Fondée en 1549, Salvador fut la première capitale du Brésil.
Découverte en 1501 par Américo Vespucci, , Salvador de Bahia fut la première capitale du Brésil elle est protégée par une barrière de récifs et comporte 56 îles, dont la plus grande et la plus célèbre l'île d'Itaparica.
Berceau culturel du pays, Salvador est à son image : métissée. Cette ville possède un centre historique qui évoque le Portugal et une population majoritairement afro-brésilienne.Elle compte aujourd’hui plus de 2.5 millions d’habitants et 365 églises baroques, pour le plus grand bonheur des architectes et des fidèles En partant du port, l'avenue du 7 septembre qui longe la mer et remonte vers le nord jusqu'au centre historique, nous longeons une suites de plage de sable et de nombreux rochers qui à marée basse procurent de magnifiques baignoires naturelles et des lieux de pêche en pleine nature.
Le fort Ponta de Santa Maria faisait partie en 1638 des défenses de la ville, de style Italien , il est en pierre .
Dès le 17ème siècle le Phare de BARRA guidait les navires qui arrivaient dans la Baie de tous les saints pour approvisionner en bois, coton, sucre et tabac le continent européen. Reconstruit en 1832, à partir du phare original et en 1937, l'éclairage au kérosène a été remplacé par l'électricité Nous cotoyons les nombreuses Favelas où s'entasse sur les collines ce que l'on peut appeler la pauvreté de Salvador de Bahia. Le Dique do Tororó est un grand lac artificiel situé au centre de Salvador de Bahia Les églises ne manquent pas à Salvador de Bahia, mais parmi elles Nosso Senhor do Bonfim jouit d’un prestige tout particulier. Cérémonie plus ou moins catholique (plutôt moins), le lavage de Bomfim réunit chaque année en janvier des milliers de croyants – et de touristes – venus accompagner les bahianaises tout de blanc vêtues qui viennent nettoyer les marches de la basilique. Les fitas – ficelles de couleur – sont autant d’ex-voto qui en ornent les grilles, sans compter les poignets des visiteurs qui attendront ensuite quelques mois que les trois noeuds se cassent pour voir peut-être leurs voeux s’accomplir. La visite de l'eglise, et de la salle des ex-voto attenante méritent le détour.
C'est l'une des églises catholiques le plus traditionnelles de la ville, dédiée au Senhor do Bonfim, patron des bahianais et symbole du syncrétisme religieux de Bahia. Elle fut bâtie sur la Colline Sacree à partir de 1745, et fut terminée en 1772.
Dans la salle des ex-votos, beaucoup de photos des gens qui disent merci a la Sainte Vierge pour leurs guerisons,! des ex-voto en plastique (représentation du membre malade) sont suspendus au plafond dans l'espérance d'une guérison. Une sorte de salle des miracles
Sur la grille d'accès aux marches de l'église des milliers de rubans de Bonfim flottent au vent.
La promenade est trop courte car nous avons tout juste effleuré la ville haute mais il faut dèjà retourner au bateau
Découverte en 1501 par Américo Vespucci, , Salvador de Bahia fut la première capitale du Brésil elle est protégée par une barrière de récifs et comporte 56 îles, dont la plus grande et la plus célèbre l'île d'Itaparica.
Berceau culturel du pays, Salvador est à son image : métissée. Cette ville possède un centre historique qui évoque le Portugal et une population majoritairement afro-brésilienne.Elle compte aujourd’hui plus de 2.5 millions d’habitants et 365 églises baroques, pour le plus grand bonheur des architectes et des fidèles En partant du port, l'avenue du 7 septembre qui longe la mer et remonte vers le nord jusqu'au centre historique, nous longeons une suites de plage de sable et de nombreux rochers qui à marée basse procurent de magnifiques baignoires naturelles et des lieux de pêche en pleine nature.
Le fort Ponta de Santa Maria faisait partie en 1638 des défenses de la ville, de style Italien , il est en pierre .
Dès le 17ème siècle le Phare de BARRA guidait les navires qui arrivaient dans la Baie de tous les saints pour approvisionner en bois, coton, sucre et tabac le continent européen. Reconstruit en 1832, à partir du phare original et en 1937, l'éclairage au kérosène a été remplacé par l'électricité Nous cotoyons les nombreuses Favelas où s'entasse sur les collines ce que l'on peut appeler la pauvreté de Salvador de Bahia. Le Dique do Tororó est un grand lac artificiel situé au centre de Salvador de Bahia Les églises ne manquent pas à Salvador de Bahia, mais parmi elles Nosso Senhor do Bonfim jouit d’un prestige tout particulier. Cérémonie plus ou moins catholique (plutôt moins), le lavage de Bomfim réunit chaque année en janvier des milliers de croyants – et de touristes – venus accompagner les bahianaises tout de blanc vêtues qui viennent nettoyer les marches de la basilique. Les fitas – ficelles de couleur – sont autant d’ex-voto qui en ornent les grilles, sans compter les poignets des visiteurs qui attendront ensuite quelques mois que les trois noeuds se cassent pour voir peut-être leurs voeux s’accomplir. La visite de l'eglise, et de la salle des ex-voto attenante méritent le détour.
C'est l'une des églises catholiques le plus traditionnelles de la ville, dédiée au Senhor do Bonfim, patron des bahianais et symbole du syncrétisme religieux de Bahia. Elle fut bâtie sur la Colline Sacree à partir de 1745, et fut terminée en 1772.
Dans la salle des ex-votos, beaucoup de photos des gens qui disent merci a la Sainte Vierge pour leurs guerisons,! des ex-voto en plastique (représentation du membre malade) sont suspendus au plafond dans l'espérance d'une guérison. Une sorte de salle des miracles
Sur la grille d'accès aux marches de l'église des milliers de rubans de Bonfim flottent au vent.
La promenade est trop courte car nous avons tout juste effleuré la ville haute mais il faut dèjà retourner au bateau
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