Bon voilà, quelques passes de Padilla pour le plaisir, le beau travail du frimeur esthète. En sachant que, cette fois-là, à Arles, j'ai ressenti un vrai malaise dans l'arène. Il y a d'abord eu la corne cassée. Et puis cette succession de toros faiblards qui tombaient à genoux, leurs antérieurs étant trop faibles. Et puis j'étais au premier rang et le côte sanglant de la lutte m'a sauté en pleine figure. Je ne suis pas un sentimental qui pleure sur un toro mais, pour apprécier une chorégraphie autour de la mort, il faut de la distance.
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