Le 2 avril 2009, les avocats des neuf personnes mises en examen dans l'affaire de Tarnac tiennent une conférence de presse au siège de la ligue des Droits de l'Homme.
Dans cette première partie, Jean-Paul Dubois, président de la Ligue des droits de l'Homme compare l'affaire de Tarnac à l'affaire Dreyfus. Elle illustre un régime d'exception incompatible avec l'Etat de droit. Il condamne le délit d'association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste qui permet de faire passer n'importe qui pour des terroristes.
Me Irène terrel, avocate de quatre des prévenus parmi lesquels Julien Coupat, demande si celui-ci est détenu au nom de la raison d'Etat. Elle revient sur la circulaire à l'origine de l'affaire, qui instaure un délit d'opinion et une chasse à ceux qui pensent différemment.
Dans cette première partie, Jean-Paul Dubois, président de la Ligue des droits de l'Homme compare l'affaire de Tarnac à l'affaire Dreyfus. Elle illustre un régime d'exception incompatible avec l'Etat de droit. Il condamne le délit d'association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste qui permet de faire passer n'importe qui pour des terroristes.
Me Irène terrel, avocate de quatre des prévenus parmi lesquels Julien Coupat, demande si celui-ci est détenu au nom de la raison d'Etat. Elle revient sur la circulaire à l'origine de l'affaire, qui instaure un délit d'opinion et une chasse à ceux qui pensent différemment.
Category
🗞
News