Guerre du Liban, un an après
Il y a un an, le 12 juillet 2006, Israël lançait une offensive contre le Liban après l'enlèvement de deux militaires par le Hezbollah. C'était le début d'une guerre qui n’a duré que 33 jours mais a laissé des traces indélébiles : 1.200 morts côté libanais, le sud détruit et le pays de nouveau plongé dans l'incertitude politique.
A l'occasion de ce triste anniversaire, nous lançons une série de reportages sur le Liban.
Liban : camps retranchés
Il y a un an, le 12 juillet, Israël lançait une offensive contre le Liban après l'enlèvement de deux militaires. C'était le début d'une guerre qui n'a duré qu'un mois mais a laissé des traces indélébiles : 1.200 morts côté libanais, le sud détruit et le pays de nouveau plongé dans l'incertitude politique.
Depuis la fin du conflit, un autre type de violence a émergé dans le pays, à l'intérieur des camps de réfugiés palestiniens. Des villages fermés où les milices islamistes ont pris le pouvoir et affrontent régulièrement l'armée libanaise. A Aïn el Héloué, par exemple, 70.000 personnes vivent dans des conditions précaires. Depuis la création du camp en 1948 la vie s'est peu à peu organisée. On y trouve des hôpitaux ou encore des commerces. Dans cet endroit où la criminalité atteint des taux records, ni l'armée, ni la police libanaise n'a le droit de cité. Ce sont les milices qui font régner l'ordre. Sans véritable justice, cet endroit est très vite devenu un repère pour les groupes terroristes, libres d'embrigadés une population souvent désoeuvrée.
Il y a un an, le 12 juillet 2006, Israël lançait une offensive contre le Liban après l'enlèvement de deux militaires par le Hezbollah. C'était le début d'une guerre qui n’a duré que 33 jours mais a laissé des traces indélébiles : 1.200 morts côté libanais, le sud détruit et le pays de nouveau plongé dans l'incertitude politique.
A l'occasion de ce triste anniversaire, nous lançons une série de reportages sur le Liban.
Liban : camps retranchés
Il y a un an, le 12 juillet, Israël lançait une offensive contre le Liban après l'enlèvement de deux militaires. C'était le début d'une guerre qui n'a duré qu'un mois mais a laissé des traces indélébiles : 1.200 morts côté libanais, le sud détruit et le pays de nouveau plongé dans l'incertitude politique.
Depuis la fin du conflit, un autre type de violence a émergé dans le pays, à l'intérieur des camps de réfugiés palestiniens. Des villages fermés où les milices islamistes ont pris le pouvoir et affrontent régulièrement l'armée libanaise. A Aïn el Héloué, par exemple, 70.000 personnes vivent dans des conditions précaires. Depuis la création du camp en 1948 la vie s'est peu à peu organisée. On y trouve des hôpitaux ou encore des commerces. Dans cet endroit où la criminalité atteint des taux records, ni l'armée, ni la police libanaise n'a le droit de cité. Ce sont les milices qui font régner l'ordre. Sans véritable justice, cet endroit est très vite devenu un repère pour les groupes terroristes, libres d'embrigadés une population souvent désoeuvrée.
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