Les violences faites aux femmes sont des actes spécifiques marqués dans l’immense majorité des cas par un phénomène d’emprise qui fausse le consentement de la victime. De ce point de vue, il me semble impossible pour un juge de déterminer si la victime consent véritablement ou non à la médiation pénale. Une femme qui refuse la médiation peut ressentir une culpabilité énorme, considérant qu’elle menace ainsi l’équilibre d’un foyer qui dure parfois depuis plusieurs années, sans même parler du traumatisme pour les enfants.
Pour ma part, je considère que la médiation n'est pas adaptée à ces cas.
Pour ma part, je considère que la médiation n'est pas adaptée à ces cas.
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