant la période (1930-1942) qui représente l’âge d’or du « Chicago blues ». Après la guerre, son style devient moins fruste, plus policé, urbain et électrifié. Il est l’un des premiers bluesmen à venir en Europe et notamment en France (1951), et nul autre que lui n’aura eu plus d’importance pour la propagation du blues au moment où celui-ci semblait en voie de disparition. Doté d’un remarquable sens commercial, il abandonne alors sa guitare électrique et sa section rythmique pour revenir à la formule soliste des origines et se présente comme « un laboureur noir du Sud » ou comme « le dernier des bluesmen vivants » interprétant les vieux chants folkloriques du Sud. Dans le disque Hollerin’ and Cryin’ the Blues (enregistré en France), il chante le célèbre « Baby Please Don’t Go », des « traditionnels » comme « John Henry » ou le « spiritual « » Nobody Knows ». Figurent également des extraits d’un de ses concerts à la Salle Pleyel avec la participation du grand pianiste Blind John Davis.

Ce grand créateur du blues meurt en 1958 un peu oublié dans la Cité des vents (Chicago) mais salué par toute la presse dans une Europe qui s’est mise à l’heure du « blues revival »

source--Wikipédia

How Do You Want It Done

Why don't you tell me, lovin' mama, how you want you're rollin' done?
Why don't you tell me, lovin' mama, how you want you're rollin' done?
Lord, I give you satisfaction, now, if it's all night long

Lord, I got up this morning just about the break of day
Lord, I got up this morning just about the break of day
Lord, I'm thinkin' 'bout my baby, Lord, the one that went away

I got me a little brownskin, just as sweet as she can be
I got me a little brownskin, just as sweet as she can be
Lord, she low and she squatty, but she's alright with me

Now you can put me in the alley, my gal's name is Sally
You wake me up in the mornin', mama, I still got that old habit
Why don't you tell me, how you want it done
Now, I give you satisfaction, now if it's all night long

Lord, some of these old mornings, mama, Lord, it won't be long
Lord, some of these old mornings, mama, Lord, it won't be long
Lord, I know you gonna call me, mama, Lord, and I'll be there

Category

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Musique