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Les bénévoles de l'association l'ordre de Malte partent à la rencontre des plus démunis chaque nuit dans les rues d'Annecy.
Le laboratoire Arc-Nucleart au CEA de Grenoble est un des seuls au monde à utiliser les rayons Gamma pour sauvegarder le patrimoine
Zoom sur la filière ovine à l'occasion du concours régional des Ovinpiades
Exercice grandeur nature dans la station d'Avoriaz pour entraîner les chiens d'avalanche
L'équipe de France olympique de judo est venue préparer sa saison en Isère, les pieds dans la neige.
Coralie, élève au lycée hôtelier de Saint Chamond, prépare le championnat de France du dessert
Les bénévoles de l'association l'ordre de Malte partent à la rencontre des plus démunis chaque nuit dans les rues d'Annecy.
Le laboratoire Arc-Nucleart au CEA de Grenoble est un des seuls au monde à utiliser les rayons Gamma pour sauvegarder le patrimoine
Zoom sur la filière ovine à l'occasion du concours régional des Ovinpiades
Exercice grandeur nature dans la station d'Avoriaz pour entraîner les chiens d'avalanche
L'équipe de France olympique de judo est venue préparer sa saison en Isère, les pieds dans la neige.
Coralie, élève au lycée hôtelier de Saint Chamond, prépare le championnat de France du dessert
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00:00Musique
00:21Oui bonjour, c'est Murielle de l'Ordre de Malte.
00:25Oui bonjour Amélie, on va partir là, je voulais savoir s'il y avait des places.
00:33Aucune place ce soir, et pas de signalement non plus.
00:36D'accord, je te rappelle dans la soirée si besoin.
00:39Il est 18h dans les rues d'Annecy, et comme souvent en hiver, les hébergements d'urgence sont complets.
00:45Face à ce constat, Murielle et son équipe partent en maraude.
00:49Distribution de fromage, de pain, de soupe.
00:52Chaque soir, l'association L'Ordre de Malte rencontre entre 30 à 60 personnes.
00:57Les gens de la rue, souvent ils sont oubliés quand même, on en parle très peu.
01:01Et ils existent, il faut quand même y penser qu'ils sont bien là, et ils ont besoin d'aide.
01:06On est souvent, pour beaucoup, la seule personne qu'ils rencontrent dans la journée,
01:12avec qui ils peuvent discuter, autre que des personnes à la rue.
01:16La difficulté actuelle, c'est qu'on rencontre des gens aussi qui ont un travail,
01:20qui vivent dans leur voiture ou qui vivent dans la rue parce qu'ils n'arrivent pas à se loger.
01:24Vu le prix des logements, c'est difficile pour eux.
01:27Ou alors on a aussi des gens qui viennent au camion de la maraude,
01:30qui ont un logement, mais qui sont en difficulté pour payer leur loyer,
01:34qui préfèrent payer le loyer et venir nous voir pour avoir une aide alimentaire.
01:38Après chaque arrêt, tout est noté pour assurer un suivi et maintenir un lien avec chaque bénéficiaire.
01:44Pour ces derniers, les bénévoles sont devenus des points fixes dans leur quotidien.
01:48Je viens tous les soirs, et ça m'apporte du réconfort, de la chaleur humaine.
01:53Ils nous ramènent à manger, on a le droit à des boissons chaudes,
01:56on a la disponibilité des couvertures, on peut avoir aussi des tentes.
02:01C'est bénéfique de les avoir dans la rue avec nous.
02:05Moi personnellement, je suis toute seule dans mon coin,
02:08mais ça me fait plaisir de voir les maraudes tous les soirs, au moins on peut discuter un petit peu.
02:12En plus d'un lien social, ces actions permettent d'apporter des soins,
02:15puisque deux fois par semaine, un médecin bénévole participe aux maraudes.
02:19Dans la rue, on ne peut pas faire de la médecine très pointue, très précise,
02:24mais on évalue leurs problèmes de santé, si on peut le régler sur place par une ordonnance,
02:29ou leur donner un médicament, ou leur faire éventuellement un pansement, on le fait.
02:33Mais c'est souvent, surtout en fonction de ce qu'on estime être plus ou moins urgent,
02:39on les oriente également sur des structures qui peuvent s'occuper d'eux,
02:43soit hospitalières, soit la passe, la permanence d'accès aux soins.
02:48Il est 20h et la maraude continuera encore plusieurs heures,
02:51dans une température frôlant les 0°C.
02:54Un élan de solidarité devenu malheureusement aujourd'hui presque habituel,
02:59l'association effectuant chaque année pas moins de 180 tournées dans les rues de la ville d'Annecy.
03:10Ici, aucun être vivant ne peut survivre.
03:13Au CEA à Grenoble, isolés entre 4 murs d'1m50 d'épaisseur,
03:17des sources de cobalt-60 émettent des rayons gamma sur un plan relief datant de 1709.
03:23Le but, conserver l'objet en tuant les moisissures qui sont en train de le détruire.
03:28La table est au fond, sur son chevalet.
03:30On va rentrer dans la cellule d'irradiation, c'est là que l'irradiation se passe,
03:35c'est là qu'on peut sortir les sources radioactives.
03:38On va pouvoir récupérer les objets qui ont été irradiés,
03:44en l'occurrence le plan relief qui représente la ville de Douai.
03:48C'est Arc Nucléart, une entreprise spécialisée dans la conservation d'objets de patrimoine
03:53qui utilise ce remède ultime contre les champignons.
03:56Car cette maquette de la ville de Douai a reçu pendant 70 heures
04:01l'équivalent d'une énergie 1 million de fois supérieure à celle de la lumière visible.
04:06Donc là vous voyez très bien des moisissures un peu sur toutes ces parties-là,
04:12et c'est vraiment contre ces moisissures qu'on a fait cette irradiation.
04:16C'est vraiment le traitement efficace et fiable.
04:21On est sûr d'atteindre toutes les parties de l'objet,
04:25même les parties un peu dérobées, les parties à l'intérieur, entre des fissures, etc.
04:30Nombreuses sont les causes du mauvais état des œuvres d'art.
04:33L'humidité peut favoriser le développement de moisissures,
04:36la chaleur et le froid peuvent altérer les matériaux et les voyages accentuent.
04:40Le risque d'accident est donc de dégradation.
04:43En fait Arc Nucléart travaille pour énormément de communes et de musées en France et à travers le monde.
04:48Parmi les œuvres majeures qu'on a traitées, si on peut se permettre de parler d'œuvres,
04:51il y a bien sûr la momie du pharaon Ramsès II en 1977.
04:55Et puis depuis on a traité des tableaux infestés par la mérule,
05:00on a traité d'autres momies, on a traité des collections d'ethnologie.
05:04Dernièrement on avait des collections qui venaient du Sénégal
05:06et qui étaient vues à être présentées dans une exposition au musée dauphinois.
05:10C'est vraiment toute une diversité de choses qui passe sans cesse.
05:13En fait on est un musée qui change tout le temps de collection.
05:17Cette table relief de la ville de Douai a été fabriquée il y a trois siècles
05:21lors de la guerre de succession d'Espagne de 1701 à 1714.
05:26Le plan conservé par Arc Nucléars ne constitue qu'une des douze sections qui composent la table.
05:32Après une restauration pour enlever les moisissures mortes,
05:35la maquette sera restituée au musée de la Chartreuse à Douai.
05:4711h ce matin, Loanne fait du parage d'onglons.
05:50Étudiante en BTS production animale,
05:52elle participe à la finale régionale des Olympiades à Vendrange.
05:55Présente pour une 20ème édition, ce concours,
05:57c'est l'occasion de faire découvrir aux élèves et aux étudiants le métier d'éleveur d'auvins.
06:02Je pense que c'est pour promouvoir la filière ovine.
06:05C'est vrai qu'on a une volonté dans la filière ovine de montrer aux jeunes ce que c'est la filière,
06:10qu'ils en aient conscience parce que c'est vrai que dans les lycées,
06:12on n'en parle pas beaucoup du mouton, on parle surtout des brebis laitières.
06:15Donc c'est vrai que ça nous permet de parler de la filière et de leur faire découvrir l'univers des moutons.
06:20Et il y a beaucoup d'élèves qui au final ne la connaissent pas plus que ça.
06:23Surtout qu'au Rhône-Alpes, c'est plus un concours découverte.
06:27Donc c'est vrai qu'il y a des élèves qui n'y connaissent pas forcément.
06:30Donc c'est le moyen de découvrir la filière, découvrir aussi les acteurs
06:34parce qu'on a des éleveurs et des techniciens qui sont présents pour pouvoir échanger avec toute la filière.
06:39Pour les participants, la journée apporte un vrai plus au cours et crée parfois de vraies vocations.
06:44Ça permet d'en apprendre toujours plus.
06:46J'en ai appris pas mal dans les moutons parce que mon père n'a pas de moutons.
06:49Donc j'en ai appris beaucoup lors des Olympiades.
06:51Ce qui m'a fait acheter des brebis pour moi aussi parce que du coup je me suis rendu compte que j'aimais vraiment les moutons.
06:56Pour moi c'est une vraie opportunité puisque c'est quand même pas tout le monde qui le fait.
07:01C'est une bonne expérience à faire et puis ça peut aussi aider à apprendre un peu plus sur les moutons, etc.
07:07Oui, j'ai découvert le tri des agneaux, comment manipuler une brebis.
07:16Habitués de l'élevage d'ovins ou non, chacun semble trouver sa spécialité.
07:20Je pense que l'état de santé, je suis pas mauvais dedans.
07:23On connaît pas mal et puis je m'intéresse bien aux différentes pathologies des moutons.
07:27Donc je pense que ça devrait le faire ça.
07:30Je pense que sur le parage parce que c'est vrai qu'on en fait pas mal à la maison.
07:34Donc c'est vrai que ça peut être un atout.
07:36Comme mon collègue, l'état de santé.
07:38Plus dans le tri, je dirais.
07:40Après au niveau de la santé, j'ai été forte aussi.
07:43Prochain rendez-vous le 22 février au Salon de l'agriculture à Paris
07:46avec les deux gagnants de la finale régionale pour le concours national.
07:55Il est 11h ce mardi quand l'alerte tombe.
07:58Cinq personnes ont été prises dans une avalanche à Avoria.
08:02C'est en tout cas le thème de l'exercice de ce matin.
08:05On a préparé le terrain hier.
08:07Et ce matin, on est repassé avant que les chiens arrivent.
08:10Et après, moi je passe en mode maître chien.
08:13Donc on attaque une petite montée en randonnée avec notre chien.
08:16Durant deux jours, tous les pisteurs et maîtres chiens de la Haute-Savoie
08:19vont devoir valider cet exercice afin de pouvoir rester opérationnel le mois suivant.
08:25C'est ce qu'on appelle le recyclage.
08:28Il y en a cinq au cours de l'hiver, un tous les mois.
08:31Et aujourd'hui, c'est le deuxième de la saison.
08:34Si l'entraînement n'est pas réussi, que ce soit du côté du maître ou du chien,
08:38le binôme est jugé comme indisponible jusqu'au prochain test.
08:42On a recréé un terrain avec une dizaine de caches en conditions réelles,
08:46avec une météo réelle en prime aujourd'hui.
08:49Et on va ensevelir, entre guillemets, des victimes.
08:52Et les équipes opérationnelles vont passer à deux, trois chiens et découvrir les victimes.
08:56Et on va observer le travail du chien et ça leur permet de s'entraîner.
08:59C'est les pisteurs-secouristes, tous, de toutes les stations de la Haute-Savoie
09:02sur les quatre massifs Mont-Blanc, Aravis, Chablais et Grand Massif.
09:05Au total, 18 équipes opérationnelles interviennent sur le département.
09:09La moitié s'entraîne ce mardi, l'autre réalisera le même exercice ce mercredi.
09:14Et si parmi les chiens, la grande majorité est déjà bien aguerri,
09:18certains sont encore en cours de formation.
09:21C'est un jeune chien qui commence sa formation depuis six mois,
09:25qui a déjà fait toute la partie avec son maître, obéissance, etc.
09:28Il a un très bon relationnel, on a pu le voir là aujourd'hui,
09:31sur un exercice difficile pour lui, c'est sa première fois en neige.
09:34Donc on a tenté de le mettre sur quelqu'un d'autre que son maître,
09:37ce qu'il connaissait déjà, mais dans un contexte neige qui peut représenter une barrière pour les chiens.
09:41C'est surtout de lui apporter beaucoup de satisfaction,
09:44beaucoup de récompenses dans l'amusement,
09:46pour que sa motivation soit décuplée pour passer ses barrières, y compris la neige.
09:49Pour faire découvrir les coulisses du sauvetage en montagne au public,
09:53un exercice de simulation d'avalanche sera organisé dans la station des Portes du Soleil,
09:58le samedi 12 janvier de 8h30 à 11h30.
10:08Quoi de mieux que l'air de la montagne pour redescendre d'une grosse période de stress ?
10:12C'est ce que s'est dit une partie de l'équipe féminine française de judo,
10:15qui reprennent doucement leur rentrée sportive avec un stage d'oxygénation sur Grenoble,
10:19où elles en profitent pour venir motiver les troupes locales.
10:22C'est vrai qu'on a fait deux Olympiades d'enchaînée, Tokyo-Paris,
10:25donc 8 ans, c'était long, et c'est vrai que psychologiquement,
10:28on avait besoin de prendre notre temps pour revenir.
10:31Là, il y en a qui sont déjà repartis sur les stages internationaux,
10:34pour nous, c'était un peu trop tôt.
10:36C'est top, parce que là, les jeunes, ils sont engagés,
10:39il y a un très bon niveau, donc c'est cool.
10:42Ces 70 jeunes sont des étudiants sportifs de haut niveau de judo,
10:45qui s'entraînent tous les jours pour tenter de rejoindre les rangs de leurs idoles de passage.
10:49Pour cela, ils vivent pour la plupart à l'internat du lycée Vaucanson,
10:52qui abrite l'un des huit pôles France de judo.
10:54Eux, ils sont très contents de voir l'équipe olympique.
10:56En plus, c'est des jeunes filles qui sont très disponibles,
10:59donc ça les fait rêver.
11:01Donc c'est bien, ils ont des étoiles dans les yeux,
11:03donc c'est très positif pour le secteur et pour eux, en fait.
11:07Chacun y trouve son compte.
11:08Je viens de faire un combat avec Blandine Pond,
11:11donc ça fait bizarre, mais c'était vraiment trop bien.
11:15Après, elle m'a donné plein de conseils et voilà.
11:17Au programme de ce stage d'une semaine pour les Olympiennes,
11:20raquettes, ski de fond et biathlon au centre nordique d'Autran.
11:24Bien au-delà de la détente, l'objectif est de se renforcer physiquement et psychologiquement
11:28grâce à des conditions qui sortent de leurs habitudes.
11:31Là, sur du biathlon, elles vont travailler le cardio,
11:34parce qu'au niveau du ski de fond,
11:36elles vont devoir se donner un peu et puis être capables de faire redescendre
11:40et allier à la fois la concentration, la précision sur le tir allongé,
11:45debout après par la suite.
11:47Ce qui est pas mal et ce qui fait aussi qu'on n'est pas trop mauvaise
11:50pour des personnes qui ne skient jamais,
11:52c'est qu'en fait, quand on fait du ski de fond,
11:55il y a une répartition du poids de corps sur les jambes.
11:58C'est ce qu'on utilise aussi au judo pour pouvoir attaquer,
12:02contrer, ce qu'on fait tout le temps dans nos matchs ou à l'entraînement.
12:07Après cette période de transition,
12:09les judokas n'ont plus qu'une seule cible dans le viseur,
12:11les championnats du monde de judo de Budapest en juin,
12:14et elles quittent la neige iséroise avec une conviction de plus.
12:17C'est bien le ski de fond parce que c'est ludique, on fait des courses,
12:21mais après, on sait pourquoi on a choisi le judo.
12:25J'aime bien le biathlon, mais non, je préfère le judo.
12:29On préfère quand même la chaleur des dojos.
12:36Sauf le climat, c'est ça le plus clair.
12:39Mais tout s'est bien passé.
12:41Coralie a 20 ans et vient de terminer sa poire Belle-Hélène.
12:44Elle a eu trois heures pour préparer son dessert de restaurant
12:48afin de représenter la région centre-est au championnat de France de dessert.
12:52Ils ont trois heures pour faire dix assiettes identiques.
12:55Ils partent de l'ingrédient pur, pas mélangé,
12:59ils partent du fruit, du légume, pas épluché,
13:01et toutes les préparations doivent être faites sur place.
13:04Là, on est au moment des envois,
13:06donc toutes les sept minutes, le jury de dégustation va découvrir les assiettes.
13:10C'est pour ça qu'ils doivent envoyer parfaitement à l'heure
13:13parce qu'on a des glaces, on a des préparations chaudes, froides.
13:16C'est un mélange très savant pour qu'un dessert arrive exactement comme un entraînement.
13:21Son dessert, elle le connaît par cœur, comme les six autres candidats,
13:25et l'étudiante doit respecter à la lettre le dossier envoyé au concours.
13:30C'est jouer sur les températures, jouer sur les textures,
13:33donc ça c'est important, comme on peut le faire en boutique,
13:36et puis avoir des goûts francs.
13:39Le plus important, c'est quand le jury a dégusté,
13:43ou un client qui déguste un dessert,
13:46que ce soit dans une boutique ou dans un restaurant,
13:49c'est qu'il arrive à reconnaître les parfums de ce qu'il vient de déguster.
13:53Ça c'est donc la franchise des saveurs.
13:56Hygiène, technique, originalité, le meilleur ouvrier de France
13:59est accompagné d'experts pour juger la préparation des candidats,
14:02puis place au jury, des personnes de la vie courante,
14:05mais aussi des professeurs sélectionnés,
14:07et Coralie, en plus d'être à l'heure, marque des points au goût.
14:11Intéressant, audacieux, mettre du piment c'est jamais facile.
14:16Moi personnellement j'aime bien, peut-être un peu dosé, un peu fort.
14:19Je pense qu'il y a des gens qui le trouveraient peut-être un peu trop présent.
14:22En tout cas ça donne envie d'aller croquer.
14:24La cuisinière est en pleine année d'études à Chamalières,
14:27et a décidé de se lancer dans les concours sur son temps libre.
14:30Là je suis en mention complémentaire cuisinière dessert de restaurant,
14:33et en fait c'est une année où j'ai quasiment pas de cours,
14:36j'ai à peu près une vingtaine d'heures par semaine,
14:38et j'aurais aimé travailler,
14:40mais j'aurais aimé avoir quelque chose de constant pour le travail,
14:43et en fait vu que j'ai pas trouvé, je me suis dit,
14:45autant faire des concours plutôt que rester chez moi à rien faire.
14:47Elle finit première, et la finale des Championnats de France se passera à Rennes
14:51les 2 et 3 avril le prochain.
14:53Ce n'est pas un, mais deux desserts différents qu'ils devront préparer en 4h50.