http://www.diasporasaharaoui.com/
https://plus.google.com/u/0/110361200442259643905/posts
« Le meilleur rempart contre la corruption est le régime démocratique, soit essentiellement la transparence, les contre-pouvoirs et les contrôles qui s’imposent pour empêcher les gardiens du trésor de puiser dans la caisse », c’est en ces termes que l’expert pétrolier Nicolas Sarkis, directeur du Centre Arabe d’Etudes Pétrolières (APRC, Arab Petroleum Research Center) et directeur de la revue « Le Pétrole et le Gaz Arabes », a diagnostiqué la corruption, ce mal qui ronge l’Algérie notamment dans le secteur des hydrocarbures à travers les scandales Sonatrach 1 et Sonatrach 2.
Dans un long entretien accordé au quotidien francophone Le Soir d’Algérie, cet expert estime que « la prévarication et les détournements de fonds dont il est question » en Algérie, « n’auraient certainement pas pu se produire s’il n’y avait pas eu, pendant cette période et dans le secteur des hydrocarbures, une telle concentration des pouvoirs entre les mains d’un seul homme et une telle opacité dans les mécanismes de prise de décision », a-t-il expliqué en regrettant la mise à l’écart des « centaines de cadres qualifiés de Sonatrach ». Ces derniers « étaient systématiquement poussés vers la sortie », rappelle-t-il. « Il est du reste anormal, pour le moins qu’on puisse dire, que le Conseil national de l’énergie reste à l’écart et que les élites algériennes n’occupent pas toute la place qui leur revient dans la réflexion sur l’avenir énergétique de leur pays », a-t-il poursuivi pour expliquer l’opacité de la gestion de la rente pétrolière par les autorités algériennes favorise encore davantage la propagation de la corruption.
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« Le meilleur rempart contre la corruption est le régime démocratique, soit essentiellement la transparence, les contre-pouvoirs et les contrôles qui s’imposent pour empêcher les gardiens du trésor de puiser dans la caisse », c’est en ces termes que l’expert pétrolier Nicolas Sarkis, directeur du Centre Arabe d’Etudes Pétrolières (APRC, Arab Petroleum Research Center) et directeur de la revue « Le Pétrole et le Gaz Arabes », a diagnostiqué la corruption, ce mal qui ronge l’Algérie notamment dans le secteur des hydrocarbures à travers les scandales Sonatrach 1 et Sonatrach 2.
Dans un long entretien accordé au quotidien francophone Le Soir d’Algérie, cet expert estime que « la prévarication et les détournements de fonds dont il est question » en Algérie, « n’auraient certainement pas pu se produire s’il n’y avait pas eu, pendant cette période et dans le secteur des hydrocarbures, une telle concentration des pouvoirs entre les mains d’un seul homme et une telle opacité dans les mécanismes de prise de décision », a-t-il expliqué en regrettant la mise à l’écart des « centaines de cadres qualifiés de Sonatrach ». Ces derniers « étaient systématiquement poussés vers la sortie », rappelle-t-il. « Il est du reste anormal, pour le moins qu’on puisse dire, que le Conseil national de l’énergie reste à l’écart et que les élites algériennes n’occupent pas toute la place qui leur revient dans la réflexion sur l’avenir énergétique de leur pays », a-t-il poursuivi pour expliquer l’opacité de la gestion de la rente pétrolière par les autorités algériennes favorise encore davantage la propagation de la corruption.
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