« Un essai mi sérieux mi clownesque pour traduire « en corps » la multitude des langages. Moyens de communication tous azimuts entre humains de tous bords. Trois êtres se croisent, se rencontrent, s’affrontent, essaient maladroitement de communiquer, s’interpellent, se confrontent, s’appellent, s’aident, se nient, se heurtent, les corps se mêlent, se battent, s’emmêlent, se confondent,…
Tout un spectacle pour dire ou redire sur un mode burlesque et touchant la difficulté d’être, la difficulté de la rencontre, la difficulté de créer un couple, le couple dans son infini manque, l’infinie déception de ne pas arriver à la fusion, à la communication fusionnelle ou même seulement partielle ou partiale… Les personnages s’agrippent, s’attachent, se détachent, le cri fuse ou reste avorté, la voix fuse ou reste coincée au fond de la gorge, … Un spectacle pour dire l’extrême fragilité de l’être, l’extrême fragilité des relations humaines, l’infini et maladroit chagrin de l’échec, l’émouvante tentative de renouer sans cesse… » Catherine Simon
Tout un spectacle pour dire ou redire sur un mode burlesque et touchant la difficulté d’être, la difficulté de la rencontre, la difficulté de créer un couple, le couple dans son infini manque, l’infinie déception de ne pas arriver à la fusion, à la communication fusionnelle ou même seulement partielle ou partiale… Les personnages s’agrippent, s’attachent, se détachent, le cri fuse ou reste avorté, la voix fuse ou reste coincée au fond de la gorge, … Un spectacle pour dire l’extrême fragilité de l’être, l’extrême fragilité des relations humaines, l’infini et maladroit chagrin de l’échec, l’émouvante tentative de renouer sans cesse… » Catherine Simon
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Art et design