Guerre du Liban, un an après
Il y a un an, le 12 juillet 2006, Israël lançait une offensive contre le Liban après l'enlèvement de deux militaires par le Hezbollah. C'était le début d'une guerre qui n’a duré que 33 jours mais a laissé des traces indélébiles : 1.200 morts côté libanais, le sud détruit et le pays de nouveau plongé dans l'incertitude politique.
A l'occasion de ce triste anniversaire, nous lançons une série de reportages sur le Liban.
Le danger des mines
Plus d'un million de bombes à sous-munitions ont été larguées par Israël dans les dernières heures de la guerre. Disséminées dans les champs, dans les jardins, elles constituent un danger permanent pour les civils. En un an 200 personnes dont un tiers d'enfant ont été blessées ou tuées par des bombes à sous-munitions.
Aujourd'hui, les chantiers de déminage menés par les casques bleus dans les villages sont presque tous achevés mais retrouver l'ensemble de ces munitions non explosées représente un véritable travail de fourmis. L'ONU et les ONG se battent pour faire interdire totalement ce type d'armement, très petit et très difficile à repérer et qui fait des ravages parmi les populations civiles pendant de nombreuses années après la fin de la guerre.
Il y a un an, le 12 juillet 2006, Israël lançait une offensive contre le Liban après l'enlèvement de deux militaires par le Hezbollah. C'était le début d'une guerre qui n’a duré que 33 jours mais a laissé des traces indélébiles : 1.200 morts côté libanais, le sud détruit et le pays de nouveau plongé dans l'incertitude politique.
A l'occasion de ce triste anniversaire, nous lançons une série de reportages sur le Liban.
Le danger des mines
Plus d'un million de bombes à sous-munitions ont été larguées par Israël dans les dernières heures de la guerre. Disséminées dans les champs, dans les jardins, elles constituent un danger permanent pour les civils. En un an 200 personnes dont un tiers d'enfant ont été blessées ou tuées par des bombes à sous-munitions.
Aujourd'hui, les chantiers de déminage menés par les casques bleus dans les villages sont presque tous achevés mais retrouver l'ensemble de ces munitions non explosées représente un véritable travail de fourmis. L'ONU et les ONG se battent pour faire interdire totalement ce type d'armement, très petit et très difficile à repérer et qui fait des ravages parmi les populations civiles pendant de nombreuses années après la fin de la guerre.
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