Vidéo reportage de la mobilisation du Réseau Education sans Frontières pour le jeune kurde Ibrahim Arpaci.
France 3 a diffusé dans son émission « pièces à conviction » un reportage sur Ibrahim Arpaci (vidéo). Le reportage a le mérite d’attirer l’attention sur la situation d’Ibrahim, sur sa famille, sur l’émotion de ses camarades de classe. Il peut contribuer à une amplification de la mobilisation, en convergence avec les nouvelles démarches entreprises par son avocate. Ibrahim Arpaci, jeune turc d’origine kurde de 21 ans scolarisé au Lycée Perdonnet de Thorigny sur marne (77) a été expulsé le 9 novembre dernier à la troisième tentative malgré une forte mobilisation du Réseau Education sans Frontières.
Ibrahim Arpaci est arrivé en France en janvier 2005 et il a déposé une demande d’asile. Il y a une cinquantaine de membres de sa famille sur le territoire français et tous sont réfugiés politiques. Sa famille a été persécutée pour son militantisme en faveur de la cause kurde. Son village d’origine a été vidé de ses habitants par l’occupation de l’armée turque, son grand-père a été assassiné en 1991, lui-même et son frère ont été arrêtés et battus plusieurs jours de suite. Ibrahim porte des séquelles physiques de ces violences.
La suite sur :
http://www.educationsansfrontieres.org/
France 3 a diffusé dans son émission « pièces à conviction » un reportage sur Ibrahim Arpaci (vidéo). Le reportage a le mérite d’attirer l’attention sur la situation d’Ibrahim, sur sa famille, sur l’émotion de ses camarades de classe. Il peut contribuer à une amplification de la mobilisation, en convergence avec les nouvelles démarches entreprises par son avocate. Ibrahim Arpaci, jeune turc d’origine kurde de 21 ans scolarisé au Lycée Perdonnet de Thorigny sur marne (77) a été expulsé le 9 novembre dernier à la troisième tentative malgré une forte mobilisation du Réseau Education sans Frontières.
Ibrahim Arpaci est arrivé en France en janvier 2005 et il a déposé une demande d’asile. Il y a une cinquantaine de membres de sa famille sur le territoire français et tous sont réfugiés politiques. Sa famille a été persécutée pour son militantisme en faveur de la cause kurde. Son village d’origine a été vidé de ses habitants par l’occupation de l’armée turque, son grand-père a été assassiné en 1991, lui-même et son frère ont été arrêtés et battus plusieurs jours de suite. Ibrahim porte des séquelles physiques de ces violences.
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